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« Le christianisme est une culture et une civilisation. Nous vivons dedans. Il ne s’agit pas de savoir combien de personnes vont à l’église ou combien prient honnêtement. La culture est la réalité de notre vie quotidienne … La culture chrétienne définit notre morale quotidienne ».
Orbán a visé les ennemis de sa politique, qui prétendent qu’il n’est pas chrétien s’il ne permet pas «à des millions d’extra-européenne à s’installer en Europe» selon le commandement «aime ton prochain comme toi-même» .
« Ils oublient la deuxième partie du commandement ». « S’aimer soi-même signifie aussi protéger tout ce que nous sommes et qui nous sommes. Nous aimer signifie que nous aimons notre pays, notre nation, notre famille, la culture hongroise et la civilisation européenne. »
« Les bases de la vie européenne sont maintenant attaquées ».« Nous ne voulons pas que nos marchés de Noël soient renommés, et nous ne voulons absolument pas nous retrancher derrière des blocs de béton. Nous ne voulons pas que nos rassemblements de Noël soient entourées de peur et de détresse. Nous ne voulons pas que nos femmes, nos filles soient agressées le soir du Nouvel An «
« Ils veulent que nous arrêtions d’être ce que nous sommes. Ils veulent que nous devenions ceux que nous ne voulons pas être. Ils veulent que nous nous mélangions à des gens d’un autre monde ».
« Les nations libres d’Europe, les gouvernements nationaux élus par des citoyens libres, ont une nouvelle tâche: protéger notre culture chrétienne. »
« Pas pour les autres, mais pour nous-mêmes; pour nos familles, pour notre nation, pour nos pays et pour la «patrie de notre patrie» – pour la défense de l’Europe ».
En 1721, le pirate Olivier Levasseur, dit « la Buse » réalise la plus belle prise de toute l’histoire de la piraterie. (…)
* Depuis trois siècles, la vie aventureuse de Levasseur inspire les plus grands auteurs, tel Robert Louis Stevenson, qui reprend l’anecdote des canons de la Nossa Senhora dans « l’Ile au Trésor ».
* Le mangaka Eiichirō Oda s’inspire de la Buse dans sa grande saga « One Piece » : l’histoire débute par l’exécution de Gol D. Roger, Seigneur des Pirates, qui jette une carte au trésor incomplète à la foule, et dont les derniers mots sont pratiquement les mêmes que Levasseur.
* Le capitaine du Bird Galley, William Snelgrave, est épargné par Levasseur et ses comparses, car ses hommes le décrivent comme un officier de grande valeur et surtout très humain. Snelgrave est retenu prisonnier durant un mois, décrivant par la suite les extravagantes festivités suivant la capture de son navire. Par ailleurs, il note que la plupart des matelots rejoignant les pirates se justifient en évoquant l’extrême dureté de la discipline dans les marines nationales.
* Dans son « Histoire générale des plus fameux pyrates », Daniel Defoe raconte que Levasseur perd progressivement l’usage d’un œil, qu’il dissimule souvent avec un bandeau. Le cache-œil est aujourd’hui un stéréotype des pirates dans l’imaginaire collectif.
* Pirate de légende, Levasseur fait aujourd’hui partie du folklore de l’Océan Indien. Sa tombe -se trouvant au cimetière marin de Saint-Paul de la Réunion- est une véritable attraction touristique. Cependant, il est aujourd’hui avéré qu’elle n’abrite pas la dépouille du pirate. En effet, le cadavre de Levasseur fut exposé au public pendant plusieurs jours, puis fut jeté dans une fosse commune, comme il était d’usage à l’époque pour tous les pirates exécutés. (…) * Le grand-père de l’écrivain J-M Le Clézio a passé 20 ans de sa vie à chercher le trésor de la Buse, ratissant les plages de l’île Rodrigues, dans l’archipel des Mascareignes.
* L’anglais Reginald Cruise-Wilkins cherche le trésor de la Buse de 1947 à 1970. Il pense que celui-ci est caché sur l’île de Mahé, aux Seychelles. Il trouve effectivement une cache de pirates, mais celle-ci ne contient que quelques pièces d’or et des pistolets.
* Le jeu vidéo Android « Assassin’s Creed Pirates » d’Ubisoft a pour intrigue la recherche du trésor de la Buse.
* Un pirate français nommé « Capitaine Levasseur » apparaît dans le film américain « Captain Blood » (1935). Il s’inspire vaguement de la Buse, avec son accent français et sa balafre. Mais il est -comme il se doit dans tout bon film anglo-saxon- tué lors d’un duel contre le héros anglais.