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écologie et environnement - Page 107

  • Massacre programmé de la vallée de la Gartempe (Vienne) par des parcs éoliens

    Trouvé sur le site de la Société pour la protection des paysages et de l’esthétique de la France :

    « Aux confins de la Haute-Vienne et de la Vienne, entre Saint-Remy et Plaisance, c’est un coin de terre sauvage et paisible qui, du Saut de la Brame au Roc d’Enfer, n’a pas changé de mémoire d’homme. Connu des promeneurs, des randonneurs et des rêveurs, c’est un rendez-vous pour les amateurs de kayak et d’escalade. 820 hectares de ce territoire exceptionnel ont été dûment protégés par un classement ou une inscription au titre des sites et zone Natura 2000 (voir cartes) !

    Les gorges de la Gartempe à Lathus
    Le Roc d’Enfer

    Seulement, voilà : les promoteurs éoliens sont venus, ici comme ailleurs, avec leurs projets, leurs promesses…

    http://www.contre-info.com/massacre-programme-de-la-vallee-de-la-gartempe-vienne-par-des-parcs-eoliens

  • Rouen : de 5.253 tonnes de produits chimiques incendiés on passe à 9.050 ! Etonnez-vous qu'on soit inquiet...

    La Préfecture de Seine maritime avait bien publié une liste de produits chimiques incendiés, évalués à 5.253 tonnes.

    Voilà que, vendredi soir, ce chiffre était augmenté de... 9.050 tonnes (excusez du peu !), car on s'est rendu compte, après coup, que l'usine Lubrizol stockait des marchandises chimiques "type Seveso" dans trois hangars de l'entreprise voisine, Normandie Logistique.

    Sur ces trois hangars, un a été détruit intégralement, un deuxième à soixante pour cent environ, le troisième à environ vingt pour cent...

    La Préfecture a manifestement mal géré l'information : elle a soit parlé trop vite, soit dit trop peu... Résultat : l'inquiétude, et plus, persiste et s'accroît...

    (lire ou relire notre note du 5 octobre dernier : envoi de lecteur rouennais)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/07/rouen-de-5-253-tonnes-de-produits-chimiques-incendies-on-pas-6180881.html

  • Le discours écolo est une imposture

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°225 – septembre 2019)

    Nous ne nions pas, pour ce qui nous concerne, l’importance de la question environnementale. Il est très probable que l’activité humaine soit à l’origine du réchauffement climatique, lequel réchauffement aura sans doute d’importantes conséquences négatives.

    L’activité humaine a commencé à peser sur l’environnement avec la révolution industrielle au milieu du 19e siècle. L’effet s’est très fortement amplifié avec la mise en place en Occident de la société de consommation, suivie de sa mondialisation. L’explosion démographique mondiale constitue un autre facteur majeur de la dégradation de l’environnement, sinon désormais le plus considérable.

    En outre la société de consommation et l’agriculture moderne ont un impact sanitaire direct et sont très probablement à l’origine de la plupart des cancers. Enfin la société moderne a de multiples effets néfastes sur l’environnement visuel et les paysages. Pour toutes ces raisons, du fait également de ses conséquences sociétales destructrices, la société de consommation nous paraît constituer une catastrophe globale. Il en va de même de la mondialisation.

    Ceci posé, la mobilisation de l’opinion et de la classe politique sur le sujet de l’environnement nous paraît fortement critiquable.

    • En dépit de son discours désormais écolo, la classe dirigeante n’a évidemment aucune intention d’opérer un quelconque changement significatif

    Cette mobilisation environnementale, tout d’abord, ne constitue qu’un simple discours : la logorrhée écolo ne se traduira par aucun changement important. Et pour cause des réformes écologiques véritables supposeraient de remettre en cause l’économie générale du système et la société de consommation dans son ensemble. Une réorientation écologique impliquerait que la classe dirigeante abandonne, en vue de l’intérêt général, une organisation économique et sociale dont elle tire le plus grand profit. Qu’elle renonce en d’autres termes à des gains privés, certains et immédiats, au nom d’un bénéfice collectif et avec l’espoir de résultats aléatoires et lointains. Dans ces conditions la réorientation souhaitable n’a évidemment aucune chance d’intervenir.

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  • Rouen : la quantité de produits chimiques brûlés lors de l’incendie revue à la hausse

    Une large partie du site de « Normandie Logistique », une entreprise située à côté de l’usine chimique de Lubrizol, a aussi été touchée par les flammes le 26 septembre. Plus de 4000 tonnes de produits Lubrizol (12 700 fûts) et 139 tonnes de produits Total y étaient entreposées. Alors, 5 000 tonnes ou le double ? la quantité exacte de produits partis en fumée reste inconnue alors que Lubrizol et Normandie Logistique se rejettent la responsabilité de l’origine de l’incendie catastrophique.

    En tout cas, en plus des 5 253 tonnes de produits de chez Lubrizol partis en fumée, la préfecture de Seine-Maritime a publié le 4 octobre une nouvelle liste de 9 050 tonnes de produits entreposés par l’entreprise voisine, partiellement touchée par l’incendie.

    Chez Normandie Logistique, on affirme toutefois qu’il n’y avait «pas de stockage de produits explosifs ou dangereux».

    RT News

    https://www.tvlibertes.com/actus/rouen-la-quantite-de-produits-chimiques-brules-lors-de-lincendie-revue-a-la-hausse

  • Pour 500 scientifiques de 13 pays, il n’y aurait pas d’urgence climatique

    Guus-Berkhout-achtergrond-big-data.jpg

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Menés par Guus Berkhout, un géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye aux Pays-Bas, ils sont donc 500 scientifiques et professionnels de 13 pays du monde. Parmi eux, 40 sont français. Ils ont adressé le 23 septembre dernier un courrier incitant à relativiser l’alarmisme climatique à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, et à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutif de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.

    Quel est le propos de cette équipe de scientifiques ?

    Pour eux, le réchauffement climatique serait principalement du à des phénomènes géologiques naturels déjà observés il y a des milliers d’années. Les hausses du taux de dioxyde de carbone précéderaient ces réchauffements climatiques, participeraient peu au réchauffement de la planète, et seraient même utiles à la vie terrestre en permettant une meilleure croissance de la vie végétale ! Par ailleurs, le réchauffement climatique se révélerait même moins élevé que ce qui pouvait être calculé par les scientifiques alarmistes sur le climat.

    Les signataires sont pour une prise de conscience écologique

    Effectivement, ils sont pour la surveillance du climat, mais s’interrogent sur l’utilité de milliards dépensés sur une urgence climatique qui examinerait tout à l’aune de « l’émission carbone ». Quid de l’avenir des batteries en lithium non recyclables qui fleurissent dans notre quotidien ? Des herbicides chimiques qui empoisonnent le végétal et intoxiquent entre autres les abeilles ? Ainsi, tel qu’expliqué dans leur courrier, « Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire », et les dirigeants politiques doivent réagir de façon dépassionnée.

    https://fr.novopress.info/215703/pour-500-scientifiques-de-13-pays-il-ny-aurait-pas-durgence-climatique/

  • Rouen : la preuve que l’écologie n’est qu’une arme politique

    Emmanuel Macron et son gouvernement prétendent faire de l’écologie la clé de voûte de leur politique. Depuis deux ans, les Français sont assommés de recommandations, interdictions, taxes et toutes sortes de brimades en tous genres. Voilà qu’une vraie catastrophe écologique survient, près de la bonne ville de Rouen. En toute logique, nous devrions assister à une mobilisation massive des pouvoirs publics, le Président, le Premier ministre, les ministres concernés devraient en appeler à l’urgence, sonner le tocsin, dicter à la population des consignes de prudence drastiques, lui donner des recommandations pour se protéger. Eh bien, non, vous n’y êtes pas. Il aura fallu attendre trois jours, et la montée des questions et du mécontentement, pour que le Premier ministre déclare : « L’engagement du gouvernement est de répondre à toutes les questions et de faire la transparence totale. »

    L’explosion de l’usine classée Seveso ? Une broutille. « La qualité de l’air est normale », annonce, en boucle, le préfet ! Pendant ce temps, les Rouennais se promènent dans les rues avec des masques stériles, pour ceux qui osent sortir de chez eux. Beaucoup ressentent des difficultés respiratoires, des nausées, des céphalées, bref, ne peuvent vivre normalement et sont, par ailleurs, très inquiets de la situation. Surtout, ils sentent bien qu’on minimise les conséquences de la catastrophe au risque de mettre leur santé en danger. Et cela n’est pas de nature à les rassurer…

    Alors, donc, tout d’un coup, l’écologie n’est plus ce problème capital dont dépend la survie de notre civilisation ? En fait, pour Macron et sa bande, elle l’est, mais surtout comme un prétexte pour taper sur la tête des Français, les culpabiliser, les montrer du doigt, les taxer, les gêner dans leur vie quotidienne. Ou alors pour désigner à la vindicte des chefs d’État étrangers qui ne répondent pas à la doxa dominante. Mais quand l’heure vient de protéger des Français effectivement menacés par une vraie catastrophe, tout d’un coup, on minimise, on euphémisme, on brasse de l’air – fût-il pollué.

    L’écologie, c’est la punition que la superclasse mondiale, et ses fondés de pouvoir dont Macron, infligent aux Occidentaux. Et quand elle ne sert plus cet objectif-là, elle perd comme par enchantement toute valeur aux yeux mêmes de ceux qui nous en abreuvent à longueur de journée.

    Olivier Piacentini

    https://www.bvoltaire.fr/rouen-la-preuve-que-lecologie-nest-quune-arme-politique/

  • Climat : le mouvement initié par Greta Thunberg est financé par Aileen Getty, héritière d’un empire pétrolier

    Le Climate Emergency Fund, cofondé par des membres des familles Getty et Kennedy, soutient aussi le groupe radical Extinction Rebellion, qui pratique la désobéissance civile.

    La couleur du mouvement international de lutte contre le réchauffement climatique est aussi verte que les dollars qui le financent. Largement soutenues et promues par la jeune activiste écologiste suédoise de 16 ans, Greta Thunberg, les manifestations qui déferlent dans les grandes métropoles du monde depuis plusieurs mois sont en partie subventionnées par de richissimes personnalités, dont certaines appartiennent à d’illustres familles américaines. Une manne militante qui soutient des actions illégales et des groupes radicaux parfois violents.

    Le Climate Emergency Fund (CEF), un fond qui finance la désobéissance civile pour le climat, a été lancé en juillet dernier par trois multimillionnaires pour arroser « des activistes disruptifs », dixit Trevor Neilson, un des co-fondateurs. « L’investissement le plus intelligent pour les philanthropes vise cette nouvelle génération de militants qui refusent d’accepter les excuses des adultes dont l’approche paresseuse face au climat nous mène dans le précipice, a-t-il ainsi confié au New York TimesL’ère du gradualisme dans l’activisme environnemental est terminée. »

    Business, Malibu et feux de forêts

    Trevor Neilson est le PDG de la société i(x) investments, co-fondée avec le petit-fils du financier milliardaire et 3e fortune mondiale, Warren E. Buffett. Il a aussi été directeur exécutif de la Global Business Coalition, une coalition de plus de 200 multinationales dédiée aux questions de santé et créée avec le fondateur de Microsoft Bill Gates, le financier George Soros et le fondateur de CNN Ted Turner. Ex-dirigeant de la Fondation Bill & Melinda Gates, Neilson a été nommé « Jeune leader global » par la Forum économique mondial et a servi à la Maison Blanche sous l’administration de Bill Clinton.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Valeurs Actuelles

    http://www.fdesouche.com/1272019-climat-le-mouvement-initie-par-greta-thunberg-est-finance-par-aileen-getty-heritiere-dun-empire-petrolier

  • Lubrizol : le flou derrière la fumée – journal du mercredi 2 octobre

    1) Lubrizol : le flou derrière la fumée
    Après avoir martelé pendant cinq jours qu’il n’y avait pas de risque pour la santé, le gouvernement semble bien en peine d’évaluer les véritables conséquences de l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Un flou qui laisse la place à tous les commentaires et les fake news. Le professeur, André Picot, chimiste spécialisé en toxicologie, nous apportera des précisions dans cette édition.

    2) La police descend dans la rue
    Manque de moyens, nombre de suicides record, violences au quotidien, les policiers tirent la sonnette d’alarme. Réunies à Paris, les forces de l’ordre font entendre leur colère au milieu d’une séquence où le ministère les met à contribution depuis des mois.

    3) Urgences : des “stars ” ruent dans les brancards
    Après plus de 7 mois de grève aux urgences en France, c’est au tour d’une centaine de personnalités d’adresser une lettre ouverte au président pour l’alerter sur la situation. Un geste solidaire qui dénote également que les services d’urgences se dégradent partout et pour tout le monde.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lubrizol-le-flou-derriere-la-fumee-journal-du-mercredi-2-octobre

  • Lubrizol : le flou derrière la fumée

    Les incertitudes se multiplient autour de l’affaire Lubrizol. Mardi, la préfecture de Seine-Maritime a dévoilé l’inventaire des substances entreposées dans les bâtiments de l’usine de Rouen au moment de l’incendie. Des éléments loin de faire la lumière sur les conséquences réelles de la catastrophe.

    Un inventaire qui manque de clarté

    C’était la première revendication des habitants de Rouen : connaître la liste des produits qu’ils respirent depuis l’incendie de l’usine Lubrizol. Cinq jours après la catastrophe, le gouvernement a donc répondu à la requête. Ainsi, mardi en début de soirée, la préfecture de Seine-Maritime a publié sur son site internet l’ensemble des produits entreposés dans l’usine au moment de l’incendie. 5 253 tonnes de produits chimiques ont été détruits par les flammes dont plus de 60% d' »additifs multi-usages » mais aussi 13% d’améliorant de viscosité. Le reste inclut du détergent, de l’huile vierge ou encore du dispersant, tous trois aux alentours de 4%. Des termes techniques totalement incompréhensibles pour le commun des mortels.

    Source

    Selon le professeur André Picot, chimiste expert en toxicologie que vous pourrez retrouver pour un interview dans notre JT dece mercredi, il s’agit pourtant bien de composés potentiellement dangereux. Pourtant, les autorités publiques poursuivent leur stratégie du « tout est sous contrôle ». En effet, dans la foulée, la préfecture a précisé que tous les produits n’étaient pas dangereux, la dangerosité dépendant de la quantité présente, du devenir des molécules après avoir brûlé et de l’exposition aux produits. Comprendre : il n’y a pas de risque mais un petit peu quand même. Une nouvelle tentative du gouvernement pour rassurer la population.

    On nous cache tout ?

    Le ministre de la Santé, Agnès Buzyn a affirmé ce mercredi matin que les autorités sanitaires n’avaient aucun intérêt à cacher quoi que ce soit. En réalité, le gouvernement n’a pas besoin de cacher les informations puisqu’Agnès Buzyn le concède elle-même, personne ne sait exactement ce que donnent ces produits mélangés lorsqu’ils brûlent. En effet, si la liste des produits a été dévoilée, et que l’effet de leur combustion peut être à peu près évalué, les interactions entre les différentes substances restent quant à elles peu prévisibles. Sur ces points cruciaux, l’Etat n’est effectivement pas en mesure d’apporter de réelles réponses. Un terrible aveu après avoir martelé pendant cinq jours que l’air était « parfaitement respirable ». 

    Si d’un côté, le gouvernement, en quête de paix sociale, tente de minimiser le potentiel impact sanitaire de l’incendie, de l’autre, c’est la course au scénario catastrophe donnant lieu parfois à une prolifération de fausses nouvelles. Une prolifération qui résulte également d’un manque de confiance envers le gouvernement et les autorités publiques. De quoi laisser planer un immense flou après l’épais nuage noir. 

    https://www.tvlibertes.com/actus/lubrizol-le-flou-derriere-la-fumee

  • Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu – Journal du mardi 1er Octobre 2019

    1) Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu

    Cinq jours après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, le gouvernement multiplie les déclarations pour rassurer la population. Mais la défiance semble prendre le pas et la vérité se fait toujours attendre.

    2) Brexit : Boris Johnson présente un nouveau plan

    En difficulté sur le plan national, le premier ministre britannique Boris Johnson s’engage vers de nouvelles négociations sur le Brexit avec Bruxelles. Un nouveau rendez-vous crucial à moins d’un mois de la date butoir.

    3) Quand les banques mettent au chômage

    Licenciements en pagaille dans le domaine de la banque. Alors que la conjoncture se tend et qu’une nouvelle crise financière est annoncée par de nombreux observateurs, le secteur banquier enchaîne les plans de licenciement. Une tendance qui pourrait avoir des répercussions sur toute l’économie.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/lubrizol-le-gouvernement-joue-avec-le-feu-journal-du-mardi-1er-octobre-2019