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culture et histoire - Page 74

  • Paul de Cassagnac : République et démocratie (article de 1904)

    Paul de Cassagnac

    Paul de Cassagnac (1842-1904) était un homme politique impérialiste, journaliste, polémiste français, connu aussi pour ses nombreux duels. Fils de Bernard-Adolphe Granier de Cassagnac, homme politique, journaliste et historien siégeant au Corps législatif parmi les “Mamelouks” sous le Second Empire (impérialistes purs et durs partisans de l’Empire autoritaire), il fut député impérialiste du Gers de 1876 à 1893, département qui demeura fidèle au bonapartisme au point d’être surnommé la “Corse continentale” (meilleur score bonapartiste sur toute la France aux élections législatives de 1889).
    A partir de 1884, déçu par le prince Victor-Napoléon, il se rapprocha des droites royalistes et fonda la doctrine du solutionnisme (n’importe quel prétendant mais pas la République) tout en gardant un attachement sentimental à l’Empire. En 1886 il fonda le journal l’Autorité ayant pour devise “Pour Dieu, pour la France”.

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  • Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (2)

    Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (1)

    par Aline de Diéguez

    “Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester mais comprendre”. Baruch Spinoza

    Où l’on découvre que le complot vient de loin et qu’une meute de loups s’est déguisée en agneaux pour entrer dans la bergerie.

    Dépeçage de l’empire ottoman

    En 1917, la Palestine, faisait toujours partie de l’empire ottoman. Ni Balfour, ni tel ou tel membre de la tribu Rothschild n’en étaient donc propriétaires. Le gouvernement anglais n’avait aucune légitimité à en disposer ni pour le présent, ni pour l’avenir.

    La date de la lettre Rothschild-Balfour (2 novembre 1917) correspond à celle de la victoire de l’armée britannique contre les forces ottomanes à Gaza. Cette victoire, décisive pour la réalisation du projet sioniste, a été obtenue grâce à l’appui des troupes arabes du chérif Hussein, de la Mecque.

    Cette “Déclaration” et ses conséquences ne sont intelligibles que dans le cadre de la géopolitique de la région. Nous sommes, en effet, dans une de ces périodes charnières qui déterminent l’avenir du monde. La première guerre mondiale bat son plein. L’Allemagne et son allié, l’empire ottoman qui avait été puissant et glorieux jusqu’à la fin du 17e siècle, sortiront en lambeaux de la confrontation avec les alliés occidentaux, la France, l’Angleterre et les Etats-Unis. La défaite des Allemands et des Ottomans ouvrait alors la boîte de Pandore du démantèlement de ce gigantesque ensemble de nations trop diverses pour survivre éternellement dans un ensemble politique cohérent.

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  • Bruno Mégret invité de Martial Bild sur TV Libertés : il est encore possible de sauver la France...

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    Salus populi, Bruno Mégret, Roman, Editions Altéra, 256 pages, 21,00 €

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2024/04/04/bruno-megret-invite-de-martial-bild-sur-tv-libertes-il-est-e-6492692.html

  • Quand les communistes aimaient les nazis

    Hitler Staline

    La proximité intellectuelle entre les deux mouvements totalitaires est aussi ancienne que documentée.

    Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse.

    […] La bonne entente temporaire entre les deux courants du socialisme donna lieu à un film documentaire récent, fort peu diffusé dans la sphère francophone (tout comme le film polonais sur le massacre de Katyn) mais éclairant bien des passerelles entre les deux idéologies. Rien n’est plus faux que le premier mythe du communisme, à savoir qu’il partirait de « bonnes intentions » :

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 1) – La Pologne trahie

    Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW 

    La vérité sur les racines du conflit germano-polonais qui a mené à la Seconde Guerre Mondiale a toujours été soigneusement dissimulée. Afin de masquer le détestable agenda politique des puissances occidentales, le mythe a d’abord circulé qu’Hitler était fou, possédé par une manie de s’emparer du monde, et que par conséquent sa nature agressive l’a forcé à attaquer tous ses voisins un par un, jusqu’à ce qu’il soit finalement puni par les forces de l’humanité progressiste. Encore plus, ces dernières années, un nouveau mythe a été inventé selon lequel la Seconde Guerre Mondiale était en fait une bagarre entre deux dictateurs, au cours de laquelle des “victimes innocentes” comme la Pologne et les États baltes avaient été broyées par les meules de l’histoire.

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  • Présentation du livre "LE CRÉPUSCULE DE L'INTELLIGENCE", d'Edward Dutton et Michael Woodley of Menie

  • Europa ! de George-Henri Soutou

    Europa! de George-Henri Soutou

    Du mouvement pan-européen de Richard Coudenhove-Kalergi au planisme de Henri de Man, l’idée européenne est une thématique forte des débats qui ont animé l’ensemble de la sphère politique européenne durant l’entre-deux-guerres.

    Historien spécialisé dans les questions de relations internationales au XXe siècle, notamment durant les deux conflits mondiaux, Georges-Henri Soutou aborde ici la question de l’Europe à travers la conception qu’en ont eu l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie.

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  • Le 4 septembre 1870 vu par un député bonapartiste

    Le 4 septembre 1870, plus ou moins spontanément, une multitude de Parisiens envahit au matin la Chambre des députés. L’Empire vit ses dernières heures : Gambetta et Favre, entraînant à leur suite la foule, proclament la République à l’Hôtel de ville. Le baron Eugène Eschassériaux est témoin de cette scène. Bonapartiste autoritaire, député de la Charente-Inférieure (actuelles Charentes-Maritimes) de 1848 à 1892 sans interruption, il se distinguera plus tard comme l’un des piliers du parti de l’Appel au peuple (impérialistes) et restera fidèle jusqu’à sa mort à la dynastie déchue.

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