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écologie et environnement - Page 105

  • Les malheurs de Greta (suite) : comment compenser ses grosses émissions ?

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    La vie est pleine de paradoxes. Tenez, prenons, par exemple, les empreintes. Des millions d’années qu’on court après. On en cherche, on les suit, on les trace, on les traque… bref, on en redemande. Ça a commencé à la sortie du jardin d’Éden, quand il a fallu suivre le serpent serpentant, puis on a reniflé les empreintes de l’ours et celles du tigre aux dents de sabre entre deux crottes de Sahelanthropus tchadensis. Puis sapiens a suivi Néandertal, qui pistait rudolfensis qui traçait ergaster

    L’empreinte, vous dis-je, a guidé les hommes. Elle leur a indiqué le chemin de la grotte où perpétuer l’espèce dans la chaleur du foyer magdalénien et s’adonner, sur le même, aux joies du barbecue primitif. Ah, la belle époque où l’on pouvait carboniser la viande sans mauvaise conscience…

    Aux ères glaciaires ont succédé les ères brûlantes qui annonçaient d’autres glaciations. Et puis… et puis, Dieu merci, empruntant à Boileau, nous dirons tous en chœur :

    « Enfin Greta vint, et, la première au monde,
    Fit sentir dans ses tresses une juste cadence,
    D’un mot mis en sa place enseigna le pouvoir,
    Et réduisit la pollution aux règles du devoir. »

    Résultat : l’empreinte est, aujourd’hui, maudite. Il n’en faut point, il n’en faut plus. Sus à l’empreinte !

    Il faut dire que, de trace objective, l’empreinte, aujourd’hui, s’est muée en un ennemi sournois : pour voir l’empreinte carbone, il faut lever le nez en l’air. Elle est volatile. Elle se sent. La trace est olfactivement insidieuse. Pouah !

    Voilà pourquoi notre Greta, refusant de monter dans un avion, vogue sur les flots poissonneux à bord du Malizia II, un « voilier de course zéro carbone » qui la conduit au sommet mondial de l’ONU, à New York. De là, elle ira au Canada, au Mexique et au Chili. Comment ? Nul ne le sait encore. Peut-être à dos de mulet… quoique, le pet de l’Equus asinus est sans doute aussi polluant que celui des ovins et des bovins. Nous verrons.

    Pour l’heure, la polémique, vous disais-je, tourne autour de l’empreinte, car si Greta ne crache rien à l’aller, sa petite balade va polluer grave au retour.

    C’est la porte-parole du skipper Boris Herrmann qui a vendu la mèche au TAZ, un journal berlinois : cinq personnes, plus lui, vont prendre l’avion pour New York afin de ramener le bateau à son port d’attache (Monaco). Six billets, donc. C’est plus que si papa et sa fillette avaient traversé l’Atlantique en avion, même en comptant l’ami cinéaste et la marraine écolo. Du côté des armateurs, on conteste : « Je pose tout et ne retiens rien, le compte n’y est pas », dit la porte-parole, arguant du fait que deux personnes sur les cinq résident à New York. Soit, mais il leur faudra alors rentrer chez elles… Et puis il y a aussi l’autre skipper, la tête semi-couronnée, Pierre Casiraghi, qui a « des obligations » et doit rentrer dare-dare. Un bal sur le Rocher, une soirée au Casino, le survol de la baie en hélicoptère pour ses clients VIP…

    Aucune importance, assure la dame : « Tous les vols de l’équipe sont compensés. » Compensés comment ? Mystère.

    La question demeure donc pour l’heure insoluble : comment compenser toutes ces grosses émissions ?

    « Je ne sais pas encore comment je vais rentrer à la maison », dit la gentille Greta.

    À la nage, peut-être, ou en pédalo ?

    Marie Delarue

    https://www.bvoltaire.fr/les-malheurs-de-greta-suite-comment-compenser-ses-grosses-emissions/

  • Plus urgent que les baleines à bosse : il faut sauver Greta Thunberg !

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    Humanistes de tout poil, écolos ou pas, unissez-vous : il faut sauver Greta Thunberg.
    Non qu’elle soit une espèce en voie de disparition. Non, c’est même une curiosité de la nature : depuis des mois, cette pure et chaste jeune fille se reproduit en masse. Tous les vendredis – mais ça devrait se ralentir avec les vacances scolaires –, on assiste à la génération spontanée des Greta.

    Enfin, « spontanée » n’est peut-être pas le bon mot…

    En effet, il apparaît depuis un moment qu’il n’y a pas grand-chose de spontané dans cet emballement autour de la gamine. Certes, la douce Greta a été visitée par le Saint-Esprit de la Nature, mais sa vie, depuis que la déesse Mère lui a parlé en songe, est un calvaire. En martyre de la cause écologique, elle est devenue la prophétesse qui, chaque vendredi depuis bientôt un an, prêche la Skolstrejk för klimatet, la grève hebdomadaire pour le climat. Autrement dit, le jour où tous les ados parvenus à l’acmé acnéique de la branchitude sèchent les cours avec la bénédiction de leurs parents.

    On devrait réfléchir à cette nouvelle version de la croisade des enfants. Il y a, d’ailleurs, bien des similitudes entre le Moyen Âge millénariste et notre XXIe siècle agité par des peurs tout aussi apocalyptiques…

    Mais revenons à Greta. Gentille bouille ronde, auréolée d’un « syndrome autistique d’Asperger » qui est à l’autisme de base ce que le miracle de Lourdes est au traitement antibiotique.

    Elle est pure, sincère, fragile… et affreusement manipulée par un entourage machiavélique, disent les mauvaises langues.

    Il est vrai qu’en creusant un peu dans les relations de papa et maman, on a découvert des trucs pas très écolos… Notamment le fameux Ingmar Rentzhog, petit génie des relations publiques et du capitalisme vert. En avril dernier, lors d’une plongée effectuée pour Causeur, au milieu de cette marée adolescente, Marc Reisinger a voulu interroger la sainte climatique. Il a découvert une jeune fille « craintive, mal à l’aise ». Au moment où il la questionnait, elle a retiré son bonnet. Comme s’il s’était agi d’un appel au secours, une femme s’est aussitôt approchée : « Hello, désolée, nous avons quelque chose à faire maintenant. Je dois l’emmener, merci… »

    Depuis un an, les récompenses ne cessent de pleuvoir sur cette gamine : nommée pour le prix Héros de l’environnement du WWF Suède, lauréate de la bourse d’études Fryshuset du jeune modèle de l’année, proposée en mars pour le prix Nobel de la paix, couronnée en avril par le prix Liberté (prix de la région Normandie), en mai l’université de Mons (Belgique) annonce qu’elle recevra l’insigne et le diplôme de docteur honoris causa lors de la séance solennelle de rentrée…

    Ne serait-ce pas un peu trop pour ses frêles épaules, se demandent certains ?

    C’est pour cette raison qu’une pétition vient d’être lancée par Gregory Roose, qui clame : « Ras-le-bol du phénomène “Greta Thunberg” ? Demandons sa protection par les Nations-Unies ! » Comme le rapporte Valeurs actuelles, Roose ne nie pas que la douce Greta soit habitée par des convictions sincères, mais il est plus circonspect sur l’entourage : « La jeune Suédoise de 16 ans a des convictions, c’est une certitude. Mais ses parents irresponsables laissent leur fille, atteinte d’une forme d’autisme, sécher les cours chaque vendredi et parcourir le monde pour “sauver le climat”, au détriment de sa santé physique et mentale », dit-il. Et si « la réussite marketing est indiscutable », on est fondé à se poser la question : « Qui s’interroge sur la souffrance que cette enfant, atteinte d’une forme d’autisme, peut endurer pour assurer le rôle d’égérie de l’écolo-catastrophisme voulu par d’autres ? »

    D’autant plus que, pour nous vendre l’histoire, on nous a expliqué qu’elle relevait d’une grave dépression causée par ses angoisses climatiques… Merci papa, merci maman…

    https://www.bvoltaire.fr/plus-urgent-que-les-baleines-a-bosses-il-faut-sauver-greta-thunberg/

  • Catastrophisme

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    Pour le climatosceptique que je suis, qui n’arrive pas à croire que les activités humaines soient à l’origine du réchauffement climatique actuel, les articles du GIEC relèvent de la désinformation et du terrorisme intellectuel. Le but semble être de culpabiliser l’homme blanc, responsable de tous les maux de la planète. Les États-Unis, qui exportent produits alimentaires et énergétiques, auraient besoin de 5 planètes pour maintenir leur mode de vie, la France seulement de 2,7 planètes, alors qu’on ne note aucun épuisement de ces pays qui aident, soignent et nourrissent une grande partie des populations, notamment africaines.

    On ne peut que sourire quand on lit, dans le dernier rapport du GIEC : « La durabilité de l’usage des sols passe aussi […] par la sécurisation des droits fonciers et de l’accès aux terres, notamment pour “les femmes, les peuples autochtones et les communautés locales”, par l’implication de ces populations, y compris les personnes “pauvres et marginalisées” dans la prise de décision et la gouvernance, et par la prise en compte des pratiques et des savoirs de ces peuples. » Quand on voit la surface nécessaire à la survie des populations amazoniennes et de la Papouasie, on se dit que les populations développées ne sont pas prêtes à adopter leur mode de vie et que si elles le faisaient, la planète ne pourrait nourrir que quelques millions d’habitants.

    Les pays développés sont accusés d’épuiser les ressources de la terre nourricière, alors qu’il y a peu de jours, Le Monde s’extasiait devant la belle moisson de blé et d’orge de cette année, en France et dans une grande partie de l’Europe qui, malheureusement, devraient subir une baisse des cours du blé tendre.

    Ce qui est étonnant, dans les rapports du GIEC, est la prétention que la planète serait un ensemble homogène, où on vit et mange de la même façon, et l’affirmation que si j’abandonnais la viande pour me nourrir de pois chiches et de lentilles, les 500 millions de personnes vivant dans les zones en cours de désertification, notamment les populations les plus touchées de l’Asie du Sud et de l’Est, de la zone saharienne et du Moyen-Orient, verraient leur sort s’améliorer.

    Le GIEC n’évoque que du bout des lèvres la vraie cause de la désertification et de l’insécurité alimentaire de certaines populations qu’est la croissance démographique. Si l’Afrique et l’Asie du Sud arrivaient à limiter leur croissance démographique, le problème de la « survie de la planète » serait vite résolu.

    Enfin, on ne peut totalement désespérer : Le Monde, pour qui les prophéties du GIEC sont parole d’évangile, a publié deux articles qui me redonnent quelque espoir.

    Le premier (le 16 août), sous la signature de Christophe Ramaux, intitulé « Les collapsologues ravalent le politique à un mode religieux », déplore que l’écologie soit devenue une religion apocalyptique et cite Yves Cochet, qui a déclaré qu’il n’y aurait qu’une « moitié survivante de l’humanité dans les années 2040 ». Les collapsologues nous invitent à nous « réensauvager », à « renouer avec nos racines profondes » : repentez-vous, la fin du monde est proche.

    Le second, intitulé « Écologie, climat : l’effondrement n’est pas inéluctable » (le 17 août), ose dire que « la panique de la collapsologie est tout aussi paralysante que les certitudes des climatosceptiques ». Merci pour ceux-ci. Les zélateurs d’un effondrement imminent, en quelques décennies, ne peuvent préciser de quoi il s’agit. Quoi qu’il en soit, « nous sommes aujourd’hui confrontés au plus grand problème environnemental de l’histoire humaine : le dérèglement climatique ». C’est faux, les climats ont souvent évolué, dans un sens ou dans l’autre, sans compromettre la survie de l’humanité, qui a su s’adapter. La conclusion de cet article détonne dans l’ambiance actuelle : « Loin de tout romantisme mièvre, c’est l’expérience concrète de l’amour de la vie, la tendresse partagée entre nous et avec notre environnement – bien plus que la panique face à la fin du monde – qui invitent à agir. Seule la soif d’un monde plus humain peut nous donner l’énergie collective nécessaire à l’invention d’une sobriété heureuse et nous sortir de notre fascination morbide pour l’accumulation de nos déchets. Cet amour peut et doit être exigeant. Le temps presse » : les Bisounours sont de retour.

    François Jourdier

    https://www.bvoltaire.fr/catastrophisme/

  • Pour lutter contre le réchauffement, la meilleure arme, c’est le nucléaire !

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    La vraie menace pour la planète, c’est l’écologie !

    Pour lutter efficacement contre l’indéniable réchauffement climatique, il va falloir disposer de beaucoup d’énergie. Il est une énergie abondante, non polluante et quasiment renouvelable à l’infini : l’énergie nucléaire. Un secteur où la France fut, jadis, parmi les leaders mondiaux, mais où elle n’est quasiment plus rien à cause du massacre industriel d’Areva. Massacre en grande partie causé par l’influence des « écologistes » qui ont su maintenir dans l’esprit des foules (donc des politiques) une peur panique de tout ce qui touche, de près ou de loin, au mot « nucléaire ».

    Sur ce sujet, les « fake news » battent des records ! Prenons quelques exemples.

    « Le nucléaire, c’est pas bon pour la santé. »

    La réunion du 1er juillet 2003 de l’Académie de médecine avait pour thème « Choix énergétiques et santé ». Le très sérieux docteur André Aurengo y a fait la recommandation suivante :

    « Maintenir la filière nucléaire dans la mesure où elle s’avère avoir le plus faible impact sur la santé par kWh produit par rapport aux filières utilisant des combustibles fossiles, les biomasses ou l’incinération des déchets […] ou même, comme le montre notamment le rapport externe de la Commission européenne, quand on la compare aux énergies éolienne et photovoltaïque (principalement en raison des polluants libérés pendant le cycle de vie des dispositifs). »

    On peut légitimement faire confiance à l’Académie de médecine…

    « On ne sait pas traiter les déchets radioactifs et les ressources sont limitées. »

    Argument en partie fondé, mais avec les réacteurs nucléaires de 4e génération, ces déchets deviennent une aubaine : du nouveau combustible que l’on sait brûler pour les rendre inoffensifs. L’enfouissement ne sera plus d’actualité. Quant aux ressources, on sait maintenant utiliser la radioactivité naturelle de la mer due à l’uranium qu’elle contient.

    « C’est faux de dire que le nucléaire n’est pas cher si on tient compte du coût du démantèlement et de gestion des déchets. »

    Selon un rapport de la Cour des comptes de 2014, le MWh (mégawatt-heure) nucléaire français coûterait environ 60 euros, frais de démantèlement et de gestion des déchets inclus. Cela veut dire une électricité 22 % moins chère que la moyenne européenne et moitié moins chère qu’en Allemagne. C’est plus que l’hydroélectrique (15 à 20 euros), mais moins que l’éolien, massivement subventionné (80 euros), ou le photovoltaïque dans le Sud (100 euros).

    À cause de toutes ces bêtises, la France a pris un inquiétant retard technologique (aucune nouvelle centrale nucléaire construite depuis quinze ans, abandon du projet Superphénix, pourtant finalisé et commercialisé par la Russie). Rappelons qu’en 2015, le nucléaire était le troisième secteur industriel national après l’aéronautique et l’automobile, et employait 220.000 salariés dans 2.500 entreprises.

    Aujourd’hui, les réacteurs de 4e génération sont développés par la Belgique (MYRRHA), la Chine, la Russie (BN-600, BN-800, BN-1200), l’Inde (Kalpakkam), les USA, l’Angleterre, le Canada… Exit la France. Ces réacteurs n’ont strictement plus rien à voir avec ceux utilisés actuellement, surtout au niveau de la sécurité. Ils peuvent être arrêtés immédiatement sans aucune production de substances radioactives dangereuses. On estime que ces centrales produiront un kWh coûtant 1 à 3 centimes. On voit mal comment l’humanité serait assez folle pour se passer du moyen de produire en abondance une énergie à si faible coût, dans des conditions de sécurité quasi totale, avec des ressources renouvelables et non polluantes.

    Mais la partie n’est pas gagnée d’avance, il va falloir convaincre tous ces cavaliers de l’Apocalypse qui sont, malheureusement, plus nombreux que les quatre du Nouveau Testament : les écologistes.

    Patrick Robert

    https://www.bvoltaire.fr/pour-lutter-contre-le-rechauffement-la-meilleure-arme-cest-le-nucleaire/

  • Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Son voyage en voilier va nécessiter plusieurs vols en avion mais combien de personnes vont naïvement continuer à se faire intoxiquer par cette imposture ?

    “C’est un paradoxe auquel Greta Thunberg, très critique envers les conséquences écologiques des vols en avion, devrait se faire un plaisir de répondre. La jeune militante suédoise, qui doit participer à un sommet sur le climat à New York le 23 septembre prochain, a choisi de s’y rendre en traversant l’océan Atlantique à bord d’un voilier en carbone réputé très écologique – bien que sponsorisé par des marques un peu moins écolos. Problème : l’organisation du périple en mer va nécessiter au moins quatre vols transatlantiques, rapporte le journal allemand Die Tageszeitung. Un comble.

    Et pour cause : selon le quotidien, deux employés, qui auront la tâche de ramener le voilier en Europe, devront avant cela se rendre outre-Atlantique en avion. Le skipper allemand qui accompagne Greta Thunberg, Boris Herrmann, reviendra lui aussi par les airs sur le Vieux Continent (…) Le père de la militante, Svante Thunberg, le fondateur monégasque de l’équipe Malizia détentrice du voilier, Pierre Casiraghi, et un cinéaste sont également du voyage à bord du voilier. Pierre Casiraghi, actionnaire d’une entreprise d’hélicoptères, n’est par ailleurs pas vraiment réputé pour son engagement en faveur de l’environnement. Il rentrera lui aussi des États-Unis en avion.”

    https://www.lesalonbeige.fr/greta-thunberg-limposture-et-les-manipulations-continuent/

  • Samedi 24 août, en Dordogne : rassemblement contre l'implantation d'éoliennes...

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    Au centre géographique de la Nouvelle Aquitaine, une grande manifestation anti-éolienne est organisée par les associations locales. Ce rassemblement veut réunir le maximum d'opposants aux projets éoliens qui défigurent les paysages, détruisent le monde rural et ruinent les finances publiques.

    Tous à Saint-Aulaye (24) samedi 24 août, on peut même se restaurer sur place. Tout est prévu, en Périgord la gastronomie c'est incontournable.

    En savoir plus sur les éoliennes cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/18/samedi-24-aout-en-dordogne-rassemblement-contre-l-implantati-6170592.html

  • Greta et le Gotha : la croisière et sa muse

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    C’est parti. Greta a embarqué sur son beau voilier. Enfin, « son beau voilier », façon de parler, puisque le Malizia II appartient à la principauté de Monaco. En route, donc, pour les Amériques. Un voilier à zéro émission de carbone.

    Bon, certes, il aura fallu 5.000 heures de travail, durant le dernier chantier hivernal, si l’on en croit le site du Yacht Club de Monaco, avant qu’il ne reprenne la saison des régates. 5.000 heures de travail non carboné ? Difficile à dire, et la remarque est du plus mauvais esprit comme, du reste, toutes ces remarques que Le Huffington s’applique à dénoncer dans un article intitulé « Montrer la voi(l)e » et sous-titré « Le bateau de Greta Thunberg, qui s’élance ce mercredi vers New York, est hors de prix et c’est tout à fait normal ». Parce que, effectivement, les mauvais esprits et autres bas de plafond voient vraiment le mal partout : « […] comme à chaque action de la jeune militante, des critiques ont commencé à pleuvoir ». Prenez Valeurs actuelles (pas bien, Valeurs actuelles !), qui dénonce le fait que le bateau serait sponsorisé par BMW. Eh bien, elle a réponse à tout, Greta : « Tous les sponsors ont accepté d’enlever leurs logos du bateau », nous explique Le Huf. Effectivement, ça change tout. Contrepoints (pas bien, Contrepoints) affirme qu’« un voyage en Malizia serait cent fois plus coûteux qu’un aller simple Londres-New York en avion ». Ce que les gens peuvent être mesquins. Réponse du Huf : « Ces affirmations n’ont rien de faux… » Comme dirait l’autre, ça vous arracherait la gueule de dire qu’elles sont justes ! Mais bon…

    Et c’est vrai que l’argument que le Malizia serait une sorte de « F1 des bateaux » tient la route. Qui dit que demain, après-demain, lorsque Greta n’aura plus de tresses et vivra en couple avec un migrant subsaharien ou un prince d’opérette (et pourquoi pas un migrant d’opérette ou un prince subsaharien ?), le bon peuple n’ira pas faire ses courses au Leclerc dans des véhicules à énergie solaire et qu’on aura remplacé les immenses paquebots qui font de l’ombre à Venise par de belles galères, qui auront comme figure de proue le doux visage de Greta, et sur lesquelles, comme dans Astérix, les croisiéristes fourniront eux même l’énergie. La compagnie offrira la crème solaire et le talc. Les coups de fouet seront en option selon le type de soirée.

    Mais revenons à Greta et au Malizia. Paraît que c’est pas le grand luxe. « À bord du voilier étroit, un seau en plastique fait office de toilettes », nous révèle Le Monde. C’est là qu’on se dit que Greta est prête à tous les sacrifices pour sauver la planète. Oui, mais le seau en plastique ? Moyen, ça, rapport à l’empreinte carbone, non ? On va pas chipoter pour ce pot. Que dire, encore ? Ah oui, sans rapport avec le point précédent, le skipper est Pierre Casiraghi, fils de Stefano (1960-1990) et de Caroline de Monaco. Greta, la nouvelle muse du Gotha ?

    En tout cas, arrivée prévue à New York dans deux semaines. Pourvu qu’elle n’ait pas oublié son ciré jaune et surtout son passeport. Parce que, voilier non carboné à la Greta ou jet privé à la Epstein, paraît que ça rigole pas sur ce point, au pays de Trump.

    Thomas Bertin

    https://www.bvoltaire.fr/greta-et-le-gotha-la-croisiere-et-sa-muse/

  • Greta Thunberg promeut aussi les antifas et les LGBT

    La suédoise Greta Thunberg, oracle du réchauffement climatique, a enregistré une chanson avec le groupe The 1975. A cette occasion, elle a posé en portant un t-shirt de la mouvance antifa, extrême gauche connue pour ses violences répétées.

    Dans un tweet, Greta Thunberg promet que tous les revenus tirés de l’enregistrement de cette chanson iront à l’organisation d’extrême gauche Extinction Rebellion.

    En avril, ces extrémistes environnementalistes ont semé le chaos dans les rues de Londres. Cette organisation prévoit également de forcer à fermer l’aéroport d’Heathrow cet automne, à l’aide de drones venant perturber le trafic aérien.

    Avec le groupe The 1975, Greta Thunberg prêche la fin du monde en affirmant que toutes les solutions à la crise climatique ont échoué.

    Un suédois condamné pour des émeutes et n’excluant pas le meurtre
    La section suédoise de Extinction Rebellion est dirigée par le militant d’extrême gauche Jonathan Pye, qui a participé aux émeutes de Göteborg en 2001 , lors d’un sommet européen dans la ville.

    Jonathan Pye a été condamné à quatre ans de prison pour avoir jeté des briques et des pierres sur la police et incendié des meubles de restaurant dans la rue principale de Göteborg, Kungsportsavenyn.

    À l’époque, Pye était un membre actif de l’AFA, une section antifa suédoise. Il n’a regretté aucun de ses actes, a-t-il déclaré à Sveriges Radio en 2006.

    Il a confirmé qu’il utilisait consciemment la violence comme outil de lutte politique. «Si je commets des actes de violence, c’est comme une partie d’échecs. Ensuite, je réfléchis froidement et tactiquement », a-t-il déclaré lors de l’entretien. Cela ne le dérangeait pas non plus d’attaquer des policiers avec des briques et des pierres. Pye a également déclaré qu’il pourrait envisager un meurtre si cela convenait.
    “Cela ne vaut pas la peine pour le moment, pas pour des raisons morales, mais avant tout pour des raisons pratiques”, a déclaré Jonathan Pye.

    Suite à la controverse que cela suscite en Suède, le tweet de Greta Thunberg est maintenant effacé, de même que l’image de celle-ci portant le t-shirt antifa.

    Par ailleurs, une autre photo de Greta Thunberg la montre arborant un drapeau LGBT. Décidément, cette adolescente est de tous les combats subversifs.

    https://www.medias-presse.info/greta-thunberg-promeut-aussi-les-antifas-et-les-lgbt/111271/

  • François Gervais : démonter le mythe de l’urgence climatique (Zoom)

    François Gervais, professeur émérite à l’Université de Tours, a jetté un pavé dans la mare avec son livre « L’urgence climatique est un leurre » aux éditions L’artilleur. Le physicien retourne un à un tous les poncifs du catastrophisme écologiste : l’anthropisme du réchauffement climatique, la nocivité du dioxyde de carbone ou encore la viabilité d’une énergie 100% renouvelable. Un ouvrage qui démontre également l’absence totale de consensus scientifique autour des questions climatiques.

    https://www.tvlibertes.com/actus/francois-gervais-demonter-le-mythe-de-lurgence-climatique-zoom

     
  • La mort des paysans, c’est la fin de la France

    Faut-il encore parler de “paysans” ? On les nomme souvent “agriculteurs”, “producteurs agricoles”, “chefs d’entreprises”. Productivité avant tout !
    Ainsi, les éleveurs ne seraient plus que des producteurs de viande. 
    Moi-même, quand je suis arrivé dans mon hameau, ce dernier était des plus bucoliques. 
    Maintenant, avec les énormes “stabu” qui ont poussé comme des champignons, j’ai l’impression de vivre dans une usine à viande.
    Les “agriculteurs” (donc) sont devenus, en fait, des citadins comme les autres. 
    Enfin, presque… 
    Car, souvent, il leur manque pas mal d’attraits qui caractérisent la vie en ville : les boutiques, l’agitation de la rue, la foule, les “loisirs” de sorties, les vacances… 
    Il est vrai que ces petits patrons travaillent tous les jours de l’année, et parfois jusque dans la nuit. 
    Et souvent, pour un revenu précaire, des dettes grandissantes, une précarité angoissante, des contrôles européens ubuesques – la contre-partie des primes et des prêts bancaires.
    En une génération, non seulement la réalité économique et sociale de la “paysannerie” a été bouleversée, mais les mentalités ont aussi changé, au point qu’il est difficile de distinguer, dans les goûts, un jeune paysan d’un jeune citadin. 
    Car la diffusion exponentielle de la “culture” “jeune”, via la radio, la télé, Internet, etc., a produit le même résultat qu’en ville : la disparition des traditions dites “folkloriques”, de la chanson française traditionnelle, au profit des “musiques” électroniques et de la sous-culture américaine. 
    Les fêtes, les célébrations (baptêmes, mariages, etc.) sont maintenant animées par des DJ, et ressemblent de plus en plus à des virées en boîte (hormis pour les Anciens, de plus en plus nombreux, qui optent pour des soirées “rétro” : les générations, ici comme ailleurs, ne se rencontrent plus). 
    Et ne parlons pas des familles éclatées et recomposées.
    L’abbé du village me faisait remarquer que cette région du Cantal était, dans les années 60, l’une des plus conservatrices, dans le domaine religieux, et les messes drainaient les foules, sans compter les diverses fêtes de saints et les pèlerinages locaux. 
    Maintenant, on a très peu de monde, sauf pour les enterrements.
    Quant à la cuisine, certes, on mange mieux à la campagne, et des mets plus authentiques et variés, ne serait-ce que parce qu’on y possède des jardins potagers et qu’on y pratique la chasse ou la cueillette. Mais la fourgonnette de plats cuisinés et congelés parcourt fréquemment les routes vicinales, les robots culinaires abondent, et les obèses y sont aussi nombreux qu’ailleurs.
    Après la guerre, la paysannerie a été sacrifiée sur l’autel de la modernité économique. 
    Mais c’est toute une civilisation qui a disparu, et, partant, la mémoire multi-millénaire de notre Nation. 
    L’Union européenne a été dominée par des pays libéraux. 
    Ces États n’ont jamais beaucoup aimé la France paysanne. 
    Pour les marchés mondiaux, du reste, et selon la logique de la division planétaire du travail, l’Europe (dont la France, en première ligne), n’a plus vocation à nourrir la population. 
    Les tonnes de viande américaine y suffiront.
    Nous assistons ainsi à la fin d’un univers, celui qui nous a légué une identité, à laquelle, nous, Français, sommes attachés comme par une artère vitale. 
    Claude Bourrinet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/la-mort-des-paysans-cest-la-fin-de-la.html#more