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culture et histoire - Page 618

  • Le corporatisme : une solution d'avenir ...(SACR TV)

  • Louis-Philippe le dernier roi des Français

    Louis-Philippe le dernier roi des Français.jpegSpécialiste de la IIIe République, auteur de biographies consacrées à Lyautey et Péguy, Arnaud Teyssier apporte une vision renouvelée d’un des rois les moins compris de l’histoire de France : Louis-Philippe. Cette biographie très documentée offre une lecture politique exemplaire de l’histoire de France entre Louis XVI et Louis-Philippe (et même au-delà !). Que pouvait-il se dire de nouveau sur ce prétendu « roi-bourgeois » caricaturé en poire, défendu pourtant par Victor Hugo ?

    Entretien avec Arnaud Teyssier

    Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser à ce roi ?

    La personnalité de Louis-Philippe m'a toujours paru infiniment plus riche et plus complexe qu'on ne le prétend. Cette coalition d'hostilités à son égard - à droite comme à gauche -, cette façon de le noyer dans un « orléanisme » nécessairement abominé, tout cela, d'instinct, me paraissait un peu faisandé. Et j'avais toujours été frappé de la considération que lui portaient Bainville et Maurras, pourtant peu portés à l'indulgence envers les diverses figures de la modernité.

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  • Le « crime » racial est imprescriptible Où s'arrêtera la chasse aux sorcières ?

    Où s'arrêtera la chasse aux sorcières ?.jpegJusqu'où iront-ils ? « Ils », ce sont tous ceux qui se focalisent jusqu'à la névrose, sur les années 1940. Il faut en parler toujours. Trouver la phrase ou découvrir le simple mot qui permettent de recommencer l'éternel procès des acteurs de ces années qui ont dérapé, ne fut-ce qu'une fois, sur la question raciale.

    Le 8 mai 1945, l'Allemagne capitule sans condition. Exit le nazisme. Au diable Hitler. Outre-Rhin, le procès de Nuremberg rime avec condamnations et pendaisons. En France, c'est l'épuration avec son cortège de dégradations et d'exécutions. Soixante ans plus tard, chacun pourrait croire que la page est bien tournée. Il n'en est rien. Nous avions déjà eu droit aux procès à retardement des octogénaires sortis du formol pour rejoindre le banc des accusés Barbie, Touvier, Bousquet, Papon, ou la gérontologie au centre des réquisitoires.

    Les fonds de tiroir raclés jusqu'à épuisement, il faut trouver ailleurs. Les écrivains ! Beaucoup sont morts, mais leurs écrits sont restés. Il y a dix ans, le cadavre du docteur Alexis Carrel, prix Nobel de médecine et de physiologie en 1912, et auteur d'un ouvrage magistral, L'homme, cet inconnu, publié en 1935, est exhumé. Carrel a défendu des thèses eugénistes. Il a donc ouvert la porte des chambres à gaz. Les rues qui portent son nom sont débaptisées. Lyon. Paris. Rennes. Plus d'une quinzaine de villes épurent la voirie du nom de ce médecin de sinistre mémoire. Philippe Marini, le maire de Compiègne, qui s'obstine à vouloir conserver sa rue Alexis-Carrel, est dénoncé par les ligues de vertu.

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  • Dans la revue l'Incorrect, le retour des Rois, par Frédéric de Natal.

    Une tribune dans un hebdomadaire, une vidéo enregistrée ou un communiqué publié sur les réseaux sociaux : deux prétendants au trône de France et un prince capétien ont décidé de prendre la parole peu de temps après l’allocution du président Emmanuel Macron et de se positionner comme une éventuelle alternative à la République française.

    Publiée dans l’hebdomadaire Marianne, la tribune du comte de Paris, Jean d’Orléans, a été une surprise. Le descendant du dernier roi des français a souhaité s’exprimer sur la crise du covid-19. Craignant une explosion sociale après le déconfinement, il évoque cette « renaissance nationale » auquel chacun doit réfléchir afin de pouvoir rapidement surmonter cette « épreuve personnelle et collective » que vit l’Hexagone depuis deux mois. Selon le chef de la maison royale, la « France millénaire » ne pourra se relever que si elle retrouve sa pleine « souveraineté nationale » comme son « rôle de protection sociale et économique » et seulement si elle abandonne sa politique de mondialisation. Avant d’appeler à une « réorganisation des ensembles internationaux selon un principe général de coopération interétatique en matière de développement, d’aide financière, de système monétaire et de sécurité collective ».

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  • 18 AVRIL 1963 : ASSASSINAT DE JEAN DE BREM

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    Le 18 avril 1963 tombait sous les balles de la police Jean de Brem, officier parachutiste, combattant de l'OAS, militant nationaliste et européen.

    "Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l'héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d'esclavage et le souvenir d'un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine"

    Jean de Brem,

    Testament d'un Européen

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Journal du chaos

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    Pour télécharger, cliquez ICI

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  • États-Unis une droite qui pense Paléoconservateurs versus néoconservateurs

    Paleoconservateurs versus néoconservateurs.jpeg

    N'en déplaise à des stéréotypes qui ont la vie dure, la droite américaine, y compris sous ses formes radicales, ne se réduit pas à la bigoterie des fondamentalistes, ni au folklore du Ku Klux Klan. À travers quelques figures clefs, tour d'horizon d'une droite qui pense.

    Alors que la scène intellectuelle d'outre-Atlantique est encore dominée par le Liberalism, « cette mouture spécifiquement américaine de progressisme, d'idéalisme et de social-démocratiel », tout commence par un grand livre, paru en 1953. Il a pour auteur Russell Kirk (1918-1994) et pour titre The Conservative Mind : From Burke to Eliot. Kirk y redéfinit l'esprit conservateur et s'efforce de retracer la généalogie d'un conservatisme anglo-américain. Celui-ci a pour père fondateur Edmund Burke, dont le soutien aux colons révoltés contre la couronne britannique doit être interprété comme un attachement traditionaliste à la liberté, par opposition à la passion de l'égalité, au millénarisme et au messianisme des Jacobins, qui révulsaient Burke et font horreur à Kirk. À l'autre extrémité de la chaîne, la présence du dramaturge et poète Thomas S. Eliot, l'auteur de La Terre gaste et de Meurtre dans la cathédrale, prix Nobel en 1948, vient rappeler que, selon Kirk et la mentalité conservatrice, les hommes sont gouvernés par leurs émotions bien plus que par leur raison, et souligner l'importance de la dimension esthétique dans la défense des institutions et coutumes.

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  • La Petite Histoire : Alexandre Yersin, un Français vainqueur de la peste

    Né en Suisse est naturalisé Français, Alexandre Yersin est le premier à avoir isolé le bacille de la peste, en 1884 à Hong Kong. Jouissant d’une véritable vénération au Viêt Nam, il est pourtant totalement inconnu en Europe malgré ses découvertes capitales. Formé à l’Institut Pasteur, il se lasse vite de la monotonie des laboratoires et s’engage comme médecin militaire en Indochine. Il en profite pour explorer les hauts-plateaux de la région, mais aussi, bien-sûr, pour mener ses recherches sur le bacille de la peste. Avec des moyens dérisoires, il parvient à l’isoler en 1884, avant de se consacrer pleinement au développement du pays, au service des populations locales. Retour sur le parcours agité d’un médecin-aventurier.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-alexandre-yersin-un-francais-vainqueur-de-la-peste