Michel-Edouard Leclerc parie sur une inflation « moins violente » mais « structurelle » selon cet article du Figaro (source ici) et il raison, c’est exactement mon analyse que je vous partage depuis plusieurs années maintenant.
économie et finance - Page 97
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Pour Michel-Edouard Leclerc l’inflation sera « moins violente » mais « structurelle » et il a raison !
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Economies de guerre
Andrea Marcigliano
Source : https://electomagazine.it/economie-di-guerra/
En Europe, ou plutôt en Europe occidentale, ce que nous appelons l'Union et qui est en fait l'OTAN - les malins l'appellent le Natostan - les décisions économiques des différents pays sont fortement conditionnées par la guerre.
Des économies de guerre - normales, pourrait-on dire. Les exigences de la guerre conditionnent, et lourdement, les choix économiques. Les gouvernements belligérants doivent investir dans l'armement. Et, logiquement, trouver l'argent pour le faire. Donc, faire des coupes dans d'autres secteurs. Inévitablement au détriment des citoyens. Coupes dans l'État-providence, surtout. Ou ce qu'il en reste (et il en reste de moins en moins) après l'avènement de l'euro. Et les impositions de Bruxelles.
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L'épargne des Français va-t-elle financer la course à l'armement ?
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“Tout le monde devra participer au redressement des comptes publics”, sauf les nantis du régime
“Tout le monde devra participer au redressement des comptes publics”, a assuré Bruno Le Maire à l’Assemblée nationale.
Tout le monde sauf…
- l’Elysée qui va garder ses 11% d’augmentation pour cette année.
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« Effondrement des finances publiques. Bruno Le Maire n’a rien vu venir ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Poutine c’est Hitler. Ne rien faire c’est Munich. C’est la faute aux Russes… ou au Rassemblement National.
Ok. Super et maintenant peut-on penser plus d’une minute et poser une réflexion sérieuse ou l’on continue notre effondrement intellectuel et notre naufrage journalistique ?
Non seulement nous n’avons pas fait dérailler l’économie russe qui est loin d’être à genoux comme le prophétisait… Bruno Le Maire.
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On y arrive…. asphyxié par la dette, le gouvernement veut s’attaquer au modèle social
Je vous en parle dans l’édito du jour.
« Asphyxié par la dette, le gouvernement veut s’attaquer au modèle social » nous dit Europe 1.
« L’État doit faire des économies. Pour cela, l’exécutif cherche des solutions : baisse de l’assurance-chômage, la sous-indexation des retraites sur l’inflation, moindre prise en charge de certains remboursements de santé. Le gouvernement n’écarte donc aucune piste pour faire des économies.
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"Ils vont se servir dans vos comptes bancaires" Charles et Emmanuelle Gave expliquent la situation
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Redoutable Absurdistan
Avec humour et talent, presque chaque matin, Emmanuelle Ducros offre aux auditeurs d'Europe N°1 une fort pertinente chronique consacrée aux réalités économiques, qu'elle appelle Voyage en Absurdie. Tout un programme, dira-t-on. Celui-ci se montre, hélas, en général réaliste. De toutes les invasions que nous subissons celle venue d'Absurdistan demeure la plus redoutable.
Ce 28 février, cette observatrice tirait la leçon d'un cas d'école manifesté à la lumière du Salon de l'Agriculture.
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Payons-nous l’électricité au juste prix ? L’effroyable réponse de la présidente de la Commission de Régulation de l’Energie
Emmanuelle Wargon, ancienne ministresse de Macron recasée dans ce machin que l’on appelle la CRE pour Commission de Régulation de l’énergie.
Elle vient de faire l’objet d’un Complément d’Enquête comme à chaque fois toujours agressif et chargeant la barque.
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[Entretien] « Les importations massives d’Ukraine ont déstabilisé des filières agricoles »
Cette spécialiste des questions de développement et de famine a présidé l’ONG Action contre la faim et publié bon nombre d'ouvrages sur les enjeux agricoles et alimentaires (elle vient d’être promue officier du Mérite agricole). Son dernier livre Sa Majesté le maïs : la plante que nous adorons détester mais qui sauve pourtant le monde (Éditions du Rocher) est un plaidoyer en faveur de cette céréale cible des écoterroristes et qui régresse en France. À l’heure de la révolte de la paysannerie française, Sylvie Brunel revient sur les productions nationales et les distorsions de concurrence avec d'autres pays du monde, notamment l'Ukraine.