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culture et histoire - Page 1123

  • Reconquérir une hégémonie culturelle, sans passer par une organisation politique

    Riposte catholique analyse un article de Jean-Luc Pouthier (enseignant à Sciences Po et à l’Institut catholique de Paris), qui explique que les catholiques ne comptent désormais pour rien dans l’espace politique national mais qui constate une mutation liée à la fin de la démocratie chrétienne, mutation dont votre blog préféré est un signe :

    "Dans une Europe sécularisée, où le catholicisme est minoritaire mais persistant, l’absence de formations confessionnelles, de corps intermédiaires en quelque sorte, n’en pose pas moins à nouveau le problème du mode de relation de l’Eglise et de ses fidèles avec le monde politique. L’exemple de l’Italie est, à cet égard, intéressant.

    En 1995, le cardinal Camillo Ruini, président de la Conférence épiscopale italienne, a lancé le « projet culturel » de l’Eglise d’Italie. Le cardinal Ruini n’avait guère regretté, c’est le moins qui se puisse écrire, la disparition de Démocratie chrétienneaux élections de 1994 (qui virent le premier succès électoral de Silvio Berlusconi). Elle s’était révélée incapable, selon lui, de défendre les valeurs du catholicisme. En revanche, il encourageait ses ouailles à reconquérir une hégémonie culturelle dans la société italienne, sans que cela passe forcément par une organisation politique.

    Et du point de vue de l’Eglise, cette idée n’a pas si mal réussi.Non seulement des clercs ou des intellectuels défendent ses positions dans les médias italiens, mais « l’aire catholique » continue de peser sur les orientations politiques générales, par une multitude d’organisations susceptibles de mobiliser, sur certains sujets (lois bioéthiques ou mariage pour tous), des foules considérables. C’est au fond l’avenir qui a parfois été prédit en France à la Manif pour tous. Non pas une nouvelle présence électorale du catholicisme, mais une inscription plus visible dans le paysage des idées.

    Rien de tel ne s’est produit, si ce n’est la présence sur la Toile de sites dont l’audience est loin d’être négligeable, comme le Salon beige. Un discours néoconservateur se fait entendre sur les ondes, mais il emprunte peu au christianisme. Les néo-cons français ne sont pas des théo-cons. L’obsession de l’islam cristallise les débats autour de la laïcité, sans qu’un discours identitaire catholique ait beaucoup de prise sur l’opinion, y compris au Front national, où le traditionalisme maurrassien de Marion Maréchal-Le Pen n’est pas repris par la majorité des militants."

    Mais Riposte catholique décrypte :

    "Mais il faut se méfier de l’eau qui dort, car un nouveau souffle est en train, peu à peu, de limer ces vielles cordes et donner des ailes inattendues aux catholiques.

    Quand ce souffle aura eu raison de la peur, des scrupules et du confort (toutes armes aiguisées par le démon), l’influence des catholiques sera d’autant plus importante que leur socle de conviction est inébranlable et par nature destiné au bien commun.

    Nous avons de réels capacités d’action, de vrais apports pour le monde. Il manque aux catholiques de prier l’Esprit Saint pour leur donner ce don de force qui encouragera l’audace qui nous manque.

    Avec la manifestation prévue le 16 octobre, se pose la question stratégique : qu’allons-nous faire de cette démonstration de force ?"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le mouvement solidariste wallon NATION sera présent le dimanche 2 octobre à Rungis à la Xe Journée de Synthèse nationale

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  • Il était une fois… nos ancêtres indo-européens.

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    Il était une fois… nos ancêtres indo-européens un nouveau livre de Jean Haudry, 

    Nous vivons des temps où tout est fait pour couper les Européens de leurs racines.

    Et la cible prioritaire des zélotes du déracinement est, bien sûr la jeunesse.

    C’est pourquoi ce livre a pour but de rappeler aux jeunes garçons et filles (mais pas seulement) de chez nous quel univers spirituel ils portent en eux, tel qu’il leur a été légué par leurs ancêtres.

    Qui étaient nos ancêtres ?

    Ils trouverons la réponse grâce au texte de Jean Haudry et aux illustrations d’Eric Heidenkopf, qui ont su, en se basant sur l’Histoire et la Tradition, dresser un portrait riche en couleurs de ceux qui nous ont transmis un héritage génétique et culturel à nul autre pareil.

    Le livre est vendu 14 € + frais de port

    + Frais de ports France seulement pour un exemplaire : 2.75 €

    + Frais de ports Europe (CE) pour un exemplaire : 4,50 €

    + Frais de ports hors CE pour un exemplaire : 6,50 €

    Chèque à l’ordre des Éditions de la Foret.

    Commande à adresser à : LES ÉDITIONS DE LA FORÊT Le Mas Fougères 04300 Forcalquier

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Demain, tous royalistes ? Une bonne nouvelle pour la rentrée

    VIVE LE ROI – Selon un sondage, une partie non négligeable de l’opinion serait favorable à ce que la fonction de chef de l’Etat soit assumée par un roi, comme c’est le cas dans de nombreux pays européens.

    Abolie en France il y a 168 ans, la monarchie conserve encore et toujours des adeptes. Un sondage réalisé par BVA et publié ce lundi, indique en effet que de nombreux Français pensent que la présence d’un roi au sommet de l’Etat serait bénéfique pour le pays. Près d’un Français sur quatre estime par exemple que cela aurait des conséquences positives sur l’unité nationale (39%) et la stabilité du gouvernement (37%). Ils étaient à peine 23% en 2007, année où un sondage similaire avait été réalisé.

    Pour 31% des Français, remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde (24% en 2007). L’institut de sondage note cependant un important clivage en fonction de la proximité politique de personnes interrogées. Sans surprise, les sympathisants de droite et du FN sont beaucoup plus ouverts à cette perspective que ceux de gauche. Quand à peine 20% des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 50% à droite et 55% au FN.

    "Le contexte actuel pousse les Français à s’ouvrir à cette possibilité" […]

    La suite sur LCI