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avortement et euthanasie - Page 22

  • Amy Coney Barrett, la candidate de Donald Trump à la Cour Suprême ?

    Amy Coney Barrett, la candidate de Donald Trump à la Cour Suprême ?

    Amy Coney Barrett, professeur à la faculté de droit de l’université Notre-Dame (Indiana), mère de 7 enfants, avait été nommée par Donald Trump juge à la 7e cour d’appel fédérale (Chicago) en 2017. Cette mère de sept enfants (dont 2 adoptés) est catholique et pro-vie. Le choix de Trump avait été ratifié par le Sénat des États-Unis par 55 voix contre 43, alors que le Sénat ne comptait alors que 51 membres Républicains (ils sont 53 actuellement) : preuve que plusieurs sénateurs Démocrates avaient alors voté pour elle.

    « Alliance pour la Justice » avait publié un tract contre cette nomination, vitupérant que Barret elle est une grave menace pour les « droits reproductifs » puisqu’elle croit que « la vie commence à la conception » et qu’elle a critiqué l’obligation pour les employeurs d’inclure la contraception dans la couverture maladie des salariés. Amy Coney Barrett est membre d’un mouvement chrétien appelé People of Praise, qui rassemble des catholiques et des protestants. Elle a toujours regretté l’arrêt Roe v. Wade, qui a légalisé l’avortement aux États-Unis en 1973.

    Elle fut déjà pressentie à la Cour Suprême en 2018, pour remplacer Anthony Kennedy. Ce fut Brett Cavanaugh qui fut alors nommé. “Je réserve (Barrett) lorsqu’il faudra remplacer Ginsburg”, aurait alors dit Trump. De fait, pour remplacer Ruth Bader Ginsburg, Donald Trump a déjà évoqué de nommer une femme. Or, dans la liste de quarante noms que le président des États-Unis a rendue publique le 10 septembre, trois magistrates se détachent. Mais une a sa préférence : Amy Coney Barrett.

    Si Donald Trump choisit Amy Coney Barrett, elle pourrait devenir, à 48 ans, la plus jeune juge de la cour suprême.

    Deux autres femmes sont dans la course :

    • Barbara Lagoa, première femme hispano-américaine nommée à la Cour suprême de Floride que le Président a hissée à la onzième cour d’appel en 2019.
    • Allison Rushing, propulsée à l’âge de 35 ans à la quatrième cour d’appel de Richmond (Virginie), en 2018.

    https://www.lesalonbeige.fr/amy-coney-barrett-la-candidate-de-donald-trump-a-la-cour-supreme/

  • Le bilan pro-vie de Donald Trump

    Le bilan pro-vie de Donald Trump

    Benoît-et-moi a traduit la lettre que le président Donald Trump a écrit aux militants pro-vie américains, pour souligner les résultats obtenus au cours des quatre années de son administration et pour renouveler publiquement son engagement contre l’avortement. S’il était possible d’être sceptique en 2016, en raison de ses précédentes positions pro-avortement, Trump a montré qu’il avait épousé la cause avec un engagement sans précédent :

    Chers militants et leaders pro-vie,

    Je me suis présenté à la présidence en 2016 en défendant la vie, et avec votre soutien, nous avons gagné la Maison Blanche. Depuis ma prise de fonction, je suis fier d’avoir gouverné comme le président le plus pro-vie de l’histoire de notre pays. Ensemble, au cours de mon premier mandat, nous avons accompli beaucoup de choses pour les enfants à naître et leurs mères:

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  • Allongement du délai pour avorter. Pr Nisand : « La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser»

    Allongement du délai pour avorter. Pr Nisand : « La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser»

    Les députées Marie-Noëlle Battistel (PS) et Cécile Muschotti (LREM) rendent, ce mercredi 16 septembre, un rapport sur l’accès à l’avortement commandé par le gouvernement en juin 2019. Une proposition de loi, qui doit être présentée dans la foulée, devrait notamment porter les délais de recours à l’interruption volontaire de grossesse de douze à quatorze semaines de grossesse.

    Les auteurs du rapport s’interrogent sur ce qu’ils considèrent comme des freins à l’application de la loi Veil (malgré plus de 200 000 avortements chaque année).

    « En France, la principale explication aux difficultés d’accès à l’IVG résulte essentiellement du désintérêt à l’égard d’un acte médical peu valorisé. »

    « Seuls 2,9 % des généralistes et gynécologues et 3,5 % des sages-femmes » ont pratiqué un avortement en 2018.

    Les députés préconisent notamment d’ « allonger le délai de l’IVG chirurgicale de deux semaines, pour le faire passer de douze à quatorze semaines de grossesse, afin d’éviter que les femmes confrontées à des difficultés en début de parcours (errance médicale, délais de rendez-vous trop longs…), se trouvent hors délai et dans l’impossibilité de faire pratiquer une IVG en France. »

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  • Encore une loi pour étendre l’avortement

    Encore une loi pour étendre l’avortement

    Le 8 octobre, une proposition de loi déposée par le député EELV Albane Gaillot sera examinée à l’Assemblée nationale. Elle vise à supprimer la clause de conscience spécifique à l’avortement et à allonger les délais légaux d’accès à l’avortement de 12 à 14 semaines.

    Ils sont assoiffés de sang humain et ne s’arrêteront jamais.

    https://www.lesalonbeige.fr/encore-une-loi-pour-etendre-lavortement/

  • Vincent Cassel : « il faut sans cesse faire attention à ce que l’on dit ». Surtout sur l’avortement

    Vincent Cassel : « il faut sans cesse faire attention à ce que l’on dit ». Surtout sur l’avortement

    Lundi 7 septembre, invité de l’émission « C à vous » en compagnie de l’humoriste Florence Foresti, Vincent Cassel a dénoncé la pensée unique, précisant qu’il fallait sans cesse « faire attention à ce que l’on dit ».

    « Tout est sorti de son contexte, tout est réutilisé, mis en avant, buzzé. On est dans un drôle de monde ». « J’espère que ça va se calmer parce que là, ça va être difficile d’être drôle et intéressant. »

    Il est revenu sur l’émission Quotidien (sans la citer), qui s’en est prise à une comédie qui parle de grossesse non désirée (évoquée ici).

    « J’ai vu l’autre jour une émission où on a fait un procès d’intention quant au sujet du film : ‘Ça, dans la vie, on payerait tant, on ferait tant d’années de prison, etc.’ C’était sur le sujet du film. Où est-ce qu’on est là ? ». « Même la fiction est pénalisée. Ce sont des procès d’intention perpétuels, sur le sujet. Il faudrait que tout soit à niveau pour ne déranger personne. Mais ce n’est pas possible en fait. Dès qu’on commence à parler, et qu’on dit quelque chose, on dérange forcement quelqu’un… ». « Et puis ce tribunal populaire, cette lapidation… ».

    Prudent, il s’est autocensuré en ne citant pas le sujet du délit (d’entrave) : l’avortement.


    https://www.lesalonbeige.fr/vincent-cassel-il-faut-sans-cesse-faire-attention-a-ce-que-lon-dit-surtout-sur-lavortement/

  • Michel Onfray : avorter jusqu’à 9 mois pour ‘raisons psycho-sociales’, ça s’appelle un infanticide

    Michel Onfray : avorter jusqu’à 9 mois pour ‘raisons psycho-sociales’, ça s’appelle un infanticide

    Addendum : un lecteur me signale que Michel Onfray accuse par erreur Laurent Joffrin d’avoir promu la coprophagie et la zoophilie par une tribune. En effet, il fait référence à un article dont Laurent Joffrin n’est pas l’auteur, publié par Libération le 17 janvier 2014, date à laquelle il n’était pas encore revenu en tant que directeur de la rédaction. (Source pour le lien à cette tribune : https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/joffrin-penseur-du-sexe ).

    https://www.lesalonbeige.fr/michel-onfray-avorter-jusqua-9-mois-pour-raisons-psycho-sociales-ca-sappelle-un-infanticide/

  • EN MARCHE POUR LA VIE ! Paris, 17 janvier 2021...

    https://enmarchepourlavie.fr/2020/07/23/rendez-vous-le-17-janvier-2021-pour-le-plus-grand-evenement-provie-de-france/

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  • La République a besoin de sacrifices humains

    La République a besoin de sacrifices humains

    Communiqué de l’Association catholique des infirmières et professionnels de santé :

    1)    ABOLITION DE LA CLAUSE DE CONSCIENCE des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie. C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.

    Or le droit à l’objection de conscience existe dans la loi Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n°1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux »De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa CONSTITUTION (1958 et 2008), la FRANCE reconnaît de la même manière la LIBERTÉ DE CONSCIENCE et de CULTE et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse.

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  • Avortement : dire l'indicible

    La 13e édition de la marche parisienne pour la vie s'est distinguée cette année par la jeunesse de ses participants et une nouvelle liberté bienvenue, lors des prises de parole officielles l'indicible a été dit : l’avortement tue.

    Avec ses 50 000 participants revendiqués, relégués par la préfecture dans les avenues tranquilles, reliant la porte Dauphine à la place du Trocadéro, la Marche pour la vie a pourtant enfin percé l'omerta médiatique. Du sujet sur LCI en passant par la dépêche somme toute honnête de l'AFP au « papier » du Point (illustré, il est vrai, par une image de la Marche 2018 !) l'éventail était large. L'avortement est de nouveau un sujet. C'est peut-être là le premier le plus grand succès de cette Marche elle rend témoignage à la vérité - ce qui est un bien et une exigence en soi - en rappelant à une culture qui l'a largement occultée que cette vérité existe.

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