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Piero Avocat Du Diable (PADD) 01 - Nouvel Ordre Mondial
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Les Bestofes – Politique-Eco
En attendant la rentrée, TV Libertés vous présente les meilleurs morceaux de l’émission “Politique-Eco”. Du journaliste Pierre Jovanovic au financier Charles Gave en passant par l’économiste Philippe Simonnot, les invités d’Olivier Pichon dévoilent les tenants et aboutissants d’un monde économique en ébullition.
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Lu dans Présent : Guide sulfureux du Paris « réac & facho », Anne Hildago ne va pas aimer !
Philippe Randa
Anne Hidalgo aimerait tant chasser tous les « mal-pensants », « mal-engagés », « mal-repentants » des rues d’une capitale sur laquelle elle entend régner si dictatorialement ; mal lui en a pris, en février dernier, lorsqu’elle voulut interdire à l’Académicien Michel Déon, Ancien secrétaire de rédaction à L’Action française de Charles Maurras, d’être inhumé dans cette capitale française qu’il aimait tant : elle dû capituler « en rase-Paname » sous la bronca que cette vilenie suscita.
Il est donc certain qu’elle ne goûtera guère le Guide sulfureux du Paris « réac & facho » de Patrick Parment qui vient de paraître aux « Bouquins de Synthèse nationale » : cet ancien journaliste du Figaro Magazine, aujourd’hui collaborateur à la revue Synthèse nationale et au site EuroLibertés, par ailleurs rédacteur en chef du pertinent Journal du chaos (sur internet) a en effet répertorié les rues de la Capitale, arrondissement par arrondissement, pour nous y faire revivre « écrivain, intellectuel, artiste, éditeurs, partis journaux, hommes politiques et autres curiosités » qui y ont été domicilié…
Ce guide fourmille d’anecdotes tragiques ou cocasses, de rappels historiques ou de souvenirs émouvants qui ne laisseront aucun lecteur curieux indifférent : de la rue de Beaune où Jean-Marie Le Pen installa sa société (la SERP, spécialisée dans le chant de tradition) au Boulevard de Sébastopol (siège du Parti des Forces nouvelles, rival du Front national dans les années 80, alors domicilié, lui, rue de Suresnes), en passant par la rue Jean-Jacques Rousseau où vit le jour Le Choc du mois, fondé (entres autres) par Patrick Buisson, François Brigneau, Marc Dem et Jean Bourdier avec toute une génération de jeunes journalistes « modérément de gauche » qui firent (et font encore) les beaux jours de la presse non-conformiste (Éric Letty et Nicolas Gauthier, notamment)… et bien sûr, la rue d’Amboise, resté depuis 1982 l’adresse de ce quotidien « nationaliste, identitaire et catholique français » que vous êtes en train de lire, qui a bien failli disparaître il y a peu et que ses lecteurs ont sauvé (encore merci à tous !).
C’est un magnifique Devoir de Mémoire auquel Patrick Parment s’est attelé avec une méticulosité, une patience et un talent qu’aurait de toute évidence salué son ami Emmanuel Ratier, à la mémoire duquel ce guide est dédié.
Guide sulfureux du Paris « réac & facho », Patrick Parment, Les Bouquins de Synthèse nationale, 396 pages, 27 euros (pour commander ce livre : cliquez ici ou écrire à l’éditeur : Synthèse nationale 9, rue Parrot – CS 72809 – 75012 Paris (correspondance uniquement).
Article publié dans le quotidien Présent cliquez là du 5 août 2018
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Les Bestofes – Perles de Culture
TV Libertés a compilé pour vous les meilleurs moments de l’émission “Perles de Culture” pour l’année 2017-2018. Artistes, historiens, écrivains, critiques cinématographiques, certains célèbres, les autres à découvrir, les invités d’Anne Brassié font l’éloge de la culture française d’hier et d’aujourd’hui.
Pour revoir des anciens épisodes de Perles de Culture, Cliquez ici
https://www.tvlibertes.com/2018/08/08/24619/bestofes-perles-de-culture
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Les Bestofes – Perles de Culture
TV Libertés a compilé pour vous les meilleurs moments de l’émission “Perles de Culture” pour l’année 2017-2018. Artistes, historiens, écrivains, critiques cinématographiques, certains célèbres, les autres à découvrir, les invités d’Anne Brassié font l’éloge de la culture française d’hier et d’aujourd’hui.
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-D'accord avec Gabriel Robin : Booba et Kaaris doivent migrer définitivement vers Miami !
Crédit : @DR
Filmé par des touristes ébahis, et certains plus opportunistes qui n’ont pas hésité à monétiser leurs vidéos dans le plus pur esprit « start up nation » cher à Emmanuel Macron, le « combat » entre les deux groupes de vedettes a eu lieu dans une salle d’embarquement du hall 1 du terminal ouest de l’aéroport d’Orly, provoquant les retards de sept vols et de nombreux dégâts matériels dans un duty-free, ainsi que le transfert de voyageurs vers une autre salle d’embarquement. Le groupe gérant l’aéroport a d’ailleurs décidé de porter plainte en réaction pour« trouble à l’ordre public » avec préjudice d’image et financier, mais aussi « mise en danger de la vie d’autrui », les événements ayant empêché la mise en place d’un périmètre de sécurité autour d’un bagage abandonné… À côté de la plaque comme toujours, Gérard Collomb a déclaré, confit de mollesse : « Si deux rappeurs peuvent éviter de provoquer un embouteillage dans tout un aéroport, ce serait bien ».
Ouba Booba Ouba Booba ! Les images parlent d’elles-mêmes, rendant futiles les analyses sur les motivations des protagonistes. Pourquoi s’abaisser à déterminer ce qui a provoqué l’explosion de violence ? Pourquoi tenter de savoir qui des deux rappeurs étaient en état de légitime défense et qui est l’agresseur ? Manifestement, les deux hommes « s’affrontent » tant pour de lamentables motifs d’égo que pour des raisons bassement mercantiles, la « street cred » étant un critère de qualité dans ce genre vulgaire et commercial de rap que « Booba et Kaaris » affectionnent. Le personnage de « gangster » – carnavalesque, cela va de soi – importe donc tout autant que la « musique » binaire et les paroles des « artistes ».
Le commentaire de cette « affaire » aurait pu se limiter à ces quelques observations factuelles, si nous ne vivions pas dans l’Occident 2.0 où tout semble se valoir et où la hiérarchie n’existe plus. Ainsi, on a lu, ça et là, parfois dans de grands titres de presse et sous la plume de personnalités prétendument « sérieuses », que cette bagarre générale de collégiens n’était pas sans rappeler des précédents, comme le coup de feu tiré par Verlaine sur Rimbaud, qui inspira à ce dernier Une saison en enfer, chef d’œuvre du patrimoine littéraire français. D’aucuns ont même comparé la rivalité entre « Booba et Kaaris » – deux surnoms que je n’oserais pas donner à des animaux domestiques sans rougir – aux grandes rivalités entre musiciens du passé, faisant des deux portiers de bar les Mozart et Salieri de la France de 2018 !
Sommes-nous tombés si bas que nous confondions la musique avec des hymnes pour adolescents décérébrés qu’on passe sur les parkings de supermarchés ? Souvenons-nous que dans son numéro 567, La Nouvelle Revue française n’hésitait pas à convoquer Genet et Céline pour « décortiquer » la prose de Booba, preuve d’une méconnaissance insigne du rap et d’un mépris tout germanoprantin de l’ordre et des ordres, l’écriture une chanson n’étant pas un travail aussi fastidieux que l’écriture d’un roman. Pauvre Céline dont l’œuvre est sans cesse évaluée à l’aune de celles d’abrutis qui utilisent trois mots d’argots dans leurs textes…
Pour prendre un peu d’altitude en ce mois d’août, on essaiera d’éviter Booba. Pourquoi ne pas aborder le Tripitaka ou la vie de Bouddha, racontée par Hermann Hesse dans son roman Siddhartha (dont le héros n’est pas le Bouddha Gautama mais un émule et un homonyme suivant un cheminement spirituel sensiblement similaire) destiné aux Européens méconnaissant l’histoire de ce fondateur d’une hérésie majeure de l’hindouisme ? Les deux religions nées dans le sous-continent indien partagent une doctrine – trop complexe et trop vaste pour qu’il soit possible ici d’en donner une juste définition – que feraient bien de méditer « Booba et Kaaris » : l’ahimsa, soit l’action ou le fait de ne causer nuisance à nulle vie. Qu’ils soient bienveillants avec la France et nous épargnent leur présence en migrant définitivement à Miami.
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Dans Présent d'aujourd'hui : un article sur "le Guide sulfureux du Paris réac et facho" de Patrick Parment
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Les Bestofes – Livre-Libre
TV Libertés a repris les meilleurs moments de son magazine “Livre-Libre”, animé par Gilbert Collard. L’avocat et homme politique reçoit célébrités et inconnus du grand public pour mettre en lumière leur ouvrage.
Pour revoir les épisodes de livre libre, cliquez ici
https://www.tvlibertes.com/2018/08/07/24616/bestofes-livre-libre
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Fake canicule
Canicule, canicule : elle a tout envahi, tous les journaux, toutes les infos et, donc, deux tiers des départements français, dont le mien, dans le Sud-Ouest et la chaude vallée de la Garonne. J’avais connu celle de 2003. Et, donc, celle-ci, dans la même petite ville, à la même période, dans la même maison. Et depuis une semaine, ma perception de l’événement est en décalage complet avec ce qu’en disent les médias et, en partie, Météo France.
Mon ressenti subjectif ? Jamais les températures n’ont atteint les sommets de 2003, et les nuits et les petits matins ont toujours permis de rafraîchir les maisons. Dois-je vous avouer que j’ai dû mettre une veste ce matin à 7 h car j’avais froid sur ma terrasse en écrivant ce papier et en lisant, dans Le Monde, ce qui est, vu d’ici, une « fake news » : « La canicule atteint son pic, la baisse des températures attendue pour jeudi » ? Ici, la température a commencé à baisser – et fortement – dès ce lundi matin. En 2003, tout était chaud, les sols à l’intérieur, les nuits, les murs, et il était impossible de se promener en ville ni le matin tôt ni le soir tard. Il n’y avait pas d’air. Or, cette année, même dans les après-midis les plus chauds, nous avons toujours bénéficié d’un air qui changeait la donne, nous avons toujours pu sortir et profiter de la fraîcheur de la rivière et de la campagne alentour qui se répandait jusqu’en ville – ce qui n’était pas le cas en 2003.
Mais vous me direz que ceci n’est que ma perception subjective, forcément erronée. Regardez donc les chiffres de Météo France. Justement, j’ai régulièrement constaté que ses prévisions avaient été surévaluées et qu’au final, les températures réellement enregistrées étaient inférieures à celles prévues. Tant mieux ! Et tout le monde sait que la prévision météorologique n’est pas une divination exacte. Et puis on comprend qu’après les ratages de 2003 et la persistance des comportements inconscients, les autorités et Météo France préfèrent surestimer le phénomène face à une opinion toujours prompte à chercher un responsable.
Mais ici, jamais les 37° n’ont été atteints, et les 35° que très rarement dépassés. Les matinales n’ont jamais été supérieures à 21°. Or, c’est là le critère fondamental – et bien choisi, d’ailleurs – pour parler de canicule : quand les nuits n’arrivent plus à rafraîchir et que ces températures nocturnes stagnent à 25°. Jamais nous ne nous sommes retrouvés dans cette situation. Pour ce lundi, on m’annonce 18°/37° (et la minimale vient d’être révisée après-coup à 17° : j’avais bien raison d’enfiler ma veste !). Demain : 20°/32°. Mercredi : 17°/27°. Jeudi : 15°/23°. Vendredi : 14°/27°. Vous avez dit canicule ? Elle est déjà finie et, en fait, n’a jamais commencé. Ici, il n’y a eu ni la durée ni l’intensité ni la chaleur nocturne qui définissent le phénomène.
Enfin, dernière objection : vous me direz que j’ai eu la chance de vivre cette « canicule » dans une petite ville, dans une maison avec jardin et, peut-être, dans une oasis de la carte des 67 départements. À vous de nous dire (dans vos commentaires sur Facebook ou sur Twitter) ce qu’il en était chez vous, dans ces 66 autres départements placés en « vigilance canicule ». Mais, pour moi, c’était déjà les conditions de ma canicule de 2003, et là, c’était vraiment la canicule, dans mon vécu comme dans les chiffres. Pas la fake canicule de 2018.
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FTP - Veilleur de Civilisation