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culture et histoire - Page 1657

  • Décrochage scolaire et immigration : si on arrêtait la langue de bois ?

    Le ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, présentait mercredi les premiers résultats de son plan de lutte contre le décrochage scolaire, déclaré « priorité nationale absolue ». Il faut dire que nos voisins européens nous poussent aux fesses : la « Stratégie Europe 2020 » nous fait obligation de nous attaquer au problème.

    140.000 jeunes quittent chaque année le système scolaire sans aucun diplôme – le chiffre est connu.

    Le bilan du repêchage est enthousiasmant, dit le ministre : « Cette année,
    23.000 jeunes âgés de 16 à 25 ans ont été “raccrochés” : 20.000 sont retournés en formation initiale et 3 000 effectuent un service civique. De plus, 11.000 jeunes bénéficient d’un “parcours de retour en formation” sous l’égide de la Mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) : préparation au baccalauréat, stages de remotivation pour un retour en formation ou accompagnement pour une réinsertion professionnelle. »

    Lire la suite .....

  • [AF Provence] Session de formation à l’occasion du 80e anniversaire du 6 février 34 : la diversité des moyens de luttes aujourd’hui

    SAMEDI ET DIMANCHE 8-9 FEVRIER 2014, session de formation organisée par la Fédération Provence Alpes Cote d’Azur, en périphérie de Marseille, sur la diversité des moyens de luttes aujourd’hui

    SOUS LES PAVÉS, LA RAGE !

    80 ans après les émeutes populaires du 6 février 1934, il s’agit d’orienter toujours davantage notre stratégie vers la prise du pouvoir

    Le thème exact des conférences vous sera indiqué très prochainement.

    Les sections limitrophes sont invitées à mobiliser leurs militants pour cette session.

    Le dimanche, une visite de Martigues et de la maison de Maurras sera organisée.

    Pour plus d’informations : marseille@actionfrancaise.net

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?AF-Provence-Session-de-formation-a

     
  • La manipulation qui vient (par Zentropa)

    Le gouvernement français – c’est à dire la représentation nationale temporaire des intérêts et stratégies de la finance internationale – est à l’agonie, du moins dans son actuelle version « libérale gauchiste » cornaquée par l’ectoplasme Hollande. Celle-ci, en effet, parvient de moins à moins efficacement à masquer son inutilité politique absolue et son rôle de simple bureau d’enregistrement des consignes du FMI et des holdings financiers. D’où la multiplication des opérations d’enfumage et des psychodrames « sociétaux » tentant désespérément de détourner l’attention des derniers citoyens éveillés de la réalité des problématiques de fond et des enjeux fondamentaux. Du « mariage pour tous » à la « quenelle Dieudonnesque » en passant par « Léonarda », le grand guignol Elyséo-matignonesque a véritablement fait feu de tous bois sans craindre ni le ridicule ni le pathétique. La stratégie « Marions les fiottes pendant qu’on encule les travailleurs » a notamment assez bien fonctionné puisque, pendant que la France conservatrice se déversait dans les rues pour empêcher quelques centaines d’invertis de se ridiculiser devant monsieur le Maire, on consacrait la disparition du CDI, le droit des patrons à baisser les salaires, le licenciement facilité et la mobilité forcée.
    Cependant, malgré quelques succès ponctuels, ces politiques de diversion semblent arriver aujourd’hui à bout de souffle, ce qui explique l’actuel désarroi du gouvernement obligé d’essayer, de toutes ses forces anémiées, de transformer un histrion à demi africain en réincarnation du Grand Satan nazi.
    Le Roi est nu et cela commence à drôlement se voir.
    Pour espérer se sauver en attendant que leurs maîtres aient préparé une jolie « alternance » libérale-droitarde, les fantoches dits « socialistes », n’ont désormais plus beaucoup de possibilités hors celle de recourir au bon vieux filon du « complot d’extrême droite ». « Certes nous sommes nuls, incompétents, surpayés et corrompus, veules, inaptes à vous défendre contre la violence, qu’elle soit économique ou de rue, incapables de vous offrir des perspectives et un avenir à vos enfants… mais nous pouvons encore vous sauver de la menace fasciste ! »Et les égouts du pouvoir commencent donc à exhaler de très sales et émétiques remugles de machination et de manipulation… Après le coup manqué de « l’affaire Méric » et la tambouille mal engagée du « Dieudogate » (la France « black, blanc, beur » qui entoure le comédien ne peut pas être véritablement « fasciste » ni dénoncée comme telle…), on sent nos apprentis sorciers des divers « services » forts tentés d’en appeler aux auspices de « Carpentras », cet exemple archétypal d’un coup fourré magistralement orchestré et d’une diabolisation parfaitement réussie.
    Bien sûr, aujourd’hui, au vu de l’état de décrédibilisation du (faux)pouvoir Hollandien, il convient que le coup soit de grande ampleur ! Un « complot » liant certains éléments de l’armée et des « groupes d’extrême droite» remplirait, par exemple, parfaitement cet office ! Un tel scénario parlerait à notre mémoire collective, reprendrait les clichés courants sur les militaires et serait l’aboutissement des divers« faits divers », généreusement relayés par les médias, sur tel militaire portant sur son uniforme une devise « nazie » ou tel officier ayant exprimé sa sympathie pour le mouvement « factieux » de la Manif pour tous…
    Mais quel que soit la mise en scène finalement retenue, il est évident que la période actuelle doit être – encore plus que d’ordinaire- celle de la plus grande prudence dans les milieux activistes et radicaux. Tout encouragement à « l’action directe », toute hagiographie du « coup de force », toute invitation à la violence doivent être analysés à l’aune de ce que nous venons d’évoquer et rejetés avec le dédain et l’assurance du militant politique qui garde la tête froide et voit très bien à qui profiteraient les « actions» qu’on l’encourage à exécuter ou du moins à « préparer ». Le temps est au travail, à la formation, à la construction d’alternatives associatives et sociales, à la solidarité communautaire, au développement d’espaces autonomes, à la production intellectuelle et artistique, pas au complots d’opérettes ni aux fantasmes post-adolescents !
    Afin de ne pas devenir les idiots utiles en même temps les victimes immolées d’un semi-pouvoir aux abois, d’évidence prêt aux plus infâmes bassesses pour continuer à justifier son existence.

    Zentropa

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • L’Europe est-elle encore une puissance politique ?

    Entretien avec Alain de Benoist

    L’Europe est-elle encore une puissance politique ?
    Il semblerait que de plus en plus de gens estiment que nos soldats n’ont rien à faire en Afrique. La politique étrangère de la France devrait-elle se résumer à celle du Costa Rica ?
    De façon générale, nos concitoyens se passionnent pour la moindre anecdote de politique intérieure, mais s’intéressent assez peu à la politique étrangère. Qui peut citer, par exemple, le nom d’un seul ministre du gouvernement d’un pays voisin ? La politique étrangère est pourtant ce qui compte le plus. C’est elle qui détermine le rang d’un pays. C’est elle qui exprime l’idée qu’il se fait du nomos de la Terre. C’est elle, aussi, qui révèle le mieux l’essence du politique, puisqu’elle implique la dualité du couple ami-ennemi. Nous sommes, par ailleurs, aujourd’hui dans un monde globalisé, où tout retentit instantanément sur tout. Non seulement les frontières n’arrêtent plus rien, mais la mondialisation abolit l’espace et le temps : alors que le monde de la modernité était un monde de non-synchronicité, la mondialisation réalise une synchronicité planétaire (le « temps zéro »). Difficile, dans ces conditions, de rester le nez sur la vitre ou de se replier dans l’entre-soi. Mais encore faut-il avoir quelque curiosité, être capable de s’informer, posséder quelques notions de géopolitique. Et savoir raisonner avec des catégories un peu plus intelligentes que le « fascisme », les « États voyous » ou les « lécheurs de babouches ».
    L’exemple que vous donnez n’est cependant pas le meilleur. On peut en effet être convaincu de la nécessité d’avoir une politique étrangère et contester l’opportunité des récentes interventions en Afrique. Si l’on n’avait pas été assez stupides pour faire la guerre à la Libye avec pour seul résultat d’y instaurer la guerre civile et le chaos – ce qui a entraîné la déstabilisation de tout le Sahel –, on se serait épargné l’intervention au Mali, où nos troupes vont bientôt se retrouver prises entre deux feux. Quant à la République centrafricaine, où l’on est au contraire intervenu beaucoup trop tard – en ignorant de surcroît les réalités ethno-politiques locales –, les déboires s’y accumulent déjà. La vérité est que la France n’a plus de politique étrangère (elle s’est totalement déconsidérée dans l’affaire syrienne), et que les initiatives qu’elle prend sont plus favorables à l’axe américano-qataro-israélien qu’aux intérêts français. Si l’on y ajoute la baisse drastique des crédits militaires, tout cela augure mal de l’avenir.
    Quand Bernard Antony, ancien député européen FN, écrit que ce qui se passe en Palestine « ne nous regarde pas », n’est-ce pas étrange, pour un catholique revendiqué, de ne pas s’intéresser à cette terre qui a vu naître le Christ ?
    On compte aujourd’hui 90 000 chrétiens vivant dans les territoires occupés. Plusieurs figures éminentes de la résistance palestinienne sont issues de la communauté chrétienne (il suffit de citer les noms de Georges Habache, Hanan Ashrawi ou Nayef Hawatmeh). En avril dernier, les chrétiens de Palestine ont adressé une lettre ouverte au pape François pour protester contre la décision israélienne de bâtir un « mur de sécurité » qui va séparer Bethléem de Jérusalem au profit des colonies, la qualifiant « d’attaque contre le tissu social palestinien et la présence palestinienne chrétienne ». Sur le sort de ces Palestiniens chrétiens qui partagent le sort de leurs concitoyens musulmans dans les territoires occupés, on peut lire le rapport accablant publié en 2012 par le Conseil œcuménique des Églises sous le titre Faith under Occupation. Cela dit, M. Antony est libre de penser ce qu’il veut. Peut-être pourrait-on seulement lui rappeler que Jésus est maudit dans le Talmud, alors qu’il est vénéré (mais pas adoré) dans le Coran. Et subsidiairement, que les milices chrétiennes de Centrafrique ne sont pas moins criminelles que les milices musulmanes.
    Vous avez été l’un des premiers, à l’époque de la guerre froide, à appeler à une alliance entre l’Europe et ce que l’on nommait naguère le tiers monde. Quel codicille ajouter aujourd’hui ?
    Il y a peu de choses à ajouter, sinon qu’on a changé d’époque. Dans le monde bipolaire de la guerre froide, l’Europe aurait pu prendre la tête du mouvement des non-alignés. À l’époque des pays émergents, elle pourrait chercher à s’imposer comme une puissance autonome – et, simultanément, travailler à l’émergence d’un axe Paris-Berlin-Moscou. Mais l’Europe n’en a ni les moyens ni, surtout, la volonté. Elle préfère se transformer en un vaste marché plutôt que de devenir une puissance qui serait en même temps un creuset de culture et de civilisation. La grande alternative à laquelle nous sommes confrontés est pourtant plus claire que jamais : il s’agit de savoir si le nouveau nomos de la Terre sera unipolaire, c’est-à-dire dépendant globalement de la puissance américaine et des marchés financiers, ou bien multipolaire, les grands blocs continentaux s’imposant comme autant de pôles de régulation de la globalisation.
    À long terme, l’Afrique sera le continent qui comptera le plus, ne serait-ce qu’en termes de ressources naturelles. Les Chinois s’y installent, les Américains aussi. Que reste-t-il de la Françafrique ?
    Je ne suis pas sûr que l’Afrique sera, à terme, le continent « qui comptera le plus » (sauf peut-être sur le plan démographique). De la Françafrique, il reste des vestiges. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pas eu de décolonisation économique, commerciale ou technologique. Même sur le plan politique, l’Afrique reste en proie à des conflits ethniques dus à des frontières coloniales qui ont artificiellement coupé des peuples en deux ou réuni dans un même pays des ethnies antagonistes depuis toujours.
    La mondialisation elle-même, qui est dans une large mesure une nouvelle forme d’occidentalisme, fonctionne comme une structure néocoloniale fondée sur ce mythe du « développement » qu’a si bien critiqué Serge Latouche. Elle équivaut à une colonisation des sociétés humaines par la logique du profit et la finance de marché, puisqu’elle vise à généraliser à l’échelle planétaire les valeurs de l’Occident libéral : règne de l’individu, universalité abstraite, etc. – l’idée générale étant que ce qui n’a pas de sens économique n’en a aucun. La mondialisation est d’abord, et avant tout, une marchandisation du monde, où le fétichisme de la marchandise et le primat de la valeur d’échange entraînent une réification généralisée des rapports sociaux. Le système capitaliste continue plus que jamais à éradiquer toutes les cultures enracinées, et à supprimer toutes les structures traditionnelles qui empêchent l’émergence d’un individu manipulable à merci sur le grand marché planétaire. La mondialisation fait du déracinement un idéal et une norme. « En ce sens, dit à juste titre Hervé Juvin, la culture-monde est bien une négation de la condition humaine. »
  • Néopaganisme républicain : snif, snif, encore un "arbre de la laïcité" guillotiné !

    Avec un aveu de taille du député Alain Tourret qui avait participé à la plantation de cet arbre de la laïcité : ceux qui l’ont scié ont commis une ... "profanation" ! Ou quand la laïcité est bien une religion, celle du néopaganisme républicain.

    " L’arbre de la laïcité victime de la bêtise obscurantiste

    Le samedi 23 novembre dernier, à Parfouru-sur-Odon, en présence de Dominique Aguiton, maire de la commune, j’avais participé à la plantation d’un « Arbre de la Laïcité ». Ce lundi 5 janvier, les Délégués Départementaux de l’Education Nationale, qui avaient pris l’initiative de cette plantation, m’ont informé que l’érable symbolique n’a pas résisté à la bêtise obscurantiste.

    Entre le 2 et le 5 janvier, le tronc de cet Arbre de la Laïcité a en effet été scié et la plaque provisoire rappelant sa plantation taguée.

    Madame le maire de Parfouru-sur-Odon a décidé de porter plainte et l’association des DDEN du Calvados s’associera à cette démarche que je soutiens.

    Joël Chauvin, président des DDEN du Calvados, avait, lors de la plantation de cet arbre, défini la laïcité comme « la possibilité de vivre ensemble en se respectant les uns les autres, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses. »

    L’enquête de gendarmerie permettra, je l’espère, d’identifier les auteurs de cette profanation et de savoir s’ils ont agi par pure bêtise ou s’il faut donner, comme je le crains, une signification politique à leur geste.

    Dans le climat actuel de montée des extrémismes, je constate que les atteintes à la laïcité et les actes d’hostilité aux symboles républicains se multiplient. A Angers, par exemple, un tel Arbre de la Laïcité a été abattu à deux reprises.

    Les auteurs de tels actes doivent donc savoir qu’ils seront poursuivis et châtiés avec la sévérité qui convient. "

    Alain Tourret, député du Calvados

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Neopaganisme-republicain-snif-snif

  • L'apprentissage contre le chômage : la preuve par la Suisse, sur France 2

    Eh, oui, on ne cesse de s'en plaindre, car c'est un scandale : le "monde journalistique", en France, est à gauche et à l'extrême-gauche, à 80, 85% voire plus; et, trop souvent, les journalistes font passer, à l'antenne, leur carte de parti avant leur carte de presse. C'est vrai, ce n'est pas normal, c'est même intolérable, et on l'a dit mille fois ici.

    Cependant, à lafautearousseau, on n'est pas grognon, on n'a pas mal au foie, et on tâche d'être juste : on prend son bien où et quand on le trouve et, de David Pujadas à Gilles Bouleau, à chaque fois qu'à la télé un journaliste nous offre du réel et du vrai, on s'en réjouit et on le signale...

    Ainsi, lundi dernier, 16 décembre, c'est à France 2 qu'est revenue la palme du bon reportage : Le miracle suisse, c'est sous cet intitulé que la chaîne a consacré la 43ème édition de son émission documentaire Un oeil sur la planète. Les Suisses en ont, d'ailleurs, été ravis, et ils n'ont pas tardé à le faire savoir, ce qui est bien naturel :

     http://www.bilan.ch/node/1010863

    Suisse : l'apprentissage vaut de l'or :

    https://www.facebook.com/20H.France2#!/photo.php?v=660384...

    C'est l'un des pays les plus riches d'Europe : très haut niveau de vie, chômage inférieur à 4%. Quel est son secret ? les banques ? Pas seulement... les Suisses ont aussi l'apprentissage. Là-bas, deux tiers des élèves deviennent apprentis à l'adolescence. Tout le contraire d'une voie de garage : une voie royale.

    La recette anti-chômage

    De telles performances expliquent que le taux de chômage soit l’un des plus faibles au monde. Mais c’est aussi la réussite du système de formation. Plus des 2/3 des petits Suisses quittent l’école à 15 ans pour entrer en apprentissage. Cela donne une main d’œuvre bien formée, bien payée et motivée car l’ascenseur social fonctionne toujours. Et la minorité qui fait des études bénéficie de conditions de rêve dans des établissements ultramodernes… (Un reportage de Julien Duperray et Annie Tribouart)

    Une vraie démocratie

    L’une des clés du miracle suisse tient en deux mots : démocratie directe. Le peuple suisse se mêle de tout, tout le temps et ça marche. A l’échelon local, cantonal ou fédéral, les citoyens suisses peuvent faire entendre leurs voix grâce aux votations et référendums. Loin d’être un frein à l’initiative, ces votes à répétition donnent une démocratie moderne et vivante. (Un reportage de Jérôme Tournier et Didier Dahan)

    Et nous, pendant ce temps-là, q'uest-ce qu'on fait ? Nous, c'est-à-dire ce Système, cette République idéologique qui nous abaisse, qui nous ruine, qui nous déclasse inexorablement ? Eh, bien c'est simple : elle fait exactement le contraire ! Vincent Peillon vient de supprimer la possibilité de l'apprentissage à partir de 14 ans ! Là où les Allemands (deuxième "bon" exemple, après la Suisse) ont un million d'apprentis, la France n'a jamais réussi à dépasser les 200.000. Et on va encore aller plus bas, alors que Suisse et Allemagne ont - grâce à l'apprentissage - un taux de chômage en général, et de chômage des jeunes en particulier très largement inférieur au nôtre. Mais, de cela, Peillon s'en fiche ; ce qu'il veut, c'est garder les enfants à l'école le plus longtemps possible pour les formater, pour les endoctriner, pour configurer leur esprit à sa nouvelle religion républicaine. En terme crus, pour leur "bourrer le crâne"...

    Alors, une seule solution : être révolutionnaires de ce Système nuisible, perfide et qui va directement à l'encontre des intérêts des Français.

    Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !... 

    vincent peillon ecole.JPG 

     Depuis 1798 et 1875, avec l'instauration de la République idéologique qui en est l'héritière, l'idéologie destructrice est préférée aux réalités...