L’opération Barbarossa est «la plus grande invasion de l’histoire militaire» selon l’historien britannique Geoffrey Roberts, plus de 3,5 millions de soldats ont déferlé sur l’Union Soviétique. La propagande nazie a insisté sur l’aspect d’une croisade défensive contre l’ennemi : «judéo-bolchévique» qui menaçait la civilisation européenne et la «race aryenne».
culture et histoire - Page 9
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L’Opération Barbarossa – un plan de guerre éclair contre l’URSS
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Eric Anceau pour son livre "Histoire de la nation française"
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La Commune, une faillite collective(entretien de François Marcilhac avec Stéphane Giocanti)
Nos lecteurs connaissent Stéphane Giocanti, biographe de Maurras et de Boutang, de la famille Daudet également, mais aussi romancier et spécialiste autant des littératures d’oc que de littérature japonaise, sans compter qu’il est également l’auteur de la première biographie de TS Eliot. A la tête d’une œuvre déjà considérable, il vient de publier aux éditions de Flore La Commune de Paris – Une investigation politique et historiographique tout à fait passionnante.
Certes, vos centres d’intérêt sont nombreux et toujours traités avec ce mixte de sérieux universitaire et d’esprit littéraire qui font les grands critiques. Mais pourquoi, subitement, cet ouvrage sur la Commune de Paris de 1871 ? Un ancêtre communard peut-être par accident en est-il la raison suffisante ?
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TERRORISME INTELLECTUEL : CE QUE LES ÉLITES VOUS CACHENT DEPUIS 1945 - JEAN SÉVILLIA
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À propos des réalisateurs de la Seconde Guerre mondiale
par Valentin Katasonov
On croit que la guerre est un processus spontané. Malgré le fait que les belligérants ont des quartiers généraux et des commandants qui s’occupent de tactique et de stratégie, planifient et gèrent les batailles. Le processus est spontané et le résultat n’est pas prévisible (à quelques exceptions près), car la planification et la gestion d’une partie s’opposent à la planification et la gestion de l’autre partie. En conséquence, un chaos incontrôlable surgit. Ce qui se termine parfois par un match nul entre les belligérants. Mais le plus souvent en gagnant l’un et en perdant l’autre.
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Quand les États-Unis voulaient imposer un protectorat à la France libérée
par Emilien Lacombe
La tutelle américaine sur l’Europe ne date pas d’hier. Dès 1942, Washington avait prévu d’administrer directement le territoire français comme un pays occupé. Avec les accords Blum-Byrnes de janvier 1946, les productions hollywoodiennes envahissent les salles de cinéma.
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Quand les banlieues s’embraseront
« La République gouverne mal, mais se défend bien », la citation de Charles Maurras, inspirée par une phrase d’Anatole France, décrit bien un pouvoir qui sait se montrer fort, quand il est exercé contre une certaine partie de la population (révolte des gilets jaunes, mesures liberticides pendant le Covid). Mais cette force se transforme très vite en lâcheté dès qu’il s’agit des banlieues de l’immigration. C’est ce que nous présente Céline Cléber dans un roman dystopique qui expose la faiblesse de l’État, dans une France en proie à la guerre civile.
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Philippe Égalité, le prince de la Révolution, avec Raphaël Dargent
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Le sauvetage des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, avec Patrick Cabanel
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Légions étrangères de la Wehrmacht : l’Europe au service du Troisième Reich
par Pierre Duval
Les élites de l’UE ont honte de rappeler le rôle de leurs homologues à l’époque du Troisième Reich. Plus le temps passe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus les célébrations grandioses du 8 mai disparaissent de l’espace public. La France, dans le souci de normaliser ses relations de dépendance avec l’Allemagne et Bruxelles, efface le discours victorieux sur l’Allemagne d’Hitler.