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culture et histoire - Page 1215

  • Conférence Dextra 5 février : « Radicalité & violence: quelques enseignements à tirer de l'histoire du xx ème siècle. » avec Olivier Dard

    Nous recevrons ce vendredi, Olivier Dard, professeur d'histoire à la Sorbonne.
    Spécialiste de l'histoire politique française, il nous entretiendra sur les enseignements historique 
    de la radicalité et de la violence politique au cours du XXè siècle.

  • Entretien avec Robert Steuckers sur la « révolution conservatrice » allemande

    Propos recueillis par Rémi Tremblay pour le magazine canadien "Le Harfang" (Québec)

    Vous placez la genèse de la Révolution conservatrice allemande au  XIXème siècle. Qui en furent les précurseurs et à quelles idées se ralliaient-ils ?
    En effet, il me paraît très important de replacer la révolution conservatrice allemande dans un contexte temporel plus vaste et plus profond, comme d’ailleurs Armin Mohler lui-même l’avait envisagé, suite à la publication des travaux de Zeev Sternhell sur la droite révolutionnaire française d’après 1870, qui représente une réaction musclée, une volonté de redresser la nation vaincue : après la défaite de 1918 et le Traité de Versailles de juin 1919, c’est ce modèle français qu’évoquait explicitement l’Alsacien Eduard Stadtler, un ultra-nationaliste allemand, bilingue, issu du Zentrum démocrate-chrétien, fondateur du Stahlhelm paramilitaire et compagnon de Moeller van den Bruck dans son combat métapolitique de 1918 à 1925. L’Allemagne devait susciter en son sein l’émergence d’un réseau de cercles intellectuels et politiques, d’associations diverses, de sociétés de pensée et de groupes paramilitaires pour redonner au Reich vaincu un statut de pleine souveraineté sur la scène européenne et internationale.
    Mohler étudie la révolution conservatrice pour la seule période qui va de la défaite allemande de 1918 à l’année 1932, celle qui précède l’accession d’Hitler au pouvoir. Cette révolution conservatrice n’est pourtant pas envisageable intellectuellement si l’on fait abstraction du 19ème siècle allemand, de la postérité des « autres Lumières » de Herder, de l’inflexion vers le religieux et l’organique qu’impulse la philosophie de Schelling, des démarches philologiques explorant lettres et passés nationaux des peuples, perçus comme entités vivantes, auxquelles il serait navrant et criminel d’imposer des abstractions, a fortiori si elles sont étrangères. Nul mieux que le Britannique Peter Watson, dans son épais volume consacré au « German Genius », n’a su démontrer, récemment, que les démarches philosophiques, scientifiques, musicales, artistiques allemandes ont constitué une « troisième renaissance » européenne, après les renaissances carolingienne et italienne. Avant lui, le professeur strasbourgeois Georges Gusdorf, dans ses volumes sur la pensée romantique, expliquait, sans jargon, quel avait été l’apport des pensées allemandes avant 1850 : cet apport était organique, était l’avènement d’une pensée organique hostile aux mécanicismes et aux constructivismes simplistes, dont ceux des vulgates édulcorées et répétitives, issues des idéologèmes de la révolution française. Dilthey va systématiser ultérieurement, sur les plans philosophique et sociologique, l’herméneutique du Verstehen, mode d’appréhension du réel non matériel, propre aux forces et instances vivantes qui animent les communautés humaines. La lecture des volumes de Gusdorf sur le romantisme allemand est un must pour tout francophone qui veut entrer dans le vif du sujet.

    A la fin du siècle, l’Europe, par le truchement de ces « sciences allemandes », dispose d’une masse de connaissances en tous domaines qui dépassent les petits mondes étriqués des politiques politiciennes, des rabâchages de la caste des juristes, des calculs mesquins du monde économique. Rien n’a changé sur ce plan. Quant à la révolution conservatrice proprement dite, qui veut débarrasser les sociétés européennes de toutes ces scories accumulées par avocats et financiers, politicards et spéculateurs, prêtres sans mystique et bourgeois égoïstes, elle démarre essentiellement par l’initiative que prend en 1896 l’éditeur Eugen Diederichs. Il cultivait l’ambition de proposer à la lecture et à la réflexion une formidable batterie d’idées innovantes capables, à terme, de modeler une société nouvelle, enclenchant de la sorte une révolution véritable qui ne suggère aucune table rase mais au contraire entend ré-enchanter les racines, étouffées sous les scories des conformismes. La même année, le jeune romantique Karl Fischer fonde le mouvement des Wandervögel, dont l’objectif est d’arracher la jeunesse à tous les conformismes et aussi de la sortir des sinistres quartiers surpeuplés des villes devenues tentaculaires suite à la révolution industrielle. Eugen Diederichs veut un socialisme non matérialiste, une religion nouvelle puisant dans la mémoire du peuple et renouant avec les mystiques médiévales (Maître Eckhart, Ruusbroec, Nicolas de Cues, etc.), une libéralisation sexuelle, un néo-romantisme inspiré par des sources allemandes, russes, flamandes ou scandinaves.
    Ces idées sont propulsées dans le paysage intellectuel allemand par une politique éditoriale moderne et dynamique qui propose à la réflexion du plus grand nombre possible, sur un mode équilibré, serein et doux, toutes ces idées jusqu’en 1914. La première guerre mondiale va ruiner ces projets de rénovation tout à la fois révolutionnaire et conservatrice des sociétés européennes. C’est bel et bien la fin de la « Belle Epoque ». Socialistes, anarchisants, lecteurs des productions de Diederichs, Wandervögel, néoromantiques germanisants, « médiévisants » mystiques, nietzschéens de toutes moutures, artistes avant-gardistes avaient rêvé calmement de transformer nos sociétés en un monde plus juste, plus enraciné dans son passé idéalisé, plus religieux, plus esthétique. La guerre ruine la possibilité d’accéder à ce monde nouveau par le biais d’une transition douce, laquelle, il faut l’avouer, par manque de rudesse, risquait de bien vite s’enliser en un magma sans levain ou en des parodies parfois bouffonnes. Un grand nombre d’idéalistes mystiques, germanisants, nietzschéens vont alors penser, entre autres avec les futuristes italiens, que la guerre constituera une hygiène, favorisera une sorte de grande lessive qui, après des carnages que l’on imaginait héroïques et chevaleresques, permettrait enfin l’avènement de ce « règne de l’esprit » (envisagé par Merejkovski et Moeller van den Bruck).
    Au lendemain de la défaite, les Allemands se rendent compte qu’ils ne sont plus considérés dans le monde comme les porteurs de cette « troisième renaissance européenne », dont les composantes, pourtant sublimes, ont été décrites comme les expressions d’une barbarie intrinsèque par les propagandes alliées. Balayé par les horreurs de la guerre, l’idéalisme d’avant 1914 subit une transformation après la défaite : plus tragique, plus âpre aussi, il accentuera son nietzschéisme, non plus en se référant au nietzschéisme des artistes (moqué par les droites et adulé par les sociaux-démocrates avant la Grande Guerre) mais à un Nietzsche plus « démasqueur », plus incisif et offensif. Le communisme bolchevique est désormais un facteur avec lequel il faut compter ; la radicalité communiste n’est plus marginale et intérieure, elle a désormais pour instrument une grande puissance politique aux dimensions impériales. Les mécontents, qui n’admettent pas la défaite ni les capitulations qu’elle implique, prennent des positions ambivalentes : ils posent le communisme comme inacceptable à l’intérieur du Reich mais la nouvelle Union Soviétique de Lénine comme un allié potentiel contre un Occident qui impose des réparations impossibles à satisfaire.

    Les penseurs les plus audacieux, en l’occurrence Ernst et Friedrich-Georg Jünger, élaborent un « nationalisme révolutionnaire », soit un radicalisme forcené à connotations communisantes et collectivistes, doublé de l’affirmation d’un nationalisme porté par une phalange inébranlable de combattants politiques soudés, par des liens de camaraderie extrêmement forts, comme l’étaient les Stosstruppen, les troupes d’assaut, lors de la Grande Guerre. Les frères Jünger, leurs homologues au sein du « nationalisme soldatique » comme Franz Schauwecker ou Werner Beumelburg, le penseur Friedrich Hielscher, etc. caresseront l’espoir de voir se déclencher un putsch militaire (par Corps Francs interposés, comme la phalange orchestrée par le Capitaine Ehrhardt) qui porterait au pouvoir une élite de combattants issus des Stosstruppen. Cette élite aurait eu pour tâche historique de créer un système politique radicalement différent des héritages politiciens du 19ème , de l’époque de Guillaume II et de la nouvelle République de Weimar, de la démocratie occidentale et de ses dérives rationalistes ou ploutocratiques (France, Angleterre), tout en dépassant la radicalité bolchevique russe et en renouant avec la fougue iconoclaste d’un Marinetti ou avec les projets audacieux et grandioses des architectes futuristes, avec les fureurs d’un Léon Bloy fustigeant les dévots au nom d’une foi incandescente, non pas au nom d’un voltairisme réactualisé mais d’un feu intérieur mystique qui n’accepte pas que le religieux s’enlise dans un conformisme quelconque, dans un pharisaïsme sec et ridicule.
    Les traités de Locarno et de Berlin ramènent un espoir de paix en Europe qui isole les partisans de cette révolution incandescente des combattants, des futuristes, des bolcheviques non matérialistes et des mystiques enflammés. Locarno et Berlin sonnent le glas des idéalismes révolutionnaires : à ceux-ci, que l’ouvrage Le Travailleur d’Ernst Jünger illustre pleinement, succèdera un néonationalisme plus apte à s’inscrire dans les luttes politiques balisées par les institutions de la République de Weimar.

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  • Sur Méridien zéro, Roland Hélie nous parle des Cahiers d'Histoire du nationalisme et de la 9e Journée de Synthèse nationale

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    Ecoutez Méridien zéro cliquez ici

    Les Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez là

    La 9e Journée de Synthèse nationale cliquez ici
    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/10/02/ce-soir-sur-meridien-zero-roland-helie-nous-parle-des-cahier-5693886.html

  • 737: DANS LES CORBIÈRES, UNE BATAILLE OUBLIÉE, politiquement incorrecte à notre époque !

    Merci à Jean-Pierre, Breton exilé en Occitanie, pour la découverte , il y a quelques semaines, de cette page de notre Histoire, page totalement oubliée ou volontairement cachée que le Blog du Souvenir Chouan de Bretagne vous fait découvrir.

    C'est vrai que la Bataille de Poitiers est un épisode assez régulièrement exposé, y compris dans des discussions culpabilisantes tenues par les mêmes qui, enfin, ouvrent les yeux sur ce qui se passe en Syrie ou en Irak !

    Mais la Bataille de la Berre (fleuve côtier des Corbières) est en bien plus importante que celle de Poitiers la Bataille décisive et sanglante pour éradiquer l’invasion arabe sur les côtes de la Méditerranée où les envahisseurs ont fait de la jolie ville de Narbonne leur pied à terre.

    Une communication téléphonique puis un échange de Mél ont permis d'utiliser les articles de l'auteur, Henri Coulondou, qui sera le mieux placé pour vous faire prendre connaissance de cet épisode historique. Il a réalisé aussi de belles photos de sa région.

    Bonne lecture !

    http://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/

  • La Libye révolutionnaire dans le monde …

    La-Libye-révolutionnaire-dans-le-monde--e1454082698622.jpgBasé sur une vaste et sérieuse documentation collectée jusqu’à 2003, le livre « La Libye révolutionnaire dans le monde »*, de Françoise Petitdemange, veut offrir au lecteur une image corrigée de celle qu’ont taillée à Gaddafi les médias occidentaux, celle d’un homme qui, depuis la date de sa prise de pouvoir en 1969, jusqu’à sa mort, a voulu lutter contre l’impérialisme et ses composantes, l’injustice, l’exploitation des classes inférieures, encourager la résistance des peuples face à une « minorité détentrice des armes les plus sophistiquées ». Voilà comment le décrivait Maria Graeff-Wassink, épouse de l’ambassadeur de France en Libye de 1982 à 1985 : «On ne rencontre, de ce côté de la Méditerranée, qu’antagonisme, incompréhension et hostilité. Mais qu’en est-il en Libye même ? Interrogez les femmes :… beaucoup d’entre elles rendent grâce « au frère Muammar, libérateur de la femme ». Ou encore le professeur aux Universités Edmond Jouve, « … Le colonel a fait un Etat révolutionnaire…il a entrepris des réformes gigantesques pour restructurer le pays…. » . 

    Et, comme le livre le démontre, Gaddafi a œuvré à l’émancipation de la femme libyenne, à l’émancipation du peuple libyen vers une démocratie directe progressive, à l’amélioration du niveau de vie, faisant de ce peuple pauvre en 1969 un peuple disposant, dès 1974, d’un taux de croissance de 18, 2% et d’un PNB de 5 200 dollars per capita , puis a lancé le projet de « la Grande Rivière Artificielle » en 1984 pour répondre à la pénurie d’eau sur les bords libyens de la Méditerranée et parvenir à l’autosuffisance alimentaire.

    Certes, cette politique ne s’est pas réalisée sans susciter, des principales puissances, et de leurs alliés arabe et israélien, haine, hostilité, provocations, agressions. Sont décrites et décryptées les différentes phases des provocations étatsuniennes, les bombardements, les intrusions dans les eaux libyennes correspondant aux critères du capitalisme : l’humanitaire, la finance et le militaire et, des sanctions sur vingt ans.

    Pour Gaddafi, l’Afrique était un champ d’action politique incontournable. Il fut l’instigateur du concept d’Etats-Unis d’Afrique dans le cadre de l’Union Africaine, succédant à l’Organisation de l’Union Africaine, qui serait dotée d’un gouvernement fédéral, d’une banque, d’un marché commun, d’une monnaie, de ministères des affaires étrangères et du commerce et même d’une armée. On peut comprendre ainsi qu’à cette dynamique gaddafienne, certains dirigeants africains utilisèrent, par peur des réactions occidentales, la force de l’inertie, car, de 1999 à 2007, rien ne se fit.

    « En dehors de la menace venant du camp occidental, une ombre plane sur l’Afrique… Celle des groupes islamistes : « l’islamisme apparaît comme une menace potentielle sérieuse pour le projet d’Union Africaine… ». Gaddafi avait déjà eu un avant-goût de cette réalité en Libye avec ses groupes d’opposants dont Al-Qaïda. La guerre de 2011 du nom de « Protecteur unifié » dirigée par l’ONU et son bras armé, l’OTAN avait pour but de donner corps au renversement du régime comme conseillé par Henri Schuler, dès 1992 et même 1981, auprès de James Baker. Cette guerre a jeté le pays dans le chaos le plus total, pays qui repose sur une structure tribale composée d’environ 30 tribus principales regroupant 2 200 groupes tribaux et que le dirigeant libyen avait toujours maintenue.

    Si on veut comprendre ce qui se déroule en Libye actuellement, il faut posséder les données et les documents qui ont marqué les 42 ans de la République Arabe Libyenne, puis de la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste que l’on trouve dans cet ouvrage.
    Par Xavière Jardez

    *La Libye révolutionnaire dans le monde (1969-2011), par Françoise Petitdemange, (Edit. Parole Vives) – 520 pages – 29 euros

    Pour commander le livre

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/152528_152528.html#more-152528

  • Histoire • Jeanne et ses juges

    3675742907.jpgJean Sévillia a donné [Figaro magazine du 30.01.2016] le rappel historique qui suit des circonstances du procès de Jeanne d'Arc. Et c'est, en même temps, une excellente présentation de l'ouvrage que vient de publier Jacques Trémolet de Villers. Que les amis de Lafautearousseau ne manqueront pas de lire...  LFAR  

    Le 23 mai 1430, Jeanne d'Arc est capturée par les Bourguignons devant Compiègne. Six mois plus tard, elle est livrée aux Anglais, puis incarcérée à Rouen où le chapitre de la cathédrale accorde une concession de territoire à l'évêque de Beauvais, Cauchon, afin qu'il ouvre un procès pour les crimes que la Pucelle, faite prisonnière dans son diocèse, aurait commis : avoir « vécu dans le dérèglement et dans la honte, au mépris de l'état qui convient au sexe féminin », et avoir « semé et répandu plusieurs opinions contraires à la foi catholique ». Le 9 janvier 1431, la procédure s'engage. Quinze interrogatoires ont lieu entre le 21 février et le 17 mars. Les 27 et 28 mars, l'acte d'accusation est lu à la jeune fille. Au cours des semaines suivantes, diverses exhortations lui sont données. Jamais elle ne cède devant ses accusateurs.

    Le 24 mai, toutefois, face au bûcher où Cauchon commence à lui lire la sentence de mort, Jeanne faiblit : s'en remettant à l'Eglise pour la foi à accorder à ses voix, elle renonce à porter des vêtements d'homme en échange de la promesse d'être gardée par des femmes, dans une prison d'Eglise. La sentence étant commuée en prison à perpétuité, la Pucelle est reconduite dans son cachot anglais, au mépris de la parole qui lui a été donnée. Là, elle subit uni tentative de viol. Quatre jours plus tard, elle remet par conséquent ses habits d'homme. Dès lors considérée comme relapse, elle est brûlée vive, le 30 mai, sur la place du Vieux-Marché...

    De ce procès d'inquisition, le minutes ont été conservées. Il révèle, face à des juges qui mentent et qui trichent, l'intelligence de Jeanne d'Arc, sa vivacité d'esprit, son courage, sa simplicité, parfois ses fragilités. Avocat et essayiste, Jacques Trémolet de Villers publie les pièces intégrales de la procédure tout en les analysant - la typographie distinguant clairement le texte et le commentaire Ce faisant, l'auteur ressuscite la formidable dramaturgie de ce procès truqué, qui sera annulé vingt-cinq and plus tard, mais auquel on se surprend à rêver à une autre fin. Précieux document historique ce beau livre est aussi une leçon politiqua et spirituelle, et un émouvant exercice d'admiration pour Jeanne d'Arc, le plu: pur des symboles français. 
    Jeanne d'Arc. Le procès de Rouen (21 février-30 mai 1431), lu et commenté par Jacques Trémolet de Villers, Les Belles Lettres, 316 p., 24,90 €.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Conférence de Régis Chamagne : "Où va la défense de la France ?"

  • Réhabilitation du Moyen-Age: le temps de travail

    Notre chère Education Nationale nous serine que l’Ancien Régime était proche de l’enfer, dont le cœur brûlant était sûrement le Moyen-Age (les Heures Les Plus Sombres De Notre Histoire (TM)).

    Cette courte vidéo de « Ca m’intéresse » remet quelques pendules à l’heure.

    https://droitedavant.wordpress.com/2014/02/14/rehabilitation-du-moyen-age-le-temps-de-travail/