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culture et histoire - Page 1120

  • Le Vicomte de Bonald et la Tradition bafouée

    Ex: http://www.dedefensa.org

    Le vicomte de Bonald est certainement plus que Maurras le fondateur de la révolution conservatrice en France, le théoricien de la restauration intelligente. Point compromis par les excès verbaux du journalisme, il n’a pas non plus le fondamentalisme un peu vain de Joseph de Maistre, beaucoup plus à la mode. Il lui a manqué sans doute un vulgarisateur reconnu pour déplier les recoins de sa vaste et encyclopédique pensée, et en dérouler les fils de la subtile simplicité.,archive.org m’a permis de lire ou de relire les dix-sept volumes de ses œuvres complètes. Je me contente de donner à mes lecteurs un avant-goût de son style et de son esprit car ce théoricien présumé obscur et peu frondeur est un régal pour les sens et la sensibilité. J’en laisse juges mes lecteurs en les invitant à partager les réflexions de ce grand esprit toujours ignoré et jamais oublié.

    Et pour écrire comme Céline, je lui trouve un succulent génie libertarien pour le coup moi au vicomte. Mécanisation, bureaucratie, fiscalité, sans oublier les beaux esprits. Futur et Fin de ce monde.

    Voyez cette première phrase qui résume en deux lignes de concision efficiente toute l’entropie de ce monde dit moderne :

    380891315.jpg« En France, on a substitué moralité à morale, en Allemagne, religiosité à religion; partout, honnêteté à vertu. C’est à peu près la même chose que le crédit substitué à la propriété. »

    « ... Ceci nous ramène à la constitution de l’Angleterre, où il n’y a pas de corps de noblesse destinée à servir le pouvoir, mais un patriciat destiné à l’exercer. »

    « Que s’est-il donc passé dans la société, qu’on ne puisse plus faire aller qu’à force de bras une machine démontée qui allait autrefois toute seule, sans bruit et sans effort ? »

    « Ils deviennent crédules en cessant d’être croyants, comme ils deviennent esclaves dès qu’ils cessent d’être sujets. »

    « Il y a des hommes qui, par leurs sentiments, appartiennent au temps passé, et par leurs pensées à l’avenir. Ceux-là trouvent difficilement leur place dans le présent. »

    « J’aime, dans un Etat, une constitution qui se soutienne toute seule, et qu’il ne faille pas toujours défendre et toujours conserver. »

    « La société finit, elle n’a plus d’avenir à attendre, parce qu’elle n’a plus de passé à rappeler, et que l’avenir ne doit être que la combinaison du passé et du présent. »

    « Rome : quand la démocratie eut pris le dessus, cette société chercha un chef, comme elles le cherchent toutes, et ne rencontra que des tyrans. Ce peuple, admirable dans ses premiers temps, fait pitié sous ses tribuns, horreur sous ses triumvirs, et, soumis à ses empereurs, n’excite plus que mépris et dégoût. »

    « Le tutoiement s’est retranché dans la famille ; et après avoir tutoyé tout le monde, on ne tutoie plus que ses père et mère. Cet usage met toute la maison à l’aise : il dispense les parents d’autorité et les enfants de respect. »

    « L’Etat qui prend trop sur les hommes et les propriétés de la famille, est un dissipateur qui dévore ses capitaux. »

    « Je crois qu’il ne faudrait pas aujourd’hui d’impôt foncier chez un peuple agricole, mais seulement des impôts indirects. L’Etat qui impose la terre, prend sur son capital ; quand il impose les consommations, il vit de son revenu. »

    « Partout où il y a beaucoup de machines pour remplacer les hommes, il y aura beaucoup d’hommes qui ne seront que des machines. »

    « La disposition à inventer des machines qui exécutent le plus de travail possible avec le moins de dépense d’intelligence de la part de l’ouvrier, s’est étendue aux choses morales. »

    « Le juge lui-même, au criminel, est une machine qui ouvre un livre, et marque du doigt la même peine pour des crimes souvent fort inégaux ; et les bureaux ne sont aussi que des machines d’administration. »

    « L’école de Bonaparte a pu former quelques administrateurs, mais elle ne pouvait pas faire des hommes d’Etat. »

    « Bonaparte avait été obligé d’employer une force excessive dans son administration, parce qu’il n’y en avait aucune dans sa constitution. »

    « Les sauvages ne détruiront que la récolte d’une année, les beaux esprits m’enlèvent la propriété même du fonds. Les uns insultent mon cadavre, les autres poursuivent ma mémoire ; je ne vois de progrès que dans les moyens de nuire, et le plus sauvage est celui qui fait le plus de mal. »

    « Toute la science de la politique se réduit aujourd’hui à la statistique : c’est le triomphe et le chef-d’oeuvre du petit esprit. On sait au juste (et j’en ai vu faire la question officielle) combien dans un pays les poules font d’oeufs, et l’on connaît à fonds la matière imposable. Ce qu’on connaît le moins sont les hommes ; et ce qu’on a tout à fait perdu de vue, sont les principes qui fondent et maintiennent les sociétés. »

    « L’art de l’administration a tué la science du gouvernement. »

    2497942298.png« Les philosophes qui se sont élevés avec tant d’amertume contre ce qu’ils ont appelé des préjugés, auraient dû commencer par se défaire de la langue elle-même dans laquelle ils écrivaient ; car elle est le premier de nos préjugés, et il renferme tous les autres. »

    « Ce n’est pas le peuple occupé qui réclame la souveraineté, c’est le peuple oisif qui veut faire le peuple occupé souverain malgré lui, pour gouverner sous son nom et vivre à ses dépens. »

    « Dans le dernier âge, où les intérêts sont plus compliqués, les passions plus artificieuses et les esprits plus raffinés, le crime est un art et presque une profession, et la fonction de le découvrir et de le juger doit être une étude. »

    « Toute passion qui n’est pas celle de l’argent des honneurs ou des plaisirs, s’appelle aujourd’hui fanatisme et exagération. »

    « L’excès des impôts transporte chez les peuples chrétiens l’esclavage tel qu’il existait chez les anciens ; car l’esclavage n’est, à le bien prendre, que le travail fait tout entier au profit d’un autre. »

    « Les petits talents comme les petites tailles se haussent pour paraître grands ; ils sont taquins et susceptibles, et craignent toujours de n’être pas aperçus. »

    Nicolas Bonnal

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/09/16/le-vicomte-de-bonald-et-la-tradition-bafouee.html

  • Conférence d’Alain Soral et Alain Escada à Lille ce dimanche

    L’équipe d’E&R Nord-Pas-de-Calais recevra Alain Soral, président d’Égalité & Réconciliation, et Alain Escada, président de l’institut Civitas, le dimanche 18 septembre 2016 à 15h à Lille pour une conférence sur le thème de l’enracinement.
    Entrée : 10 euros. 

    http://www.altermedia.info/france-belgique/
  • Rentrée scolaire : « la » Ministre est contente. D'elle ...

    Avez-vous écouté la conférence de rentrée de notre Ministre de la (dés) Education nationale ?  Morceau bien préparé de « désinformation incantatoire » - pour reprendre l'expression juste employée par SOS-Education, elle s'est félicitée de l’achèvement de sa soi-disant « refondation de l’école ».

    La réalité, évidemment, est toute autre.

    Les horaires de mathématiques et de français ont été rabotés, au profit d’un fatras pédagogiste interdisciplinaire, et cela nous est annoncé comme « un renforcement des enseignements disciplinaires » ! ...

    Le CAPES (Certificat d'Aptitude au professorat du Second degré) n'attire plus assez de jeunes, le « plus beau métier du monde » étant très largement dévalorisé aux yeux des élèves comme des parents, et du public en général.  Pourtant, dans certaines Académies, on l'a bradé à 7/20, et même à 4/20, certaines copies de philo « se disqualifiant d'elles-mêmes, dit un rapport digne de foi, hélas. Qu'à cela ne tienne : « la » Ministre a réponse à tout, et elle a appelé ce double naufrage « une inédite appétence des enseignants à aller enseigner dans les endroits considérés comme les plus difficiles ».Comme dirait Molière : « Ah ! Qu'en termes galants ces choses-là sont dites ! »

    D'ailleurs, pour « la » Ministre, tout va forcément bien puisque, assène-t-elle, « le monde d'hier (c'était) le monde de l'injustice et de l'indécence ».

    On ne parlait pas différemment dans la patrie des Soviets, au temps du « génial petit père des peuples », ou dans l'Allemagne qui promettait « le Reich pour mille ans ».

    Et dire que, ce « discours », c'est celui de la personne en charge de ... l'instruction des enfants !  

    « Un rapport digne de foi »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LOUIS XVI : L’enfer des bonnes intentions

    Deux cent dix-huit ans après sa mort, Louis XVI demeure présent dans nos mémoires. Les interrogations persistent : comment un roi vertueux et "bienfaisant" a-t-il pu perdre la monarchie ? Éléments de réponse…

    Aujourd'hui regardée comme un fait divers, minime comparé aux scandales à répétition de la république, l'Affaire du collier prit, en 1785, une dimension qui dépassait, de loin, celle d'une banale escroquerie. Elle constitua la vengeance de parlementaires qui, rappelés par Louis XVI en 1774, - erreur fatale... -, le détestaient de ne pas se plier à leurs exigences, quand ils se posaient, sans droits, en défenseurs du peuple et des libertés. Les ressorts de ce désastre, cependant, demeurent curieusement obscurs, comme le souligne Évelyne Lever.

    Rohan était-il un parfait pigeon ?

    Certes, chacun en connaît les grandes lignes : une parure de diamants d'un million six cents mille livres, œuvre des joailliers Böhmer et Bassenge, conçue dans l'espoir de séduire la reine, procédé courant parmi les artisans du luxe, lui parut trop chère ; elle la refusa. Un an plus tard, Böhmer se représentait, réclamant son argent, prétendant lui avoir vendu le bijou par l'intermédiaire du cardinal de Rohan, grand aumônier de France. Or, de notoriété publique, la reine haïssait le cardinal...

    Depuis, deux versions s'affrontent : la reine ignorait tout et Rohan, parfait pigeon, avait été dupe d'un couple de malfrats ; Marie-Antoinette, qui n'en était pas à sa première imprudence, avait pu s'acoquiner avec le cardinal et Mme de La Motte, comptant éponger ses dettes. Thèses pareillement insatisfaisantes, Rohan n'étant pas aussi stupide qu'on le prétendît, et la police ayant tardé à interpeller Mme de La Motte, qui ne sut pas en profiter, comme si on redoutait ses révélations. Son évasion en 1787 renforça les soupçons.

    Évelyne Lever ne tranche pas. Quoique spécialiste de Marie-Antoinette, elle ne l'estime guère, et il lui manque le sens de la mystique royale qui interdit de soupçonner la reine, si frivole fût-elle alors, de certains actes et certaines pensées. Peut-être faudrait-il poser d'autres questions : quel rôle joua Cagliostro, charlatan et maçon de haut rang ? L'Angleterre, qui accueillit Mme de La Motte et diffusa ses libelles ? Les parlementaires "éclairés", jubilant de traîner dans la boue l'Église et le Roi ? Ce qui apparaît, c'est le poids d'une opinion prête à croire aux horreurs concernant la reine, d'une justice qui fit le procès de Marie-Antoinette, des forces conjurées pour saper l‘édifice capétien. Et l'insigne, la désespérante maladresse du roi dont l'autorité malvenue fut ici plus tragique que la faiblesse.

    L'achat du collier eût été sans conséquence ; Louis XVI l'avait proposé à sa femme, qu‘il préférait occupée de coquetterie plutôt que de politique. Ce choix explique l'importance conférée à Mlle Bertin. On a vu en Marie-Jeanne Bertin, dite Rose, Abbevilloise établie marchande de modes à Paris, l'inventrice de la haute couture française. Il suffit pour assurer sa fortune et sa gloire d'une robe de mariée confectionnée pour Mlle de Penthièvre qui épousait le duc de Chartres. Toute la cour, la reine la première, ne jura plus que par elle ; sa boutique du Palais Royal, le Grand Moghol, fut bientôt plus courue que les monuments de la capitale.

    Haute couture

    Le génie de Bertin fut de faire bouger la mode, non chaque saison, mais chaque semaine, obligeant sa clientèle à suivre, quitte à se ruiner. Si l'on considère le nombre d'artisans et producteurs que ce commerce de luxe faisait vivre, la nécessité de représentation de la Cour, ces achats somptuaires n'étaient évidemment pas dénués d'utilité. Là où Mlle Bertin s'avéra dangereuse, c'est, contre toute attente, en participant au besoin de changement ambiant. Marie-Antoinette voulait en finir avec les robes à la française, monuments de splendeur et gêne intolérable pour celles qui les portaient. Bertin fit des vêtements faciles à vivre, élégants, mais qui ramenaient la Reine au rang du commun des mortelles. Marie-Antoinette lui accorda des attentions qu'elle refusait à de très grandes dames, dont la fureur se déchaîna en attaques sordides. Ces bagatelles pesèrent plus lourds que les mémoires de la couturière dans le discrédit jeté sur la souveraine. Michelle Sapori offre la première biographie de cette femme d'affaires avisée, à la clientèle internationale, au talent remarquable, bizarrement oubliée des historiens. Un peu de légèreté dans le propos eût toutefois rendu le livre plus plaisant.

    Étrange folie

    Ce ne sont pas les chiffons de la reine, ni ses bijoux, ni Trianon et Fontainebleau qui creusèrent le déficit de l‘État, insignifiant comparé au nôtre, mais la guerre d'Amérique. Pourtant, c'est sur ces détails que focalisa la malveillance publique, sur eux que se concentrent les reproches de Malesherbes dans ses Mémoires au Roi. On eût voulu sacrifier les grandes écuries et voir le souverain courir la poste... Malesherbes était trop intelligent pour croire que ces économies-là éviteraient la banqueroute. Il avait compris, en revanche, qu'il fallait satisfaire le monstre de l'opinion en semblant céder à ses caprices. Publiés pour la première fois, ces Avertissements de Cassandre vinrent trop tard, couronnant l'extraordinaire aveuglement d'un magistrat intègre, d'une loyauté à son roi si parfaite qu'elle le conduisit avec les siens à l'échafaud. À le lire, on mesure l'étrange folie de ces parlementaires qui sapèrent leur univers avec la certitude d'œuvrer au bien commun et les ravages opérés dans les consciences par l'esprit des Lumières.

    Le premier atteint...

    Faut-il l'avouer ? Louis XVI était le premier atteint et Fénelon lui avait fait un mal irréparable. Jean de Viguerie l'a admirablement expliqué dans sa biographie du « roi bienfaisant » ; Gérard Bedel le dit à son tour de manière plus concise en publiant le texte d'une remarquable conférence prononcée l'an dernier à l'occasion du 21 janvier, Louis XVI ou la tragédie de la vertu. S'appuyant sur un inédit de Bainville, lequel affirmait qu'il fallait être un bien grand prince et l'avoir fait exprès pour défaire en quinze ans l'œuvre de quinze cents années, il décrypte les erreurs commises, les fautes, fruits d'un défaut de formation, et de caractère, liés, qui interdirent au roi, capable de penser clair, de prendre les décisions qui s'imposaient. Hanté par l'exemple de Charles I er, qui n'avait pas voulu céder à la Révolution, le malheureux Louis XVI crut bon d'opter pour le parti contraire. Nous savons, hélas, où ce mauvais choix le conduisit, et la France, et nous, en même temps...

    Confrontés au désastre que provoqua l'incertitude royale, les raidissements tardifs succédant aux complaisances trop grandes envers les idées du temps, il est difficile, quelle que soit la pitié et le respect suscités par la tragédie du 21 janvier, de ne pas éprouver quelque rancune envers le roi. Marguerite Castillon du Perron a choisi de revisiter ce drame à la lumière divine, et, pour ambitieux que soit ce projet, il aboutit à une œuvre théâtrale, Le Sang du Roi, d'une hauteur, d'une profondeur, d'une grandeur oubliées depuis Bernanos et le Dialogue des Carmélites. Mme Castillon du Perron fut, il y a cinquante ans, la biographe du jeune Louis-Philippe et s'intéressa à ce titre à son père. Réhabiliter Philippe Égalité est un exercice auquel on s'est rarement attaqué, la cause paraissant perdue. À tort, comme le démontre l'historienne devenue dramaturge.

    Repentir au théâtre

    Nous sommes le 6 novembre 1793. Transféré de Marseille à Paris, le duc d'Orléans vient, incrédule, de s'entendre condamner à mort. On lui envoie un prêtre, assermenté mais honnête homme qui regrette de n'être plus en règle avec Dieu et Rome. Cet abbé Lothringer témoignera que son pénitent était mort réconcilié avec le Ciel et plein d'un repentir sincère. Comment, en quelques instants, la grâce a-t-elle pu opérer dans l'âme du Prince et le ramener à la foi de son enfance, effaçant tout par le sacrement et le supplice ?

    Un à un vont défiler sur la scène, et dans le souvenir du duc d'Orléans, ceux qui jouèrent un rôle dans ses choix et ses errements : le vieux domestique fervent et fidèle, Mme de Buffon, sa maîtresse, Grace Elliot, l'Anglaise qui chercha à le retenir sur la mauvaise pente, Choderlos de Loclos, qui prend là une dimension quasi démoniaque. Il va se confronter à eux, au mal qu'il fit. Mais Philippe refuse obstinément d'affronter l'ombre de son cousin, envers lequel il se croit toujours empli de haine et de jalousie. Seul un miracle pourrait jeter une ultime clarté dans cette âme orgueilleuse et tourmentée.

    Il est impossible de résumer une oeuvre conçue pour être jouée, et qui ne le sera sans doute jamais, certains sentiments n'étant pas accessibles à ceux qui font désormais l'opinion. Il faut la lire, s'en pénétrer, la méditer. Et remettre, une fois pour toutes, nos querelles, nos rancoeurs, nos sottises, nos incompréhensions dans cette Lumière-là, la seule qui vaille, qui transcende tout, au cœur de laquelle cet impensable, ce monstrueux gâchis que furent la révolution et ses suites sanglantes, revêt, ne devrions-nous le comprendre que de l'Autre Côté, un sens, et même une valeur, humainement inimaginables.

    Anne Bernet L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 20 janvier au 2 février 2011

    Évelyne Lever : L'Affaire du collier, Fayard, 435 p., 24 €.

    Michelle Sapori : Rose Bertin, couturière de Marie-Antoinette, Perrin, 175 p., 19,90 €.

    Chrétien-Guillaume de Malesherbes : À Louis XVI ou les avertissements de Cassandre, Tallandier, 300 p., 19,90 €.

    Gérard Bedel : Louis XVI ou la tragédie de la vertu, Via Romana, 90 p., 10 €.

    Marguerite Castillon du Perron : Le Sang du Roi, François-Xavier de Guibert, 150 p., 16 €.

  • 15 ans après, que reste-t-il de la version officielle du 11 septembre 2001 ?

    Voici un reportage allemand diffusé quinze ans après les attentats du 11 septembre 2001.