culture et histoire - Page 9
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Iéna : une victoire magistrale qui a mis fin à l’arrogance prussienne
Vous préférez évoquer les victoires plutôt que les désastres comme la retraite de Russie ? Vous avez raison. Après tout, mieux vaut relire les belles pages de gloire écrites par nos ancêtres que de revivre leurs souffrances.Place aux victoires donc, puisque la France s’est construite dans les guerres et reste le pays qui totalise le plus de victoires devant l’Angleterre, « notre ennemi de toujours ». -
Défendons la langue française !

Par Adègne Nova
Le langage ! Le langage ! Défendons notre français !
Entre le parler des cités, celui des bobos, le créole mis en avant par les fossoyeurs de gauche de notre culture, le gloubiboulga des pseudo-artistes de la chanson et le Conseil d’État… j’ai mal à mon français !
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Pour l’État et contre l’État

Un troisième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui, de Charles Maurras cette fois…
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En tant qu’il gouverne, l’État doit laisser les compagnies et les corps s’administrer sous son contrôle par leurs délégations et représentations. En tant qu’il légifère, il doit consulter à tout propos et aussi souvent que possible ces délégations compétentes. Tout manquement fait par l’État à cette double règle est une faute qu’il commet contre lui-même. Il se charge, il se lie, il se diminue croyant s’agrandir et les citoyens dont il pense faire le bonheur en sont liés, changés et diminués avec lui.
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Olivier Sarrabeyrouse, maire de Noisy-le-Sec : crapule stalinienne et islamo-collabo

Loin de nous l’idée d’établir un délit de sale gueule, mais le moins qu’on puisse dire est que dans ce domaine, il y a des personnes qui donnent confiance au premier coup d’oeil, et d’autres un peu moins…
Olivier Sarrabeyrouse est donc un ancien directeur d’école, devenu politicien communiste et, entre autres fonctions, il est maire de Noisy-le-Sec. Une ville qui vote aux présidentielles 2022 Mélenchon à 52 % au premier tour, seulement 2 % pour Roussel, et Macron à 75 % au deuxième tour.
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Barbiegate : le maire rétropédale et accable « l’extrême droite »
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Woke or not to woke : du rififi à Hollywood !

En matière d’inclusion de minorités ethniques et sexuelles, la Cité des anges serait-elle en passe de mettre la pédale douce ? Oui, par la force des choses. Mais pas forcément pour les raisons qu’on croit. Ce n’est pas la vertu qui commande ce retournement, mais juste le dieu dollar qui l’exige…
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Abbaye Royale de Fontevraud / Visite guidée à deux voix.
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Tout arrive : quand le show-biz est touché par la grâce mariale !
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Une initiative à saluer : l'inauguration d'une plaque à la mémoire des 100 millions de morts du communisme

Synthèse nationale
Dans neuf jours, le 23 août, le maire LR de Saint-Raphaël, Frédéric Masquelier, inaugurera une plaque en hommage aux cent millions de victimes de l’idéologie communiste à travers le monde.
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La Conférence de Berlin (1885)

par Jan Huijbrechts
Il y a exactement 140 ans, une conférence internationale qui allait avoir des conséquences importantes pour notre pays se tenait à Berlin. Cette conférence, officiellement baptisée «Conférence coloniale», débuta le 15 novembre 1884 et dura jusqu’au 26 février 1885. Pendant trois mois, des diplomates et des hommes politiques venus de France, d’Allemagne, de Grande-Bretagne, d’Italie, du Portugal, des Pays-Bas, d’Espagne, de Suède, de Belgique, du Danemark, de Norvège, de Russie, de l’Empire ottoman et des États-Unis se sont penchés dans la capitale allemande sur la question des sphères d’influence coloniale en Afrique. Officiellement, le chancelier allemand Otto von Bismarck, soutenu par le Premier ministre français Jules Ferry et à la demande du roi Léopold II de Belgique, avait convoqué la conférence dans le but de «promouvoir le commerce commun sur le continent africain». En réalité, il s’agissait toutefois de se partager l’Afrique et de fixer les règles du jeu de la course à l’Afrique qui battait déjà son plein.
