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divers - Page 272

  • Ils plient mais sont loin d’avoir rompu, par Jean-David Cattin

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    Par Jean-David Cattin, directeur national des Identitaires 

    Certains aiment à croire que la « droite » aurait gagné la « bataille des idées ». Peut-être… mais elle n’a certainement pas gagné la guerre. Du moins pas encore.

    Certes, les victoires des « populistes » se succèdent sur le plan électoral dans toute l’Europe, les succès de librairie d’auteurs incorrects se multiplient, à la télévision quelques journalistes et chroniqueurs ont réussi depuis plusieurs années à faire entendre une voix discordante (1). Mieux, les journaux qui font leur une sur les méfaits de l’immigration et de l’islamisation connaissent un succès envié par beaucoup de titres de la presse historique.

    Mais, dans cette lutte pour l’opinion publique, la gauche rend coup pour coup et est loin de laisser échapper son hégémonie. Ainsi, a-t-on vu récemment Éric Zemmour perdre son passage bihebdomadaire « On n’est pas forcément d’accord » sur RTL, après avoir déjà perdu son « Z comme Zemmour » quotidien. Sur le terrain électoral, le Rassemblement National a lui droit à un traitement de choc en se voyant confisquer 2 millions d’euros par des magistrats politisés. Sur le terrain militant, le mouvement identitaire se fait interdire ses manifestations par des préfets sous des motifs fallacieux, une répression qui s’ajoute à une censure quasi-totale sur les réseaux sociaux. Pour faire bonne mesure, les activistes sont frappés d’amendes à faire pâlir bien des malfrats endurcis.

    À cela s’ajoute une omniprésence des idées « progressistes » et politiquement correctes dans les nouveaux médias dont l’audience est loin d’être ridicule et qui influencent bien au-delà des cercles militants. Ainsi Brut, le HuffpostKonbini ou Vice (pour ne citer qu’eux) bénéficient d’une exposition majeure notamment auprès des jeunes générations grâce à leur maîtrise des outils de communication modernes. Il y a quelques années encore, elles accusaient pourtant un sérieux retard dans ce domaine. Preuve de leur résilience malgré le choc de la réalité migratoire, des attentats et d’une insécurité de moins en moins supportée. Le succès de la réinformation est réel et durable mais ne doit pas occulter ces évolutions récentes.

    De leur côté, les écoles de journalisme continuent de fournir des bataillons de diplômés politisés rompus au combat des idées. Bien plus subtils qu’une grossière propagande d’État, leur traitement et tri orientés de l’information, leurs investigations à sens unique et leurs représentations malhonnêtes de la réalité donnent aux idées de gauche un poids considérable dans la bataille pour l’opinion publique. En décalage total avec leur représentation électorale, ils continuent pourtant de fournir la partition aux élites dirigeantes et aux donneurs de leçons des centres urbains certains de leur supériorité morale face à la masse ignorante.

    La guerre est donc loin d’être gagnée, d’ailleurs ce n’est pas ainsi qu’il faut le voir. Il y aura toujours des batailles à mener. Des moyens de communication originaux font leur apparition et des nouveaux acteurs rentrent dans la danse, comme les Qataris d’Al-Jazeera avec leur relai d’influence AJ+ et son quart de million d’abonnés sur Facebook. Les lauriers de la bataille des idées et de l’information ne sont jamais acquis et il faut veiller à ne jamais s’endormir dessus. Il faut développer des outils percutants qui ne touchent pas que les convaincus, être à l’affût des nouvelles méthodes de communication et ne négliger aucun canal. Et s’il nous arrive d’être en retard ou de perdre une bataille, toujours remettre l’ouvrage sur le métier.

    Jean-David Cattin 27/07/2018

    (1) Au point que certains médias de gauche comme les Inrocks font désormais la promotion de l’interdiction des talk-shows qui feraient la part trop belle aux opinions qui les dérangent.

    Source : Les Identitaires

    Crédit photo : Les Identitaires

    https://www.polemia.com/ils-plient-mais-sont-loin-davoir-rompu-par-jean-david-cattin/

  • Un Zoom exclusif : Jean Raspail sur TV Libertés

    Jean Raspail vient de fêter ses 93 ans ! Il est un des écrivains Français les plus renommés et l’auteur du roman prophétique “Le camp des saints”. Il a accordé, à son domicile, un entretien à Anne Brassié, l’animatrice de “Perles de Culture”. Un document rare et précieux.

    Rediffusion du zoom du 14/01/15 : Jean Raspail contre Big other

    A l’occasion de la diffusion du Zoom avec Jean Raspail, TV Libertés vous propose de redécouvrir le premier entretien qu’il nous avait accordé en 2015. A l’époque, Alain Juppé affirmait que le roman prophétique du grand écrivain “Le camp des saints” était un fantasme. La réponse de Jean Raspail est sur TV Libertés.


  • Les nouvelles publications de Synthèse nationale sont dans les bonnes librairies parisiennes

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    Librairie française : 5, rue Auguste Bartholdi 75015 

    Duquesne diffusion : 27, avenue Duquesne 75007 

    La Nouvelle librairie : 11, rue Médicis 75006 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/25/les-nouvelles-publications-de-synthese-nationale-sont-dans-l-6068509.html

  • Roland Hélie était ce matin invité à la matinale de Radio Libertés

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  • Zoom : TV Libertés à la découverte de Belgrade et de la Serbie

    Nicolas de Lamberterie s’est rendu en Serbie et plus particulièrement à Belgrade à l’occasion d’une conférence sur le potentiel touristique de la Serbie organisée par Sladjana Novakovic, directrice exécutive de Dest Travel et infatigable promotrice du tourisme en Serbie pour le public francophone. Ce reportage fait découvrir aux téléspectateurs de TV Libertés une nation profondément attachante, qui va de l’avant malgré la guerre injuste et cruelle qui lui a été faite.

    Avec les commentaires d’Alexis Troude, spécialiste des Balkans et auteur du premier guide touristique paru en langue française sur la Serbie-Monténégro, découvrez Belgrade de jour comme de nuit, avant de survoler les autres régions de la Serbie : Novi Sad et la Voïvodine, les monts Fruška gora et bien d’autres lieux encore.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/24/24488/zoom-tv-libertes-a-decouverte-de-belgrade-de-serbie

  • La Coupe du monde de football, symbole de la France qui se déconstruit

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    Par Carl Hubert, essayiste 

    Le 15 juillet dernier, l’équipe présentée par la France a remporté la coupe du monde de football. C’est évidemment une performance pour les footballeurs qui composaient l’équipe et ceux qui les ont entraîné, notamment le sélectionneur national Didier Deschamps. Mais les circonstances de cette victoire sont révélatrices de la situation que connaît la France en matière démographique, sociale et sécuritaire, surtout si on la compare avec la France de 1998, date de la précédente victoire de la France en coupe du monde de football.

    Le Grand Remplacement est une réalité dans le football de haut niveau

    L’équipe de France « black-blanc-beur » n’est certes pas une nouveauté. La propagande vantant cette équipe réputée être à l’image d’une France métissée sévissait déjà en 1998. Mais, il y a 20 ans, les Européens étaient le groupe majoritaire dans l’équipe d’Aimé Jacquet : 13 joueurs sur 22. L’équipe qui a remporté le mondial russe était quant à elle composée de manière très majoritaire de joueurs d’ascendance africaine : 16 sur 23, dont deux Nord-Africains, les Européens étant au nombre de 6, soit à peine un quart des effectifs.

    Cette colorisation croissante de notre sélection nationale a une double cause. La première est démographique : il est un fait que les jeunes générations qui grandissent en France sont d’ascendance de moins en moins autochtone. 40% des nouveaux nés sont d’origine extra-européenne d’après les statistiques de dépistage de la drépanocytose.

    La deuxième est socioculturelle et économique. Les clubs de football français, qui détectent et forment les jeunes talents, recrutent en banlieue plutôt que dans la France périphérique : c’est moins cher de faire la tournée des villes de banlieues plutôt que de faire le tour de la campagne française et, en plus, cela permet de contribuer, croit-on, à l’intégration des populations immigrés. A cela s’ajoute le fait que, comme le constatait récemment Julien Rochedy sur Twitter, le monde du football est à la recherche de profils athlétiques, tels des sprinters en athlétisme.

    En résumé, les clubs français font ce que l’on appelle de la discrimination positive, ce qui revient à discriminer négativement les jeunes Européens. Antoine Griezmann en sait quelque chose, lui qui a été rejeté en France pour son physique frêle et n’a pu faire carrière qu’en Espagne.

    L’intégration par le sport ne fonctionne pas

    Malgré cette discrimination pro-allogènes dans le sport, malgré la propagande sur la France « black-blanc-beur », malgré les milliards déversés dans le cadre de la politique de la ville en infrastructures et animations sportives, le sport en général et le football en particulier n’ont contribué que de manière marginale à l’intégration à la société française des jeunes immigrés.

    On remarquera d’abord que dans l’expression « black-blanc-beur », malgré les investissements qatari, le dernier terme est réduit à la portion congrue : si le footballeur peut être pris comme modèle par les jeunes originaires d’Afrique noire, c’est déjà moins évident pour les jeunes originaires du Maghreb, qui se reconnaissent d’ailleurs souvent plus volontiers dans les équipes nationales nord-africaines.

    Quoi qu’il en soit, le sport n’est pas suffisant pour intégrer le plus grand nombre, surtout quand le sport se communautarise. C’est d’ailleurs une évolution de ces dernières années que de voir les associations sportives prises d’assaut par les barbus ou, à tout le moins, devenir majoritairement composées d’immigrés. Ce qui est d’ailleurs un repoussoir pour les Français de souche qui refusent de se convertir. Dans ces conditions, loin d’intégrer à la nation française, le sport communautarise, intègre à l’islam et in fine désintègre la France.

    Le désordre public devient préoccupant

    Malgré les efforts des médias de propagande pour occulter les faits, la soirée du 15 juillet a donné un nouvel exemple de la situation sécuritaire très dégradée que connaît la France. Magasins pillés sur la « plus belle avenue du monde », voitures brûlées, dégradations diverses, pompiers et policiers pris pour cibles, agressions sexuelles, vols à l’arraché : la prétendue liesse populaire a aussi été l’occasion pour les jeunes de banlieues de descendre sur les Champs-Élysées pour s’en prendre non pas seulement aux symboles des institutions françaises mais aussi à la société française dans son ensemble.

    Il s’agit d’un comportement de razzia version édulcorée et festive, qui confirme que la communion nationale est toute relative et qui démontre que la situation sécuritaire s’est sensiblement dégradée par rapport à 1998. C’est aussi ce désordre qui explique que les « Bleus » n’aient pas été autorisés à prendre un bain de foule sur les Champs – et à raison : un des « supporters » a lancé un bâton sur les champions, visant comme par hasard Giroud – qui cumule sa francité avec son christianisme. Curieusement, cet incident a été peu commenté et l’auteur du lancer de bâton ne semble pas avoir été interpellé. C’est sans doute qu’il faut cultiver le mythe du vivre-ensemble, faute de pouvoir le faire exister en vrai !

    Carl Hubert 24/07/18

    https://www.polemia.com/coupe-du-monde-football-2018-symbole-france-deconstruit/

  • Décryptons la novlangue : le sens des mots

    "62 400 répétitions font une vérité" Aldous Huxley
    C comme "consensus"
    signifie : pensée dominante, ou dogme
    Le consensus permet d'évacuer certains sujets du champ du débat démocratique. Il suffit de déclarer que tel ou tel sujet fait l'objet d'un "large consensus" pour qu'il ne soit plus nécessaire d'en débattre. Il a été, par exemple, décidé comme allant de soi que le Traité de Lisbonne faisait l'objet d'un consensus, et pour que la chose demeure incontestable, il ne sera procédé à aucune vérification populaire. Le Consensus désigne finalement l'équivalent communautaire de la "pensée unique". Ainsi peut-on affirmer que l'intégration européenne est la garantie de la paix sur le continent depuis 1945, que l'euro est une chance pour l'Europe, que l'Europe a besoin de davantage d'immigrés et de même, il est courant, par exemple, lors des travaux des commissions du Parlement européen qu'une décision, ou un texte soit adopté "par consensus", c'est-à-dire sans vote, sur le simple constat qu'il est approuvé par les trois principaux groupes de ce Parlement (socialistes, libéraux et populaires) sans même que soient mentionnés les quelques voix contraires réputées dissidentes.
    S comme "Société civile"
    signifie : le peuple européen
    Concept neuf, la "société civile" permet aux institutions européennes d'échapper à la double réalité : l'inexistence d'un peuple européen unique et le caractère profondément décevant des peuples quand ils sont d'aventure autorisés à s'exprimer (cf. référendum 2005, Danemark, Irlande, France). La société civile fait donc office de peuple de substitution, sorte de villages Potemkine des Commissaires. Pour s'assurer un interlocuteur, les institutions européennes financent ainsi une multitude de structures pan-européennes avec qui elles peuvent enfin avoir un dialogue constructif : lobby européen des femmes, Fondations Schuman, "Notre Europe", "Euronews", "Source d'Europe", etc... (la liste est fort longue). Ces associations dont la survie financière dépend pour l'essentiel de la Commission européenne ont pour caractéristique commune de toujours soutenir la main qui les nourrit dans sa quête de pouvoir et de systématiquement approuver les projets qui émanent d'elle au nom du "peuple européen". C'est cette "claque" qui a conduit par exemple à la claque de 2005, les autorités bruxelloises ayant commis l'erreur d'abandonner la méthode d'intégration européenne progressive et insidieuse pour se lancer dans la désastreuses opération constitutionnelle.
    P comme "Panne européenne
    signifie : fonctionnement de la machine bruxelloise à haut régime, mais à cadre institutionnel inchangé
    Depuis l'échec de la Constitution européenne, l'Europe serait en panne, panne dont il faudrait sortir à tout prix. Concept utilisé par ceux qui estiment qu'il n'existe qu'une seule manière d'organiser le continent européen, sa réduction à un seul rôle politique, estimant donc que toute opposition est un contretemps aux conséquences dramatiques. La panne européenne serait une pause dans l'évolution historique naturelle, puisque sens de l'histoire il y a, et qu'il mène inévitablement à la construction d'une Europe intégrée. Transposé dans l'univers franco-français, Ségolène Royal aurait pu déclarer au lendemain de l'élection de Nicolas Sarkozy que la France était en panne, puisqu'elle n'avait pas soutenu le projet qu'elle incarnait lors des présidentielles. Notons que, dans la pratique, la panne européenne est toute relative, puisque l'activisme réglementaire de la Commission européenne connaît un pic depuis 2005, à un niveau équivalent à celui de l'époque où Jacques Delors mettait en place le marché unique. Paul Thibaud écrit à ce sujet : "L'Europe n'est pas bloquée, elle tourne. Les services publics nationaux sont arasés comme prévu, la Commission morigène les gouvernements. Ces gouvernements acceptent les décisions de la Banque centrale, qu'ils ne peuvent critiquer sans encourir l'opprobre des commentateurs. (...) Ce qui inquiète, en effet, ce sont les résultats de ce fonctionnement qui avale si bien les obstacles." (Le Monde, 2 février 2007).
    Cahiers de l'indépendance n°4

  • Affaire Benalla : l’exécutif patauge – JT TVL 23 juillet 2018

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)


    Version Rutube :

    1) Politique / Affaire Benalla : l’exécutif patauge

    L’affaire Benalla n’en finit plus de faire des dégâts ! Alors que de nouvelles révélations agitent le petit monde politique la réforme constitutionnelle a été suspendue !

    2) Economie / Les contribuables libérés !

    Il est arrivé… le jour de libération fiscale. A compter de ce lundi, les Français travaillent enfin pour eux ! Une date symbolique qui rappelle la pression fiscale dont sont victimes les travailleurs. L’association Contribuables Associés nous en dit plus dans cette édition.

    3) Société / Les paris fou du foot

    Six ans après la libéralisation des paris sportifs, le secteur est en pleine ébullition en France ! La Coupe du Monde de football a permis d’atteindre de nouveaux sommets. Une réussite qui n’est pas sans poser de nombreux problèmes.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/23/24478/affaire-benalla-lexecutif-patauge-jt-tvl-23-juillet-2018