culture et histoire - Page 743
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Samedi 6 avril, de 10 h à 18 h 30, à Paris : 6e colloque de l'Institut Iliade
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La naissance de la République – Épisode 7 – Les massacres de septembre
De la convocation des États-généraux à la proclamation de la République, les étapes qui ont conduit de la monarchie chrétienne de Droit divin au monde qui est le nôtre.
Épisode 7 – Les massacres de septembre
Le 2 septembre 1792 les prisons sont pleines…
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Zoom – Pierre-Alban Delannoy : Un maoïste devenu chrétien !
Un maoïste devenu chrétien ! C’est l’itinéraire singulier de Pierre-Alban Delannoy… un chemin qu’il raconte à travers un ouvrage intitulé « De Mao à Jésus » et paru aux éditions Salvator. Issu de la Gauche Prolétarienne, l’auteur revient sur ses années de militantisme, notamment en usine, sur l’évolution de cette mouvance et sa conversion au christianisme.
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La Petite Histoire : la France et l’Écosse, plus vieux alliés du monde ?
En 1296, l’Auld Alliance est conclue entre la France de Philippe le Bel et l’Écosse de John Balliol, tous deux en lutte contre l’Angleterre. Une alliance avant tout militaire mais aussi stratégique, économique, culturelle et démographique qui durera officiellement près de 265 ans… mais perdurera bien des siècles après ! Depuis cet accord, des liens forts de fraternité unissent les deux pays au sein d’une alliance devenue romantique, créant de fait un véritable mythe franco-écossais. Retour sur une histoire commune qui dure depuis plus de 700 ans.
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Indo-européens. Le point sur les avancées scientifiques avec Nouvelle Ecole
Par Henri Levavasseur ♦ L’existence des Indo-Européens est une évidence depuis des décennies grâce aux travaux de nombreux chercheurs. Et les progrès scientifiques récents sont venus valider définitivement l’existence de ce peuple qui a eu un impact considérable sur la formation du substrat européen. La revue Nouvelle Ecole fait le point sur l’ensemble de ces données dans un numéro spécial.
PolémiaDès 1972, la prestigieuse revue Nouvelle Ecole, fondée en 1968 par Alain de Benoist, consacrait l’un de ses numéros à l’œuvre de Georges Dumézil, contribuant ainsi à susciter l’intérêt du grand public cultivé pour l’œuvre de cet immense savant, spécialiste de la mythologie, de la religion et de la vision du monde des Indo-Européens.
En 1997, la même revue publiait de nouveau un dossier complet sur les Indo-Européens, abordant cette fois l’historiographie, les questions linguistiques et archéologiques, ainsi que la notion de « tradition indo-européenne », développée par le professeur Jean Haudry.
En marge de ces deux dossiers parus à plus de vingt ans d’intervalle, Nouvelle Ecole a par ailleurs accueilli dans la quasi-totalité de ses numéros d’importantes contributions à ce domaine de recherche, tandis que la revue rassemblait dans son comité de patronage d’éminents archéologues, linguistes, anthropologues et historiens (notamment Björn Collinder, François-Xavier Dillmann, Mircea Eliade, Marija Gimbutas, Jean Haudry, Herbert Jankuhn, Lothar Kilian, C. Scott Littleton, Manfred Mayrhofer, Edgard Polomé, Colin Renfrew, Robert Schilling, Rüdiger Schmitt et Jean Varenne).
Toujours à la pointe de l’information scientifique, Nouvelle Ecole publie aujourd’hui un numéro exceptionnel (et richement illustré en couleurs) sur la paléogénétique des Indo-Européens, présentant un bilan extrêmement précis des perspectives totalement inédites offertes par cette nouvelle discipline.
Grâce au séquençage du génome humain et au perfectionnement des techniques d’extraction des données génétiques, il devient en effet possible, en analysant les restes humains exhumés par les archéologues, de reconstituer le processus d’indo-européanisation de l’Europe et d’une bonne partie de l’Asie à partir d’un « dernier habitat commun » situé dans les steppes pontiques (entre le Dniepr et la Volga), au quatrième millénaire avant notre ère. Ce foyer de dispersion se confond plus ou moins avec la culture dite de Yamna, caractérisée par des sépultures individuelles sous tumuli (tradition des « kourganes »), par l’importance centrale du cheval et l’usage des chariots, par une économie de type pastoral ainsi qu’un modèle de société patriarcal et guerrier. Se mêlant progressivement à des populations de chasseurs-cueilleurs et d’agriculteurs, ces conquérants indo-européens imposèrent à la « vieille Europe » du néolithique leurs idiomes, leurs divinités et leur vision du monde.
Rédigé par Patrick Bouts, le premier article de ce nouveau numéro de Nouvelle Ecole, intitulé « Le peuplement de l’Europe. La révolution de la paléogénétique et les Indo-Européens », présente l’état actuel des connaissances sur ce sujet complexe. Cette étude extrêmement fouillée, fondée sur la synthèse de plusieurs dizaines d’études scientifiques très récentes menées par les plus prestigieuses universités (Harvard, MIT, Berkeley, Leipzig), est opportunément complétée par un précieux index technique, de nombreuses cartes et graphiques, ainsi qu’une bibliographie.
Jean-Michel Vivien consacre pour sa part de très belles pages au « cas français », abordant avec érudition et de manière novatrice la question de « L’indo-européanisation du territoire à travers les migrations (proto-) celtiques et leur impact génétique ».
A la suite de ce remarquable dossier sur la paléogénétique figurent également la publication de la correspondance entre Georges Dumézil et Alain de Benoist, ainsi que la traduction d’une étude de mythologie comparée due au grand savant suédois Anders Hultgård, professeur émérite d’histoire des religions de l’université d’Upsal, correspondant étranger de l’Institut (Académie des inscriptions et Belles-lettres) et membre de l’Académie royale Gustave Adolphe. L’article de M. Hultgård expose en particulier trois « études de cas », dans lesquelles l’auteur fait brillamment usage de comparaisons avec les domaines avestiques, grecs et sanscrits pour démontrer le caractère « indo-européen » de formules religieuses et de mythes scandinaves souvent rapprochés à tort de sources chrétiennes plus récentes.
En associant linguistique, histoire des religions, archéologie et paléogénétique, l’ensemble des contributions offre donc un bel aperçu des principales disciplines qui contribuent aujourd’hui à la reconstitution de la langue, de la culture et des origines des Indo-Européens. Ce dossier mérite à ce titre d’être lu, relu et médité par tout honnête homme européen en quête de ses origines ancestrales.
Le sommaire de ce 68e numéro de Nouvelle Ecole, d’une grande richesse, comprend également des articles sur « La théorie de l’institution chez Maurice Hauriou, Santi Romano et Carl Schmitt » (par Paul Matilion), « Louis Aragon et les ambiguïtés du national-communisme » (par Jean-Marie Sanjorge), « Albert Camus ou la pensée de la limite » (par Marc Muller) et « Le nihilisme, une affirmation à l’envers » (par Pierre Le Vigan).
Henri Levavasseur 18/03/2019
En savoir plus : krisisdiffusion.com
https://www.polemia.com/indo-europeens-point-avancees-scientifiques-nouvelle-ecole/
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DU 19 AU 25 AOÛT, À SÉES (61) : L'UNIVERSITÉ D'ÉTÉ CATHOLIQUE D'ACADEMIA CHRISTIANA
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Passé-Présent n°231 : français d’Algérie et algériens avant 1962
Philippe Conrad revient sur l’invasion du Tibet par les chinois, à l’occasion du 60è anniversaire de celle-ci.
Le Tibet, cet immense haut plateau, fut une grande puissance d’Asie centrale au Moyen-Age. Après son apogée au 8è S., l’empire fut contrôlé par le pouvoir mongol au 12è S., puis par les Yuan. Les empires russe et britannique convoitent, au 19è S., la région qui devient un enjeu politique majeur, mais la suzeraineté chinoise sur le Tibet déclenche une insurrection en 1912, date du retour du chef spirituel des bouddhistes : le Dalaï-lama, 13è du nom, qui déclare l’indépendance du pays en 1913 au grand dam des chinois qui entendent maintenir le territoire sous leur coupe. En octobre 1950, 40.000 chinois envahissent le Tibet. Un accord, obtenu sous la contrainte en mai 1951 intègre le pays à la Chine. Une insurrection, soutenue par la CIA, éclate en 1955, mais la réplique de l’armée communiste qui visera notamment à bombarder les monastères (10 lieux de culte seront épargnés sur 600) contraindra le 14è Dalaï-lama à s’exiler en Inde, en mars 1959.
Depuis cette date, 8 millions de chinois déplacés coloniseront le territoire tibétain, et même si l’autonomisme persiste, la solide mainmise de Pékin en sape les perspectives.Philippe Conrad accueille Roger Vétillard pour deux ouvrages : Français d’Algérie et Algériens avant 1962 (Ed. Hémisphères) et La dimension religieuse de la guerre d’Algérie 1954-1962 (Ed. Atlantis).
Le sous-titre témoignages croisés reflète parfaitement la teneur du premier livre. Roger Vétillard a, en effet, questionné des centaines d’acteurs, unanimes dans leur description d’une coexistence de proximité et de sympathie entre français de souche européenne et autochtones sur le territoire algérien avant 1962. « L’apartheid » n’existait ni dans les rues, ni dans les écoles, ni sur les terrains de sport ; situation qui n’était pas totalement perçue et objectivement relatée dans les médias.
Dans le second ouvrage, l’auteur fait remonter au début des années 1930 l’identification d’une réaction religieuse musulmane et note qu’un soulèvement arabo-islamiste se trouve à l’origine de la guerre d’Algérie. Pendant le conflit, la référence à l’islam est très présente chez les combattants du FLN, doublée d’une force mobilisatrice. En 1955, le Fond de Libération Nationale revendique un rétablissement du pays dans le cadre des principes islamistes. De fait, une guerre civile de dix ans, dans les années 1990, concrétisera dramatiquement ce réveil religieux.
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Le nouveau numéro d'Eléments
Chez votre marchand de journaux.
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Beaucoup de monde aux Assises de la France des Gilets jaunes dimanche à Rungis
Riposte laïque et Résistance républicaine organisaient ce dimanche à Rungis les Assises de la France des Gilets jaunes. Il s'agissait, quatre mois après le début de ce mouvement populaire, de dresser le bilan de celui-ci. Ainsi, de nombreux responsables Gilets jaunes, tant locaux que nationaux, ont pris la parole devant un demi-millier de patriotes. Nous reviendrons très vite sur cette réunion dont la hauteur des interventions a enthousiasmé le public.
Nous remercions les organisateurs et les participants pour le sympathique accueil qu'ils ont réservé à notre stand. Le numéro hors-série de Synthèse nationale consacré aux Gilets jaunes a été largement diffusé et notre appel cliquez ici contre la menace de dissolution du Bastion social a reçu plusieurs centaines de signatures.
Dès maintenant, vous pouvez consulter l'ensemble des interventions à cette réunion cliquez ici
En savoir plus et le commander cliquez ici
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18 mars 1978 : assassinat de François Duprat
Communiqué de presse d'Alexandre Simonnot :
N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 41 années, le 18 mars 1978.
Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.
François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.
François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.
Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...
Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.
Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.