« Notre but est d’affamer et de mettre à genoux toute la population, les hommes, les femmes, les enfants, les vieux et les jeunes, les blessés et les valides », déclarait le premier Lord de l’Amirauté dans son style énumératif déjà bien rodé, un certain Winston Churchill [« Churchill, Winston The World Crisis », (New York: Free Press, 1931), 686].
Nous sommes alors au début de la Première Guerre mondiale, on constate que de la guerre des Boers au bombardement de Dresde en février 1945 ce W.C. aura passé sa vie d’alcoolique psychopathe à s’acharner à la destruction d’un des peuples les plus avancés de la Terre, un crime contre l’humanité s’il en est.