culture et histoire - Page 624
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Pourquoi être royaliste? (SACR TV)
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Fiche révision : Eudes - comte de Paris & roi des Francs
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Des scientifiques britanniques découvrent une quatrième nouvelle espèce de ptérosaure en quelques semaines
Des scientifiques britanniques ont découvert une quatrième espèce de reptile volant préhistorique en seulement quelques semaines dans ce qu'ils décrivent comme un «âge d'or» des découvertes de ptérosaures.
Le professeur David Martill, de l'Université de Portsmouth, a dirigé le groupe de recherche international qui a conduit à la découverte des nouvelles espèces qui ont survolé les déserts du Maroc il y a 100 millions d'années.
Une porte-parole de l'université a déclaré: «Vous attendez longtemps un ptérosaure, puis quatre arrivent en même temps.
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Vie, mort et résurrection de l'extrême gauche La maladie infantile du communisme
On croyait l'extrême gauche en soins palliatifs, sinon morte, Par implosion, autodissolution et reniements successifs. Mais elle a soudainement ressuscité au milieu des années quatre-vingt-dix, sur les ruines du mur de Berlin et du Moloch soviétique. Les courbes électorales du PCF et de l'extrême gauche se sont alors croisées. On assistait à la revanche des gauchistes et au retour du fantôme de Trotski.
L’extrême gauche soulève un problème de géographie électorale. Où la situer sur un atlas politique ? À la gauche de la gauche ? Certes ! Mais personne ne siège à la gauche du PCF à l'Assemblée nationale. Au plafond ? Comme Lamartine, qui répondait quand on lui demandait où il siégeait à la Chambre : « Au plafond, car je ne vois pas de place pour moi dans aucun groupe ». Là haut, rien ne pouvait venir troubler sa pureté. Où alors ? Dans les nuées et dans les caves de la société ? Les deux sûrement, tant l'extrême gauche réunit un mélange détonnant de théorie froide, de chimère politique et de violence endémique. Longtemps d'ailleurs, la question qui venait à l'esprit lorsqu'on évoquait la gauche radicale, c'était combien de munitions ? Et non pas : combien de divisions ?
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A propos du "Kiel et Tanger" de Maurras... écrit en 1910, mais, semble-t-il, pour aujourd'hui (II/II)...
Notre éphéméride d'hier évoque les origines du livre de Maurras Kiel et Tanger. Nous en avons donc profité, hier et aujourd'hui, pour donner 2 documents d'importance :
• hier, un très intéressant article de Benjamin Fayet...
• et, aujourd'hui, le chapitre 24 de cet ouvrage, qui compose le IIème de nos Grands Textes... :
GRANDS TEXTES II : L'inoxydable 24ème chapitre de "Kiel et Tanger", de Charles Maurras
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/04/01/a-propos-du-kiel-et-tanger-de-maurras-ecrit-en-1910-mais-sem-6225485.html
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A propos du "Kiel et Tanger" de Maurras... écrit en 1910, mais, semble-t-il, pour aujourd'hui (I/II)...
Notre éphéméride de ce jour évoque les origines du livre de Maurras Kiel et Tanger. Nous en profitons donc, aujourd'hui et demain pour donner 2 documents d'importance :
aujourd'hui, un très intéressant article de Benjamin Fayet; et, demain, le chapitre 24 de cet ouvrage, qui compose le IIème de nos grands textes...
Voici pour commencer l'excellent article de Benjamin Fayet, paru le 19 novembre 2014 sur le site Histoire Philit :
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Sur le site officiel de l'Action française, troublantes analogies, l’éditorial de François Marcilhac.
Table des matières
TROUBLANTES ANALOGIES
Les crises ont ceci d’opportun, pour les gouvernements en place, qu’elles permettent d’en appeler à l’unité nationale, voire à l’union sacrée, pour mieux faire oublier les politiques de division qu’ils n’ont cessé de pratiquer. François Hollande, après la lutte qu’il mena contre les fondements de la société avec le « mariage pour tous » et la répression impitoyable de ses opposants, n’hésita pas à en appeler à l’unité nationale face au terrorisme, instrumentalisant la nécessaire cohésion nationale face au crime pour mieux avaliser son refus de désigner l’ennemi, affaiblissant, du même coup, la défense de la nation, qui continue de réchauffer en son sein le serpent du terrorisme islamiste - et non de ce « terrorisme » hors sol dont il inventa alors le concept
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Présent sort un hors-série consacré au regretté Minute
En vente dans les Maisons de presse, 5 euros
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“Qu’est-ce que le réalisme politique ?”, par Arnaud Imatz
Introduction d’Arnaud Imatz au livre de Dalmacio Negro Pavón, La loi de fer de l’oligarchie. Pourquoi le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple est un leurre, L’Artilleur / Toucan, 2019.
Sourcé et documenté, mais en même temps décapant sans concessions et affranchi de tous les conventionnalismes, ce livre atypique sort résolument des sentiers battus de l’histoire des idées politiques. Son auteur, Dalmacio Negro Pavón, politologue renommé dans le monde hispanique, est au nombre de ceux qui incarnent le mieux la tradition académique européenne, celle d’une époque où le politiquement correct n’avait pas encore fait ses ravages, et où la majorité des universitaires adhéraient avec conviction, – et non par opportunisme comme si souvent aujourd’hui -, aux valeurs scientifiques de rigueur, de probité et d’intégrité. Que nous dit-il ? Résumons-le en puisant largement dans ses analyses, ses propos et ses termes:
Historiquement, le monde n’a pas connu d’autre forme de gouvernement que celle du petit nombre (la minorité dirigeante), et tout gouvernement a besoin de l’appui de l’opinion. Il n’y a pas de communauté politique sans hiérarchie ; pas de hiérarchie sans organisation, pas d’organisation sociale qui ne se concrétise sans la direction d’un petit nombre. C’est ce qu’on appelle la loi de fer de l’oligarchie. Derrière toutes les formes de gouvernement connues (monarchie, aristocratie, démocratie – selon la classification classique -, démocratie et dictature – selon la classification moderne), il n’y a qu’une minorité qui domine l’immense majorité. Les multiples variantes possibles dépendent du mode de rénovation de cette minorité et des limites et contrôles auxquels cette minorité se soumet dans l’exercice du pouvoir. Les positions oligarchiques ne sont jamais disputées par les masses ; ce sont les différentes factions de la classe politique qui se les disputent. Les gouvernés n’interviennent pas dans ce litige permanent si ce n’est comme vivier des nouveaux aspirants au pouvoir, comme vivier des nouvelles élites. Les gouvernés sont des spectateurs, parfois des animateurs, rarement des arbitres.
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Les idées à l'endroit : "Ernst Jünger"