Voilà le trajet de la marche pour la vie qui aura lieu demain après-midi à Lyon :
avortement et euthanasie - Page 90
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Marche pour la vie à Lyon : le parcours
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Manifestation pour la vie à Lyon : c'est demain
Le départ de la marche est prévu à 14h30, place Saint Jean. Le Salon Beige dévoile le nom des intervenants que vous pourrez entendre demain :
- Patrick Recipon, président de l'Université pour la Vie, qui parlera de l'engagement des les associations locales
- Jeanne qui présentera l'association la Maison de Marthe et Marie, et une Maman qui témoignera de son passage dans la colocation
- Santiago Muzio, avocat qui parlera des dernières législations en matière de fin de vie, d'objection de conscience, de délai de réflexion pour l'avortement
- Amélie D, qui témoignera de l'avortement
- Marie Quioc qui parlera du bonheur et de la particularité d'avoir une soeur ayant une trisomie
- Laure M, atteinte d'une maladie incurable qui témoignera et parlera de la fin de vie
- Paul Colrat, qui donnera une réflexion plus philosophie sur l'euthanasie, et l'accueil de la vie en général
- une infirmière et un médecin, qui donneront une tribune sur l'objection de conscience
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Marche pour la vie à Lyon : samedi 21 mars à 14h30
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Alliance VITA dénonce la suppression du délai de réflexion de l’IVG
Communiqué d'Alliance Vita :
"Cette mesure a été votée par amendement en Commission des affaires sociales durant la nuit par quelques député(e)s. Elle s’ajoute aux réformes engagées depuis des années qui visent à banaliser toujours plus un acte qui n’est pas anodin, notamment la suppression de la notion de détresse (loi du 4 août 2014 sur l’égalité entre les femmes et les hommes).
Pour Caroline Roux, coordinatrice des services d'écoute de l'association :
« Obliger les femmes à s'enfermer dans une décision précipitée, c'est méconnaître ce qu'elles vivent lors de grossesses imprévues. Beaucoup d'entre-elles nous confient envisager l'IVG à contrecœur, sous la pression d'un compagnon, ou par peur de leur employeur. Banaliser davantage un acte qui n'a rien d'anodin, ce n'est pas aider les femmes.
En prétendant simplifier toujours davantage l'accès à l'IVG, on occulte la complexité des dilemmes qui les font hésiter. On leur interdit la possibilité de trouver une solution et d'éviter un acte définitif. Une vie est en jeu, ce qui n'est tout de même pas le cas pour d'autres décisions pour lesquelles un délai de réflexion est requis par la loi. N'oublions-pas que pour une immense majorité de femmes, l'avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre. Notre société a besoin d'une véritable politique de prévention et d’accompagnement à destination de ces femmes dont la grossesse est imprévue. »
Tugdual Derville, délégué général, souligne d’autre part la provocation que constitue l’amendement visant à supprimer la clause de conscience spécifique à l’IVG :
« Cet amendement a été retiré à la demande du gouvernement, non pas pour défendre les professionnels de santé, mais uniquement pour des motifs de circonstance afin de, selon la ministre Marisol Touraine, ne pas ranimer ‘’un débat éminemment symbolique’’. En réalité, supprimer cette clause serait d’une portée considérable, car elle protège depuis 1975 non seulement les médecins, mais aussi les sages-femmes, les infirmiers et infirmières, et tous les auxiliaires médicaux. Ces professionnels n’ont pas de clause générale de conscience dans leur code de déontologie, seuls les médecins en ont une. Il faut arrêter d’avoir une approche uniquement idéologique de l’IVG et prendre en compte toutes les dimensions de cette question de société si douloureuse. »
Alliance VITA demande aux parlementaires, quand le projet de loi sera examiné en séance publique dans quelques jours, demaintenir ce délai de réflexion et de voter des mesures pour développer cette politique de prévention et d’accompagnement dont les femmes ont besoin."
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Marche pour la vie à Lyon : changement de lieu de départ !
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Directives anticipées : s'ils les avaient suivies, elle serait morte
Voilà une histoire qui remet en cause les directives anticipées telles que nos députés les ont votées hier :
"Les faits remontent à mars 2014. Jenny Bone, 39 ans, se retrouve subitement au sol après avoir chuté sans raison. Cette Britannique ne comprend pas pourquoi elle sent des picotements violents dans ses jambes. Difficilement, elle se rend chez son médecin généraliste qui lui ordonne de se rendre d‘urgence à l’hôpital, relate le Mirror. Après examen, les résultats tombent : elle est atteinte d’une rare maladie nerveuse, le syndrome de Guillain-Barré.
Hospitalisée, les effets s'aggravent. Elle est totalement paralysée et inconsciente. Les médecins la plongent alors dans un coma artificiel. Afin de pouvoir respirer, elle subit une trachéotomie (ouverture chirurgicale de la trachée). Tout pousse à croire que Jenny Bone est dans un état végétatif irréversible. C’est pourquoi le personnel médical convoque son époux de 58 ans afin de prendre une décision.
La débrancher ? John Bone refuse, alors que sa femme lui avait auparavant demandé de le faire si jamais elle se retrouvait dans un tel état. La conversation se passe dans la chambre de la malade censée être dans le coma, qui, en réalité, est tout à fait consciente de ce qu’il se passe autour d’elle. "J’entendais tout, heureusement que John ne m’a pas écouté, je l’en remercie. Comme la plupart des couples, nous en avions déjà parlé mais je suis très heureuse qu’il ne m’ait pas débranchée", confie-t-elle au Mirror.
Finalement, Jenny Bone se réveillera dix jours après. Depuis, son mari regrette d’avoir eu cette conversation avec les médecins à ses côtés : "elle se souvient mot pour mot de ce que nous nous sommes dit." En soins pendant deux mois, elle est rentrée chez elle en juin dernier. Et aujourd'hui, la quadragénaire se porte bien : elle confie au quotidien avoir repris son travail et avoir récemment participé à un marathon caritatif de 5 kilomètres."
Avec les sulfureux Claeys et Leonetti (et les 436 députés qui les approuvent), elle ne serait pas là pour raconter cette histoire.
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Marche pour la vie - Madrid 14M
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Reportage sur la loi du silence autour du traumatisme post-avortement
Une émission qui sera diffusée le 17 mars sur Arte :
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Saints Innocents
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Grande Marche Pour la Vie Lyon 21 Mars 2015 - Teaser