Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 1106

  • EUROPA - Robert Steuckers

    EUROPA - Robert Steuckers
    RS-trilogieWcAAzQ7n.jpg
  • Alexandre Douguine: « Nous n'avons jamais été aussi proche d'une 3ème guerre mondiale »

    Comme nous l’avons déjà dit à plusieurs reprises, l’aspect principal de cette saison politique ne réside pas pas dans les élections, mais dans la guerre. Mais si les élections ont une importance quelque part, cela ne peut être qu’aux États-Unis où, encore une fois, elles sont étroitement liées à la guerre. Il y a deux jours, le samedi 17, Septembre, la probabilité de cette guerre a grimpé de manière vertigineuse. Comme nous le savons, les troupes américaines, qui n’ont jamais été invitées en Syrie, ont bombardé les positions de l’armée syrienne à Deir ez-Zor. À la suite de l'attaque, au moins 60 soldats syriens ont été tués.

    Cette frappe était extrêmement importante pour les terroristes de l'Etat Islamique, que les États-Unis conseillent et arment de façon officieuse tout en prétendant les combattre. Ceci constitue le franchissement d’une ligne rouge. Bombarder les soldats syriens est une chose, mais cela signifie non seulement une déclaration de guerre contre la Syrie, mais aussi contre la Russie, qui se bat en Syrie du côté du gouvernement syrien légitime d’Assad. Et cela signifie aussi que nous avons atteint un point culminant.
    Bien sûr, le leadership américain a immédiatement signalé que le raid aérien était une erreur et a mis en garde les dirigeants russes afin qu'il n’expriment aucune émotion. Mais les Américains ne peuvent que mentir sur ce point, car la technologie moderne permet aux satellites de voir des objets à partir d’un ordinateur de bureau. Théoriquement, les bombardiers américains ne pouvaient pas se tromper de cibles. Et le plus important est que : si l’on vous avait dit qu’ils se préparaient à vous bombarder, et que vous n’avez dit rien, est-ce que cela veut dire que vous êtes d’accord?
    Il est tout à fait évident que les États-Unis se préparent à lancer une guerre contre la Russie. Les incidents frontaliers représentent des opérations de reconnaissance. Mais comment Moscou, Poutine, et le Kremlin réagiront-ils? Le point de non-retour n’a pas encore été franchi, mais la réaction de Moscou ne  montre-t-elle pas à quel point les russes sont prêts pour une confrontation frontale directe avec les États-Unis et avec l’OTAN?  C’est pour cette raison que l’attaque aérienne a été lancée contre les positions de l’armée syrienne.
    Le leadership globaliste américain ne peut évidemment pas gouverner le monde entier. De plus, Trump représente pour eux une menace pour leur contrôle sur l’Amérique elle-même. Le fait que la marionnette Barak Obama soit toujours en fonction et que la candidate globaliste Hillary Clinton s’effondre à vue d’œil devant les électeurs américains, représente la dernière chance de commencer une guerre. Cela leur permettrait de reporter les élections ou de forcer Trump, s’il devait gagner, à commencer sa présidence dans des conditions catastrophiques. C'est pourquoi, les élites (néo-conservateurs, globalistes) américaines ont besoin de la guerre. Et vite, avant qu’il ne soit trop tard. Si Trump obtient la Maison Blanche, il y aura la paix, et il n’y aura pas une telle guerre, ou du moins pas dans un avenir proche. Et cela signifierait la fin de l’omnipotence des élites maniaques mondialistes.
    Ainsi, sommes arrivé à un stade très, très grave. Les idéologues de l’OTAN et les globalistes américains, tombant dans l’abîme, ont besoin d'une guerre en ce moment, avant les élections américaines. Une Guerre contre nous (ndt: les russes). Pas tellement pour la victoire, mais pour le  processus lui-même. Ceci est la seule façon pour eux de prolonger leur domination en détournant l’attention des américains et du monde entier de leur interminable série d’échecs et de crimes. Le jeu des globalistes a été révélé. Bientôt, ils vont devoir se retirer du pouvoir et comparaître devant les tribunaux. Seule la guerre peut sauver la situation.
    Mais qu’en est-il de nous? Nous n'avons pas besoin d'une guerre. Ni maintenant, ni demain, jamais. Jamais dans l’histoire nous n'avons eu besoin de la guerre. Mais nous avons constamment combattu et, en fait, nous n’avons presque jamais perdu. Le coût des guerres qui nous ont été imposées a été terrible et nos efforts ont été colossaux, mais nous avons gagné. Et nous allons toujours gagner. Si ce n’était pas le cas, alors aujourd’hui nous n’aurions pas un pays tellement immense et sans aucun contrôle étranger.
    Mais dans ce cas, nous avons besoin de gagner autant de temps que possible. Les Américains ont essentiellement attaqué nos positions, comme les Géorgiens à Tskhinvali en Août 2008. Les Russes sont sous le feu ennemi et cela ne peut être ignoré. Notre réaction est extrêmement prudente et équilibrée. Nous avons exprimé ce que nous pensons de cet acte d’agression américaine, mais en des termes très délibérées.
    La fatalité de la situation réside dans le fait que, si Washington décide d’opter pour la guerre maintenant, alors nous ne pouvons pas l’éviter. Si Washington insiste et répète encore et encore la situation du 17 Septembre, alors nous devrons relever le défi et partir en guerre, ou admettre sciemment notre défaite.
    Dans cette situation, le résultat de la lutte pour la paix qui est, comme toujours, pleinement dans notre intérêt, ne dépend pas de nous. Nous avons vraiment besoin de la paix, pour gagner du temps jusqu’au 8 Novembre, et alors tout sera beaucoup plus facile. Mais est-ce que l’effondrement du colosse va nous permettre de gagner ce temps?
    Dans tous les cas, notre objectif est toujours et seulement la victoire. Notre victoire.
    Les Américains bombardent nos gars. Une troisième guerre mondiale n’a jamais été aussi proche.
    Source: Katehon (Alexander Dougine, politologue russe)video en Français ici :https://gaideclin.blogspot.fr/2016/09/lanalyse-de-douguine-la-troisieme.html
    Traduction: Fawkes News
  • Dimanche dernier, à Rungis, Marc Rousset présentait son nouveau livre : "Adieu l'argent-roi ! Place aux héros européens !"

    Titre et dessin couverture du livre.jpgAprès son livre "La nouvelle Europe, Paris-Berlin-Moscou" sorti en 2010, l'auteur se livre ici à un vraie critique de la civilisation de l'argent et nous fait une apologie de l'héroïsme
    Cet ouvrage est la suite, à un siècle de distance, de « Händler und Helden » (Commerçants et Héros) écrit à Leipzig en 1915, mais jamais traduit en français, par le sociologue allemand Werner Sombart, à la lumière des réflexions sur l’héroïsme grec du regretté Dominique Venner.
    L’héroïsme n’est plus une valeur directrice dans l’imaginaire européen alors que pendant quinze siècles, la pire des choses en Europe était de « préférer la vie à l’honneur et pour garder la vie de perdre la raison de vivre ». Nous vivons l’époque de la civilisation individualiste de l’argent, de la civilisation hédoniste matérialiste sans idéal, sans âme, sans courage, sans héroïsme.

    Selon le philosophe allemand Peter Sloterdijk, la France, comme la plupart des autres pays européens a cru bon après Mai 1968 de « sortir de l’héroïsme par le consumérisme ». Aujourd’hui la seule discrimination tolérée entre les hommes est celle de l’argent. Toutes les autres formes de discrimination nationale, ethnique, religieuse, culturelle sont devenues illégitimes.
    Le carriérisme sans âme et la consommation matérialiste effrénée en guise de bonheur ont remplacé dans l’esprit de nos contemporains l’idéal, la vocation, le sens de la transcendance, du sacré, le courage, le goût de l’effort, du dépassement, du don de soi, de donner un sens plus élevé à son existence
    L’homme ne peut accepter de donner sa vie que pour sa famille, une collectivité, une nation, une culture, une civilisation, une foi, une croyance. On ne meurt pas pour une société individualiste et matérialiste qui n’a rien d’autre à offrir à sa jeunesse que le sexe et l’argent.

    L’esprit est plus fort que la matière : c’est parce qu’elle l’a oublié que la civilisation européenne est sur le déclin. L’Europe du XXIe siècle retrouvera son âme ou disparaitra. Pour y parvenir et permettre le renouveau de la civilisation européenne, un seul moyen : une révolution conservatrice des mentalités, des valeurs et de l’éducation.
    Tout au long du XXe siècle, les Européens n’ont cessé de répéter aux Américains que l’argent n’était pas tout. C’est maintenant au Vieux Continent de retrouver ses valeurs structurantes fondamentales et de mettre son ancien conseil en pratique.

    Selon Antoine de Saint Exupéry « Le bonheur est une récompense et non un but ». Etre heureux ne signifie pas être riche et posséder. Ce n’est pas l’argent, mais le sens que l’on donne à sa vie qui rend heureux.
    Un livre de référence sur l’antinomie argent/héroïsme encore plus important à l’heure du terrorisme islamiste !

    Marc Rousset, diplômé H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, MBA Columbia University, AMP Harvard Business School, a occupé pendant 20 ans des fonctions de Directeur Général dans des groupes multinationaux. Marc Rousset collabore régulièrement à la revue Synthèse nationale.

    "Adieu l’Argent-roi! Place aux Héros européens !" Critique de la civilisation de l’Argent et Apologie de l’héroïsme, Editions Godefroy de Bouillon, septembre 2016, 500 pages, 37 euros.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • [Annonce de Vexilla Galliae ] Quand on se bat pour ses idées, …

    annonce2.jpg

    Chers amis,

    Vexilla Galliae existe depuis maintenant quatre ans, et c’est aujourd’hui une équipe de plus de 30 personnes qui contribue à la visibilité et au rayonnement du principe que nous défendons tous et de l’homme qui incarne ce principe, le prince Louis de Bourbon.

    Vous aussi, vous pouvez participer au combat que nous menons. Oui, vous pouvez vous lever, résister et combattre avec nous en participant au développement de Vexilla Galliae.

    Rejoignez notre équipe ! Nous recherchons :

    -         1 correcteur,

    -         1 posteur,

    -         1 maquettiste, graphiste,

    -         1 caricaturiste.

    Intégrez l’équipe Vexilla Galliae en devenant aussi chroniqueur !  

    Vous aimez rebondir sur l’actualité ?  Vous avez du talent ? Un domaine d’expertise ?

    Ça vous dit d'essayer ?

    Vous pouvez être publié. Vexilla Galliae est toujours preneur de bons papiers.

    Contactez-moi en me communiquant votre adresse courriel et téléphone. Je vous informerai de nos conditions et conseils pour la publication de vos articles.

    Et surtout, vive le roi !

    Dominique Hamel

    Directeur de publication
    d.hamel@vexilla-galliae.fr

    Vexilla Galliae : Qui sommes-nous ?

    annonce3.png

    http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/vie-des-royalistes/2180-annonce-quand-on-se-bat-pour-ses-idees

  • Contre l’école du "genre" : tous à Paris le 16 octobre !

    Communiqué des Enseignants pour l'enfance :

    6a00d83451619c69e201b7c89c7508970b-200wi.png"La polémique sur la présence de l’idéologie du genre à l’école française a mis chacun face à ses responsabilités. A ce titre, les « Enseignants pour l’Enfance » affirment, en dépit des réfutations de Madame Vallaud-Belkacem, que cette doctrine est présente à tous les niveaux de l’institution scolaire.

    Des ressources en ligne, à la disposition des enseignants, proposent des documents qui au nom de la déconstruction des stéréotypes incitent à la mise en question des identités. Des sites ouverts aux élèves offrent des supports fictionnels qui relèvent de la même démarche. Des syndicats enseignants proposent sur le sujet une prose éloquente. Des associations luttant contre l’ « homophobie » et la « transphobie » s’appuient sur le concept de genre pour entrer dans les établissements scolaires. La formation universitaire enfin, adressée à tous les étudiants et donc à de futurs enseignants, intègre ce paramètre dans certains modules. La présence du genre à l’école est donc incontestable, globale et permise par la passivité d’une institution complice.

    Or cette doctrine, qui se refuse elle-même le nom de théorie, n’a rien de scientifique et ne relève que de la conviction individuelle. A ce titre, le genre est contraire à l’article 11 de la « Charte de la laïcité » qui stipule que « les personnels ont un devoir de stricte neutralité » à l’école. De même, l’imposition de ce point de vue à de jeunes personnes est une entrave à la responsabilité des parents qui sont les premiers éducateurs de leurs enfants.

    Pour toutes ces raisons, les « Enseignants pour l’Enfance » appellent les professeurs, les parents et les étudiants à rejoindrela grande manifestation qui aura lieu à Paris, le 16 octobre 2016. Nous refusons l’éducation au genre et demandons l’abrogation de la loi Taubira, qui en est la caution institutionnelle. Nous ne voulons pas être les agents d’une propagande imposée. L’école ne peut devenir le lieu des idéologies inculquées. Les enfants ne sauraient être les cibles d’un endoctrinement institué.

    Cette école du genre ne sera jamais notre genre d’école. Nous réclamons la transparence d’un Ministère qui doit être capable de dire ce qu’il fait comme de faire ce qu’il dit. Oui aux partage des responsabilités, confiant aux parents l’éducation, aux maîtres l’instruction. Oui à une école du savoir, de la confiance et de l’exigence. Oui à une école au service des enfants. Oui à l’école des familles !"

    Michel Janva

  • DEMAIN, samedi 8 octobre 2016, colloque du Réveil français :

    Le Réveil français, groupe de réflexion stratégique, organise son colloque annuel : « Culture de l’économie, économie de la culture », le samedi 8 octobre 2016. Présentation…

    Olivier Dejouy : « Il faut retrouver le fil d’Ariane entre économie et culture »

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Samedi-8-octobre-2016-colloque-du

  • Sortie à l'occasion de la Xe Journée de Synthèse nationale, "Confrontation", la nouvelle revue qui fait face à l'islamisation

    CONF N 1 Couv 1.jpg

    Une revue destinée à ceux qui refusent la soumission à l'islam !

    Le choix est simple : soit l'idéologie mondialiste qui préconise la des­truction des nations et des identités l'emporte, et le sort de notre civilisation sera définitivement réglé ; soit un les peuples européens retrouvent une véritable conscience ethnique et tous les espoirs seront à nouveau permis.

    Pour faciliter son funeste projet, l'hyper classe aux affaires n'a pas hé­sité à encourager les grands brassages de populations. L'arrivée massive sur notre sol de gens aux cultures et aux traditions très différentes des nôtres ne pouvait pas se passer sans problème. Il était évident que l'immi­gration allait, un jour ou l'autre, engendrer l'islamisation.

    L'islam, ne l'oublions pas, n'est pas une simple religion comme les au­tres comme voudrait nous le faire croire les media aux ordres. L'islam est une civilisation qui a vocation à s'étendre sur l'ensemble de la planète et à soumettre les autres à sa dévotion. Or, cela, nous ne pouvons pas l'ac­cepter. Voilà pourquoi nous préconisons la confrontation.

    Pour mener à bien le combat contre l'islamisation de notre pays, Syn­thèse nationale a décidé de proposer aux Français lucides cette nouvelle revue qui s'appelle justement Confrontation. Trop souvent nos compatrio­tes se sentent désarmés face à un tel danger. Certes, de nombreux foyers d'opposition s'organisent à travers la France mais ceux-ci manquent cruel­lement de références pour se battre.

    A chacune de ses livraisons (trimestrielles) Confrontation développera des axes de réflexions sur l'islam, des reportages sur les dégâts occasion­nés ici et là par ses thuriféraires, des méthodes d'actions concrètes pour ceux qui ne veulent pas se laisser réduire à la soumission.

    Confrontation a besoin de votre soutien pour amplifier son audience. Nous savons que nous pouvons compter sur vous comme vous pouvez compter sur nous.

    Au sommaire :

    Page 3 : Faire face ! Éditorial de Jean-François Touzé

    Page 6 : L'été du burkini.

    Page 8 : Non, décidément non, le coran ne passe pas... Maurice Bernard

    Page 23 : "On combat moins les organisations que les idées". Un entretien avec Roland Lombardi

    Page 33 : Gauche, extrême gauche : la stratégie de la tension. Olivier Golusz

    Page 42 : "Les islamistes représentent la moitié des musulmans. Pas seulement quelques %". Un entretien avec Philippe Herlin

    Page 47 : Faire face à la terreur islamique. José Castano

    Page 53 : un entretien exclusif avec Renaud Camus.

    Page 67 : Les trois singes de la droite française. Jean Yves Léandri

    Page 73 : La résilience des Français : un mythe ! Alexeï

    Page 80 : La chronique Bernard Atlan.

    Page 83 : Paroles de sages : petit florilège sur une religion de paix.

    Page 89 : Au fil des pages... Agnès Claude

    La commander en ligne cliquez ici

    S'abonner en ligne cliquez là

    Bulletin de commande et d'abonnement cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La presse de gauche n’aime pas les Gaulois et l’identité nationale

     

    Pour la presse de gauche, le discours du FN imprègne la campagne pour la primaire de la droite.

    L’Humanité dénonce ainsi l’utilisation du thème de l’identité nationale: «A droite, Marianne (est) défigurée (par les) Républicains», accuse le journal, en évoquant leur «vilaine manie d’aller manger dans la gamelle de l’extrême droite». Un propos semblable à celui qu’on retrouve dans Libération, qui a convié une vingtaine d’historiens à investir ses colonnes, à l’occasion des Rendez-vous de l’Histoire à Blois, et qui estime que «refaire l’histoire (est une) idée fixe de la droite». Pour Libération, «des Gaulois aux programmes scolaires, l’utilisation d’un passé mythifié et revisité à des fins politiques» serait devenue «un outil de campagne» du parti Les Républicains – allusion à la sortie de Nicolas Sarkozy, qu’on retrouve à la Une, dessiné par Mathieu Sapin, sous les traits d’Astérix, en compagnie du polémiste Eric Zemmour, alias Idéfix.

    Pour l’Opinion, l’ex-président/Astérix s’apprête à boire la potion magique du druide Panoramix dans le dessin de Kak. D’après le journal, Nicolas Sarkozy, en quête d’un «second souffle», chercherait à montrer qu’il «continue de mobiliser le peuple de droite sur le terrain».

    http://fr.novopress.info/