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culture et histoire - Page 76

  • Le premier Homme serait apparu en Europe et non en Afrique

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    25/05/2017 Breizh-Info.com) Les premiers résultats d’une collaboration scientifique internationale entre paléontologues d’Instituts canadiens, bulgares et allemands viennent d’être publiés ce 22 mai : « El Graeco », le Graecopithecus trouvé en Grèce et ayant vécu au Miocène, serait bien selon ces travaux, un des ancêtres de l’Homme.

    Une découverte d’une importance capitale

    L’examen de la morphologie détaillée des molaires d’El Graeco démontre, selon l’étude accessible en ligne sur le journal scientifique , que son propriétaire est bien un homininé et s’est séparé des chimpanzés pour devenir un Homo. Cette étude remet en cause la croyance, jusque là majoritaire bien que fortement contestée, que l’Homme est né en Afrique, dans la région des Grands Lacs et du rift.

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  • Staline, les Alliés et le démembrement de l’Allemagne

    « Le gouvernement soviétique est probablement en retard dans l’étude de cette question… Nos dirigeants sont maintenant occupés par des problèmes militaires. »

    Molotov, en réponse à Antony Eden, à la Conférence de Moscou des ministres des Affaires étrangères de l’URSS, des États-Unis et de la Grande-Bretagne du 19 au 30 octobre 1943.

    Note du Saker Francophone

     Où l’on apprend incidemment, que dès 1943, probablement au vu des défaites de la Wehrmacht en Russie, les Anglo-Saxons anticipaient déjà l’issue finale de la reddition allemande et le démembrement de l’Allemagne. Ils ont malgré tout attendu juin 1944 pour débarquer en Normandie et… « gagner la guerre » !

     Où l’on comprend aussi la décision de Staline d’occuper l’Allemagne de l’Est pour assurer la sécurité de l’URSS, suite à la volonté des Anglo-Saxons de démembrer et occuper l’Ouest du pays.

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  • "Le choc des civilisations" de Samuel Huntington 5/7

    Huntington

    • « Au début des années 90, les deux tiers des immigrés en Europe étaient musulmans. La préoccupation des Européens en la matière concernait par-dessus tout l’immigration musulmane. Le défi est démographique – les immigrés représentent 10 % des naissances en Europe occidentale et les Arabes 50 % de celles-ci à Bruxelles – et culturel. Les communautés musulmanes, turque en Allemagne ou algérienne en France, n’étaient pas intégrées dans leur culture d’accueil et, au grand dam des Européens, ne semblaient pas devoir l’être » [p. 292].

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  • L’Église, les Lumières et l’éducation au XVIIIe siècle

    Entre le XVIe siècle et la Révolution, un débat s’instaure entre défenseurs et adversaires de l’éducation du peuple. Ce débat met en jeu la nécessité de christianiser les masses, la recherche de l’efficacité économique et l’élévation morale de l’homme par l’instruction. A contrario des idées reçues, les défenseurs de la « démocratisation » de l’instruction ne se trouvent pas du côté que l’on croit !

    I. L’Église et l’éducation

    Au XVIe siècle, l’Église fait de l’éducation du peuple un devoir pour les clercs et les évêques. Le péril protestant accélère l’ouverture d’écoles élémentaires : dans les régions où progresse le protestantisme, il est impensable de laisser le monopole de l’instruction aux huguenots. Au XVIIe, les missionnaires découvrent dans certaines régions de France une ignorance religieuse préoccupante, qu’ils mettent en parallèle avec l’ignorance des peuples « exotiques ».

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  • ROTHSCHILD : LES MAÎTRES DE LA FINANCE MONDIALE | DOCUMENTAIRE GÉOPOLITIQUE PROFONDE

  • La Révolution bolchévique – XVIIème partie

    Nicholas II avait une grande honnêteté de pensée et d’action, une honnêteté qui le conduisit à la mort.

    Voilà un paragraphe très intéressant du livre de Cherep Spiridovich, qui concerne cette honnêteté, Cherep Spiridovich s’inspire des paroles de Alphonse de Lamartine, poète, historien et politicien français:

    “ … I had already tried to give a Conscience to History and to rescue the readers from  the ‘immoral doctrine of success’, by proving to them, that the ‘marvelous successes’ of the so-called  ‘great men’ (in reality great mischief-makers), were due to the support of Satan’s delegates. I explained the “hidden” meaning of those great historic dramas, like the dethronement of the three well meaning ancient dynasties recently upset, because hundred years ago (in 1815) they had the courage to sign the “Holy Alliance”, i.e. a League of Nations with CHRIST as the Supreme LEADER.”

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  • Pour le RN, être présent à la cérémonie pour Manouchian, est-ce une bonne idée ?

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    Vouloir assister à la pathéonisation du communiste Missak Manouchian participe, finalement, à la volonté de Marine Le Pen de faire de son parti un parti comme les autres. C'est son choix, elle est logique avec elle-même. Nous ne nous étendrons donc pas là-dessus.

    Néanmoins, puisque l'occasion nous en est donnée, il nous semble opportun de rappeler qu'au sein même du Front national, à l'époque où il était présidé par Jean-Marie Le Pen, ce n'étaient pas les héros de la Résistance qui manquaient. Ceux-ci, pour la plupart, n'avaient pas attendu la rupture du pacte germano-soviétique pour s'engager.

    Dans le n°24 de la collection des Cahiers d'Histoire du nationalisme, consacré au cinquantième anniversaire de la création du FN, nous avions justement publié cette liste (non exhaustive).  

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  • L’armée et la tactique militaire sous Louis XIV

    Le règne personnel de Louis XIV (1661-1715) est riche d’évolutions et d’innovations sur le plan militaire. Il voit l’abandon de l’armée de levée pour une armée permanente, composée essentiellement de sujets du royaume, une armée quasiment nationale : les mercenaires étrangers ne constituent plus qu’un faible pourcentage des troupes. Les armes évoluent : le fusil remplace le mousquet et la baïonnette fait disparaître la pique. Particulièrement bien disciplinée et entraînée, l’armée française, capable de tenir tête seule à l’Europe (guerre de la Ligue d’Augsbourg), sert de modèle pour les autres États européens.

    I. Une armée d’une taille inédite

    Le règne de Louis XIV voit l’armée s’accroître d’une façon inédite. Jusqu’au début du XVIIe siècle, les forces en temps de paix ne dépassaient pas 10.000 hommes, et en temps de guerre rarement plus de 70.000. Louis XIII monte ses forces jusqu’à 125.000 hommes après l’entrée dans la guerre de Trente Ans.

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