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culture et histoire - Page 743

  • La Petite Histoire : la France et l’Écosse, plus vieux alliés du monde ?

    En 1296, l’Auld Alliance est conclue entre la France de Philippe le Bel et l’Écosse de John Balliol, tous deux en lutte contre l’Angleterre. Une alliance avant tout militaire mais aussi stratégique, économique, culturelle et démographique qui durera officiellement près de 265 ans… mais perdurera bien des siècles après ! Depuis cet accord, des liens forts de fraternité unissent les deux pays au sein d’une alliance devenue romantique, créant de fait un véritable mythe franco-écossais. Retour sur une histoire commune qui dure depuis plus de 700 ans.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-france-et-lecosse-plus-vieux-allies-du-monde

  • Indo-européens. Le point sur les avancées scientifiques avec Nouvelle Ecole

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    Par Henri Levavasseur ♦ L’existence des Indo-Européens est une évidence depuis des décennies grâce aux travaux de nombreux chercheurs. Et les progrès scientifiques récents sont venus valider définitivement l’existence de ce peuple qui a eu un impact considérable sur la formation du substrat européen. La revue Nouvelle Ecole fait le point sur l’ensemble de ces données dans un numéro spécial.
    Polémia

    nouvelle-ecole-68-indo-europeens-207x300.jpgDès 1972, la pres­ti­gieuse revue Nou­velle Ecole, fon­dée en 1968 par Alain de Benoist, consa­crait l’un de ses numé­ros à l’œuvre de Georges Dumé­zil, contri­buant ain­si à sus­ci­ter l’intérêt du grand public culti­vé pour l’œuvre de cet immense savant, spé­cia­liste de la mytho­lo­gie, de la reli­gion et de la vision du monde des Indo-Euro­péens.

    En 1997, la même revue publiait de nou­veau un dos­sier com­plet sur les Indo-Euro­péens, abor­dant cette fois l’historiographie, les ques­tions lin­guis­tiques et archéo­lo­giques, ain­si que la notion de « tra­di­tion indo-euro­péenne », déve­lop­pée par le pro­fes­seur Jean Hau­dry.

    En marge de ces deux dos­siers parus à plus de vingt ans d’intervalle, Nou­velle Ecole a par ailleurs accueilli dans la qua­si-tota­li­té de ses numé­ros d’importantes contri­bu­tions à ce domaine de recherche, tan­dis que la revue ras­sem­blait dans son comi­té de patro­nage d’éminents archéo­logues, lin­guistes, anthro­po­logues et his­to­riens (notam­ment Björn Col­lin­der, Fran­çois-Xavier Dill­mann, Mir­cea Eliade, Mari­ja Gim­bu­tas, Jean Hau­dry, Her­bert Jan­kuhn, Lothar Kilian, C. Scott Lit­tle­ton, Man­fred May­rho­fer, Edgard Polo­mé, Colin Ren­frew, Robert Schil­ling, Rüdi­ger Schmitt et Jean Varenne).

    Tou­jours à la pointe de l’information scien­ti­fique, Nou­velle Ecole publie aujourd’hui un numé­ro excep­tion­nel (et riche­ment illus­tré en cou­leurs) sur la paléo­gé­né­tique des Indo-Euro­péens, pré­sen­tant un bilan extrê­me­ment pré­cis des pers­pec­tives tota­le­ment inédites offertes par cette nou­velle dis­ci­pline.

    Grâce au séquen­çage du génome humain et au per­fec­tion­ne­ment des tech­niques d’extraction des don­nées géné­tiques, il devient en effet pos­sible, en ana­ly­sant les restes humains exhu­més par les archéo­logues, de recons­ti­tuer le pro­ces­sus d’indo-européanisation de l’Europe et d’une bonne par­tie de l’Asie à par­tir d’un « der­nier habi­tat com­mun » situé dans les steppes pon­tiques (entre le Dnie­pr et la Vol­ga), au qua­trième mil­lé­naire avant notre ère. Ce foyer de dis­per­sion se confond plus ou moins avec la culture dite de Yam­na, carac­té­ri­sée par des sépul­tures indi­vi­duelles sous tumu­li (tra­di­tion des « kour­ganes »), par l’importance cen­trale du che­val et l’usage des cha­riots, par une éco­no­mie de type pas­to­ral ain­si qu’un modèle de socié­té patriar­cal et guer­rier. Se mêlant pro­gres­si­ve­ment à des popu­la­tions de chas­seurs-cueilleurs et d’agriculteurs, ces conqué­rants indo-euro­péens impo­sèrent à la « vieille Europe » du néo­li­thique leurs idiomes, leurs divi­ni­tés et leur vision du monde.

    Rédi­gé par Patrick Bouts, le pre­mier article de ce nou­veau numé­ro de Nou­velle Ecole, inti­tu­lé « Le peu­ple­ment de l’Europe. La révo­lu­tion de la paléo­gé­né­tique et les Indo-Euro­péens », pré­sente l’état actuel des connais­sances sur ce sujet com­plexe. Cette étude extrê­me­ment fouillée, fon­dée sur la syn­thèse de plu­sieurs dizaines d’études scien­ti­fiques très récentes menées par les plus pres­ti­gieuses uni­ver­si­tés (Har­vard, MIT, Ber­ke­ley, Leip­zig), est oppor­tu­né­ment com­plé­tée par un pré­cieux index tech­nique, de nom­breuses cartes et gra­phiques, ain­si qu’une biblio­gra­phie.

    Jean-Michel Vivien consacre pour sa part de très belles pages au « cas fran­çais », abor­dant avec éru­di­tion et de manière nova­trice la ques­tion de « L’indo-européanisation du ter­ri­toire à tra­vers les migra­tions (pro­to-) cel­tiques et leur impact géné­tique ».

    A la suite de ce remar­quable dos­sier sur la paléo­gé­né­tique figurent éga­le­ment la publi­ca­tion de la cor­res­pon­dance entre Georges Dumé­zil et Alain de Benoist, ain­si que la tra­duc­tion d’une étude de mytho­lo­gie com­pa­rée due au grand savant sué­dois Anders Hultgård, pro­fes­seur émé­rite d’histoire des reli­gions de l’université d’Upsal, cor­res­pon­dant étran­ger de l’Institut (Aca­dé­mie des ins­crip­tions et Belles-lettres) et membre de l’Académie royale Gus­tave Adolphe. L’article de M. Hultgård expose en par­ti­cu­lier trois « études de cas », dans les­quelles l’auteur fait brillam­ment usage de com­pa­rai­sons avec les domaines aves­tiques, grecs et sans­crits pour démon­trer le carac­tère « indo-euro­péen » de for­mules reli­gieuses et de mythes scan­di­naves sou­vent rap­pro­chés à tort de sources chré­tiennes plus récentes.

    En asso­ciant lin­guis­tique, his­toire des reli­gions, archéo­lo­gie et paléo­gé­né­tique, l’ensemble des contri­bu­tions offre donc un bel aper­çu des prin­ci­pales dis­ci­plines qui contri­buent aujourd’hui à la recons­ti­tu­tion de la langue, de la culture et des ori­gines des Indo-Euro­péens. Ce dos­sier mérite à ce titre d’être lu, relu et médi­té par tout hon­nête homme euro­péen en quête de ses ori­gines ances­trales.

    Le som­maire de ce 68e numé­ro de Nou­velle Ecole, d’une grande richesse, com­prend éga­le­ment des articles sur « La théo­rie de l’institution chez Mau­rice Hau­riou, San­ti Roma­no et Carl Schmitt » (par Paul Mati­lion), « Louis Ara­gon et les ambi­guï­tés du natio­nal-com­mu­nisme » (par Jean-Marie San­jorge), « Albert Camus ou la pen­sée de la limite » (par Marc Mul­ler) et « Le nihi­lisme, une affir­ma­tion à l’envers » (par Pierre Le Vigan).

    Hen­ri Leva­vas­seur 18/03/2019

    En savoir plus krisisdiffusion.com

    https://www.polemia.com/indo-europeens-point-avancees-scientifiques-nouvelle-ecole/

  • Passé-Présent n°231 : français d’Algérie et algériens avant 1962

    Philippe Conrad revient sur l’invasion du Tibet par les chinois, à l’occasion du 60è anniversaire de celle-ci.

    Le Tibet, cet immense haut plateau, fut une grande puissance d’Asie centrale au Moyen-Age. Après son apogée au 8è S., l’empire fut contrôlé par le pouvoir mongol au 12è S., puis par les Yuan. Les empires russe et britannique convoitent, au 19è S., la région qui devient un enjeu politique majeur, mais la suzeraineté chinoise sur le Tibet déclenche une insurrection en 1912, date du retour du chef spirituel des bouddhistes : le Dalaï-lama, 13è du nom, qui déclare l’indépendance du pays en 1913 au grand dam des chinois qui entendent maintenir le territoire sous leur coupe. En octobre 1950, 40.000 chinois envahissent le Tibet. Un accord, obtenu sous la contrainte en mai 1951 intègre le pays à la Chine. Une insurrection, soutenue par la CIA, éclate en 1955, mais la réplique de l’armée communiste qui visera notamment à bombarder les monastères (10 lieux de culte seront épargnés sur 600) contraindra le 14è Dalaï-lama à s’exiler en Inde, en mars 1959.
    Depuis cette date, 8 millions de chinois déplacés coloniseront le territoire tibétain, et même si l’autonomisme persiste, la solide mainmise de Pékin en sape les perspectives.

    Philippe Conrad accueille Roger Vétillard pour deux ouvrages : Français d’Algérie et Algériens avant 1962 (Ed. Hémisphères) et La dimension religieuse de la guerre d’Algérie 1954-1962 (Ed. Atlantis).

    Le sous-titre témoignages croisés reflète parfaitement la teneur du premier livre. Roger Vétillard a, en effet, questionné des centaines d’acteurs, unanimes dans leur description d’une coexistence de proximité et de sympathie entre français de souche européenne et autochtones sur le territoire algérien avant 1962. « L’apartheid » n’existait ni dans les rues, ni dans les écoles, ni sur les terrains de sport ; situation qui n’était pas totalement perçue et objectivement relatée dans les médias.

    Dans le second ouvrage, l’auteur fait remonter au début des années 1930 l’identification d’une réaction religieuse musulmane et note qu’un soulèvement arabo-islamiste se trouve à l’origine de la guerre d’Algérie. Pendant le conflit, la référence à l’islam est très présente chez les combattants du FLN, doublée d’une force mobilisatrice. En 1955, le Fond de Libération Nationale revendique un rétablissement du pays dans le cadre des principes islamistes. De fait, une guerre civile de dix ans, dans les années 1990, concrétisera dramatiquement ce réveil religieux.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n231

  • Beaucoup de monde aux Assises de la France des Gilets jaunes dimanche à Rungis

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    Riposte laïque et Résistance républicaine organisaient ce dimanche à Rungis les Assises de la France des Gilets jaunes. Il s'agissait, quatre mois après le début de ce mouvement populaire, de dresser le bilan de celui-ci. Ainsi, de nombreux responsables Gilets jaunes, tant locaux que nationaux, ont pris la parole devant un demi-millier de patriotes. Nous reviendrons très vite sur cette réunion dont la hauteur des interventions a enthousiasmé le public.

    Nous remercions les organisateurs et les participants pour le sympathique accueil qu'ils ont réservé à notre stand. Le numéro hors-série de Synthèse nationale consacré aux Gilets jaunes a été largement diffusé et notre appel cliquez ici contre la menace de dissolution du Bastion social a reçu plusieurs centaines de signatures.

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    Dès maintenant, vous pouvez consulter l'ensemble des interventions à cette réunion cliquez ici

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    En savoir plus et le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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    Communiqué de presse d'Alexandre Simonnot :

    N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 41 années, le 18 mars 1978.

    Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

    François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

    François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

    Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

    Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

    Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

  • Andalousie la fin d'un mythe

    Numériser.jpegLe mythe d'Al Andalous, l’Andalousie califale des derniers Omeyyades, sert souvent d'exemple à la convivialité des cultures. Comme si l'islam de ces années-là pouvait être donnée en modèle au XXIe siècle. Rafaël Sanchez Saus nous montre une réalité historique bien différente du mythe.

    C’est un ouvrage monumental que nous offre l'historien espagnol Rafaël Sanchez Saus, une histoire des chrétiens dans Al Andalous, sous-titré éloquemment « De la soumission à l'anéantissement ». Ce livre, paru en 2016, a constitué un véritable succès de librairie dans son pays d'origine. Sa traduction est une opportunité pour les non-hispanophones dont je fais partie. On découvre la très longue histoire de l'Espagne musulmane, peut-être une Espagne plus tolérante que ne l'a été la domination sunnite en Afrique du nord, mais une Espagne clairement sous la botte d'un conquérant qui, au fil des siècles lui impose sa religion. Durant le VIIIe siècle, on ne compte que 10 % de musulmans, des Arabes mais aussi, en majorité, des Berbères, et aussi des muledis (c'est-à-dire des chrétiens wisigoths convertis). Durant les derniers siècles du Royaume de Grenade, la minorité chrétienne est résiduelle. Beaucoup de chrétiens ont émigré, quelques-uns se sont battus et ont été exterminés. La plupart se sont soumis, ils sont tombés dans la dhimmitude, ce statut machiavélique de « protégés de l'islam ».

    Après la mort de leur roi sur le champ de bataille, lors de la conquête militaire de l'Andalousie, il faudra attendre, vers 850 la conversion d'Omar ben Hafsun, un ancien muledis, ex-bandit de grands chemins, qui, au temps de sa splendeur militaire, échoua à reprendre Cordoue, mais réussit à créer une principauté chrétienne qui vécut un demi-siècle, Bobastro, dans les Montagnes andalouses. Le personnage avait conscience du rouleau compresseur dont il avait défié l'hégémonie. Il se convertit au christianisme et prit le nom de Samuel, comme pour s'identifier au prophète qui sacra le roi d'Israël. Sa petite fille, Argentéa, mourut martyre, dans d'atroces souffrances devenue religieuse, elle allait chaque jour rendre visite aux prisonniers chrétiens, on s'enquit de sa famille et elle paya pour Omar, le renégat, elle fut elle-même considérée comme apostate, étant, par son grand-père d'origine musulmane. Voilà une histoire moins consensuelle que celle que l'on nous conte habituellement.

    La liberté religieuse était absente en cette terre d'islam. Des chrétiens ont tenu à montrer cette tyrannie religieuse, en tentant d'entrer en dialogue avec tel immam ou telle autorité musulmane. Leurs questions étaient mal reçues, au point que plusieurs de ces courageux chrétiens, canonisés peu après, saint Euloge, saint Sanche, saint Léandre, avaient trouvé la mort simplement en demandant aux musulmans des comptes sur leur foi musulmane. Le caractère suicidaire d'une telle démarche marquait bien l’oppression à laquelle les chrétiens, se considérant comme chez eux puisqu'ils étaient les premiers occupants, se trouvaient soumis.

    Le droit des femmes

    Très significatif du décalage entre le discours dominant et les faits historiques, ce que l'on nous raconte de la condition des femmes dans Al Andalous. Les épouses étaient enfermées au gynécée, avec interdiction d'en sortir autrement que couvertes jusqu'aux yeux. Al Andalous ne présentait aucune différence sur le statut des épouses par rapport aux autres pays musulmans. Au XIIe siècle, le grand Averroès, lecteur d'Aristote pouvait écrire tranquillement dans une célèbre maxime « Il n'y a parmi nous aucune femme douée de vertu morale. Son existence se déroule comme celle des plantes. ». Averroès était cadi. Il faisait appliquer le droit musulman, non sans raideur, on le conçoit avec de tels principes. Sur la liberté de la femme, il y avait, c'est vrai une particularité dans al Andalous, comme d'ailleurs dans tous les pays musulmans, c'était le trafic d'esclaves. Les femmes les plus libres étaient les esclaves, élevées pour le plaisir des hommes et qui vivaient dans des harems, les yawari. Celles-là pouvaient se mettre en valeur et jouer avec l'amour qu'elles inspiraient à leurs maîtres pour améliorer leur condition. Mais elles restaient des esclaves sans aucun droit ou bien, affranchies, devenaient des épouses soumises.

    Dans cette terre soi-disant idyllique mais esclavagiste, la pression religieuse est allée croissante au fil des années. Parmi les chrétiens, il n'y avait pas que des héros, c'est évident. D faut aussi parler des chefs de communauté qui s'accommodaient de leur statut de dhimmi et rendaient obligatoire dans la communauté chrétienne le respect des mets dits purs et impurs, la circoncision et la conception adoptianiste d'un Christ qui, à l'image de Mohammed, serait juste prophète un homme comme les autres, présenté comme adopté par Dieu. Très affaiblies au moment de la Reconquista, les communautés chrétiennes d'Al Andalous n'ont pas résisté à la chrétienté latine et leurs rites liturgiques propres, leurs us et coutumes ont disparu totalement dans l'ardeur de la Reconquête. Il faut dire qu'à Elvira (Grenade) ils n'étaient plus qu'une poignée.

    - Rafaël Sanchez Saus, Les chrétiens dans Al Andalous, De la soumission à l'anéantissement, éd. du Rocher 520 pp. 242 €

    Joël Prieur monde&vie 28 février 2019

  • Zoom – Ivan Rioufol : Macron, la grande Mascarade

     

    -macron-la-grande-masquarade-p26.pngLe célèbre éditorialiste du Figaro, Ivan Rioufol décrit depuis des années la longue décrépitude de la politique française. Avec courage et souvent panache, il bataille sur les plateaux de télévision en prenant la défense inlassable des Gilets Jaunes et en dénonçant la grande mascarade de Macron. Du scrutin présidentiel aux Gilets Jaunes, les analyses d’Ivan Rioufol sont validées par la réalité ! Décapant !

    Ivan Rioufol : Macron, de la grande mascarade…aux Gilets jaunes