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culture et histoire - Page 604

  • Alain de Benoist vous empêchera de vous endormir ! 1/3

    Alain de Benoist vous empêchera de vous endormir !.jpeg

    Un livre sur l’évolution du christianisme, un essai sur l’identité, plus les deux volumes de « C’est-à-dire », qui réunissent des entretiens et des témoignages sur les grands enjeux théoriques, politiques et culturels de la fin du deuxième millénaire… Alain de Benoist est entré en 2007 avec une brassée d’analyses et de réflexions propres à nous laisser pour de longs mois l’esprit en éveil. Nous en aurons besoin ! Invitations à la lecture par Paul Masquelier

    Si Critiques-Théoriques, par son ampleur, sa profondeur de vue et sa richesse philosophique, restera probablement comme l'ouvrage théorique majeur d'Alain de Benoist - et comme son opus de référence, où l'auteur synthétise le mieux les différents aspects de sa pensée et en explicite les fondements premiers -, les deux épais volumes de C'est-à-dire (350 pages chacun !) en constituent quant à eux l'incontournable pendant journalistique et politologique. Ce monumental recueil rassemble une quantité exceptionnelle d'entretiens, de témoignages et de débats, publiés essentiellement entre le début des années 1990 et le milieu des années 2000, dans des revues françaises, mais aussi très souvent dans des revues étrangères. Une bonne partie des textes est donc inédite en français - et certains d'entre eux sont même inédits tout court, puisque destinés à des publications collectives qui n'ont pu voir le jour, ou se sont vus finalement censures par les revues qui les avaient commandés (sous la pression inquisitrice de la police médiatique de la pensée ou tout simplement par dogmatisme idéologique). Quand on voit la qualité des textes qui se sont ainsi trouvés relégués au fond d'un tiroir, soustraits à la lecture du public pour des années, et qui nous seraient même restés définitivement inconnus si la parution de ce livre n'était venue leur donner enfin une première vie, on ne peut que désespérer de l'incurie de tous ceux qui directement ou indirectement, ont choisi par bêtise ou par confort de renoncer à ces publications dans leurs colonnes...

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  • L'édit royal de 1315 : quand la Monarchie abolit l'esclavage.

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    Le 3 juillet 1315, il y a 705 ans, le roi Louis X le Hutin, fils de Philippe le Bel, signe un édit, applicable en tous lieux du domaine royal (en fait, le véritable royaume de France, et non les terres sur lesquelles le roi avait « seulement » la suzeraineté), qui abolit le servage et toute forme d’esclavage sur ceux-ci, ce dernier terme pouvant correspondre à la définition d’esclave communément admise de « personne humaine considérée comme une propriété privée de ses libertés, qui ne peut changer d’activité et maintenue dans un état de servitude à l’égard d’un propriétaire, état entretenu par la force ou sous une forme non contractuelle explicite ». En fait, l’esclavage lui-même avait déjà quasiment disparu du monde occidental sous la pression de l’Eglise et parce que, dès les rois mérovingiens (et parfois sous l’influence ou la régence de leur épouse ou mère, comme la reine Bathilde au VIIe siècle, sans doute ancienne esclave et devenue sainte quelques décennies après sa mort), cette pratique « d’abord » économique n’avait plus guère de défenseurs, pour des raisons autant économiques que religieuses. L’édit clôt par la loi un processus déjà quasiment abouti.

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  • 5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

    57818539.gif?resize=208%2C245Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

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  • Soutenez le combat national et identitaire : participez à la souscription patriotique 2020 de Synthèse nationale

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    Agissez ! Participez !  

    Souscrivez !

    Cela ne vous surprendra pas, la période jonchée d’imprévus que nous venons de traverser n’a pas été évidente pour une organisation comme la nôtre. Privés de nos imprimeurs, de nos transporteurs et, deux mois durant, de l’accès à notre domiciliation en raison du confinement imposé, nous nous sommes retrouvés dans une situation délicate. C’est ainsi que nous avons dû annuler plusieurs réunions et reporter nos publications. Difficile de combattre le Système avec de telles restrictions...

    Néanmoins, grâce à la générosité de quelques amis, à la patience de nos fournisseurs et à notre conviction que, plus que jamais, notre combat est indispensable pour sauver notre nation et notre civilisation, nous avons tenu bon.

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  • Paul-François Paoli : Aux sources du malaise identitaire français. (conférence en ligne)

  • Les deux solstices et les deux Jean

    L’année constitue un cycle. Ce cycle comprend un point le plus bas (et le plus froid), la nuit la plus longue ; et un point le plus haut (et le plus chaud), le jour le plus long. Ces deux points sont diamétralement opposés et constituent les deux solstices, les deux grands tournants de la course annuelle du soleil. A ces deux solstices correspondent les deux saint Jean du calendrier chrétien : saint Jean Évangéliste, qui est fêté le 27 décembre, et saint Jean Baptiste dont on célèbre la nativité le 24 juin.
    Le solstice d’été est l’apogée de la course du soleil, c’est le sommet de la saison chaude. Jour le plus long de l’année, il est le point culminant de la course du soleil. Après être monté de plus en plus haut chaque jour, il entame sa course déclinante. Ainsi, alors qu’il est une victoire de la lumière sur l’obscurité, le solstice d’été est aussi le commencement de la descente vers cette même obscurité. Les Nordiques consacraient ce jour au dieu Balder, dieu solaire et printanier. Pour célébrer la victoire du soleil sur les ténèbres, on allumait des feux au sommet des collines ce qui symbolisait l’arrivée de l’astre solaire au sommet de sa course. Ces feux ont survécu à la christianisation, et se perpétuent de nos jours le 23 juin sous le nom de feux de la Saint Jean. Au cours de cette fête, qui est communautaire, à la différence de Noël qui est centrée sur le foyer, le feu est allumé à l’extérieur. Il a une finalité essentiellement purificatrice : Dans nos campagnes, on faisait passer le bétail dans la fumée pour le protéger des maladies, on sautait au dessus du feu pour se purifier, on gardait les tisons jusqu’à Noël, date à laquelle ils servaient à allumer la bûche. La fonction purificatrice et fécondante du feu solsticial était marquée par le fait de lancer des roues enflammées qui dévalaient les pentes des collines pour parcourir les champs. Ces roues de feu devaient purifier les champs, mais symbolisaient aussi le cours du soleil fécondant les sillons porteurs des moissons qu’il ferait mûrir. Cette pratique a existé depuis le monde romain, où elle est déjà attestée, jusqu’au folklore européen. La fête du solstice d’été, au centre de la saison joyeuse est, à l’inverse de Noël, une fête triste : le soleil ayant atteint le point culminant, va commencer son déclin. De plus, la période des récoltes qui commence ne permet pas de festoyer pendant douze jours comme à Noël. Les réjouissances estivales auront lieu plus tard, à l’Assomption, grande fête mariale. En Suède, les feux du solstice d’été sont appelés les feux funéraires de Balder.

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  • Black Lives Matter, plan diabolique de destruction de notre civilisation.

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    Eric Vieux de Morzadec, auteur de deux ouvrages sur la présence des militaires français dans l'armée de la confédération au moment de la guerre de sécession, démonte pour nous les rouages du plan diabolique de destruction de notre civilisation qu'est ce mouvement racialiste des Black Lives Matter.


    Héros oubliés, les généraux français de l'armée confédérée, Editions Fol'fer, 250 pages, 25 euros.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/07/02/black-lives-matter-plan-diabolique-de-destruction-de-notre-c-6249454.html

  • Et si on statufiait une esclave noire ? Sainte Joséphine Bakhita, vendue par des Africains à des Arabes, libérée par des Européens…

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    Après Churchill, Baden-Powell, Roosevelt, Colbert ou encore Cervantès, les néo-iconoclastes compulsifs s’attaquent désormais aux saints : aux États-Unis, la statue de l’Espagnol Junípero Serra a été abattue, celle de Saint Louis sauvagement dégradée et taguée. Le phénomène, crise identitaire faisant suite à la crise sanitaire, s’apparente lui aussi à une pandémie galopante à contagion très rapide : on ne sait quel obscur méfait ont commis ces saints ayant pansé toute leur vie les plaies des malheureux, mais eu égard à leur haute fonction dans la hiérarchie (céleste, car ici-bas, c’est loin d’être toujours le cas, mais allez leur expliquer cela…) de l’Église, ils étaient forcément de mèche avec cette « firme » de Blancs dominants. Tous responsables et tous coupables. Et si ce ne sont eux, ce sont donc leurs frères.

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  • Hors-Série de Présent – Hommage à Jean Raspail

    02/07/2020 – FRANCE (NOVOpress)
    Il fut le dernier Hussard. Le cinquième, dans une bande qui en comptait canoniquement quatre, un peu comme chez les trois mousquetaires. Il y avait du Déon et du Nimier chez Jean Raspail. Un grand d’Espagne flegmatique et aristocratique. Le 13 juin 2020, il a quitté la vie au crépuscule, face au soleil couchant, par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée.

    C’est à cet homme hors du commun que toute l’équipe de Présent a décidé de rendre hommage, dans ce hors-série spécial retraçant la geste intellectuelle, littéraire, et politique de ce fier et noble cœur aventureux.

    Pour commander : https://present.fr/produit/hors-serie-hommage-a-jean-raspail/

    https://fr.novopress.info/