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culture et histoire - Page 989

  • Le site Médias presse infos consacre un bel article aux deux volumes du livre de David Irving, Budapest, insurrection

    Médias Presse infos cliquez ici

    1747866229.jpgDavid Irving est un écrivain britannique à succès, autour de nombreux livres d’histoire notamment consacrés à la seconde guerre mondiale dont les traductions françaises ont été publiées chez différents grands éditeurs comme Albin Michel ou Robert Laffont, avant d’être banni pour avoir trop mis en doute l’histoire officielle.

    Lorsqu’il sortit pour la première fois en Angleterre, ce livre fut complimenté par la presse britannique (du Timesau Guardian) et salué comme le meilleur ouvrage en langue anglaise sur l’insurrection de 1956.

    Ce qui arriva en Hongrie en octobre 1956 n’était pas une révolution mais une insurrection. C’était un soulèvement. Quand il commença, il était spontané et sans chef : c’était un véritable mouvement de masses unies par une haine commune du communisme. Paradoxalement, beaucoup de rebelles détenaient une carte du Parti et la plupart étaient ouvriers ou paysans.

    797845669.jpgCette insurrection a été écrasée par un homme, Janos Kadar. Il engagea le pays dans une période de répression sauvage qui dura plusieurs années avec une cruauté pourtant superflue car les Hongrois avaient finalement admis leur impuissance et l’impossibilité d’échapper à l’emprise de l’union soviétique qui avait envoyé ses chars.

    Ce livre raconte cette insurrection et veut comprendre l’état d’esprit de ceux qui y ont participé. Pour cela, David Irving a eu accès à des milliers de pages d’interrogatoires conduits scientifiquement de réfugiés hongrois ayant participé à l’insurrection. Il en résulte que les facteurs économiques n’apparaissaient pas parmi les racines premières de la révolte. Comme ce fut le cas des différentes insurrections populaires qu’a connues la Hongrie au cours des siècles précédents, les ingrédients décisifs étaient émotionnels et politiques.

    Après avoir étudié l’origine de l’insurrection hongroise de 1956 et son déroulement, David Irving s’applique aussi à décrire la réaction des pouvoirs occidentaux et des Nations Unies. Pourquoi les nations occidentales se limitèrent à de pieuses expressions de sympathie quand le soulèvement débuta ? Quel fut le rôle de Radio Free Europe et autres émetteurs similaires financés par la CIA ? Pourquoi le représentant des Etats-Unis auprès des Nations Unies retarda-t-il délibérément toute action de l’ONU ? David Irving apporte quelques réponses après avoir consulté une documentation déclassifiée des dossiers secrets du Département d’Etat américain.

    Enfin, David Irving conclut en estimant que le rôle des intellectuels hongrois fut très décevant malgré leur auto-congratulation.

    Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’unenation, volume 1, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 320 pages, 22 euros

    Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’une nation, volume 2, David Irving, éditions Synthèse Nationale, 352 pages, 22 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur ici et ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 1er colloque eurasiatique : pour un destin commun des peuples eurasiatiques"

  • L'écologie de droite est la négation du progrès indéfini, ce dogme de la gauche

    stories.virtuemart.product.943_Page_01nsp-112.jpgLe dernier numéro de Monde et Vie est consacré au thème de l'écologie. Voici un extrait de l'entretien avec Frédéric Rouvillois :

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    Michel Janva

  • FILM LA RÉBELLION CACHÉE à NANCY

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    891799560.jpgRetenez dès maintenant la date du  lundi 25 septembre 2017.

    Ce jour là, à Nancy, sera projeté le film « La rébellion cachée » de Daniel Raboudin. Ce film rend hommage aux martyrs vendéens.

    L’auteur du film devrait être présent.

    Il sera projeté dans la salle Saint Jean-Paul II sous la basilique Notre Dame de Lourdes. Ce sera la séance d’inauguration du nouveau club de cinéma chrétien.

    Plus de précisions prochainement, mais prévoyez dès maintenant d’être présent et invitez vos amis. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Vive Tepa ! L'aventure Meta TV décortiquée (Daniel Conversano, juillet 2017)

  • Grand texte XXXIX : L'Avenir du nationalisme français

    2146121067.jpg

    Le tome II des Œuvres capitales de Charles Maurras, sous-titré Essais politiques, s’achève par un texte court au titre prometteur : L’Avenir du nationalisme français. En exergue, on y lit la mention suivante : Ces pages forment la conclusion  du mémorial publié sous le titre POUR UN JEUNE FRANÇAIS chez Amiot Dumont, Paris, 1949.

    3265937604.2.pngMaurras y démontre comment « le nationalisme français se reverra, par la force des choses…»  Force des choses qui, aujourd'hui, semble bien s'exercer avec intensité, avec caractère d'extrême gravité et justifier la permanence ou le retour d'un nationalisme français, tel que Maurras l'illustre et le redéfinit ici. Par quoi ce très beau texte trouve toute son actualité.   Lafautearousseau 

    Rien n'est fait aujourd'hui, tout sera fait demain. 1.

    Il ne reste donc plus au Français conscient qu'à agir pour que sa volonté soit faite et non une autre : non celle de l'Oligarchie, non celle de l'Étranger. 2

    Reste le rude effort d'action pratique et réelle, celui qui a voulu maintenir en fait une France, lui garder son bien, la sauver de son mal, résoudre au passage ses crises. C'est un service trop ancien et trop fier de lui-même pour que l'œuvre amorcée en soit interrompue ni ralentie. Ceux qui sont de l'âge où l'on meurt savent qu'elle dépend d'amis en qui l'on peut avoir confiance, car, depuis plus de quarante ans, ils répètent avec nous : par tous les moyens, même légaux. Ayant travaillé ainsi « pour 1950 », ils travailleront de même pour l'an 2000, car ils ont dit dès le début : pour que la France vive, vive le Roi !

    L'espérance ne se soutiendrait pas si le sens national n'en était pas soutenu en première ligne. Mais là aussi je suis tranquille.

    Il est beaucoup question d'abandonner en tout ou en partie la souveraineté nationale. Ce sont des mots. Laissons-les aux professeurs de Droit. Ces messieurs ont si bien fait respecter leur rubrique, intus et in cute3, ces dernières années, qu'on peut compter sur eux pour ajouter du nouveau à tous les plus glorieux gâchis de l'intelligence 4. Les trésors du réel et ses évidences sont plus forts qu'eux. Ce qu'ils déclarent périmé, ce qu'ils affectent de jeter par-dessus bord ne subira pas plutôt l'effleurement d'une égratignure ou d'une menace un peu concrète, vous verrez l'éclat de la réaction ! Preuve que rien ne vit comme le sens de la nation dans le monde présent. Ceux qui voudront en abandonner une part ne feront rien gagner à Cosmopolis : ils engraisseront de notre héritage des nationalités déjà monstrueuses. Les plus grands faits dont nous soyons contemporains sont des faits nationaux : la prodigieuse persévérance de l'Angleterre dans l'être anglais aux années 1940-1945, l'évolution panslaviste ou plutôt panrusse des Soviets, la résistance que la Russie rencontre chez les nations qu'elle a cru s'annexer sous un double vocable de race et de secte, l'éclosion de la vaste conscience américaine, le retour à la vie du nazisme allemand, sont tous des cas de nationalisme suraigu. Tous ne sont pas recommandables. Nous aurions été fous de les imiter ou de les désirer tous. Nous serions plus insensés de ne pas les voir, qui déposent de la tendance universelle. En France, le patriotisme en avait vu de toutes les couleurs après la victoire de Foch : que d'hostilité et que de disgrâces ! De grands partis caractérisés par leurs « masses profondes », étaient lassés ou dégoûtés du vocabulaire français, il n'y en avait plus que pour le charabia marxiste. À peine l'Allemand a-t-il été campé chez nous, toutes ses offres de bon constructeur d'Europe ont été repoussées et le Français, bourgeois, paysan, ouvrier ou noble n'a connu à très peu d'exemples près, que le sale boche ; l'esprit national s'est refait en un clin d'œil. La patrie a dû avaliser la souillure de beaucoup d'hypocrisies politiciennes. L'usage universel de ce noble déguisement est une preuve de plus de sa valeur et de sa nécessité, qui est flagrante : on va le voir.

    Le nationalisme de mes amis et le mien confessent une passion et une doctrine. Une passion pieuse, une doctrine motivée par des nécessités humaines qui vont grandissant. La plupart de nos concitoyens y voient une vertu dont le culte est parfois pénible, toujours plein d'honneur. Mais, parmi les autres Français, surtout ceux du pays légal, distribués entre des partis, on est déjà et l'on sera de plus en plus acculé au nationalisme comme au plus indispensable des compromis. Plus leurs divisions intéressées se multiplient et s'approfondissent, plus il leur faut, de temps à autre, subir le rappel et l'ascendant plus qu'impérieux du seul moyen qu'ils aient de prolonger leur propre pouvoir. Ce moyen s'appelle la France.

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  • Les failles du Système : les repérer, les analyser, les exploiter – Intervention de Michel Geoffroy [rediffusion]

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    Introduction

    Lors de la Troisième Journée d’étude de la réinformation, organisée par Polémia, le 16 octobre 2010, à Paris, Michel Geoffroy s’est attaché à analyser les failles du système mondialiste, condamné à disparaître comme a disparu le système communiste. Mais l’histoire est comme l’herbe, on ne la voit pas… pousser. Il faut donc apprendre à détecter les signaux faibles ce qui procède de la réinformation.

    Par définition les signaux faibles ne figurent pas dans les gros titres des quotidiens et ne passent pas au « Journal de 20h ». Il faut donc apprendre à les découvrir car ils sont souvent cachés sous le fatras de « l’information » sidérante. En outre, les signes faibles ne bénéficient pas de l’effet d’orchestration, à la différence des faits politiquement corrects. Il faut donc une mise en perspective pour comprendre leur signification et leur dimension.

    Pour une simplication de lecture, le texte de l’intervention de Michel Geoffroy sera présenté en cinq parties sous les titres suivants :

    1. Les trois murs du système mondialiste
    2. Les similitudes entre le système mondialiste et le système soviétique
    3. L’ébranlement du mur médiatique : apprendre à détecter les signaux faibles
    4. Les fissures du mur médiatique : la montée de nouvelles dissidences
    5. Les fissures du mur médiatique : l’apparition de nouvelles lignes de fracture sociale

    1er Partie
    Les trois murs du système mondialiste

    La première partie de l’intervention de Michel Geoffroy est consacrée à la description des « trois murs » sur lesquels s’appuie le système mondialiste : le mur des intérêts économiques, le mur du politiquement correct, le mur médiatique.

    Le Système qui s’est imposé dans les pays occidentaux s’appuie donc sur trois murs :

    – le mur des intérêts économiques : c’est à dire celui des entreprises transnationales et des banques qui sont les seules vraies bénéficiaires du libre – échangisme mondialiste ;
    – le mur du politiquement correct ;
    – le mur médiatique : c’est le plus nouveau par rapport aux anciennes tyrannies car il se présente sous les apparences de la liberté, de la transparence et d’un bien de consommation.

    Ces trois murs se renforcent mutuellement: ainsi l’appareil médiatique occidental, principal vecteur du politiquement correct, est largement de nos jours dans les mains des puissances d’argent.

    On s’attachera plus particulièrement au mur médiatique.

    Le mur médiatique est idéologique : il se présente sous les dehors de l’objectivité (de « l’information ») mais il véhicule une vue du monde particulière qui est celle de la super-classe dirigeante et qui s’articule autour des principaux tabous suivants:

    • L’idéologie des droits de l’homme ;
    • La promotion du déracinement et du cosmopolitisme c’est à dire de l’homme réduit à un atome social et sans obligations vis à vis de sa communauté ;
    • L’égalitarisme et la négation des différences humaines ; Le libre échangisme mondialiste (et les bienfaits de la disparition des frontières et des Etats) ;
    • La culpabilisation des européens.

    Le mur médiatique repose sur un décalage entre le monde réel et celui qui est construit et idéalisé par l’appareil des médias c’est à dire des écrans. Au début (années 1990), ce décalage était relativement limité, mais aujourd’hui il s’est accentué.
    Le monde des médias comme celui de la publicité est différent du monde réel.

    Le mur médiatique est enfin un filtre qui présente positivement la mise en œuvre de cette idéologie, qui ne donne la parole qu’à ses partisans, qui passe sous silence ses effets déplaisants et qui diabolise ceux qui la contestent.

    2e Partie
    Les similitudes entre le système mondialiste et le système soviétique

    Bien qu’il ait été mis en place après la chute du communisme en Europe, le Système présente un certain nombre de similitudes avec le système soviétique :

    1. une oligarchie dominante : la super classe mondiale ;
    2. une concentration des pouvoirs : politiques, économiques, culturels et médiatiques ;
    3. une idéologisation omniprésente de la réalité : au travers du filtre médiatique ;
    4. un système qui repose sur la contrainte (mais non physique) :
    • la censure politiquement correcte des opinions, la réduction de la souveraineté des Etats ;
    • la peur de perdre son emploi pour un nombre croissant d’occidentaux, c’est à dire la menace de la mort économique ;
    • le développement du contrôle social au nom de la sécurité (« lutte contre le terrorisme ») ;
    • la menace économique et militaire (ex. le chantage des multinationales en cas de second vote négatif des Islandais, faire revoter quand le résultat ne convient pas).

    https://www.polemia.com/les-failles-du-systeme-les-reperer-les-analyser-les-exploiter-intervention-de-michel-geoffroy/

  • Pré-vente du hors série de l'Homme Nouveau de l'été pour les lecteurs du Salon beige

    Un cadeau de L'Homme nouveau aux lecteurs du Salon beige :

    6a00d83451619c69e201b7c90f7f22970b-150wi.jpgPré-vente de notre hors série de l'été (jusqu'au 2 août pour les lecteurs du Salon beige) : L'Église dans la tourmente des guerres de Vendée.

    Frais de port offerts.

    À recevoir chez vous ou sur votre lieu de vacances.

    Avec les meilleurs spécialistes : Reynald Secher Anne Bernet, Stéphane Courtois, auteur du Livre noir du communisme, Jacques Villemain, Jean-Paul Argouarch etc. 

    Un numéro vérité à commander ici.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html