culture et histoire - Page 490
-
Point de vue n°8 - la Constitution sociale
-
Les Maudits de l’Histoire
Un essai de Jean-Christophe Buisson et Emmanuel Hecht met en scène le destin tragique de treize grands vaincus de l’Histoire, de Hannibal à Nixon en passant par Vercingétorix, Cléopâtre, le général Lee, le Che ou Trotski. Chez certains s’est ajoutée à l’humiliation de la défaite politique ou militaire l’infamie d’une réputation noire entretenue par leurs vainqueurs, faisant d’eux des figures maudites. A tort ou à raison.
Au cœur de l’été 1974, le 8 août, la nouvelle avait éclaté comme une bombe : Richard Nixon, le président des Etats-Unis, donnait sa démission. Elu une première fois en 1968, réélu en 1972, il n’avait même pas effectué la moitié de son second mandat.
-
Parution prochaine, fin mars, du Cahier d'Histoire du nationalisme n°21 intitulé : LES PERON, L'ARGENTINE, LE JUSTICIALISME
SORTIE FIN MARS, COMMANDEZ-LE DÈS MAINTENANT
Cette 21e édition des Cahiers d’histoire du nationalisme nous emmène dans les années d’après-guerre en Amérique latine, plus précisément en Argentine, pays qui fut le théâtre d’une expérience politique originale : le Justicialisme. Surtout, le pays des gauchos et de la pampa fut le décor exotique d’une saga qui n’en finit pas de faire parler d’elle, celle des Perón.
-
Saint Remi - apôtre des Francs [Éditions Voxgallia]
-
La mort fondatrice de Caton
Jean Paul Laurens, La mort de Caton, 1863 "Le suicide, c'est la seule preuve de la liberté de l'Homme" Stig DagermanLorsque évoque la mort volontaire, c'est à dire le geste porté par une intention héroïque élevant l'âme et non par un désespoir incontrôlé conduisant à son effondrement, on pense surtout à la tradition japonaise du seppuku, sublimée par Mishima en 1970. En Occident, fortement condamné par le christianisme, ce geste héroïque qui appartenait à la tradition stoïcienne européenne grecque et romaine mais aussi aux traditions païennes, celtes par exemple, survécu à la castration cléricale jusqu'à nos jours. -
César 2021 : la cérémonie des échecs du cinéma français
Chaque année, la fin de l’hiver constitue l’apothéose de la saison des récompenses cinématographiques : des Golden Globes aux Oscars en passant par les BAFTA puis les traditionnels César. Loin des cérémonies anglophones fastes et spectaculaires, le cinéma français nous a habitués, trop souvent, à des célébrations trop protocolaires, faussement rythmées et bien longues, à quelques exceptions près.
-
Avril 1917 : L’intervention américaine dans la Première Guerre mondiale
Le concept allemand de Weltpolitik (politique mondiale), à l’époque de Guillaume II, était fort utilisé et prisé ; il indiquait qu’en théorie, le Reich voulait jouer un rôle planétaire, ce qui n’a pas empêché les Allemands de figer leur pensée politique dans des catégories continentales européennes et non pas mondiales. La guerre qui se déclenche le 1er août 1914 prend rapidement des dimensions globales mais la politique et la diplomatie allemandes n’y étaient pas préparées. Elles n’avaient pas tenu compte d’une possibilité, pourtant prévisible : l’implication dans le conflit du potentiel militaire, industriel et militaro-industriel des États-Unis, dont le poids serait déterminant dans l’issue du conflit.
-
Irlande 30 janvier, le dimanche sanglant
"Les larmes coulent lentement le long de mon visage
Et mon coeur s'embrase par tant de douleur
Repensant tristement à ce jour où la bêtise fit un ravage
Et pointant l'armée Britannique d'un doigt accusateur"
(extrait d'un poème de "Bloody sunday 013 sur : Forum "je poème")
Les premiers "Bloody sunday" de 1887 et 1920
Le chemin vers la liberté des irlandais est borné de journées sanglantes dont plusieurs, qui se déroulèrent le dimanche reste dans les mémoires comme des "bloody sunday"
Le premier est une dispersion violente d'une manifestation organisée le 13 novembre 1887 par la "Social Democratic Federation" et l'"Irish National League". La charge de la police montée londonienne fit deux morts et cent-cinquante blessés dans les rangs des ouvriers venus réclamer pacifiquement une amélioration de leurs conditions de travail.
-
Top 5 des livres de Jean Raspail!
-
REQUIEM POUR UN EMPIRE
A rebours d’une idée reçue, la disparition de l’Autriche-Hongrie n’était pas écrite avant 1914. C’est bien la Grande Guerre qui, en laminant les fidélités historiques qui liaient entre entre eux ses peuples, a entraîné la mort de l’empire.
Le 11 novembre 1918, l’empereur Charles Ier d’Autriche, reclus dans le palais de Schönbrunn qui n’est plus gardé que par une poignée de sentinelles et quarante élèves-officiers venus spontanément assurer sa protection, signe à contrecœur cette déclaration : « Je renonce à la part qui me revient dans la conduite des affaires de l’Etat. Je relève en même temps mon gouvernement autrichien de ses fonctions ».