Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 761

  • RAPPEL samedi 12 janvier : Paris Fierté honore Sainte Geneviève

    2169981665.jpg

    Un communiqué de Paris Fierté :

    L’association Paris Fierté vous donne rendez-vous le 12 janvier pour sa traditionnelle Journée de la Fierté Parisienne, suivie d’une marche aux flambeaux en l’honneur de Sainte-Geneviève, patronne de Paris.
    Cette année, la Journée de la Fierté Parisienne honorera celles qui sont tout à la foi saintes, mères et guerrières, celles sans qui Paris ne serait rien : les Parisiennes.

    Samedi 12 janvier
    13 h : Journée de la Fierté Parisienne
    La Journée de la Fierté parisienne se tiendra dans une péniche. Vous pourrez profiter d'un bistrot Guinguette à la parisienne dans une ambiance familiale. Un espace dédié sera prévu pour les enfants.
    Le lieu d’amarrage exact de la péniche sera communiqué ultérieurement.

    18 h : Marche en l'honneur de Sainte-Geneviève
    La Marche en l’honneur de Sainte Geneviève débutera au pont de la Tournelle au niveau de la statue de Sainte-Geneviève (Paris V, métro Pont Marie, près de l’Île Saint Louis). Cette marche aux flambeaux, festive et animée, se terminera par un spectacle surprise.

    A la journée ou à la marche, ne fut-ce qu’un moment, seuls, en couple ou en famille... le 12 janvier 2019, vous êtes pris !

    Nous comptons sur tous les amoureux du Paris populaire et enraciné pour nous rendre visite et faire de cet événement unique un grand succès !

    La sécurité du public sera garantie pendant l'intégralité de la journée par un service d'ordre professionnel, en lien avec la Préfecture de Police.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/03/samedi-12-janvier-paris-fierte-honore-sainte-genevieve-6117748.html

  • Marseille & Région, lundi 21 janvier, conférence-débat avec André Bercoff ... A ne pas manquer !

    4204633185.jpg

    Programme du lundi 21 janvier 2019 à Marseille

     À 19h, Messe à la mémoire du roi Louis XVI et des victimes de la Révolution, en la Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado. La Messe, chantée, avec musique et orgue, sera célébrée par Monseigneur Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique. L'homélie sera donnée par le père Antoine Deveaux. 

     A 20h30, conférence-débat avec André Bercoff, invité exceptionnel 2019 : «Situation explosive de la France et du monde ». 

    Lieu de l'événement : Maison des Travaux Publics & du Bâtiment, 344 bd. Michelet - 13009 Marseille (Parking gratuit)

    Conférence-débat et buffet-dînatoire : 25 € - Jeunes 15 €

    Inscriptions urgentes et renseignements par courriel, texto ou téléphone 

    Courriel : urp@outlook.fr  - Téléphone : 06 08 31 54 97

    Règlements de préférence par PayPal (Noter : « 21 janvier »)

     
  • La Petite Histoire : l’affaire du sang contaminé

    Au début des années 90 éclate un scandale politico-médical : l’affaire du sang contaminé. Entre 1983 et 1985, date à laquelle on découvre le virus du sida, du sang contaminé a été volontairement distribué à des patients alors que les risques étaient déjà connus. En trame de fond : des raisons financières, du lobbying entre laboratoires et une classe politique plus soucieuse de gérer son calendrier, ses amis et ses finances que de s’intéresser à la santé publique. Bilan : 2 000 personnes contaminées, 300 morts. Retour sur un scandale dont les répercussions se font toujours ressentir aujourd’hui, sans que les familles des victimes n’aient pu obtenir une juste réparation.

    https://www.tvlibertes.com/laffaire-du-sang-contamine

  • Le mythe de la Cinquième – La République sans la Révolution ? En finir avec l’idéologie républicaine

    Le mythe de la Cinquième – La République sans la Révolution ? En finir avec l’idéologie républicaine

    Lu ici :

    C’est un précepte évangélique que l’on reconnaît un arbre à ses fruits. Nos républicains sincèrement amoureux de la France devraient en prendre graine, car il n’est pas certain que leur position fasse montre d’une cohérence à toute épreuve. La République a plus d’un siècle maintenant, et un retour sur expérience est non seulement possible, mais sans doute bienvenu. Or, que montre un simple regard rapide ? Deux guerres mondiales, dont la première a connu une paix boiteuse, et dont la seconde a été perdue en trois semaines ; une décolonisation bâclée et entachée de crimes, dont nous payons encore aujourd’hui les conséquences en ce qui concerne l’Algérie et l’Afrique noire ; un large mensonge sur les « conquêtes sociales », dont les plus significatives ont été le fait des catholiques sociaux antirépublicains au XIXe siècle, avant l’avènement de la République, et contre la gauche, qui craignait que cela fasse mentir son dogme de la lutte des classes ; une pérennisation de la division des Français par l’anticléricalisme ; une contradiction mortelle entre la prétention de maintenir une morale chrétienne et l’effort constant pour  détruire la religion qui la justifiait ; enfin, une double soumission, après 1945, au pouvoir américain et à l’idéologie marxiste, qui a conduit à faire de la France la couveuse de beaucoup des grands criminels du XXe siècle, de Hô Chi Minh à Khomeiny – et rappelons que le Parti communiste chinois a été fondé dans la Concession Française de Shanghaï. Sur le plan institutionnel, cinq républiques en cent cinquante ans, pour une monarchie en huit cents ans ; sur le plan international, le passage du premier rang parmi les pays, disputé avec l’Angleterre, au cinquième ou sixième. La République a dilapidé en quelques décennies le patient acquis de la Monarchie. Si l’on est honnête, il n’y a franchement pas de quoi pavoiser !

    Oui, mais voilà, nous avons la Cinquième, la République gaullienne avec ses institutions stables et solides, des institutions à toute épreuve, aptes à répondre à toutes les crises.

    Parlons-en. On peut faire remarquer tout d’abord aux chantres de la Cinquième que, née de la crise algérienne qui a emporté la Quatrième, elle-même n’a été confrontée jusqu’ici qu’à une crise majeure, mai 68, alors qu’elle n’avait que dix ans d’âge et que son fondateur était toujours au pouvoir. La preuve de sa solidité est donc mince.

    Quant à sa stabilité, rappelons que la Constitution a connu depuis 1958 une vingtaine de modifications : les lois fondamentales de la Monarchie étaient autrement plus stables. A ceci, on répond communément que la plupart des modifications sont dues à l’intégration européenne, et c’est vrai, et que cette intégration a été initiée sous la Quatrième, et c’est encore vrai. Mais si la stabilité des institutions républicaines est incompatible avec l’Union Européenne, il ne fallait pas entrer dans l’Union, ou plutôt, puisque c’était fait, en sortir ; si on accepte cette Union en perpétuelle construction, on accepte le principe d’une instabilité chronique de la constitution. Or, si la constitution définit les institutions, son instabilité rend celles-ci instables, et la République avec elle.

    Qui plus est, le passage du septennat au quinquennat, pour le mandat du Président, n’a pas été, que l’on sache, commandé par l’Union Européenne.

    De surcroît, l’instabilité institutionnelle s’est toujours doublée d’une forte instabilité juridique : la République, de quelque numéro qu’elle soit, a toujours été en insurrection permanente contre sa propre légalité, et elle ne peut pas ne pas l’être étant donné qu’elle repose sur un principe révolutionnaire, c’est-à-dire un principe de changement permanent. Or, qu’on n’aille pas nous dire qu’il en va autrement avec la Cinquième : sa constitution l’inscrit ouvertement dans l’héritage de 1789. Il arrive un temps où il faut assumer ses choix : 89, ou la stabilité, mais on ne peut pas avoir l’un sans l’autre.

    Tout ceci n’a pas échappé au regard des plus sagaces, ou des moins prévenus. Mais on entend souvent dire alors que la Cinquième souffre du fait qu’elle a été faite sur mesure pour le général de Gaulle. A la bonne heure ! Imagine-t-on une Monarchie taillée, telle une cotte de mailles, pour le seul Louis XIV, ou pour son aïeul saint Louis ? Un régime serait donc fait pour une personne ? Si telle a été la pensée de de Gaulle, c’est assurément la plus grande injure qu’il ait faite aux Français. Nous laissons les historiens éclaircir ce point.

    Mais cette histoire de République couturière va loin, car ne faut-il pas voir l’origine du mythe de la stabilité de la Cinquième dans le fait qu’elle a survécu… à son fondateur ?! Quel exploit en vérité, quelle gloire pour des institutions que de perdurer plus que dix ou quinze ans ! Le père Ubu n’est pas loin.

    Il ne faut pas oublier, enfin, que, sur un plan politique et social, la Cinquième, c’est celle qui a vu la plongée à vitesse accélérée de la France dans le matérialisme le plus effréné – c’était l’heure du Concorde. Le terrain était préparé, certes, l’emprise de la société de consommation à l’américaine a joué pleinement, c’est vrai. Mais à tout le moins faut-il constater que la Cinquième a été impuissante à s’y opposer, si elle ne l’a pas encouragée positivement. Et le grand homme lui-même, pourtant adversaire farouche des américains, qu’a-t-il fait, sinon assimiler le progrès à la machine à laver et au frigidaire, et l’ordre au fait de ne pas bambocher et de se tenir bien à table ? Quelle grandeur en effet, quelle hauteur de vue !

    De manière plus grave encore, peut-être, de Gaulle et la Cinquième, c’est le maintien du pouvoir communiste sur les esprits, à travers le monde de l’éducation et de l’édition. On pourra une nouvelle fois trouver des excuses : cette fois, c’était l’URSS qui était puissante…

    De quelque manière qu’on l’envisage, cette « monarchie républicaine » n’est en réalité qu’une République monarchique, c’est-à-dire un régime qui concentre, et de plus en plus, le pouvoir entre les mains du Président, avec charge à lui de prendre en main la Révolution. La Cinquième République, c’est la Révolution par le monarque – quand la Troisième, c’était la Révolution par le Parlement, comme à la belle époque, la guillotine sur la place publique en moins ; les autres ne comptent pas.

    En définitive, la Cinquième est bien l’achèvement de l’idée républicaine : c’est la Révolution installée dans les dorures des palais. Son triomphe.

    Peut-on être amoureux de la France et être républicain ? Oui, si l’on ne sait pas ce que l’on dit, d’un côté ou de l’autre. Ou, ce qui revient au même, si l’on confond, une fois de plus, le réel avec une idée. Comme le dit si bien de nos jours un certain locataire, « on ne bâtit rien sur des mensonges. » Sur des illusions non plus.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-mythe-de-la-cinquieme-la-republique-sans-la-revolution-en-finir-avec-lideologie-republicaine/

  • Passé Présent n°221 – Les révoltes antifiscales du passé

    1) Les révoltes antifiscales sous l’ancien régime en France.
    2) L’invité Philippe Bornet présente son ouvrage « Demain la dictature ».

    https://www.tvlibertes.com/les-revoltes-antifiscales-du-passe

     
  • Métainfos, un nouveau dans la galaxie non-conformiste

    salamandre-fiche-reptile-animaux-de-nos-jardins.jpg

    Il y a quelques semaines, nous vous faisions part de la regrettable disparition du site Métamag cliquez là. Celle-ci témoignait de la difficulté d'entretenir par les réseaux militants dissidents un site quotidien de qualité. Beaucoup ignorent le travail que représente une telle entreprise. Nous en savons quelque chose...

    Mais, heureusement, il en faut plus que cela pour décourager les bonnes volontés. Et, grâce à la ténacité de quelques rédacteurs de Métamag regroupés autour de notre camarade Michel Lhomme, un nouveau site vient de naître.

    L'esprit est le même et il s'intitule Métainfos. Vous pouvez le consulter en cliquant ici

    S.N.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Jean-Jacques Goldman, pourquoi pas. Mais pourquoi ?

    Jean-Jacques-Goldman.jpg

    La chronique de Philippe Randa

    À nouveau, et pour la huitième fois (mais pas consécutive), le chanteur Jean-Jacques Goldman sort gagnant dans la 66e édition du Top 50 Ifop-JDD, avec, note le JDD, un cru marqué, cette année « par la percée des Bleus, le recul des femmes et la disparition des politiques. »

    Bon, pourquoi pas ! Loin de nous l’idée de contester ce sacre dont personne non plus nous empêchera néanmoins de songer : Oui, pourquoi pas ! Mais pourquoi ?

    Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, donne bien un début d’explications qui en vaut d’autres : « Il n’a pas d’actualité, mais il fait résolument partie de la vie des Français »… Ah bon ? De quel Français précisément, on ne le précise pas… Pas davantage que de savoir si 9 autres suivant (Omar Sy, Dany Boon, Kylian MBappé, Thomas Pesquet, Zinédine Zidane, Michel Cymes, Jean Reno, Jean-Paul Belmondo, Soprano) en font donc moins, un peu moins ou beaucoup moins « résolument partie »…

    Et pas davantage sur quels critères s’est joué cette préférence, s’agissant pour 7 d’entre eux de saltimbanques ; le spationaute Thomas Pesquet et le médecin-chirurgien Michel Cymes faisant dès lors quelque peu figure de faire-valoir…

    Il en va donc des personnalités préférées des Français comme des vœux de Nouvel An : l’un et l’autre sont inévitables chaque année… Mais si les seconds, en général, sont plaisants, même si un peu « obligés », les premiers ne cessent de nous laisser quelque peu perplexe…

    EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/06/jean-jacques-goldman-pourquoi-pas-mais-pourquoi-6118697.html