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culture et histoire - Page 1146

  • Le dernier livre de Jacques Bainville.....

    Jacques Bainville est né et mort un 9 février.

            C'est à dessein que nous avons choisi ce jour anniversaire de sa naissance et de sa mort pour débuter cette Catégorie qui lui sera consacrée.

            Et nous le ferons, avant de publier des textes proprement dits, d'une façon peut-être un peu moins banale : en mettant à disposition, sous forme d'un Album, du "dernier livre de Jacques Bainville", en fait une plaquette, éditée juste après sa mort.....   

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    Le dernier livre de Jacques Bainville...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2012/02/09/lire-jacques-bainville-ii.html

  • Nîmes (30) : l’église la plus ancienne de la ville a été découverte

    L’équipe de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) a présenté ce vendredi 24 juin le fruit de fouilles menées chez un particulier de fin décembre 2015 au 22 avril dernier. Elles ont révélé 130 tombes ainsi que l’abside d’une église paléochrétienne du Ve siècle.

    Une église paléochrétienne datant du Ve siècle a été découverte par une équipe de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) lors de fouilles menées sur le terrain d’un particulier qui habite dans le quartier des Amoureux. 130 tombes dont les datations s’échelonnent entre la fin de l’Antiquité et le haut Moyen-Age ont également été trouvées lors d’une campagne débutée le 30 décembre dernier et achevée le 22 avril dernier.

    L’imposante fondation d’une abside semi-circulaire de l’édifice religieux, bâti avec des remplois antiques monumentaux, a été mise au jour. L’intérieur de l’abside accueille de nombreuses sépultures. Au sein du cimetière, ont été découverts des sarcophages en plomb datant d’autour du IIIe siècle. Les autres tombes sont construites avec des pierres, tuiles ou bois. Il faudra de nombreux mois de travail avant la remise du rapport de fouilles probablement pour la fin de l’année prochaine.

    Le Midi Libre

    http://www.fdesouche.com/743143-nimes-30-leglise-la-plus-ancienne-de-la-ville-ete-decouverte

  • Le FN laissera-t-il insulter les pieds-noirs impunément ?

    Alexandre Benoît salit votre image et vous fait perdre des voix qui vous seront bien utiles l’an prochain.

    À titre posthume, on devient presque toujours un être exceptionnel, une figure marquante d’une époque, même lorsqu’on a été critiqué, vilipendé, mis au placard, etc. N’est-ce pas le cas de Michel Rocard ? Il a, paraît-il, fait des réformes extraordinaires… puisque nos élites le disent !

    Ce que je retiens surtout de Rocard, c’est qu’il se vantait d’avoir participé au financement du FLN, ennemi de la France, au cours de la guerre d’Algérie, lui permettant de se procurer des armes et des explosifs qui ont tué de jeunes appelés français, vos enfants métropolitains, nos enfants, alors que François Mitterrand, lui, faisait exécuter des dizaines de terroristes (45 personnes ont été guillotinées tandis qu’il occupait les fonctions de garde des Sceaux).

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  • Samedi 3 et dimanche 4 septembre : CHIRE FETE SES 50 ANS !

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    Depuis 50 ans, est installée à Chiré-en-Montreuil, près de Poitiers, une petite maison d'éditions qui a effectué (et qui effectue toujours) un énorme travail. Il s'agit de Diffusion de la pensée française, plus connue sous le nom de "Chiré". Cinquante ans de combat, sans interruption, c'est remarquable. Surtout lorsque l'on connait les difficultés que l'on rencontre pour diffuser les idées non conformes aux diktats de la pensée dominante.

    DPF est une maison de sensibilité catholique et contre révolutionnaire affirmée qui a toujours refusé l'ostracisme à l'encontre des autres composantes de la famille nationaliste et identitaire. C'est tout à son honneur. Voilà pourquoi c'est avec plaisir que Synthèse nationale sera présent aux journées chouannes (les 46e du genre) qui marqueront, les 3 et 4 septembre prochain, ce cinquantième anniversaire des "éditions de Chiré". 

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • BILAN DE LA CONFÉRENCE DE VINCENT VAUCLIN DU 26 JUIN 2016

    Dimanche dernier, se tenait à Paris une première conférence organisée par la Dissidence Française sur le thème « Dissidence & Insurrection ».

    Réunissant une trentaine de participants venus d’horizons divers, cette conférence débuta par l’intervention de Vincent Vauclin, articulée autour d’un appel à la refondation intégrale du nationalisme français et une explication précise de la démarche de la Dissidence Française de ces dernières années.

    La seconde partie consista en un débat avec l’assistance, franc, cordial et constructif, permettant notamment à plusieurs cadres du Mouvement de présenter nos activités et nos perspectives.

    Enfin, les participants eurent l’occasion d’acquérir livres, t-shirts et autocollants, et de faire dédicacer leurs ouvrages par Vincent Vauclin.

    Nous remercions l’ensemble des militants de la Dissidence Française qui ont permis l’organisation de cet évènement et qui ont assuré la sécurité et la tranquillité du public, et nous remercions enfin tous les participants qui ont fait le déplacement et se sont tous montrés extrêmement attentifs à notre démarche. À tous nous disons : à très vite !

    Voici quelques photos prises à cette occasion !

  • Le nouveau numéro de Terre et Peuple Magazine (n°68) est sorti

    L'éditorial : Les assassins sont dans la maison

    Pierre Vial

    322495870.jpgDès la maternelle, on apprend aux enfants que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Et surtout quand il a la peau sombre et les cheveux crépus ou qu’il s’appelle Mohamed. Ce sont nos frères et nos sœurs, ou au moins nos cousins (puisque tous les hommes sont semblables et donc interchangeables). En rentrant chez eux les enfants reçoivent le même message dans les dessins animés que débite la télévision, tout en s’empiffrant de sucreries et de coca-cola qui en feront de jeunes obèses, incapables d’efforts physiques qu’ils perçoivent d’ailleurs comme d’injustes et inutiles brimades. Comment pourraient-ils penser autrement quand ils voient leur père vautré sur un divan, une canette de bière à la main (le pack de réserve n’est pas loin), célébrant à grands coups de gueule les mérites de footballeurs colorés qui gagnent en un mois plus qu’un Gaulois en vingt ans de travail ? Allez les Bleus ! D’autant qu’ils sont d’un bleu très sombre, comme le commentent avec enthousiasme les journaleux de service.

    Donc tout baigne. Certes on grogne, pour le principe, parce que tout de même la vie n’est pas facile. Mais on s’apprête aux joies des grandes vacances : les bouchons sur des routes surchargées qui rappellent de façon sympathique (on n’est pas dépaysés) les embouteillages des grandes villes qu’on vient de quitter ; les tournées à répétition de pastis avec les voisins du camping, en ayant en fond sonore les radios portables grand modèle qui débitent les braillements des « chanteurs » de hip-hop ; les séances de cuisson de la viande étalée sur les plages, avec les mémères dont les seins nus qui s’écroulent sont d’efficaces remèdes contre l’amour. Ah, la France sera toujours la France et il ne nous manque qu’un Maurice Chevalier pour mettre tout cela en chanson.

    Et puis changement de décor. Retour au réel. Tous les media l’annoncent en boucle : un policier a été lardé de coups de couteau devant chez lui et sa femme a été égorgée dans sa maison, devant son fils de trois ans. Atterrés, les braves gens s’interrogent : comment cela est-il possible ? Et l’assassin dont la photo apparaît sur les écrans ? « Il avait l’air bien convenable, bien gentil » disent ses voisins. On évite de s’appesantir sur les origines de ce « Français ». Avec sa tronche de croque-mort le ministre de l’Intérieur, porte-parole du Robespierre au petit pied de Matignon et du joyeux drille de l’Elysée, dit sa stupéfaction indignée : il ne faut pas que de telles choses existent dans notre belle et pure République. Il ne faut pas…

    De même qu’il ne faut pas que des casseurs s’attaquent à un hôpital Necker où des enfants sont en train d’être opérés. Il ne faut pas… Mais surtout on ne dit pas ce qui est pourtant une évidence : si on ne veut plus de casseurs il faut casser les casseurs. Les paysans le savent bien : quand on veut se débarrasser d’animaux nuisibles, de prédateurs, il n’y a pas trente-six solutions.

    Aïe ! Je vais encore m’attirer les foudres des bien-pensants, des gens bien convenables qui trouvent qu’il y a des choses qu’il ne faut pas dire. Il ne faut pas dire que les assassins sont dans la maison parce qu’on leur a ouvert la porte. Les fous d’Allah savent que l’Occident, cette chose molle et veule, est un fruit trop mûr prêt à tomber. Alors ils secouent l’arbre. Pour voir. Et ils voient : une population anesthésiée par un individualisme bourgeois qui sévit même dans les rangs de ce qu’il est convenu d’appeler « la droite nationale ». Où on a peur d’appeler un chat un chat (il paraît que c’est du racisme). Où on veut bien applaudir les discours musclés. Mais quand il est question d’agir, il n’y a plus personne. S’engager ? Militer ? C’est fatigant. Et puis, nous disent des « philosophes », cela ne sert à rien.

    Nous, nous choisissons de mettre les pieds dans le plat. Et de dire aux assassins : si vous voulez entrer dans notre maison cela va vous coûter cher. Très cher.

    Dans ce numéro : un entretien avec Roland Hélie

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  • I-MEDIA S03E23 « Diversité » maître mot pour la rentrée de France Tv

  • Il y a cent cinquante ans, la bataille de Sadowa engageait l’Europe dans l’âge de tous les dangers

    Le 3 juillet 1866, la bataille de Sadowa engageait l’Europe dans l’âge de tous les dangers

           Les historiens ont souvent répété que la victoire de l’armée prussienne sur l’armée autrichienne, le 3 juillet 1866 à Sadowa, avait résonné en France, « comme un coup de tonnerre dans un ciel serein ». Mais on en pressentait les incidences plutôt qu’on ne les mesurait. Bien qu’ainsi mis en face de l’absurdité de sa politique étrangère, Napoléon III, déclarait, six mois plus tard, lors de la rentrée du Corps législatif : «  Un grand peuple comme le nôtre n’a rien à craindre de l’unification de l’Allemagne. »  Il est vrai que soixante-dix ans plus tard, Léon Blum, chef du gouvernement français clamait à l’envie qu’Adolf Hitler n’avait d’autre souci que la paix en Europe. Et l’acceptation, par la France, de l’éviction de l’Autriche de l’Allemagne après Sadowa ressemble furieusement à l’abandon français à Munich en 1938. Et bien que la sidération se situe souvent à la hauteur de l’imprévision, il est cependant rare en politique étrangère que les leçons de l’Histoire soient sérieusement méditées. Ainsi au moins de la France de Napoléon III comme de celle de la Troisième république.

        En vérité c’est l’étonnement provoqué par Sadowa qui est étonnant. Pour au moins trois raisons.

       En premier lieu, la Prusse n’était plus depuis longtemps une puissance moyenne ou secondaire, notamment sur le plan militaire : elle l’avait abondamment démontré lors de la guerre de Sept-Ans, infligeant notamment à la France de Louis XV l’humiliante défaite de Rossbach, le 5 novembre 1757 suivie, un moins plus tard, de l’écrasement de l’armée autrichienne à Leuthen. En outre, en dépit d’Iéna et de Auerstaedt, simples parenthèses durant l’intermède napoléonien, la Prusse avait, plus que tous les autres royaumes, profité de l’écroulement de celui-ci, portant dès 1814 sa frontière occidentale sur le Rhin.

       En deuxième lieu, la Prusse, engagée dans une lutte contre l’Autriche pour la suprématie en Allemagne – sorte de « concours de longs capots » dirait-on de nos jours – sans véritable intérêt ni enjeu sauf à faire plaisir à des dirigeants momentanés persuadés d’inscrire ainsi leur nom dans l’Histoire, ne camouflait rien de ses ambitions continentales, Bismarck se plaisant même à les afficher publiquement et à se gausser de l’absence de réaction des grands États européens, dont la France. Le roi Guillaume n’était pas en reste, déclarant déjà en 1862, lors d’un séjour à Londres : « Quand notre armée sera assez forte, je saisirai la première occasion pour liquider notre différend avec l’Autriche, dissoudre la Confédération germanique et doter l’Allemagne de l’unité nationale sous la conduite de la Prusse. » On ne pouvait être plus clair.

      Enfin, la guerre austro-prussienne, engagée le 23 juin 1866 avait rapidement démontré la supériorité militaire de la Prusse qui, après quelques échecs sans conséquences, avait remporté, en Bohême, trois victoires simultanées, à Skatlitz, Soor-Burkersdorf et Münchengrätz. Le propre de la guerre est que tout belligérant détient une chance sur deux d’être vaincu. Cette simple probabilité arithmétique devrait logiquement dissuader le perdant de regarder sa défaite comme une catastrophe inattendue. Le moyen le plus sûr de l’éviter est de ne pas faire la guerre. Mais l’optimisme guerrier des États demeurerait longtemps incorrigible.  

       Dont celui de l’empire d’Autriche en ce début du mois de juillet. Son armée avait réussi à éviter la déroute et à conserver des positions qui lui laissent quelque espoir. Campés sur des hauteurs émergeant, ont écrit les témoins, «  de champs de blés mûrs et de collines boisées », garantis par une artillerie solidement concentrée, 200 000 austro-hongrois attendaient fermement l’assaut de seulement 120 000 Prussiens. Et, comme à Waterloo pour Napoléon, le début de la bataille tourna à l’avantage des Autrichiens. Jusqu’à ce que, comme à Waterloo, arriva comme Zorro un renfort de 100 000 hommes, l’armée du prince royal de Prusse, Fréderic-Guillaume. Dès lors, la bataille bascula et se transforma en désastre pour l’Autriche, déplorant plus de 20 000 morts et blessés, autant de prisonniers, la perte de presque toute son artillerie et une retraite qui ressemblait fort à une débâcle.

       Dès lors, comme l’écrirait le lucide Prévost-Paradol dans La France nouvelle (1869) « C’est depuis ce jour que la France et la Prusse ont été lancées l’une contre l’autre, comme deux trains qui, partant de points opposés et éloignés, seraient placés sur une même voie par une erreur funeste. »

       Ayant su se garantir la neutralité de la Russie, encore marquée par le mauvais souvenir de la guerre de Crimée, et profitant de l’aveuglement, momentané mais encore aujourd’hui difficilement compréhensible, de l’Angleterre victorienne au temps de l’alternance entre Gladstone et Disraeli, Bismarck s’était totalement délié les mains et mettait fin, sans que personne n’osât le contester vraiment, au système d’équilibre et de concertation européenne instauré entre 1814 et 1818 à travers la sainte-Alliance et l’Alliance des  « cinq grands. »

       Dans l’écriture de Sadowa on pouvait non seulement relire celle de Waterloo mais aussi déjà celles de Sedan, de la Marne, de Munich et de juin 1940. Ou « de la clairvoyance des Bonaparte. »

    Daniel de Montplaisir

    http://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2052-il-y-a-cent-cinquante-ans-la-bataille-de-sadowa-engageait-l-europe-dans-l-age-de-tous-les-dangers