culture et histoire - Page 68
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Sans repentance - L'origine des Croisades
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Yves Christen : « Konrad Lorenz reste un personnage iconique »
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Le comte de Mirabeau dans la Révolution, avec Loris Chavanette
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Le comte de Mirabeau dans la Révolution, avec Loris Chavanette
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Zénobie, la reine guerrière qui fit trembler l’Empire Romain
En 267 après J.-C, Zénobie réunit sous son autorité les provinces d’Égypte, d’Arabie et de Syrie, et se lance dans la conquête des provinces d’Asie mineure. Retour sur la vie de cette reine guerrière qui fit trembler Rome.
De 267 à 272, Zénobie dirige l’Empire de Palmyre et étend son influence de l’actuelle Syrie à la Turquie en passant par l’Égypte. Sous son règne, Palmyre devient un foyer culturel brillant qui attire artistes, rhéteurs et philosophes.
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La mort de la IIIe République : révolution de palais [2/3], avec Hugo Coniez
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La mort de la Troisième République: vers la débâcle [1/3]
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Desouche Histoire : La « civilisation des moeurs » (XVIIe-XVIIIe)
A partir du règne de Louis XIII, une fois les troubles des guerres de religion passés, la monarchie reprend le processus de centralisation politique. Celui-ci se double d’une acculturation du peuple auquel est imposé de nouvelles valeurs (christianisation et civilité). Les mentalités se transforment dans un premier temps dans les villes puis le processus touche d’une façon moins forte les campagnes. Ce processus est dénommé par les historiens « civilisation* des mœurs » et nous en sommes encore largement héritiers.
(* note : à entendre au sens de processus : civiliser)
« La centralisation et l’absolutisme engendrent obligatoirement un effort d’unification culturelle. Au fil des générations, de la Flandre au Midi, de la Bretagne à l’Alsace, à Paris comme dans le plus petit hameau, les officiers et les prêtres, bientôt relayés par ceux qu’ils ont convaincu, imprègnent leur millions de contemporains de valeurs nouvelles véhiculées par la centralisation triomphante » – Robert Muchembled dans Culture populaire et culture des élites dans la France moderne.
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FAQ III – Mars 2024 (communisme, G. Thibon, souverainisme, Heidegger et la technique, Rochedy, etc.)
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L’Europe d’une guerre à l’autre (VI – 4) – Léon Trotsky, père du nazisme allemand
Par Nikolay STARIKOV – Oriental Review
Environ un an avant l’organisation du Putsch de la Brasserie par Hitler, quelques personnalités curieuses sont apparues dans son entourage, et les historiens n’ont toujours pas été en mesure de déterminer l’origine des sommes d’argent qu’ils ont apportées avec eux. L’argent liquide est rentré de plusieurs côtés. En plus de l’argent “suisse” français et anglais, l’argent américain est également tombé dans les poches d’Adolf Hitler. Néanmoins, en 1922, les puissances recherchaient des personnalités politiques en Allemagne, quelqu’un qui pouvait être utilisé selon la situation: pour changer des politiciens indésirables, commettre des assassinats et des provocations. Personne n’avait encore pensé à mettre Hitler au pouvoir. Avant Munich, presque personne n’avait entendu parler de lui.