culture et histoire - Page 621
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Louis IX (Saint Louis) : le Procès du Talmud (1240)
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Quand s'élève la parole royale...
En un soir de confinement, Elisabeth II, la reine d’Angleterre, souveraine du Royaume-Uni et du Commonwealth, a prononcé un discours qui, par sa simplicité et sa brièveté, a porté au-delà des frontières mêmes du pays sur lequel elle règne sans politiquement gouverner. Evidemment, certains n’ont pu s’empêcher de comparer sa courte intervention télévisée avec celles, plus longues, plus dramatisantes et moins consensuelles de l’actuel locataire du palais de l’Elysée ; les mêmes ont pu évoquer les différences de réactions à l’égard des deux chefs d’Etat, plus crispées et souvent agressives envers le président français quand elles semblaient pour la plupart plus bienveillantes, voire admiratives, envers la monarque d’un pays dont les Malouins chantent encore le rejet à la façon du mot de Cambronne…
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Résiste, prouve que tu existes...
Ces paroles de "Résiste", une chanson composée par Michel Berger pour France Gall, me sont toujours apparues comme une devise, en tout cas comme une honorable injonction, quand je travaillais, magistrat, au sein de l'espace judiciaire.
Il est clair que dans l'acte de résistance, au quotidien ou de manière grandiose ou non dans l'Histoire, il y a souvent au départ une envie de s'affirmer, de se distinguer, de sortir du lot, de démontrer qu'on n'est pas dans le troupeau des attentistes ou des frileux et qu'on n'a pas besoin de la victoire pour oser sortir du bois et de la mêlée indistincte, incertaine, des événements.
En même temps, le savoir et l'expérience font apparaître - c'est souvent une source d'ironie - une tendance à se qualifier de résistant pour tout et n'importe quoi.
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Le meilleur Roi de France? Avec Gallia, Colonel Von Haagen et Alexandre!
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Entretien avec Anatoly Livry, docteur ès lettres, critique de l'université française - Vive l'Europe
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FRANCE Comment Sortir de l’Ornière ? Thierry Gobet
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Sur le blog de Michel Onfray : Le professeur. Qu'est-ce qu'un chef ? (1).
Nous sommes mi-mars. Dans les médias, on parle alors beaucoup du professeur Raoult.
C’est une grande passion française que, pour beaucoup, d’avoir un avis sur tout, y compris quand on n’a ni compétence ni travail à convoquer ou à mobiliser en la matière.
J’ai souvenir d’un intellectuel français aujourd’hui académicien qui fut capable en son temps de donner un avis sur un film qu’il n’avait pas vu… Il disait aussi, en mai 68, qu’il fallait "essayer des enfants"; il profère aujourd’hui sa haine de cette époque mais sans pour autant faire son autocritique … Il y eut un temps un avis gastronomique publié par un critique sur un site Web alors que le restaurant n’était pas encore ouvert. C’est sans compter sur les journalistes qui tiennent chronique littéraire depuis des décennies et qui encensent ou démontent un livre juste parce qu’il faut détester ou vénérer son auteur pour de pitoyables raisons mondaines (la plupart du temps parisiennes) dans lesquelles le ressentiment, plus que l’oeuvre, joue un rôle majeur. Quand Bernanos écrit: "les ratés ne vous rateront pas", il affirme un vérité psychologique majeure…
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Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être Européen !
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La Petite Histoire : L’exode de 1940, un traumatisme national
En 2020, certains médias ont choisi de titrer sur l’« exode des parisiens » à la veille du confinement décrété par le gouvernement en pleine crise sanitaire. Et si Emmanuel Macron a affirmé que nous étions en « guerre » contre le coronavirus, cette situation qui voit les urbains fuir vers les campagnes n’a pourtant rien de comparable avec le terrible exode de juin 1940. Ce dernier, en pleine avancée allemande, a jeté quelques 8 millions de Français sur les routes, sous le feu des bombardiers et dans le chaos le plus total. Retour sur un traumatisme national souvent passé sous silence dans l’histoire de la Seconde guerre mondiale.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-lexode-de-1940-un-traumatisme-national
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Recension de “Ils ont tué le Tsar” de Nicolas Ross, par Serge Gadal
Nicolas Ross, Ils ont tué le Tsar. Les bourreaux racontent, préface et postface de Nicolas Ross, traduction des documents par Jean-Christophe Peuch, Éditions des Syrtes, 2018, 320 p., 20 euros
L’exécution du tsar Nicolas II et de la famille impériale dans le sous-sol de la maison Ipatiev à Ekaterinbourg dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 a fait couler beaucoup d’encre et suscité de nombreuses légendes ayant trait notamment à la survie de certaines des grandes-duchesses (Anastasia en particulier).