Je n’aime pas tirer sur les ambulances, ni même me réjouir des difficultés des gens.
Si je ne comprends pas, ni ne m’explique facilement, ou par les ratios et les usages habituels comment Patrick Drahi, aussi brillant soit-il a pu réussir à lever 60 milliards d’euros de dettes et être suivi par de très grandes banques dans une espèce de folle fuite en avant, voir cet empire vaciller n’est jamais une bonne nouvelle notamment pour les gens qui y travaillent.
C’est article du Figaro qui titre que Drahi « s’attaque à sa montagne de dettes avec la cession des data centers de SFR ».
Je trouve cela un tantinet optimiste.
C’est une manière de voir la situation.