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avortement et euthanasie - Page 96

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite

    C'est au tour de Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice, de s'exprimer. Il est l'auteur de cet article "Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement" publié cette semaine : 

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    "Une grossesse sur 5 finit par un avortement en France, et une sur 3 en Europe!".

    Ca y est, la place Denfert-Rochereau est pleine! Et du monde arrive encore de partout..

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    L'orateur remercie les rares députés qui ont voté dernièrement contre la résolution sur l'avortement. C'est désormais Jacques Bompard qui est au micro.

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    Le cortège est désormais près, la place comble :

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    14h10: Dans une marée de ballons noirs, les premiers slogans fusent  "je suis Vincent Lambert!".

    «Je marche pour la vie de mon fils» déclare madame Lambert mère de Vincentici.

    A suivre

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page)

    Voici 10 ans que les défenseurs de la vie martèlent le pavé parisien. C'est la jeunesse de France qui demande la fin du massacre des enfants dans le sein de leur mère, la'abrogation de la loi Weil et par conséquent l'instauration de toutes les mesures nécessaires à l'accueil de la vie et à l'accompagnement en fin de vie.

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    La Marche se déroulera en toute sécurité : merci à l'ordre de  Malte !

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    Cette année, un rappel élémentaire concernant l'avortement et l'euthanasie : 

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    La tête du cortège se met en place : 

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     13h55 : première intervention. Jean-Pierre Maugendre prend la parole.

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    Jacques Bompard et Marie-Claude Bompard sont fidèlement présents.

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    Ballons noirs et boucliers verts : une nouveauté de cette année

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    A suivre

  • Les marcheurs pour la vie sur Radio courtoisie

    Demain, dimanche 25 janvier à 12h, Grégoire Boucher recevra, dans son Libre Journal de Radio courtoise, 

    • Marie Alix, porte-parole adjointe de la Marche pour la Vie
    • Jean-Marie le Méné, Président de la Fondation Lejeune, organisateur de la Marche pour la vie
    • Jean-Guilhem Xerri, Biologiste des Hôpitaux, ancien interne et diplômé de l’Institut Pasteur et de l’École supérieure de commerce de Paris, et ancien président de l’association « Aux captifs la libération », écrivain, auteur d’un ouvrage récemment sorti aux éditions du cerf : « A quoi sert un chrétien ? »
    • Le Scribe, Blogeur, artiste et veilleur - http://le-scribe.hautetfort.com

    Sujet de l’émission à la lumière de la Marche pour la Vie et de la montée de la menace islamiste en France et dans le monde :

    «Je ne suis ni Charlie ni Coulibaly, je suis un lapin, je suis Chrétien. A quoi sert un chrétien ?»

    Michel Janva

  • L'euthanasie existe depuis 40 ans : celui des enfants non-nés

    Thibaud Collin écrit dans Le Figarovox :

    "Quarante ans jour pour jour après la promulgation de la loi Veil, le Parlement s'empare de la question de «la fin de vie». Ce rapprochement pourrait paraître incongru à certains tant ces thèmes semblent poser des problèmes différents, l'un le «droit des femmes», l'autre le «droit de mourir dans la dignité». Il n'en est rien. L'euthanasie existe déjà en droit français, précisément depuis 40 ans. Certes le mot ne se trouve pas dans la loi Veil mais la chose, sans nul doute. En effet, celle-ci dépénalise l'avortement jusqu'à dix semaines mais en cas de malformations graves du fœtus l'autorise jusqu'au terme de la grossesse. Quel est l'argument justifiant une telle différence de traitement? La logique euthanasiqueIl s'agit de supprimer l'enfant pour «son bien» ; par «compassion». Comment infliger à un enfant une vie handicapée? Mieux vaut le libérer d'emblée de souffrances futures. Ainsi au commencement et au terme de la vie humaine, le même raisonnement légitime le fait de donner la mort. La mort n'est plus ce qu'il faut éviter à tout prix, la vie étant un bien à sauvegarder quelqu'en soit le coût. A la mort se substitue désormais la souffrance, physique et/ou psychique. En quoi tout cela nous révèle-t-il la manière dont notre société se représente l'homme? Et quelle vision de l'homme de telles pratiques impliquent-elles et favorisent-elles?

    Leur présupposé commun est que la vie n'est pleinement humaine que si elle est prise dans un projet lui donnant un sens. La valeur d'une vie dépend de la construction dont elle est l'objet. Il faut que le matériau à partir duquel réaliser cette œuvre soit adéquat au but recherché. Mais le matériau, quel est-il si ce n'est la personne dans son corps et ses diverses potentialités? Et à certains moments, le matériau disponible peut apparaître comme incapable de réaliser le projet de vie. Lorsque la personne subit des maux qui oblitèrent ses forces d'action et de création, la vie peut apparaître comme un fardeau insupportable et désormais insensé. Le handicap, la souffrance, la grande dépendance remettent en cause le projet de vie incapable d'assumer cette passivité envahissante. A l'aune d'un tel critère, de telles conditions de vie peuvent même sembler violer la dignité de la personne. La mort est alors envisagée comme une libération et devient l'objet d'un appel à la bienveillance d'autrui. C'est ici que se met en place le cercle des dispositions sociales influençant les mentalités et par là les attitudes, et réciproquement. (...)"

    Michel Janva

  • Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement

    Les statistiques officielles pour l’Angleterre et le pays de Galles indiquent qu’en 2005, 66 nouveau-nés ont survécu à leur avortement et ont agonisé pendant parfois plus de dix heures.

    Lorsqu’un enfant naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès.

    Tout autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un avortement. Il ne s’agit pas de ceux dont on provoque la naissance parce que la poursuite de la grossesse présente un danger majeur, mais bien de ceux qui naissent vivants accidentellement, suite à un « échec » de l’avortement. Une étude publiée en 2007 a conclu qu’environ une interruption de grossesse sur 30 après 16 semaines résultait en une naissance vivante. À 23 semaines, la proportion atteignait 9,7 %, soit presque 1 sur 10. Or, l’avortement est pratiqué sur simple demande jusqu’à 18 semaines en Suède, 24 semaines en Angleterre et aux Pays-Bas, et sans limite légale au Canada. Il est pratiqué jusqu’à la fin de la grossesse en cas de malformation en France et en Angleterre. Le seuil de viabilité fixé par l’OMS est 22 semaines.

    Lire la suite 

  • Le bilan désastreux de la loi Veil

    Julie Graziani, porte-parole de la Marche pour la vie, déclare dans Valeurs actuelles :

    "Nous attendons des pouvoirs publics qu’ils soutiennent la vie quand elle est la plus vulnérable, à ses deux extrémités, quand elle commence et quand elle s’achève. Nous voulons qu’ils développent en France une culture d’accueil de la vie. Ce n’est malheureusement pas le cas aujourd’hui.

    Quel bilan faites-vous de la loi Veil ?

    Quarante ans après l’adoption de ce texte, nous réclamons un droit d’inventaire. Cette loi promettait de réduire le nombre d’avortements ; dans la réalité, leur nombre a explosé : près de 220 000 par an. Elle promettait de libérer les femmes des grossesses imposées ; quarante ans plus tard, ce sont les avortements qui sont imposés dans 80 % des cas : souvent par leurs parents pour les mineures, ou par leur compagnon pour les majeures. Elle promettait de rendre les femmes plus heureuses ;on n’ose plus parler du syndrome postabortif, on n’ose plus reconnaître la souffrance des femmes confrontées à ces situations douloureuses.

    Le ministre a supprimé la condition de détresse posée par la loi Veil…

    Tout est fait pour augmenter le nombre d’avortements. Nous ne sommes pas du tout dans une logique de prévention ou de réduction. Marisol Touraine a l’air de confondre la femme enceinte en situation de difficulté avec une militante du Planning familial… Les médecins n’ont même plus droit à l’objection de conscience ! Ce que nous voudrions, c’est pouvoir parler de tous ces problèmes sans dogme ni tabou. Rien n’est fait pour proposer une alternative à l’avortement. Globalement, la situation des femmes ne s’est pas améliorée grâce à cette loi. Nous sommes à côté de la plaque. [...]"

    Michel Janva

  • Changement : Marche pour la vie de Denfert-Rochereau à Vauban

    Suite à la réunion avec avec la Préfecture de police aujourd'hui, le trajet prévu a été modifié :

    Trajet-bis

    Rdv-denfer-RS

    Michel Janva

  • Tous à Paris le 25 janvier pour défendre la vie !

    Communiqué de Renaissance catholique :

    "À l’occasion du vote de la loi dénaturant le mariage, Christiane Taubira avait tout à fait opportunément rappelé que la mesure proposée n’était pas anecdotique mais constituait "une réforme de société et on peut même dire une réforme de civilisation".

    À l’origine de toutes les réformes sociétales en cours se trouve le nouveau regard qu’une société sécularisée et matérialiste pose sur les plus faibles de ses membres : enfants à naître ou encore dépendants de leurs parents, malades incurables, vieillards en fin de vie, etc. L’avortement est, légalement, devenu un droit de la femme réduisant à néant le droit à la vie de l’enfant conçu et celui du père à voir vivre son enfant ; le mariage, dit pour tous, privant chaque enfant du droit d’avoir un père et une mère, a de plus ouvert la porte à la PMA et à la GPA, les débats en cours à l’Assemblée nationale sur l’euthanasie visent à faciliter l’élimination physique des malades en fin de vie car, au-delà des envolées lyriques sur "mourir dans la dignité", ce que chacun a bien en tête c’est que ce sont les six derniers mois de la vie qui sont les plus onéreux. Plus d’euthanasies c’est aussi, et surtout pour beaucoup, moins de déficit de la Sécurité Sociale. Alors que les puissants du jour s’avèrent incapables de définir ce que serait une vie digne d’être vécue ou indigne d’être prolongée, notre foi nous donne une réponse à la fois simple et lumineuse. La dignité de la personne humaine s’enracine dans sa création à l’image et à la ressemblance de Dieu. Dotée d’une âme spirituelle et immortelle, d’intelligence et de volonté libre, la personne humaine est ordonnée à Dieu et appelée, en son âme et en son corps, à la béatitude éternelle. Même les corps les plus meurtris restent les réceptacles matériels de cette dignité et ont droit à toute l’attention et aux soins qu’exigent des temples du Saint-Esprit. Que notre société laïcisée soit devenue incapable de comprendre un tel langage est sans doute un cruel, mais réaliste, constat. Il n’est cependant pas interdit de penser que notre civilisation a trop été marquée par le christianisme pour ne pas accepter de s’interroger sur le fait que la valeur d’une société se mesure sans doute, en définitive, à la place qu’elle accorde aux plus faibles de ses membres.

    C’est à un enjeu de civilisation que nous sommes conviés par le collectif " En marche pour la vie ", le dimanche 25 janvier à 13h30 place Denfert-Rochereau jusqu’à la Place Vauban (lieu changé ce soir pour raisons de sécurité). Dans ce combat eschatologique pour la défense de la vie humaine innocente de la conception à la mort naturelle la protestation grave voire meurtrie ainsi que la prière de réparation et de demande ont toute leur place.

    Cette démarche se concrétisera dans la veillée de prières pour la défense de la vie le samedi 24 janvier en l’église Saint-François-Xavier (place du Président-Mithouard 75007 Paris, M° Saint-François-Xavier) de 20 h 30 à 21 h 45 et le chapelet médité en fin de cortège avec SOS Tout-Petits le 25 janvier. Nous y serons !

    Michel Janva

  • Ludovine de La Rochère sera à la Marche pour la vie

    Le Salon Beige a interrogé Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif pour Tous.

    La Marche pour la Vie a lieu ce 25 janvier. Ludovine de La Rochère, participerez-vous à la Marche pour la Vie ?

    Ludo par Michel PournyOui, dimanche 25 janvier, je participerai à cette manifestation, en marcheur parmi les marcheurs. La vie est en effet l’essence même de la famille, lieu de solidarité par excellence avec tous ceux qui dépendent des autres – enfants, handicapés, malades, personnes âgées…

    Le combat que je mène avec La Manif Pour Tous semble à certains distinct de celui du respect de la vie. Il concerne en effet notre humanité homme/femme, avec tout ce qu’elle implique pour la personne, pour le couple et donc pour la famille.Mais, précisément, la dignité ineffable de l’être humain impose de respecter celui-ci dans son identité masculine ou féminine comme de le respecter dès le début de sa vie et jusqu’à sa fin naturelleAinsi, ce sont des combats complémentaires, en quelque sorte les différentes faces du même cube !

    Les conséquences de notre humanité homme/femme sont immenses pour chacun de nous et pour la société toute entière, en commençant par l’enfant, né d’un père et d’une mère, irremplaçables pour lui et non interchangeables, mais que certains voudraient lui retirer sans voir que deux femmes ne remplaceront jamais un père et que deux hommes ne remplaceront jamais une mère. Ce déni de la différence et donc de la complémentarité homme/femme – ce qu’on appelle l’idéologie du genre - conduit d’ores et déjà à l’utilisation de la femme et à la marchandisation de l’enfant. Et là, vous le voyez, les techniques utilisées (PMA et GPA) nous ramènent aussi à la question du respect de la vie.

    Le 25 janvier, j’exprimerai mon refus ferme et déterminé de la dérive mortifère actuelle. Car nous sommes confrontés à des dirigeants et à une culture qui promeuvent la mort : en faisant croire qu’il y aurait un « droit à l’avortement » en lieu et place d’un « droit à la vie » et en faisant croire qu’il pourrait y avoir un « droit à mourir », comme si les soins palliatifs n’étaient pas la meilleure et seule manière d’accompagner nos proches et nos patients, en leur montrant que nous faisons tout pour les soulager et pour les accompagner jusqu’à leur dernier souffle. C’est pourquoi je soutiens bien-sûr aussi le collectif Soulager mais pas tuer.

    Aimer nos proches et le leur montrer, respecter toute personne : voilà les seuls fondements possible pour la société car le sens de la Civilisation c’est de protéger le plus faible du plus fort et de créer les conditions qui permettent de vivre ensemble en paix."

    Michel Janva

  • La mère de Vincent Lambert ouvrira la Marche pour la vie

    Communiqué de La Marche pour la vie :

    "A l'heure où le débat sur la fin de vie s'ouvre à l'Assemblée Nationale à l'initiative du Président de la République François Hollande, la Marche pour la Vie entend dénoncer la menace qui pèse sur les plus vulnérables (personnes âgées, malades et handicapées) : la légalisation de gestes euthanasiques.

    Préoccupée par le destin du jeune Vincent Lambert dont la vie dépend d'une décision de la CEDH, la Marche s'ouvrira avec Madame Viviane Lambert, mère de Vincent, Maitre Jérôme Triomphe, avocat de ses parents, Professeur Xavier Ducrocq, neurologue, membre du comité d'experts qui a examiné Vincent Lambert.

    Cette présence de proches de Vincent Lambert vise à rappeller à la conscience collective la valeur de la vie humaine et l'urgence de la protéger d'une culture de mort. C'est pourquoi, la grande mobilisation nationale Marche pour la Vie appelle les citoyens à manifester ce dimanche 25 janvier à 13h30 place de la Bastille."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html