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divers - Page 44

  • Le nouveau numéro (n°16) de "La Revue d'Histoire européenne" est sorti

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    Chez votre marchand de journaux, 9,50 €

  • L'homme politique en tant que menteur pathologique

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    Renzo Giorgetti

    Source: https://www.heliodromos.it/il-politico-come-bugiardo-patologico/

    La souveraineté, entendue comme l'exercice du pouvoir pour organiser et gouverner des communautés de personnes, a toujours eu, dans les civilisations traditionnelles, un profond enracinement dans le sacré, devenant, plus qu'un simple fait humain, la manifestation de forces transcendantes. Le monarque exerce un pouvoir qui est avant tout l'émanation directe du sacré, d'influences véritablement supérieures qui le légitiment bien plus que n'importe quel consentement obtenu ou offert par ses gouvernés. Idéalement, le monarque est avant tout un pontife, exerçant son ministère (ministerium = service) en veillant à l'harmonie de son royaume en accord avec l'ordre cosmique, lui-même reflet de cet ordre sacré qui forme et régit tout ce qui existe. Le détenteur de la royauté est le médiateur entre la terre et le ciel, il est le centre, le point de contact entre ces réalités, agissant pour assurer leur communication et leur interaction (1). Cette qualité, non seulement humaine mais surtout transcendante, était considérée comme pleinement réelle et, même lorsqu'elle était en voie de dissolution, comme une tendance idéale à laquelle on pouvait toujours se référer (comme on le voit dans les rituels égyptiens et chinois, ainsi que dans la conception pontificale de la principauté romaine et dans la notion médiévale de Sacrum Imperium) (2).

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  • Universités d’été… quelle rigolade !

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    Jarente de Senac

    Ça m’a toujours fait marrer cette appellation d’université, le raout que s’octroient les partis politiques pour convoquer leurs militants, ou ce qu’il en reste, à deux ou trois jours de pseudo réflexion sur de fantomatiques programmes politiques. En général un salmigondis "d’enculage de mouche". Et il faut bien avouer que cette année, à gauche comme à droite, ces universités vont ressembler à une traversée du désert de Gobie muni d’un seul bidon d’eau. Car les militants se barrent de tous les côtés.

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  • Samedi 2 et dimanche 3 septembre à Chiré-en-Montreuil (86) : 53e Journées chouannes

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    Renseignements : cliquez ici

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    Venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Numéro spécial de France catholique

    Numéro spécial de France catholique

    Le numéro spécial de l’été 2023 du magazine France catholique est accessible en ligne. Il est consacré à la sainte Vierge, notre mère et notre reine. Éditorial d’Aymeric Pourbaix :

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  • Fantôme Déconnecté présente ses meilleurs morceaux, ses artistes préférés et son nouvel album

  • Jehanne au Trou

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    C’est la pièce de théâtre de l’été. Et politiquement pas du tout correcte en plus. Les éditions Livr’arbitres ont sorti le grand jeu avec Jehanne au Trou. Une pièce de théâtre signée Pierre-Antoine Cousteau, grand journaliste et polémiste dans les années 30-40. Une pièce de théâtre non publiée à l’époque, mais découverte par son fils, Jean-Pierre Cousteau, qui est parvenu, enfin, en cette année 2023, à la faire éditer.

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    Jehanne au Trou, par Pierre-Antoine Cousteau, éditions Livr’arbitres, 140 p. 18 €

  • Juliette Armanet : pourquoi tant de dégoût pour « Les Lacs du Connemara » ?

    Certains lecteurs de BV ne connaissent peut-être pas Juliette Armanet, et c'est objectivement dommage, soit dit sans ironie. C'est une des chanteuses contemporaines les plus talentueuses du paysage musical français. Elle a une voix juste et pure, avec un grain immédiatement reconnaissable et une manière d'articuler que l'on peut trouver précieuse - ou élégante, c'est selon. Elle compose elle-même ses chansons (paroles et musique), avec des progressions harmoniques parfois volontairement kitsch, parfois bien trouvées, et des textes intelligents. On la compare parfois à Véronique Sanson, pour qui elle confesse son admiration et avec qui elle a enregistré une mémorable version d'« Une nuit sur mon épaule ».

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