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économie et finance - Page 93

  • « La liste des réductions pour économiser 150 milliards d’euros ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    C’est un rapport choc publié par l’Institut Montaigne (source ici) qui détaille toute une liste de dizaines de mesures chiffrées à un horizon de temps précis et permettant d’atteindre 150 milliards d’euros de baisse de dépenses publiques.

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  • Le déficit dérape, la macronie patauge (mais avec assurance)...

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    Maurice Bernard

    Au début du mois d’avril dernier, le ministère des Finances du sémillant et prolifique auteur Bruno Le Maire (reconverti depuis dans l’enseignement, à Lausanne) réévaluait le déficit budgétaire prévu pour 2024 de 4,4% du PIB à 5,1%. Au même moment, l’analyste financier Marc Touati, lui, l’estimait plutôt à 6%... Six mois plus tard, nous savons qui avait raison : une nouvelle fois, les services de Bercy ont péché par excès d’optimisme : au lieu des 5,1% annoncés, on s’oriente plutôt vers 6,2%, selon les déclarations du nouveau ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, devant la commission des finances de l’Assemblée nationale.

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  • Pour un Etat social, recentré et assaini

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 328 – Octobre 2024)

    Pour mettre fin au déficit du budget de l’Etat, permanent depuis cinquante ans (voir cette chronique), il faudrait d’abord et avant tout changer radicalement de cap en matière d’immigration, qui constitue le gouffre principal dans lequel se perdent les finances publiques : arrêter toute immigration nouvelle et mener une politique visant à réduire significativement le nombre de personnes issues de l’immigration présentes sur notre sol. Nous n’y revenons pas dans la présente chronique et évoquerons pour cette fois, différentes autres sources d’économies auxquelles il faudrait également procéder.

    • Réduire le nombre de niveaux d’administration

    Il faudrait réduire le nombre de niveaux d’administration. Communes, communautés de communes, départements, régions, Etat, Europe… C’est au moins un niveau de trop. Plus généralement, il faut revoir le principe même de la décentralisation « à la française », intrinsèquement dépensière et clientéliste : les politiciens comptent se faire réélire en dépensant, en multipliant les infrastructures, en recrutant de nombreux agents et en comptant sur la reconnaissance de l’électeur. Dans le même temps, les collectivités vivent pour plus de la moitié de leurs ressources de dotations de l’Etat (53,5 % en 2023 ; voir ici, p. 46)

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  • Cinq milliards d’euros pour l’Afrique…

    Programme bâclé par Bruxelles en 2015, en plein cœur de la crise migratoire, alors que plus d’un million de personnes débarquaient sur le continent et submergeaient les services grecs et italiens, 1,8 milliard d’euros avaient été débloqués pour développer les pays d’origine, d’où partaient en réalité des hommes jeunes amenés par des passeurs, selon des processus mafieux et avec la collaboration d’ONG aux financements opaques. Ce montant a depuis quasiment triplé pour atteindre environ 5 milliards d’euros aujourd’hui.

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  • « Vers une hausse des factures d’électricité à cause d’une hausse des taxes ? ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Pour boucler son budget 2025, le gouvernement cherche 60 milliards d’euros de redressement financier. Pour cela, il pourrait augmenter les taxes sur l’électricité au-delà de ce qui avait été annoncé par le gouvernement précédent !

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  • Le ministre allemand des finances a averti lundi qu’il ne fallait « pas plaisanter » avec « la crédibilité des finances publiques vis-à-vis des marchés financiers »

    Le ministre allemand des finances, Christian Lindner, n’y est pas allé par quatre chemins malgré les “obligations diplomatiques” les propos sont clairs et sonnent comme un avertissement sans frais de notre voisin allemand.

    « Nous devons réduire de manière crédible notre déficit et notre endettement afin de pouvoir nous financer de manière stable et efficace ».

    Il a surtout rajouté qu’il ne fallait « pas plaisanter » avec « la crédibilité des finances publiques vis-à-vis des marchés financiers », alors qu’il était interrogé sur le dérapage du déficit public français.

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  • Tour de passe-passe budgétaire

    Tour de passe-passe budgétaire

    Les dépenses de l’Etat augmenteront de 2,1% en 2025. Les 40 milliards d’économies promis par Barnier étaient en fait “calculés par rapport à une tendance initiale de forte augmentation des dépenses”…

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  • Faire des économies et baisser les impôts… c’est possible

    Barnier, en bon soviet télécommandé, ne voit qu’une seule manière de redresser les finances : les taxes. L’énergie, l’automobile… avec l’excuse éculée de l’écologie, sauf que nous ne pesons rien face aux géants que sont la Chine et l’Inde et la France est déjà l’un des pays les plus propres d’Europe. Cette taxation sous couvert de pollution est donc une parfaite arnaque. Et il n’est pas très étonnant que Barnier s’engouffre dans cette brèche, en bon européiste relayant les discours en forme de dogmes basés sur des mensonges sémantiques.

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  • Electricité. Au lieu d’une diminution ce sera une augmentation

    Insolentiae

    Ce sera le sujet de l’émission Ecorama lors de laquelle j’aurai l’occasion de revenir sur cette bombe sociale et économique qui est évoquée ce soir par le premier ministre Barnier.

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  • Mithridate Barnier

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    Jacques-Olivier Martin

    Depuis des jours, notre nouveau locataire de Matignon (relayé par ses ministres) distille goutte à goutte le poison des hausses d’impôts. D’abord l’idée d’une « justice sociale », puis la fumée des fausses pistes, la douce promesse des taxes temporaires, et maintenant le venin un peu plus de prélèvements sur les grandes entreprises, et ce jeudi une contribution exceptionnelle pour les 65000 ménages les plus aisés. Michel Barnier voudrait-il nous faire croire que plus d’impôt à petites doses peut devenir acceptable qu’il ne s’y prendrait pas autrement. En vain, bien entendu. Le recours à la hausse de la fiscalité, même minime, dans la France de 2024, a tout d’un non-sens aux conséquences désastreuses. C’est prendre le risque de raviver le ras-le-bol fiscal et de rouvrir la porte de l’exil. C’est un coup porté à la politique de l’offre qui fait ses preuves, un chiffon rouge agité devant les investisseurs étrangers qui créent des usines et financent nos entreprises.

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