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culture et histoire - Page 1243

  • LES CROISADES, CE QU’IL FAUT SAVOIR…

    Les croisades ? Un des plus grands péchés de l’Eglise, le mal absolu, une sorte de guerre sainte islamiste version chrétienne obscurantiste moyenâgeuse, avec plus de femmes et d’enfants brûlés vifs parce qu’il ne voulait pas endosser le catholicisme déjà intégriste ? Halte au mythe ! Arrêtons tout de suite ce délire contemporain.

    http://www.actionroyaliste.com/

  • Forum de la Dissidence : il y a ceux qui pleurnichent et ceux qui se mobilisent

    Ajourd’hui se tenait le premier Forum de la Dissidence organisé par Polémia, où intervenaient des personnalités bien connues de la réinfosphère, devant un public acquis de six-cent-trente personnes.
    Différents thèmes y ont été abordés autour de tables rondes animées par Gabrielle Cluzel, chouchoute de Bd Voltaire, et Philippe Cristèle, lui-même de Polémia.

    Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, a ouvert le bal en évoquant la fin du Vieux Monde et cette étrange fin d’année 2015, « année radicale », surtout après le coup de massue psychologique de ces derniers jours. Se voulant rassurant, il s’est réjoui du grand retour des frontières sur le continent européen, avant de reprendre cette réplique de Marion Maréchal-Le Pen « Je ne serai pas de la génération qui s’excuse mais de celle qui revendique son héritage », une revendication que partagera d’ailleurs Charlotte d’Ornellas, journaliste d’un média alternatif spécialisée dans le sort des chrétiens d’Orient et appartenant au mouvement Génération 2013

    « Aujourd’hui il y a ceux qui pleurnichent et ceux qui se mobilisent. Mobilisez-vous, vous êtes l’avant-garde ! », s’est exclamé Jean-Yves Le Gallou, avant de laisser la parole à Béatrice Bourges intervenant sur le thème des valeurs. Celle-ci a rappelé la nécessité pour l’Homme de n’être pas un simple amas de cellules mais de rester cet être sacré avec des valeurs spirituelles, afin de garder pour objectif permanent la quête du bien commun et non plus de vaines et pernicieuses aspirations individualistes et marchandes. Après avoir fustigé un gouvernement qui s’obstine à ne pas vouloir nommer son ennemi et dénoncé l’islamisation de la France, elle a enjoint chacun de nous à se demander chaque matin ce qu’il pouvait faire pour son pays.

    La jeune journaliste, Charlotte d’Ornellas, à la tête aussi bien faite que bien pleine, a déploré notre surdité alors que les chrétiens d’Orient nous alertaient depuis des années sur les dangers de l’islam, répétant que nous ne nous en sortirions jamais si nous ne
    redevenions pas qui nous sommes, ajoutant que les auteurs des attentats du 13 novembre ne ciblaient pas des jeunes à une terrasse ou à un concert mais visaient la France dans son entièreté.
    Aux délires des Bisounours consécutifs aux massacres, elle a recadré d’un ton ferme : « entre les personnes qui veulent s’éclater et celles qui veulent s’exploser, je propose de nous enraciner ».
    Charlotte d’Ornellas a également dénoncé un système qui avait peur des mots au point d’en déformer gravement le sens. Un constat qui reviendra d’ailleurs régulièrement tout au long de l’après-midi, avec l’emploi d’une novlangue de plus en plus décomplexée et délirante, accompagnée d’une censure stalinienne illustrée par les trop fameux « pas d’amalgame » et « non à la stigmatisation », mais aussi ce qualificatif de « jeunes » pour désigner les seules racailles, ou encore le terme abusif de « quartiers populaires » évitant l’emploi sans doute trop stigmatisant du qualificatif plus approprié d’« ethniques ».
    Renaud Camus fera d’ailleurs remarquer que les quartiers dits « populaires » sont précisément ceux dont le peuple en a été chassé.

    Claire Chardon, de Génération 2013 également, nous a présenté différents livres à ne pas rater.

    Puis est arrivé, sous un tonnerre d’applaudissements, Robert Ménard.
    Evoquant les divergences qu’il avait avec Marine Le Pen, notamment sur l’Europe, le maire de Béziers a cependant affirmé l’impérieuse nécessité de voter pour le FN, précisant avoir imploré Philippe de Villiers de ne rien tenter contre elle. En guise d’anecdote, il a fait valoir qu’il était originaire de Béziers avant d’y être élu mais que tel n’était pas le cas de tous les candidats, certains pouvant même se tromper carrément de canton dans leurs déplacements !
    Il nous a fait savoir sa grande popularité auprès de ses administrés qu’il s’honorait de recevoir un jour par semaine, les plus jeunes accourant vers lui pour se faire photographier à ses côtés. Les Biterrois lui sont reconnaissants pour la gratuité des musées de la ville, pour la réduction de 50% de la mutuelle, pour les repas de la cantine scolaire à un euro, etc.
    Contre l’avis des maires de France qu’il a encouragé « à aller se faire foutre », il nous a fait savoir qu’il allait installer une crèche dans sa ville. Il s’est ensuite amusé du fait qu’après avoir suscité un tollé en armant sa police municipale, c’était aujourd’hui le gouvernement qui armait ses troupes dans toute la France.
    Déplorant un climat délétère, il nous a ensuite raconté le mal être de certains journalistes, notamment de chez I-Télé, qui lui confiaient leur ras-le-bol de « faire de la merde », avant de revenir sur la polémique suscitée par le récent changement de titre pratiqué en catimini par France Inter pour masquer une piteuse propagande dont ils voyaient qu’elle ne tenait plus la route.
    Ménard n’est pas du genre à se laisser imposer des idées autres que les siennes, allant même jusqu’à faire plier la présidente du conseil de surveillance des Galeries Lafayette qui voulait fermer le grand magasin après l’élection d’un maire jugé trop nauséabond. La mesure de rétorsion a été à la hauteur de l’affront, puisque le maire a fait apposer des affiches la montrant sous son jour le plus mauvais. Le résultat a été que Ginette Moulin a fini par accepter que les Galeries restent à Béziers.
    Le succès de son action est tel que la ville a développé ce qu’il a appelé un « tourisme politique » fait de visiteurs curieux d’y faire un tour, désireux de féliciter son maire, mais aussi nombre de personnes hostiles venant pour critiquer mais repartant bredouilles.

    Après une pause d’une demi-heure, Renaud Camus s’est installé, entouré par Julien Rochedy et Damien Rieu. Renaud s’est amusé d’un titre du Parisien s’alarmant d’une « inquiétante montée religieuse à la RATP » en évitant toutefois avec une certaine frayeur de nommer les choses, des fois qu’elles leur sautent à la figure, laissant donc planer un certain doute sur cette religion, des fois qu’il s’agisse de « messes sauvages faites par des fidèles de Saint-Pie V » !
    Tour à tour, les trois invités sont intervenus au gré des questions. Concernant l’avenir de la France et plus largement des pays européens, Julien Rochedy, bien que satisfait de voir des jeunes s’affranchissant de la propagande d’Etat pour rallier en grand nombre le camp des patriotes, s’est cependant montré pessimiste, ne croyant ni en la possibilité d’une remigration massive ni en une assimilation dont on voit bien chaque jour qu’elle ne peut être qu’utopique. Refusant de s’accrocher à des chimères, à une France morte qui ne renaitra plus, à un peuple français « qui n’est déjà plus qu’un concept » transmuté en « population », il encourage plutôt à travailler à la création d’ilots de résistance, de « sanctuaires », où les enfants de survivants pourraient grandir entre eux en sécurité.
    Damien Rieu, porte-parole de Génération Identitaire, a à son tour été très chaleureusement applaudi après l’énumération des hauts-faits de ses troupes, entre le chantier de la mosquée de Poitiers, le siège du PS, la gare d’Arras ou encore tout récemment la
    maison de retraite de Triel. Il a indiqué que ces actions avaient notamment pour vocation d’obliger les médias à parler de sujets dérangeants, lesquels médias sont « pulvérisés » depuis les attentats de vendredi.

    Contrairement à Julien, Damien se veut plus optimiste, constatant le réveil de toute la jeunesse d’Europe qui n’accepte plus les mensonges et les compromissions, qui n’accepte pas de mourir sans rien faire sous le joug cumulé de l’islam, de l’immigration massive et de l’oligarchie européenne mondialiste.
    Renaud Camus a pour sa part fustigé le remplacisme généralisé, les hommes, les femmes, les pays, les paysages, tout devenant objet de consommation échangeable, monnayable, remplaçable, regrettant que la France avec un autre peuple ne serait plus la France. De notre pays ne subsisterait plus qu’un territoire sans âme, une page blanche sans Histoire, sans héros ni racines.

    Enfin Michel Geoffroy, co-auteur du Dictionnaire de Novlangue, a conclu cet après-midi fort riche par l’évocation des deux grosses manipulations médiatico-politiques de l’année que sont l’opération « je suis Charlie » montée de toutes pièces par le régime socialiste, et l’usage répugnant fait de la photo scénarisée et instrumentalisée du petit Aylan. Il a pointé la volonté des oligarques d’acquérir une main d’œuvre corvéable à merci pour pas cher, le fait que « les Européens n’ont que le droit d’acquiescer à leur servitude ». Il a également insisté sur la censure, sur l’esbroufe de la NSA et du Patriot Act, prétextes de lutte contre le terrorisme, quand ces mesures n’ont pour unique vocation que de lutter contre toute revendication patriote qualifiée de « haine » par quiconque n’y trouve pas avantage, illustrant son propos par ce titre édifiant du Figaro « Les Français prêts à restreindre leurs libertés pour plus de sécurité »…

    Caroline Alamachère, 21/11/2015

    Source :Riposte laïque.com

    http://www.polemia.com/forum-de-la-dissidence-il-y-a-ceux-qui-pleurnichent-et-ceux-qui-se-mobilisent/

  • En lisant Philippe de Villiers

    Dans Le Moment est venu de dire ce que j’ai vu, Philippe de Villiers exprime tout son dégoût d’un système corrompu et corrupteur. Mais, au-delà du réquisitoire, se dégage un discours de politique empirique.

    Un livre vient de paraître dont la pertinence politique est aujourd’hui d’une absolue évidence. Accessible à tous. Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (Albin Michel) de Philippe de Villiers éclaire de l’intérieur le drame français. Comment se fait-il que la France, l’un des pays les plus puissants au monde, soit arrivé à ce point de décrépitude en quelques décennies ?

    Philippe de Villiers, sans faire de théorie, en expose les causes, en livrant le récit – haut en couleurs, il est vrai – de ce qu’il a vécu. Son expérience personnelle d’homme politique suffit, mais d’un homme politique qui a l’innocence de croire à ce qu’il dit et l’intelligence de donner du sens à ce qu’il fait. Apparemment, c’est extrêmement rare. Incompatible, en tout cas, avec le système en vigueur.

    « L’emburenage » politicien

     La classe politique française dans son ensemble – il y a toujours des exceptions – a renoncé à la France. Ceux qui vivent de la politique, en faisant allégeance au régime tel qu’il est, se privent de la liberté première d’être tout simplement français. Consciemment, inconsciemment, c’est ainsi. Des théories absconses dont leurs esprits inconsistants se satisfont et qui fixent tous leurs comportements intellectuels et politiques en les orientant sur on ne sait quel sens de l’histoire, leur ont fait perdre tout sens de la France.

    De Giscard à Hollande, en passant par Mitterrand, Chirac et Sarkozy, c’est manifestement la même fausse logique qui les a tous entraînés à mépriser concrètement la France pour ne prendre en considération que des évolutions générales, dites « modernes », dont le monde, d’après cette théorie simpliste, serait porteur : une sorte d’hégélianisme et de marxisme à la mode libérale et capitaliste, un « sous-Ricardo » indéfiniment revu et corrigé, au gré des circonstances, par les économistes et les penseurs à la mode, leur tient lieu de pensée.

    Rien de français dans ce ragoût idéaliste et matérialiste, les deux à la fois, composé fondamentalement de salmigondis anglo-saxons et germaniques. Mais y- a-t-il encore une pensée française ? Est-il seulement permis de penser français? Les quelques journalistes et intellectuels français, même venus de la gauche, qui commencent à se rendre compte de cet effroyable esclavage de la pensée, s’insurgent à juste titre. Est-ce là l’aboutissement de la République ?

    Eh bien, telle qu’elle fonctionne, oui ! Les vertus dont ils pensaient créditer le régime, n’étaient, en effet, qu’à mettre au crédit de la France. Les politiciens ont toujours vécu de cette ambiguïté : la France vraie, la République de principe, le régime sordide dont ils vivent. La France vivait et vit encore avec ses familles, ses soldats, ses industriels, ses commerçants, ses artisans, ses agriculteurs, ses professeurs et instituteurs, ses magistrats, ses gens de justice, ses ingénieurs, ses ouvriers, ses patrons…

    Cette réalité ne demande qu’à vivre, à prospérer et à se perpétuer dans ses hautes traditions qui savent, d’ailleurs, par elles-mêmes , parfaitement se renouveler ; mais, là-dessus, se hausse un monde politicien qui n’est, dans sa combinaison partisane, qu’une super structure inutile et qui vit sur la « bête ». Seuls ceux qui sont en charge d ’intérêts collectifs réels peuvent appréhender ce qu’est réellement la politique. Mais les professionnels de la politicaillerie – généralement des nantis intouchables de la fonction publique –, sont en réalité des monstres.

    Des forcenés qui ne vivent que pour satisfaire leurs ambitions. Voilà l’origine du malaise des Français, de la société française, jusque et y compris dans sa vie morale et artistique. Ça commence à se dire et à se savoir, tant mieux ! Il suffit de lire Villiers. L ’affaire des colonnes de Buren est de ce point de vue emblématique. De gauche , de droite, ces gens-là nous « emburenneront » jusqu’au cou !

    À voir par exemple, le sort réservé chez nous à un Maurice Allais, l’économiste – prix Nobel – qui a tout prévu de ce qui allait se passer, il apparaît à l’évidence qu’une réflexion française, propre à la France et, par ailleurs, bénéfique pour les nations, ne saurait même être envisagée par la dogmatique dite « républicaine » qui impose aujourd’hui ses articles de foi et son système d’inquisition.

    Cette dogmatique qui ose se dire « française », est totalement aliénée, dépendante de quatre ou cinq lieux communs qui bêtifient les esprits, privent les Français de toute vraie liberté et les livre aux forces ennemies, sur notre territoire même, à l’islamisme singulièrement, au mondialisme financier pareillement.

    Entrer en dissidence

    Une telle pensée, totalitaire à l’intérieur, tout en faisant de la licence sa règle, est, par nature, sur l’extérieur, perméable à toutes les influences étrangères ; elle se laisse dicter ses principes de conduite par les grands cercles mondialistes – est-il besoin de les énumérer ? – et qui, comme par hasard, sont au service d’intérêts économiques énormes, multinationaux, transnationaux, qu’aucun scrupule n’embarrasse ; ils détruisent tout sous leurs rouleaux compresseurs : les peuples, les nations, les moeurs, les lois, les coutumes, les habitudes de vie, les civilisations. Transformer le monde en masses indifférenciées de consommateurs-producteurs, voilà le but. L’immigration de masse ne gêne pas les cosmopolites apatrides!

    Ainsi les dirigeants français, ont-ils tout cédé à une Europe technocratique qui ne leur appartient même plus, sauf à y faire une carrière personnelle juteuse, une Europe qui, d’ailleurs, ne s’appartient plus elle-même et qui s’apprête à se livrer entièrement aux États-Unis et, au-delà, à un vaste ensemble globalisé dont la loi ne sera plus que le profit, l’argent, Mammon : les riches, selon l’aphorisme ricardo-marxiste, devenant toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres.

    Bien sûr, la théorie officielle vous explique doctement que, malgré tout, tout le monde s’enrichit ! En attendant, la France, elle, s’appauvrit. Le « fric », d’un côté, les lois « sociétales » de l’autre, tout ça marche ensemble ; et les financiers qui font marcher cette machine et dont le tartuffe d’Hollande est l’obligé, sont devenus nos maîtres. La France, un pays libre ? Allons, soyons sérieux! Et Bruxelles ? Villiers en fait le tableau : le « Bruxelles » officiel où les lobbies sont à la manoeuvre, avec, au coeur, « le fric » et « LGBT », toujours la même chose!

    Le « Bruxelles » officieux et secret dont il raconte une séance nocturne pour y avoir assisté de manière impromptue ; là, seul y est admis le gros argent mondialisé, avec ses sbires, ses profiteurs, ses maîtres patentés, ses doctes stratèges, tableau sinistre et pourtant d’une drôlerie criante de vérité! Le livre de Villiers est rempli d’anecdotes, toutes plus savoureuses les unes que les autres, tristes quant au fond, car il s’agit de la France, comiques quant aux personnes concernées, car elles sont ridicules dans leur suffisance insupportable.

    Le régime le veut ainsi : ce sont nos gouvernants ! Leur morgue dissimule mal leur vaniteuse vacuité. Mais voilà : ils ont appris des « trucs » pour gagner. Gagner des élections, gagner de l’argent, gagner des places, gagner des honneurs qu’ils s’attribuent entre eux. « Gagner et, après, on verra », telle est leur formule. Aucune noblesse d’âme, aucune élévation d’esprit, aucune vision historique, aucun sens du bien commun.

    Quelle galerie de portraits, quelle verve à la Daudet! Vouloir le bien dans un cadre pareil non seulement est impossible, mais ne fait que précipiter la catastrophe. Que les tenants d’un redressement national se le tiennent pour dit. C’est l’heure de la dissidence, prévient Villiers. Retenons ce mot de dissidence. De l’Est, elle doit passer à l’Ouest. 

      Directeur de Politique magazine

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2015/11/23/en-lisant-philippe-de-villiers-5720890.html

  • Livre : parution : Comprendre l'islam : Guillaume Faye

    Comprendre l’islam, c’est repérer sa double logique, son double ADN millénaire : le totalitarisme et le djihad, la guerre de conquête sans limite géographique, par la ruse ou par la violence. Comprendre l’islam, c ‘est voir qu’en dépit de ses divisions intestines meurtrières, il désigne un ennemi commun : notre civilisation et toutes les autres. Comprendre l’islam, c’est saisir qu’il n’existe aucune différence, seulement tactique, entre islam et islamisme. Comprendre l’islam, c’est réfléchir sur sa confusion de la foi et de la loi, du spirituel et du temporel, du religieux et du politique. Comprendre l’islam, c’est admettre son incompatibilité absolue, d’essence, avec la démocratie pluraliste, la laïcité et la liberté. Sa raison d’être est la théocratie, son règne signifie le recul de l’intelligence.
    ErreurComprendre l’islam, c’est voir qu’un ”islam laïc” ou un ”islam des Lumières” sont des utopies. Ses collaborateurs occidentaux sont des soumis, des apeurés, des aveuglés, des schizophrènes en contradiction avec leurs propres principes. Comprendre l’islam, c’est débusquer des convergences troubles avec le fascisme, le nazisme, le communisme marxiste, l’antisémitisme. Comprendre l’islam, c’est mesurer à quel point il joue sur une immigration de peuplement et de colonisation massive, rapide et incontrôlée.
    Comprendre l’islam, c’est percevoir qu’il ne possède ni métaphysique, ni théologie ni philosophie mais fonctionne sur le binôme dogmatique de la superstition et de l’idéologie. C’est aussi réfléchir sur le duel entre l’obscurantisme et la raison, entre la liberté et la soumission.
    Comprendre l’islam, c’est admettre sa puissance historique de sidération et de conquête, ressurgie des siècles anciens, archéofuturiste et volontariste. Comprendre l’islam, c’est refuser de se soumettre à ses valeurs et d’admettre ses principes. Comprendre l’islam, ce n’est pas le mépriser, car il n’est pas méprisable, c’est le connaître, afin d’éviter l’islamisation de l’Europe qui déboucherait sur un cataclysme et une décadence.
    L’auteur s’exprime d’un point de vue aristotélicien.
    L’auteur : Guillaume Faye, auteur de nombreux livres, est l’auteur du blog gfaye.com ou J’ai Tout Compris. Conférencier en UE, en Russie et en Amérique du Nord, il est considéré comme un théoricien dissident de la « Nouvelle Droite ».
    Sommaire 
    Introduction : une nouveauté archaïque radicale
    I La nature historique de l’islam : l’invention du totalitarisme
    II Le processus d’islamisation de la France et de l’Europe
    III Les collaborateurs de l’islamisation et les résistants
    IV L’idéologie islamique : fractures, contradictions et ruses
    V L’Europe comme champ de bataille, Dar al-Arb
    VI Penser l’islam pour le prévoir
    Conclusion : éviter la défaite

    Ouvrage disponible ici
    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuVAupyAVBBhVQhHi.shtml
  • Le Salon Beige, un site "ultra catholique"

    Il aura fallu attendre les attentats islamistes pour que Bruno Roger-Petit ose citer l'entretien avec la bête immonde Marion Maréchal Le Pen sur Radio courtoisie, en partenariat avec Le Salon Beige. Et le grand résistant se fait le héraut de la laïcité républicaine, celle qui a confisqué les biens de l'Eglise, expulsé les congrégations et qui veut aujourd'hui interdire les crèches dans l'espace public :

    6a00d83451619c69e201bb08947e9f970d-320wi.png"[...] la pensée dévoilée de Marion Maréchal-Le Pen est d’essence contre-révolutionnaire. Elle est celle que portent, depuis 1789, tous les courants politiques extrémistes antirépublicains, qui ont tenté, par tous les moyens, notamment sous le régime de Vichy, de restaurer une France catholique au-dessus de tout, y compris et surtout au-dessus de la République bâtie sur la Déclaration des Droits et l’Homme et du Citoyen.

    Terrible passage que celui où Marion Maréchal-Le Pen, encouragée par son interviewer [Grégoire Boucher], juge qu’il n’y a pas de raison de mourir pour la République et la laïcité. La certaine idée de la France que se fait la petite-fille de Jean-Marie Le Pen (entre Charles Maurras et son ami Jacques de Guillebon, intellectuel catholique ultra qui serait devenu son inspirateur) est encore plus réactionnaire que celle de l’ancêtre fondateur du Front national qui lui, n’avait jamais subordonné son action à une vision intégriste du catholicisme français appliquée à la sphère publique.

    Au-delà de la manifestation de la tradition ultra-catholique, l’entretien est aussi instructif en ce qu’il acte une formidable opération de triangulation et préemption des concepts et droits républicains. [...]"

    Heureusement qu'il y a les catholiques pour occuper les laïcistes. Sinon ils devraient se cantonner à parler de la charia.

    Michel Janva