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avortement et euthanasie - Page 89

  • Le gouvernement veut imposer un quota d’avortements pour chaque établissement de santé.

    Mais jusqu'au le gouvernement va-t-il aller pour imposer la culture de mort ?

    "Après la suppression du délai de réflexion, et la réalisation d’IVG par les sages-femmes, l’Assemblée vient de voter un amendement qui conduit à l’instauration d’un quota d’avortements par établissement de santé. 

    L'article 38 du projet de loi Santé définit les objectifs pluriannuels des agences régionales de santé (ARS). Parmi ces objectifs, l’amendement n°2175 vise à introduire dans la loi un objectif en matière d'IVG qui liera les ARS aux établissements de santé

    Cet amendement vient d’être adopté. 

    Si cette disposition est maintenue dans le projet de loi par le Sénat, les ARS devront prévoir des plans d'action pour l'IVG, contractualisant avec les établissements de santé sur un objectif de volume d’activité d’IVG par rapport au volume de leur activité d’obstétrique (cf. FRIDA : un nouveau plan d’action pour améliorer l’accès à l’IVG). 

    Le nombre d'IVG qu'un établissement de santé devra réaliser dans l'année sera donc prévu à l’avance par établissement, ce qui revient à imposer un quota  d’IVG pour chaque établissement de santé." (via Généthique)

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Limitation de l'avortement : en Oklahoma aussi

    Lu sur Gènéthique :

    "Le lendemain du jour où l'Etat du Kansas a, pour la première fois aux Etats-Unis, interdit l'avortement au cours du second trimestre, les chambres de l’Etat voisin, l'Oklahoma, ont voté une loi identique.

    Le Sénat vient de voter le Dismemberment Abortion Act, du nom de la procédure de démembrement du fœtus pour un avortement après 12 semaines de grossesse.

    Pour que cette loi soit effective, le Gouverneur Mary Fallin doit la signer, ce qui devrait advenir sans difficulté puisqu'elle s'est montrée favorable aux restrictions relatives à l'IVG."

    Pendant que la France cherche par tous les moyens à banaliser le crime de l'avortement, les Etats pro-vie des Etats-Unis cherchent par tous les moyens à le limiter.

    Michel Janva

  • IVG : Jacques Bompard propose de faire écouter le cœur de l’enfant à la mère

    Dans le cadre du débat sur le projet de loi santé, les députés de l’opposition veulent tenter de réinstaurer le délai de réflexion prévu avant un avortement volontaire (IVG). Un délai supprimé en commission par un amendement de la députée PS, Catherine Coutelle.

    Si ces députés souhaitent revenir à délai de sept jours, Jacques Bompard propose – quant à lui – de l’allonger à deux semaines. Dans un autre amendement, le député du Vaucluse souhaite aussi :

    Faire prendre conscience à la mère de la réalité de ce qu’elle porte en lui faisant écouter le cœur de l’enfant.

    http://fr.novopress.info/

  • GPA : elle refuse de toucher le bébé qu'elle a porté, pour ne pas s'y attacher

    Refuser de toucher l'enfant qu'on a pourtant senti dans ses entrailles pendant 9 mois, faire entrer la commanditaire dans son intimité le jour de l'accouchement pour qu'elle s'approprie tout de suite l'enfant... bienvenue dans le monde merveilleux de la gestation pour abandon :


    GPA: "Je ne pouvais pas directement toucher le... par LEXPRESS 

    Louise Tudy

  • Avortement : changer de stratégie !

    De Guillaume D’Alançon, Délégué Général de l’Académie diocésaine pour la vie de Bayonne :

    "Les 3 offensives du Chemin des Dames pendant la 1ère guerre mondiale ont coûté environ 150 000 hommes à la France. Exorbitant. Pourtant c’est moins que les victimes annuelles de l’avortement depuis la loi Veil de 1975. En réalité, les historiens ont du mal à évaluer les victimes de ces 3 batailles : entre 100 000 et 200 000.

    Idem pour l’avortement. On sait, selon les statistiques les plus officielles, qu’il y a 220 000 assassinats chaque année dans les services hospitaliers. Sans parler des indénombrables avortements médicamenteux, pilules abortives, stérilets… qui viennent s’ajouter. Un éminent spécialiste de la question affirmait récemment que l’on peut décemment avancer le nombre de 400 000 morts par avortements en France chaque année. 400 000 morts. Cela veut dire que depuis 1975, nous avons largement dépassé les 10 millions de morts. C’est affreux, insoutenable. Et en plus ce sont des innocents. Le clairon sonne. Les drapeaux sont en berne et les cœurs, serrés. « Qu’as-­tu fait de ton frère » demanda Dieu à Caïn…

    En cette morne plaine, la clameur des mères, des survivants de tous les génocides perpétrés à travers l’histoire, rejoint le cri du Golgotha et les larmes de Notre­ Dame.

    Tandis que de nombreux pays connaissent une baisse notable du nombre d’avortements, la Russie (50%), l’Allemagne,… la France voit s’accentuer la courbe des victimes. Oui, il y a de plus en plus d’avortements en France… L’opinion publique aux Etats-­Unis bascule pour la vie et nous nous enfonçons… comme les nazis à bout de souffle, dans leurdélirium tremensdes derniers mois de la guerre.

    Et si, à l’intérieur de l’Eglise, nous en faisions davantage ? Lors de son intervention devant les délégués diocésains à la pastorale familiale le 16 février dernier, le Président du Conseil Pontifical pour la Famille, Mgr Vincenzo Paglia, affirma avec force qu’il était impossible de dissocier le combat pour la vie de l’évangélisation de la famille et de la société. Le message sera-­t-­il entendu?

    Et si nos stratégies n’étaient pas les bonnes ? En mettant Dieu de côté pour des raisons tactiques, ne perdons­-nous pas notre plus précieux allié, à savoir Dieu lui-­même ?La loi naturelle, si elle est un bien pour tous, n’est-­elle pas d’abord la merveilleuse signature de Dieu dans sa création ? L’annonce de l’Evangile de la vie comporte, aussi, celle de l’Evangile… car là est la vie. La raison a besoin de l’Evangile pour raisonner juste. C’est vrai pour tous les autres combats : celui de l’euthanasie, de la GPA, …

    Au soir de ma vie, face à Dieu, je devrais rendre des comptes sur l’amour. Les effets de manche, de réseaux, d’intérêts seront alors sans effet. Rien d’autre que Dieu seul face à moi, qui sera seul, aussi. Dieu face à face me disant : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25, 40) Nous qui attendrons tant de sa miséricorde, osons-nous dès maintenant tendre la main aux blessés de l’avortement ?

    En ces heures de Chemin de Croix, n’oublions pas celui des enfants à naître."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un élu FN s'oppose à une subvention au Planning Familial

    Au conseil municipal du Mans, qui a eu lieu hier jeudi 2 avril, Emmanuel Dubois, élu FN au Conseil Municipal du Mans, s'oppose à une subvention accordée au Planning Familial (point 9 de l'ordre du jour).

    Le Maine Libre rapporte les propos de l'élu, propos qui ont choqué les tentants de la cuture de mort.

    Michel Janva

  • Loi Santé : la suppression regrettable du délai de réflexion sur l’avortement

    Alliance VITA s’inquiète de la posture idéologique avec laquelle la majorité parlementaire aborde à nouveau la question délicate de l’avortement.

    Après avoir supprimé en 2014 le critère de détresse, l’Assemblée nationale s’apprête à effacer la semaine de réflexion entre les deux rendez-vous médicaux pour recourir à l’avortement, à la suite de l’amendement de Catherine Coutelle voté en commission des Affaires sociales. Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, ne s’y opposait que pour lui préférer un délai de 48 heures. Pour Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA :

    « Comment peut-on légitimer la suppression du délai de réflexion concernant un geste qui scelle le destin d’une existence humaine, alors que la loi impose deux semaines de réflexion pour la chirurgie esthétique et même une semaine de rétractation pour l’achat de certains biens et services ? Donner du temps aux femmes les protège de la panique, mais aussi des pressions qui peuvent les pousser à avorter à contrecœur. Depuis la suppression, en 2001, du dossier-guide qui informait les femmes sur les alternatives à l’IVG, l’avortement s’impose souvent comme une fatalité.  »

    Caroline Roux, coordinatrice des services d’écoute, confirme :

    « Quand une grossesse imprévue survient, les questions se bousculent dans la panique, et souvent la solitude. Bien des femmes, jeunes ou moins jeunes, se sentent jugées et rejetées quand elles révèlent être enceintes sans l’avoir planifié. La violence des pressions dont certaines font l’objet, spécialement de la part de l’homme, doit être prise en compte. Sur un sujet si intime, les femmes ont besoin d’écoute et de temps pour y voir clair. Elles ont droit également à recevoir une information complète, y compris sur les aides aux femmes enceintes et aux jeunes mères. C’est tellement violent de découvrir a posteriori qu’on n’a pas été suffisamment soutenu et que tout s’est passé de manière précipitée … »

    Alliance VITA a par ailleurs noté la tentative, jusqu’à maintenant reportée, desupprimer la clause de conscience des soignants. Tout est fait pour imposer une banalisation de l’avortement, au prix du déni de ce que vivent les femmes.

    Michel Janva

  • 40 Days for Life : plus de 400 bébés sauvés de l'avortement

    De Daniel Hamiche :

    "La campagne de Carême des 40 Days for Life, commencée le mercredi des Cendres 18 février, vient de s’achever hier, dimanche des Rameaux 29 mars. La coordination des 40 Days for Life nous annonce aujourd’hui même, lundi 30 mars, que pendant ces quarante jours au moins 402 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement. Et ce nombre devrait croître dans les jours à venir au fur et à mesure que les informations remonteront à la coordination. Cela montre, encore une fois, que la prière a de magnifiques effets."

    Michel Janva

  • Avortement & euthanasie : des lois pour annihiler la conscience

    Extrait d'une tribune de Chantal Delsol dans Valeurs actuelles :

    "[...] La loi morale élémentaire, antique et universelle, « Tu ne tueras pas », se donne partout des exceptions. Dans toutes les sociétés, ce sont la guerre et la peine de mort : les sociétés s’estiment fondées à tuer ceux qui les menacent. La modernité tardive, qui rejette avec dégoût la peine de mort et la guerre, et simultanément légitime l’IVG, même à un stade avancé de la grossesse, et l’euthanasie, marque par là la métamorphose des critères. Ce n’est plus la survie ou la sécurité de la société qui peut légitimer une exception au « Tu ne tueras pas », mais le refus de la souffrance individuelle (physique ou psychique).

    Les lois sur la fin de vie vont cependant plus loin que ce déploiement de la souveraineté individuelle. Outre qu’elles traduisent un déplacement des critères de valeur, elles traduisent aussi un rabaissement de l’idée de conscience personnelle.

    Les principes moraux élémentaires sont surplombants ; et pourtant toujours récusables par la conscience personnelle, dans des cas tragiques et au prix d’un débat intérieur. Les cas d’euthanasie existent et ont toujours existé. Dans des situations si singulières et si graves, des consciences individuelles prennent une décision. Mais on voudrait que cette exception au « Tu ne tueras pas » soit légalisée, qu’elle ne soit plus à la merci de la conscience personnelle. On voudrait que les individus jetés dans ce drame puissent appliquer une loi et ainsi s’exempter de l’angoisse de se prononcer, de la responsabilité et des éventuels remords. Le cas est le même pour l’IVG, pour laquelle nous recherchons toujours plus de loi déterminante, toujours moins de réflexion individuelle. Il y a là une récusation du tragique humain, une volonté de passer à la toise de la loi les situations les plus complexes. Dans les directives anticipées aussi, c’est la conscience personnelle qui se trouve dévalorisée, contrairement à ce que l’on pense : car je ne peux jamais préjuger de ce que je déciderai en situation limite ; dans cette situation, sans doute trouverai-je des ressources dont aujourd’hui je n’ai même pas idée ; une personne n’est pas une essence immuable, mais une entité en perpétuel développement.

    La demande de légalisation toujours plus précise indique la persistance du positivisme juridique, déjà si présent au XXe siècle : la morale, ce ne serait rien d’autre que la loi positive, et ce qui est permis par la loi serait forcément bon — que l’État dise le Bien et nous ne nous poserons plus de question ! Au fond, nous voulons peut-être oublier que l’éthique traduit un perpétuel débat intérieur et extérieur — qu’elle engage notre responsabilité de personne libre, bien davantage que notre docilité de citoyen. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Loi Leonetti votée à Assemblée

    Ce mardi 17 mars fut un jour bien triste pour notre pays, avec le vote de la loi Leonetti (par les députés PS et UMP), ouvrant le chemin de l’euthanasie…

    Des jeunes du Renouveau français parisien ont réagi en déployant une banderole devant l’Assemblée et en distribuant des tracts.

    20150317_191401

    http://www.contre-info.com/20150317_190754