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élections - Page 153

  • Jusqu’à quand des électeurs de droite joueront les idiots utiles de la gauche ?

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    Que cache la barbe de Philippe ? Que cache celui qui, du temps du quinquennat de Sarkozy, n’avait de cesse de cogner le Président, dès qu’il pouvait venir au journal télévisé du soir ? Sans la barbe, le visage de cet ancien socialiste rocardien, passé chez le sinistre progressiste Juppé, serait le même, non pas celui de la vieille gauche, mais le visage d’une gauche selon le standard international.

    Le Premier ministre Édouard Philippe se présente au Havre. Conséquence : les encartés LR de sa liste sont mis à l’écart du parti – seulement voilà, pour l’instant, il n’y a plus de liste LR au Havre.

    Tout se passe comme si on avait oublié que Macron, le progressiste transgressif, fut placé en 2017 au second tour grâce aux voix des électeurs de gauche ayant abandonné Hamon, leur candidat naturel issu des primaires de la gauche, ou l’archaïque Mélenchon, sénateur socialiste à la retraite. L’électorat de droite, lui, se partageait entre Fillon, Le Pen et Dupont-Aignan.

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  • Trahison de la droite : Angela Merkel chausse les bottes de Jacques Chirac

    Trahison de la droite : Angela Merkel chausse les bottes de Jacques Chirac

    Cela n’étonnera personneAngela Merkel s’est insurgée contre “l’impardonnable” élection d’un membre de son partii en Thuringe grâce aux voix de l’AfD. Jacques Chirac, hostile à toute union des droites, avait également pesé de tout son poids en 1998 pour faire démissionner Charles Millon de la présidence de la région Rhône-Alpes.

    La chancelière allemande Angela Merkel a qualifié jeudi «d’acte impardonnable» l’alliance électorale régionale inédite entre son parti et l’extrême droite en Thuringe, qui a provoqué un séisme politique dans le pays.

    «Il faut dire que c’est un acte impardonnable et que par conséquent le résultat (de cette élection) doit être annulé»

    Même trahisons, même refus d’un front commun de la droite, même déni de la démocratie et même bilan négatif de 14 années de pouvoir

    https://www.lesalonbeige.fr/trahison-de-la-droite-angela-merkel-chausse-les-bottes-de-jacques-chirac/

  • Sécurité, proximité et travail acharné : comment Robert Ménard a réveillé Béziers

    Après avoir conquis, en 2014, une ville en déclin, Robert Ménard est parvenu, en six ans, à lui redonner sa fierté. Retour sur un mandat haut en couleur.

    C’en est presque à se demander si on ne s’est pas trompé de destination. Quand on arrive pour la première fois à Béziers, difficile de reconnaître la ville décrépite et sinistrée décrite dans les articles publiés en 2014, lorsque la candidature de Robert Ménard contre le premier adjoint du maire UMP sortant, Raymond Couderc, qui avait raccroché après trois mandats, avait braqué les projecteurs médiatiques sur la ville. Après six ans de gouvernance Ménard, élu avec 46,98 % à l’issue d’une triangulaire, l’AFP a beau saluer l’ouverture de sa campagne en publiant un article intitulé « Fief de Robert Ménard, Béziers reste pauvre, inégalitaire et divisée » , ce n’est pas ce que l’on voit : c’est au contraire un centre-ville aux façades restaurées de frais, à l’atmosphère animée mais paisible, à la propreté impeccable, qui offre au visiteur une vitrine étonnamment attirante ; où il fait bon flâner dans les ruelles pleines de charme qui séparent la place de la mairie de la splendide cathédrale Saint-Nazaire. Ce n’est pas, surtout, ce que l’on entend : sorti du cercle étroit des opposants politiques, difficile de rencontrer quelque habitant de Béziers qui n’entonne pas, fût-ce à contrecœur, les louanges du maire ou de sa gestion.

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  • Denain (59) : la maire socialiste « noue une alliance informelle » avec les Frères musulmans pour les municipales

    Alors que le candidat du Rassemblement national Sébastien Chenu semble en position d’emporter la ville, la maire Anne-Lise Dufour-Tonini entretient des rapports cordiaux avec la famille Iquioussen, ouvertement proche des frères musulmans. Par électoralisme ? La réponse n’est pas simple.

    En apparence, c’est un cas d’école. Une élue socialiste du Nord, sentant sa base électorale s’effriter, cède aux sirènes du communautarisme. Alors que le Rassemblement national est en embuscade, prêt à ravir la mairie, elle noue une alliance informelle avec des religieux, qui lui apportent les voix de la communauté musulmane.

    En échange, elle les laisse étendre leur influence, au mépris des principes laïques et républicains qui forment le socle du socialisme. Sauf qu’à Denain (20 075 habitants), la réalité du terrain est plus nuancée. L’entrisme des frères musulmans dans la vie politique locale ne fait plus guère de doute. Leur poids électoral réel, en revanche, est une énigme.

    (…) Médiacités

    http://www.fdesouche.com/1334013-denain-59-la-maire-socialiste-noue-une-alliance-informelle-avec-les-freres-musulmans-pour-les-municipales

  • Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ?

    Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ?

    Le mardi 4 février, à Rome, se tenait la première National Conservatism Conference sur le sol européen, organisée par la fondation américaine Edmund Burke, réunissant des intellectuels et les leaders de plusieurs mouvements européens, avec pour objectif d’établir une convergence intellectuelle voire politique entre les conservateurs européensMarion Maréchal s’est exprimée à cette occasion.

    Dans Valeurs Actuelles, Xavier Nicolas signale que Marine Le Pen a interdit aux élus de son parti d’y participer. Est-ce uniquement parce qu’elle n’y avait pas été invitée ?

    Par ailleurs, les indiscrets que révèle Le Point ce jeudi 6 février, montrent un haut cadre du Rassemblement national agacé par le succès d’Eric Zemmour :

    « Nos militants sont accros à son émission quotidienne sur Cnews. Ils se délectent de ses diatribes sur l’immigration, l’islam et le grand remplacement ».

    Il avoue que ses électeurs trouvent leur discours « trop timoré » et

    « aimeraient qu’on aille aussi loin que lui. Or nous essayons de varier les thèmes et d’être un minimum, responsables. »

    De quoi inquiéter une nouvelle fois le parti de Marine Le Pen, d’autant qu’en octobre dernier déjà, le RN s’était alarmé des propos d’Éric Zemmour sur l’islam et l’immigration. Si certains cadres avaient déploré son discours, d’autres craignaient déjà qu’il n’empiète sur leurs thèmes de campagne.

    https://www.lesalonbeige.fr/quest-ce-qui-derange-marine-le-pen/

  • Pourquoi Donald Trump peut gagner, par Ivan Rioufol

    Donald Trump

    Donald Trump a de bonnes chances d’être réélu président des Etats-Unis, en novembre prochain. Son excellent bilan économique et social tend à faire oublier les défauts du personnage outrancier. D’autant que ses adversaires, mobilisés depuis son élection pour obtenir sa destitution à tout prix, peinent dans le même temps à élaborer un projet de gouvernement cohérent. Ce mercredi, les sénateurs républicains devraient laver Trump des accusations d’”abus de pouvoir” et d’”entrave au travail du Congrès” portées par les démocrates. Ces derniers reprochent à Trump d’avoir incité l’Ukraine à salir son principal adversaire, Joe Biden. Dans le même temps, les premières primaires démocrates dans l’Iowa se sont conclues cette nuit par un échec retentissant du favori Biden, le vice-président de Barack Obama, dont le fils est soupçonné de turpides affairistes.

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  • Ça tangue chez les députés LREM : entre bateau ivre et tarte molle…

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    C’était en 2017 et on allait voir ce que l’on allait voir, tel que fielleusement rapporté par Sébastien Le Fol dans Le Point de ce 4 février dernier : « Le destin de la France était trop sérieux pour être confié à des politiciens ignorant les réalités économiques et juridiques. » Bref, les « têtes à claques » issues des écoles de commerce et de Sciences Po allaient en remontrer au « vieux monde ».

    On voit aujourd’hui le constat, dressé par Guillaume Tabard dans Le Figaro : « On est loin de l’euphorie des débuts, quand l’étiquette Macron suffisait à faire l’élection. Les députés ont découvert depuis les “contraintes” du terrain et les affres de l’impopularité par procuration. […] S’ils n’oublient pas tous qu’ils ont été élus grâce à Emmanuel Macron, beaucoup commencent à redouter d’être battus à cause de lui. »

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  • Béziers: Robert Ménard serait réélu dès le 1er tour avec 61 % des voix si les élections avaient lieu dimanche, selon un sondage

    Selon un sondage Ifod/Fiducial en partenariat avec Vià Occitane, Cnews et Sudradio publié mardi 4 février, le maire de Béziers Robert Ménard serait réélu avec 61 % des voix au premier tour si les élections se déroulaient dimanche prochain.

    En 2014, Robert Ménard a remporté la ville au deuxième tour, avec 46,98 %. Un score acquis dans une triangulaire avec Elie Aboud et Jean-Michel Du Plaa. Six ans plus tard, à l’aube du premier tour, les intentions de vote le donnent bien plus haut. Avec un score de 61 % (et une marge d’erreur de 4 points), il l’emporterait au premier tour de façon assez large. En face, les verts n’obtiendraient que 15%, suivis de la gauche (8%), et de LREM (7%).

    Le sondage a été réalisé par l'Ifop.

    Midi Libre

    https://www.tvlibertes.com/actus/beziers-robert-menard-serait-reelu-des-le-1er-tour-avec-61-des-voix-selon-un-sondage

  • Le spectre de la défaite agite LREM avant les municipales

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    Sans doute connaîtrons-nous une phase d’agitation médiatique plus active, mais force est de reconnaître qu’à six semaines du scrutin, on entend peu parler des élections municipales. Ce silence est-il un phénomène normal, habituel ?

    Cet acte touche 45 millions d’électeurs et 35.000 communes. Il est l’enjeu du premier niveau de démocratie de la nation. Il s’agira de choisir environ 600.000 conseillers municipaux et d’assurer un maillage du tissu de la représentation nationale qui, par exemple, fera, à terme, la composition du Sénat.

    Alors, pourquoi ce désintérêt apparent des médias et des appareils, ce mutisme étrange ?

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  • Front commun de la droite en Allemagne : Un président de région est élu avec les voix de l’AfD

    Front commun de la droite en Allemagne : Un président de région est élu avec les voix de l’AfD

    La presse parle d’un tremblement de terre. La France a connu cette expérience en 1998 avec l’élection de plusieurs présidents de région grâce aux voix des élus du FN. Jacques Chirac s’y était opposé personnellement.

    Pour la première fois depuis l’après-guerre en Allemagne, le président d’un Land, la Thuringe, a été élu mercredi 5 février grâce aux voix de l’extrême droite, faisant tomber un tabou politique dans le pays.

    Le candidat du Parti libéral-démocrate (FDP), Thomas Kemmerich, a été élu à la surprise générale par l’assemblée régionale de cet Etat de l’est de l’Allemagne à une infime majorité. Il a bénéficié des voix de tous les élus du parti d’extrême droite Alternative für Deutschland (AfD), et de celles de la plupart des membres de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti de la chancelière Angela Merkel. Il a devancé d’une voix le ministre-président sortant de Thuringe, Bodo Ramelow, membre du parti de gauche radicale Die Linke, qui était, lui, soutenu par les sociaux-démocrates et les Verts (…) Avec cette élection, la digue a de facto rompu : CDU et FDP se retrouvent alliés à l’extrême droite dans un Etat régional allemand (…)

    Le leader du parti en Thuringe est Björn Höcke, chef de file de l’aile dure au sein du parti d’extrême droite (…) M. Höcke s’est félicité du « nouveau départ politique en Thuringe », espérant qu’il s’agisse d’un signal qui sera « remarqué » dans tout le pays. Jörg Meuthen, un des dirigeants nationaux de l’AfD, a lui salué l’émergence d’un front commun de droite en Allemagne en soulignant le lien étroit existant à ses yeux entre la CDU, le FDP et son parti. La surprise en Thuringe est aussi le résultat de récentes élections régionales sans vainqueur clair sur place et marquées par une poussée de l’AfD.

    Et en France, c’est pour quand ?

    https://www.lesalonbeige.fr/front-commun-de-la-droite-en-allemagne-un-president-de-region-est-elu-avec-les-voix-de-lafd/