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culture et histoire - Page 1159

  • L’histoire évolue en cycles

    En évoquant dans mon dernier article la période de 224 ans entre l’avènement de la première république (21 septembre 1792) et l’altération probable de ce système à partir de l’été ou de l’automne 2016, nombreux sont ceux qui n’ont pas saisi ce que à quoi je faisais référence.

    Idem lorsque j’ai parlé des 224 jours de différence entre la polémique de Nadine Morano débuté le 30 septembre 2015 et celle de Verdun, le 10 mai 2016.

    La découverte de Martin Armstrong

    Il s’agit simplement de la découverte capitale du conseiller financier Martin Armstrong qui a consacré des sommes colossales ces 30 dernières années pour constituer des modèles d’analyse des marchés par ordinateur relatifs aux  changements de cycle économique, etc.

    Sa découverte est très “simple”: tout ce qui existe dans l’univers est régi par des cycles et ces cycles ont Pi (3,14) pour nombre élémentaire.

    Il y a différents cycles dont celui de la guerre, du changement politique, des affaires, etc. Le cycle du changement politique s’étend sur 309,6 ans, soit 6 cycles de 51,6 ans, ce dernier étant divisé en 6 cycles de 8,6 ans. Les crises économiques sont régulées par des cycles de 8,6 ans (2008-2016 par exemple). Ces cycles continuent de se subdiviser, etc.

    Martin Armstrong n’est pas un esprit farfelu. Il a géré des fonds de plusieurs milliers de milliards de dollars et continue de conseiller de nombreux gouvernements, banques, etc. Il a régulièrement été consulté par le Congrès US et la Maison Blanche, ainsi que par le gouvernement chinois ou l’UE.

    Ce qu’a découvert scientifiquement Armstrong était su empiriquement par nos Anciens qui raisonnaient également en termes cycliques.

    Les cycles de la guerre et du changement politique

    Le 30 septembre 2015 était le “pic de confiance” dans le secteur public dans tout l’Occident. Cela veut dire qu’à partir de ce jour, le stato-socialisme entre en crise à mesure que les populations comprennent que les gouvernements sont la cause fondamentale des innombrables problèmes présents. Ce jour là, les événements qui se produisent indiquent une tendance forte. Dans ce cas : l’invasion de la Syrie par la Russie et, en France, la question suivante : “Qui est français ?” avec pour réponse “Les Blancs de religion chrétienne et de culture gréco-latine”. Cette réponse a pour conséquence inévitable une guerre ethnique et religieuse.

    Cette corrélation indique par ailleurs que la guerre ethnique et religieuse en France est liée à la guerre au Moyen-Orient et, plus largement, avec le monde musulman et la Russie.

    Il faut y ajouter le cycle de la guerre, les conflits entre états. Ces deux cycles – changement politique et guerre – convergent depuis 2014 et s’intensifient à partir de 2017. La dernière fois que ces deux cycles ont convergé, c’était à partir des années 1770, à la veille des révolutions américaine et française. C’est justement ce qui se passe en France : les deux cycles convergent pour ne plus véritablement se distinguer l’un de l’autre. Cela s’est matérialisé le 13 novembre avec l’État Islamique qui a frappé la capitale française.

    Le nombre de jours qui séparent les attaques de Charlie Hebdo (7 janvier 2015) et celles du Bataclan (13 novembre) était de 309,9 jours, soit 36 fois 8,6 jours. Ce qui indique qu’il s’agit de la même entité qui a commandé les attaques.

    Pour en revenir au premier cycle du changement politique français dont la nature “identitaire” a été portée à son insu par Nadine Morano le 30 septembre 2015, il doit se conclure le 2 août 2016. Un second cycle de 309,6 jours commencera après celui-ci, toujours sur le mode “identitaire”.

    On prêtera attention à ce qui pourrait survenir le 2 août prochain.

    Le fait que la polémique implique Verdun, le lieu d’affrontement paroxystique de la Première Guerre Mondiale, n’est pas anodin. Le fait qu’elle désigne les afro-musulmans et non pas les Allemands encore moins.

    Pour ceux qui veulent étudier les cycles évoqués précédemment et qui lisent l’anglais, voir une synthèse de Martin Armstrong en PDF.

    Pour ceux qui veulent visionner cet entretien de Martin Armstrong sous-titré en français :

     
  • La garde prétorienne, histoire de l'armée romaine.

    La garde prétorienne était une unité de l'armée romaine constituée de soldats d'élite initialement recrutés en Italie. Ces unités tirent leur origine du petit groupe d’hommes dont s’entouraient les magistrats républicains connus sous le nom de préteurs et leur nom du camp des légions romaines où était dressée la tente du commandant de la légion, le prétoire, quand ils partaient en campagne.
    Durant la République romaine il n'existe pas de garde permanente chargée de la protection des officiers généraux. Mais certains officiers choisirent de s'entourer d'une garde de soldats pour assurer leur sécurité, donnant naissance aux premières « gardes prétoriennes ». En cas de bataille, elles interviennent comme une ultime réserve.

    Sous l'empire, les prétoriens constituent la garde rapprochée de l'empereur et une partie de la garnison de Rome. Ils sont dirigés, suivant les époques, par un, deux, ou quatre préfet du prétoire et évidemment par l'empereur lui-même. Jusqu'à Vespasien, le préfet du Prétoire est toujours un chevalier, et cette fonction est la plus haute de l'ordre équestre.
    Ils tirent plusieurs avantages de leur proximité avec l’empereur : les prétoriens sont les seuls à être admis en armes dans l'enceinte sacrée de Rome ; leur temps de service obligatoire est plus court (12 ans au lieu de 16), et leur solde est plus élevée que celle d’un légionnaire. Sous Néron, la solde d'un prétorien était trois fois et demie celle d'un légionnaire, augmentée des primes de donativum, octroyées par les nouveaux empereurs. De grosses distributions d'argent et de nourriture récompensaient la fidélité des prétoriens après l'échec de chaque complot particulièrement grave (tel celui de Messaline contre Claude en 48 ou de Pison contre Néron en 65).
    La garde prétorienne se tenait généralement autour du général ou de l'empereur. Leur rôle était simple, protéger leurs supérieurs hiérarchiques jusqu'à la mort car c'était l'unité d'élite par excellence de l'empire romain qui était capable de faire une percée dans les rangs ennemis ou tenir un flanc par exemple.

    http://racinescharnelles.blogspot.fr/2010/08/la-garde-pretorienne.html

  • Dominique Venner : PRESENT !

    Le 21 mai 2013, Dominique Venner choisissait une mort sacrificielle pour réveiller les consciences endormies. Les petits ruisseaux qui sont sortis de terre s'écoulent et deviennent peu à peu des rivières. Nous sommes un certain nombre à poursuivre ou à accomplir notre mue depuis cette événement qui nous a placé face à nous même. Notre rapport au monde, à la vie, aux autres, à l'histoire mais aussi à notre territoire ne peut qu'être bouleversé par un geste d'une telle force. La mort de Dominique Venner était un souffle qui avait pour objet d'influer chez nous une force vitale.

    Trois ans après, souhaitons que ce samedi 21 mai permette à de nombreux camarades de réfléchir sur eux-mêmes en tant que personnes et sur eux-mêmes en tant que militants. Sortez marcher en forêt, écrivez vos réflexions dans votre carnet, relisez Dominique Venner ou l'empereur-philosophe Marc-Aurèle. Le premier combat est contre nous même.

    « Il faut choisir, se reposer ou être libre. » Thucydide

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/05/21/dominique-venner-present-5804762.html

  • La dernière croisade : Saint Louis à Tunis (Xavier Hélary)

    Xavier Hélary est professeur en histoire médiévale et auteur de plusieurs ouvrages consacrés à cette période.

    la-dernière-croisade-200x300.jpgLa croisade de Tunis a été un échec complet. La préparation en a pourtant été menée avec beaucoup de soin. Les croisés sont suffisamment nombreux, bien équipés, dotés en montures en quantité. Le ravitaillement a sans doute été aussi bien préparé que les conditions logistiques de l’époque le permettent. Les Génois arment une flotte de qualité. La décime sur l’Eglise, les revenus du domaine royal et notamment les aides fournies par les villes ont donné les moyens financiers nécessaires. Tout au long de la campagne, enfin, l’autorité de Saint Louis comme chef de l’armée est unanimement reconnue et respectée, et la discipline règne dans les rangs.

    Cette expédition méthodiquement préparée connaît pourtant une issue désastreuse. Xavier Hélary retrace l’ensemble des événements. Le récit commence avec la reprise de la croix par Saint Louis en 1267, et couvre les immenses préparatifs diplomatiques, financiers, matériels et spirituels que le roi de France supervise pendant les trois années qui précèdent son départ. L’auteur narre ensuite le départ des croisés d’Aigues-Mortes, le 1er juillet 1270, le débarquement sur les côtes tunisiennes le 18 juillet, la prise de Carthage le 24 juillet, puis l’épidémie qui frappe les croisés dès le début du mois d’août et qui emporte Saint Louis le 25 août, jusqu’au retour des survivants en France au printemps 1271. 

    Ce livre cherche à comprendre les raisons de ce fiasco.

    La dernière croisade, Xavier Hélary, éditions Perrin, 317 pages, 22 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

    http://www.medias-presse.info/la-derniere-croisade-saint-louis-a-tunis-xavier-helary/54746

  • Lepante 1571

  • Déclin et mort des grandes civilisations

    C’est un truisme que de comparer le déclin de l’Europe occidentale à la chute de l’Empire romain – ce qui est d’ailleurs une fort mauvaise expression, car sa disparition, loin d’être brutale, fut précédée d’une décadence étalée sur trois siècles, entrecoupée de sursauts, hélas peu durables.

    On sait depuis les réflexions de Jacob Burckhardt (in Considérations sur l’histoire universelle, de 1868, une œuvre largement rééditée depuis lors) que son apogée précède de peu la chute d’une civilisation.

    L’apogée de l’Europe occidentale et centrale fut long, échelonné du XVIIe siècle à 1918. Son déclin, amorcé en 1918, attendit toutefois l’année 1945 pour se révéler pleinement : l’ultra-capitalisme rooseveltien et l’impérialisme marxiste se partagèrent l’Europe, puis ses colonies à mesure de leur prétendue indépendance. Le camp marxiste se polarisant rapidement entre Moscou et Pékin, le monde subit une tripartition en matière de zones d’influence, jusqu’à l’effondrement du camp marxiste. La domination, peu subtile et source d’aveulissement, des Nord-Américains est contestée, depuis les environs de l’An 2000, par les géants russe et chinois, en pleine renaissance.

    Il ne faut pas déployer de trésor d’imagination ni une grande profondeur d’analyse pour comprendre les causes de l’effondrement progressif de la Rome impériale… Et ces causes sont exactement les mêmes que celles de notre déclin d’Européens.

    Toutes les sociétés antiques furent fondées sur le nationalisme matrimonial et politique. Ce fut le cas à Rome jusqu’à Caius Julius Caesar, qui brisa les tabous en épousant la gréco-égyptienne Cléopâtre VII et surtout en introduisant des Gaulois et des Ibères au Sénat. C’est le fils de Septime Sévère, le meurtrier débauché Caracalla, qui fit de tous les hommes libres de l’Empire des citoyens romains.

    Il est bon de préciser qu’en dépit d’affirmations contraires de pieux chroniqueurs mal renseignés, Saül de Tarse, plus tard saint Paul, ne fut jamais « citoyen romain », mais jouissait du titre de citoyen de la ville de Tarse, ce qui était tout différent. Le seul Juif qui ait jamais obtenu le titre de civis romanus avant l’année 212 fut le traître et renégat Flavius Josèphe, lui-même auteur raciste et menteur, comme chaque lecteur de sa prose peut s’en rendre compte.

    Lorsqu’en 212, Caracalla octroie le bénéfice de la prestigieuse appellation et de ses privilèges, ce n’est évidemment pas par l’effet d’une bonté d’âme qui lui fut toujours étrangère, mais pour des raisons fiscales : 10 % de la valeur des successions de citoyens romains revenaient automatiquement au Trésor impérial.

    En 1976, par leur ignoble décret 76-383 du 29 avril, paru au JO du 2 mai, portant sur le « regroupement familial » des travailleurs immigrés – une décision prise, bien sûr, sans avoir consulté le peuple souverain –, Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac ont voulu relancer une consommation intérieure française défaillante pour cause de dénatalité autochtone et de premier choc pétrolier. On retrouve le même souci économique, présenté, bien entendu, comme une mesure humaniste !

    Dans les deux cas, les conséquences furent identiques. On introduisit dans l’État des individus issus d’autres races et d’autres cultures que celles des hommes qui avaient créé, façonné, enrichi l’État. La plupart des nouveaux élus se conduisirent en parvenus, prenant les privilèges, sans faire le moindre effort pour s’en montrer dignes… Et une grande majorité des intrus de notre époque continuent de le faire.

    À l’heure du péril, aux IVe – Ve siècles, les nouveaux promus ne fournirent pas ou très peu de soldats pour défendre l’Empire. De nos jours, deux mille cités de non-droit égaient la France, mais il existe aussi des « quartiers dangereux » en Belgique (ils auraient même tendance à défrayer la chronique en 2016), en Grande-Bretagne (tout le monde se souvient des émeutes raciales qui ont commencé au début des années 1980, sans cesser depuis) et en divers pays scandinaves, tandis que des rejetons de l’immigration musulmane font parler d’eux de curieuse façon : vols, viols et autres agressions physiques, trafic de drogues et d’armes, vandalisme effarant et gratuit, émeutes raciales et, depuis 2014, terrorisme islamiste aveugle.

    À l’évidence, il semble fort peu prudent d’admettre des musulmans dans les forces de l’ordre, les armées ou les organismes pénitentiaires des États européens : en d’autres temps, l’on aurait parlé de 5ecolonne.

    La seconde cause de la décadence romaine antique (et de la nôtre) fut et demeure une extraordinaire flambée de bien-être. Le confort de vie et la sûreté n’ont jamais été plus grands dans l’Empire qu’à son apogée des Ier et IIe siècles ou, chez nous, durant les années 1965-1980, en dépit de quelques remous plus spectaculaires que profonds. En tous temps, l’on a pu constater que les fils de nantis sont rarement prêts à se sacrifier pour protéger le Bien commun, s’ils forment une majorité des politiciens « de gauche » et des manipulateurs d’opinion publique. Trop de bien-être amollit, physiquement et mentalement. Jamais les « bobos » (qui sont de toutes les époques) n’ont été aussi mous et aussi naïvement voués aux slogans humanitaires que de nos jours… Ce qui introduit l’item suivant.

    La troisième cause de décadence et de chute fut le christianisme. Une religion d’essence féminine, qui prêche l’agapè (l’amour du dieu créateur & père éminent des humains et la pratique de la charité – soit un don total, sans espoir de réciprocité) et le désir d’en finir au plus vite l’existence de cette « vallée de larmes » pour rejoindre le créateur dans son mythique paradis, n’est peut-être pas l’option idéale quand les Barbares sont installés aux frontières – et, de nos jours, ils vivent non seulement au-delà, mais aussi en deçà des frontières, et même dans la capitale des États ! Ambroise le Milanais le reconnaissait au IVe siècle… à la notable différence des historiens ecclésiastiques actuels qui nient toute responsabilité du christianisme dans l’affaiblissement du recrutement et de la vigueur de l’action militaire.

    Encore faut-il signaler qu’aux IVe et Ve siècles, comme par la suite d’ailleurs, les Barbares, s’ils détruisirent l’extraordinaire organisation urbaine des Romains, apportèrent à l’Europe occidentale un capital génétique fort précieux : l’élément nordique de la race européenne. Les populations du Maghreb et du Proche-Orient conservèrent un vernis d’urbanisme romain, mais en revinrent aux rythmes de travail méditerranéens, avant de se soumettre aux « cavaliers d’Allah » : l’Europe actuelle n’a besoin ni des uns ni des autres.

    Introduction massive d’allogènes, mollesse physique et morale, humanitarisme déplacé ou anachronique, tels sont les ingrédients de la décomposition, puis de la perte des grandes civilisations (de la romaine antique à la chinoise médiévale). N’y aurait-il pas une leçon à méditer, en notre (triste) époque ?

    Docteur Bernard Plouvier EuroLibertés :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyFZkFuFVYcHHtKMc.shtml

  • Nos ancêtres ? Rien n’a changé, ce sont toujours les Gaulois !

    Les fossoyeurs de la France qui sont au pouvoir n’ont de cesse de falsifier la mémoire de notre peuple, voire de la souiller ; à preuve l’épisode tragi-comique de la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun où nos « élites » n’avaient rien trouvé de plus symbolique que d’inviter à cette occasion un « rappeur » noir antifrançais.
    Cette triste affaire n’est que l’une des nombreuses opérations de harcèlement que mènent nos politiciens de gauche et de droite pour éradiquer de notre mémoire tout ce qui a fait la gloire de notre pays. Ils semblent aussi s’être ligués pour semer la confusion sur les origines de la France afin de mieux la dépouiller de son identité, et c’est ainsi qu’on a pu entendre des déclarations de nos gouvernants qui auraient fait pleurer de rire (ou pleurer tout court) n’importe quel écolier des années 50 ou 60.
    Non, les racines de la France ne sont pas musulmanes, comme l’affirmaient Jacques Attali ou Jacques Chirac, elles ne sont pas plus juives, selon les dires de Nicolas Sarkozy, et le ramadan n’est pas « une fête qui fait partie du patrimoine culturel français », comme le prétend le maire de Paris, Anne Hidalgo.
    Elles ne sont pas non plus « helléno-chrétiennes » ou « judéo-chrétiennes ».
    Les racines sont ce qui nous ramène au plus loin de notre passé et au plus profond de notre vérité et elles ne sont pas fluctuantes. Elles sont le socle immuable de notre croissance.
    Les racines de la France sont gauloises, c’est-à-dire émanant du peuple celte qui s’est établi à partir du VIe siècle avant J.-C. sur la totalité du territoire français actuel et une partie de l’Italie du Nord, et qui s’est battu pour son indépendance contre l’envahisseur romain sous la bannière de son héros, Vercingétorix.
    Ce substrat ethnique originel a, certes, varié tout au long des siècles qui ont suivi son implantation avec les nombreuses migrations de nos cousins indo-européens qui ont traversé notre territoire et y ont laissé leur trace. Des greffes nombreuses, spirituelles avec le christianisme et la monarchie, techniques et politiques avec les Romains, philosophiques avec les Grecs, ont réussi et ont permis à la France de devenir le phare de l’Europe… jusqu’à la Révolution, qui a détruit une grande partie de notre patrimoine humain, architectural, artistique, spirituel et culturel.
    Les universitaires de tous bords (et même du nôtre) évaluent avec condescendance la civilisation celte sous prétexte qu’elle n’a pas utilisé l’écriture (volontairement, pour ne pas figer la mémoire !) et qu’elle n’a pas laissé de grandes œuvres architecturales ou civilisationnelles.
    Nous ne sommes pas pour autant les fils d’Homère ou de la Louve.
    N’allons pas chercher ailleurs notre héritage, nous n’avons pas à rougir de la spiritualité de nos druides anciens, de la vaillance de nos guerriers, de la créativité de nos artisans et de nos artistes qui ont donné à la France son raffinement et sa place dans le monde.

    Pierre-Émile Blairon Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuyFyFFulVeEBmnHzO.shtml

  • Toulon : Causerie du Café Histoire mercredi 25 mai avec Christine Terrenoir

    Le Café Histoire de Toulon vous propose tout d'abord un document de 6 pages, adapté de L’Écho de Saint-François de Paule (Toulon), n°119, Mai 2016, qui présente un retour sur les quatre premières causeries 2016 et différentes initiatives. Article Café Histoire de Toulon - Mai 2016  [Cliquer]

    Ensuite,  le Café Histoire de Toulon vous présente sa prochaine causerie du mercredi 25 mai 2016 devant les Amis du Pub Le Graal. Cette causerie (chaque dernier mercredi du mois), animée par Christine Terrenoir, licence canonique en théologie, portera sur le thème : " Mieux lire l'Ancien Testament, la géographie comme outil. "

    Christine Terrenoir exposera comment la géographie permet de mieux appréhender les thèmes et personnages majeurs de l'Ancien Testament . Cette cinquième causerie 2016 est adaptée à toute personne désireuse de s'initier a la connaissance de ce texte sacré très complexe afin de mieux revendiquer l'héritage d'Athènes, de Rome et de Jérusalem; véritable socle des racines chrétiennes de la France, remises au goût du jour par la soif de repères et d'identité de nos compatriotes.

    Sur place l'auteur, pourra dédicacer L'essentiel de la Bible.  Il sera possible de se procurer l'ouvrage (50 fiches claires et précises ) auprès de la Librairie de l'Enfant Jésus, présente à la causerie. Entrée gratuite.

    Lire aussi ...

    Café Histoire de Toulon - Causerie d'Alain Vignal [Cliquer] "Les confréries de Pénitents provençales et le catholicisme social ". 18 pages avec illustrations.  

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

    Café Histoire deToulon Programme 2016 des causeries du Grall

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/