culture et histoire - Page 626
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Important! Nouvelle aventure
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Un Club pour préparer un 2e âge d’or de la presse…
Le Salon Beige a rencontré Véronique Coupry, qui a lancé Le Club de la Presse, une sorte de Netflix / Spotify de la presse de droite. L’entrepreneuse nous éclaire sur son offre et sur l’avenir de la presse.
Je croyais que Le Club de la Presse était une émission de radio ?
Ça l’est ! Mais Le Club de la Presse, c’est aussi un bouquet numérique de publications vraiment libres, vraiment indépendantes de grande qualité, insuffisamment (et injustement) méconnues. Internet (les blogs et les réseaux sociaux) permet de se réinformer en temps réel tandis que la presse propose des analyses, des décryptages, des enquêtes inédits avec un recul rare aujourd’hui. Les deux sont parfaitement complémentaires et permettent de se former pour ne pas se laisser déformer par l’idéologie présente partout. Parce que nous croyons que l’argent ne doit jamais être un obstacle, nous proposons la vingtaine d’excellents journaux, magazines, revues qui composent Le Club de la Presse au prix imbattable de 12,99 euros. En effet, nous avons la conviction que les publications qui élèvent (intellectuellement et spirituellement) doivent être accessibles au plus grand nombre. Il est possible de s’abonner en une minute et de se désabonner en 30 secondes. Je dois cependant avertir vos lecteurs : vu la qualité des journaux, magazines et revues qui le composent, ils prennent un risque, celui de la fidélité choisie et assumée !
Que propose Le Club de la Presse ?
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Le Lys et la plume : Émission spéciale Vladimir Volkoff (avec le Gueux des champs)
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L'épopée miraculeuse de Jeanne d'Arc
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René Fallet - Banlieue Sud-Est // Gabin, Audiard, de Funès, Brassens...
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Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : Charles Maurras, le retour, par Philippe Bilger
Sur son Blog le 7 avril dernier, Philippe Bilger a écrit ce billet, qu'il cloture en expliquant, justement, pourquoi il a eu envie de l'écrire :
"... Pour dire la vérité, si j'ai eu envie d'écrire ce billet, ce n'est pas parce que j'ai été saisi par une illumination mais à cause de cette pensée très profonde de Charles Maurras qui m'a poussé à faire partager mon assentiment. Il se pose cette question : " Y a-t-il un progrès ?... Il y en aurait à coup sûr si chaque âge ne s'oubliait à perdre d'un côté ce qu'il gagne de l'autre ; si, la plupart du temps, l'homme ne négligeait de mettre bout à bout ses plus admirables profits ".
C'est totalement juste et remarquablement écrit.
C'est aussi Charles Maurras..."
Lisez le "billet" de Philippe Bilger ici : Charles Maurras, le retour
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Avec vol West pour la (re)sortie de Rues Barbares
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La conception de la nation de Fichte par Lionel BALAND
Le philosophe Johann Gottlieb Fichte, né à Rammenau, près de Dresde, en 1762, et décédé à Berlin, en 1814, est une des grandes figures de l’Idéalisme allemand, aux côtés d’Emmanuel Kant (1724 – 1804), de Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770 – 1831) et de Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (1775 – 1854).
Parmi les productions littéraires les plus connues de Fichte figurent les Discours à la nation allemande, tenus durant l’hiver 1807 – 1808, alors que les armées de Napoléon occupent la Prusse, à Berlin et publiés en 1808 dans cette ville. Ils visent à réveiller le sentiment national allemand et à la réalisation d’un État regroupant les Allemands.
Au sein de l’introduction de la traduction française parue en 1992 à l’Imprimerie Nationale à Paris (1) et réalisée par le philosophe français, né en 1948, Alain Renaut, ce dernier se pose la question de la conception de la nation mise en avant par Fichte : celle née de la Révolution française, qui considère que le tiers état la constitue, ou celle du romantisme allemand, « dont on a parfois soutenu qu’elle avait émergé avec la notion herderienne (2) de Volksgeist (3) », qui veut que seuls les descendants de membres de la nation appartiennent à cette dernière ?
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Georges Bernanos - Journal d'un curé de campagne
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Entretien avec Éric Lerouge fondateur de Réfléchir&Agir en 1993
« Construire une réelle alternative au nouvel ordre mondial sans vouloir restaurer le monde ancien. »
Il était le meilleur d'entre nous. Fondateur de Réfléchir&Agir en 1993, Eric R. alias Eric Lerouge avait pris du champ pendant dix-huit ans. Divine surprise de cet été, il reprend le combat à nos côtés. Nos lecteurs vont vite (ré)apprendre à le connaître. Retour sur un parcours d'exception.
propos recueillis par Pierre Gillieth
Eric, tu as aujourd'hui une petite cinquantaine mais peux-tu revenir sur les débuts de ton engagement en politique ?
Mon engagement politique est certainement une conjonction de plusieurs facteurs : d'abord, un père ancien parachutiste très marqué par la guerre d'Algérie comme toute sa génération, mais sans avoir été OAS, peu politisé mais très à droite mais version nationale et populaire, qui a vécu 1981 comme un cauchemar, ensuite, dans mes années de collège des amis politisés, des filles plus âgées fréquentant l'extrême-gauche avec qui j'ai fleurté pendant quelques mois et dont je partageais l'esprit antisystème et l'anticapitalisme, ensuite dans mes années lycéennes, la vie quotidienne de banlieue qui se durcissait pour les petits Blancs (vols de deux roues, agressions), enfin, les médias qui relayaient un contexte de violence armée avec des attentats, celui de la gare de Bologne, celui de la rue des Rosiers (rapidement et injustement attribué à la FANE), et un article dans Rock&Folk sur les skinheads anglais en février 1982. C'est donc un mélange ou une synthèse de tout ça, renforcés par la montée électorale et médiatique du FN.