
Une cathédrale et un baptistère du Ve siècle conservés dans un état exceptionnel ont été découverts par hasard à Vence, près de Nice, à l’occasion de la réfection des halles marchandes de la ville.
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Une cathédrale et un baptistère du Ve siècle conservés dans un état exceptionnel ont été découverts par hasard à Vence, près de Nice, à l’occasion de la réfection des halles marchandes de la ville.
Selon Mediapart, des notes déclassifiées de l’Élysée et de la DST confirment qu’un « pacte secret » a été noué dans les années 1980 entre François Mitterrand et le groupe terroriste Abou Nidal, auteur de l’attentat du restaurant Jo Goldenberg rue des Rosiers à Paris (6 morts, 22 blessés le 9 août 1982). Ce marché prévoyait l’arrêt des attaques en France en échange d’avantages : libération anticipée de deux assassins de l’OLP (Hatem et Assad), ouverture d’un bureau clandestin pour le groupe, protection sur le territoire français.
On pourrait croire à une mauvaise plaisanterie, à une farce de fin d’année scolaire. Mais les chiffres tombés ce 9 juillet 2025, en provenance directe des services statistiques du ministère de l’Éducation nationale, n’ont rien d’un gag potache : moins d’un collégien de 3e sur deux maîtrise correctement le français et les mathématiques. Le socle commun est devenu terrain vague. Et dans ce marasme éducatif, les écarts de genre et de classe sociale tracent des frontières invisibles mais béantes, qui segmentent déjà la jeunesse comme une société de castes.
Chaque année nous nous faisons un devoir de rappeler à la France ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 à Oran (Algérie).
Nous rappelons à l’armée française comment elle s’est déshonorée ce 5 juillet 1962 lorsqu’elle a obéi aux ordres du général Katz « de rester l’arme au pied » alors que des civils innocents y compris des enfants et des femmes, européens, se faisaient enlever et égorger.
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L'éditorial de Jean-Patrick Arteault
2025 nous avait été annoncée comme une année de grande bascule. Et, de fait, on s’aperçoit que les plaques tectoniques des rapports de force mondiaux bougent mais le destin semble hésiter sur le sens à leur donner tout en nous gratifiant d’œillades ironiques.
C’est un fait : la doxa occidentale a jeté un écran de fumée, depuis des décennies, sur la réalité d’un conflit dont le déroulement effectif a peu en commun avec le récit accrédité dans les «démocraties».
S’il est vrai que la narration historique est souvent tributaire des préjugés de ceux qui la font, la façon dont on relate la Seconde Guerre mondiale n’échappe pas à la règle. L’historiographie occidentale se caractérise en effet par une chronologie contestable des événements, un décompte très partiel des victimes et une évaluation partiale de la contribution des nations combattantes à la victoire finale sur les puissances de l’Axe. Naturellement, cette remarque s’applique au courant dominant de la recherche historique, et non aux efforts des chercheurs, moins nombreux il est vrai, qui en ont précisément révélé les lacunes. Mais c’est un fait : la doxa occidentale a jeté un écran de fumée, depuis des décennies, sur la réalité d’un conflit dont le déroulement effectif a peu en commun avec le récit accrédité dans les «démocraties».