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élections - Page 157

  • Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Nancy est dirigé par Laurent Hénart, président du Parti Radical, ancien UMP et soutien d’Alain Juppé, qui se représente comme candidat de “droite” face à la gauche de Mathieu Klein.

    Néanmoins, des militants et sympathisants LR ont décidé de lancer une liste de droite, qui comportera des membres des Républicains, de Debout la France, de Sens Commun, des royalistes et du Parti Chrétien Démocrate. Parmi les membres on retrouve Pierre de Saulieu (ex membre de la majorité de Laurent Hénart), Laurent Hennequin (Nancy Ville Humaine qui avait présenté une liste en 2014) et Pierre-Jean L’Huillier (Debout La France).

    Et le Rassemblement national ? Patricia Melet affirme, interrogée par Lorraine Actu :

    Ils sont aussi bienvenus. Ce qui nous intéresse ce n’est pas le parti mais les valeurs.

    Pour l’instant, c’est la seule liste qui a tout mis sur la table. Son programme sur toutes les thématiques (commerce, sécurité, transports, écologie, éducation, culture…) est entièrement publié sur le site internet d’Unis pour Nancy.

    https://www.lesalonbeige.fr/election-municipale-a-nancy-vers-une-union-des-droites/

  • En Allemagne : le parti conservateur CDU prêt à gouverner avec des post-communistes ?

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    La Thuringe, un État situé dans l’est de l’Allemagne, est gouvernée depuis la fin de l’année 2014 par le post-communiste Bodo Ramelow, de Die Linke, qui conduit une coalition regroupant son parti, les sociaux-démocrates du SPD et les écologistes de Die Grünen. Lors des élections pour le Parlement de Thuringe du 27 octobre 2019, cette coalition est devenue minoritaire. Les deux partis de centre droit – la CDU, démocrate-chrétienne, et le FDP, libéral – refusant de gouverner avec les patriotes de l’AfD, la formation d’une nouvelle coalition est mathématiquement impossible.

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  • Municipales : Jean-Marie Bigard candidat, ce n’est pas une blague

    L’humoriste Jean-Marie Bigard, connu pour sa légendaire finesse, sera candidat aux élections municipales de mars 2020.

    Il se présentera dans le VIe arrondissement de Paris en tant que candidat suppléant sur la liste Libérons Paris de Marcel Campion.

    Bigard a démarré sa campagne en critiquant vertement Anne Hidalgo. Un argument qui fait quasiment l’unanimité à Paris !

    https://www.medias-presse.info/municipales-jean-marie-bigard-candidat-ce-nest-pas-une-blague/115317/

  • Alain de Benoist : « Socialement dominé, le bloc populaire est aujourd’hui démocratiquement majoritaire »

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    Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ».

    NICOLAS GAUTHIER. Warren Buffet, le milliardaire américain qu’on sait, a un jour déclaré en substance : « Bien sûr que la lutte des classes existe, la preuve en est que c’est la mienne qui l’a gagnée ! » Cette notion de « lutte des classes » ne saurait évidemment tout expliquer, mais il n’en est pas moins vrai qu’elle a été longtemps évacuée du débat médiatique. Ne serait-il pas opportun de la remettre à l’honneur ?

    ALAIN DE BENOIST : Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ». Mais chez Buffet, on voit bien aussi que l’arrogance naïve le dispute au mépris de classe. Je réponds donc à votre question : oui, la lutte des classes est sans doute ce qui caractérise le mieux la situation actuelle dans notre pays. Dans son dernier livre (Bloc contre bloc. La dynamisme du macronisme, Cerf), qu’il faut lire en parallèle avec les travaux de Christophe Guilluy, Jérôme Sainte-Marie, excellent observateur de la vie politique française, le souligne avec force : « La cohérence entre le vote de classe aux élections et la condition sociale des électeurs aura rarement été aussi évidente qu’aujourd’hui. »

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  • Quand la droite sacrifie l’intérêt supérieur de la nation sur l’autel électoral

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    « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. » Il est tentant de dire aux dirigeants des Républicains : « Vous voulez éviter la défaite électorale au prix du déshonneur que constitue le sacrifice de la nation française. Vous aurez le déshonneur, dans la défaite électorale à venir, de faire partie des responsables de l’effondrement de notre nation. »

    L’exclusion d’Erik Tegnér est symbolique de l’incohérence de la direction de ce mouvement politique entre les paroles et les actes. Les paroles ? Cet extrait du courriel de Guillaume Peltier, envoyé pour Noël aux militants  : « […] Cette grande fête, qui vient des profondeurs de notre nation, est aussi l’occasion pour moi de vous exprimer, en lien avec Christian Jacob et toute l’équipe dirigeante, notre immense gratitude et notre sincère reconnaissance pour votre engagement sans faille. […] Tout au long de l’année écoulée, nous avons mesuré, ensemble, l’affaiblissement progressif de notre nation. […] »

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  • Destitution : Trump démontre l’imposture des démocrates américains

    Merci à Georges Clément, président du Comité Trump, de nous avoir fait parvenir cette traduction de la lettre de Donald Trump, Président des États-Unis, à Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants, au sujet de l’incroyable processus de destitution engagée par les démocrates contre le Président des États-Unis.

    La Maison Blanche
    Washington

    17 décembre 2019

    À L’honorable Nancy Pelosi
    Speaker de la Chambre des Représentants

    Chère madame le speaker,

    J’écris pour exprimer ma plus forte et puissante protestation contre la croisade partisane de la « Destitution » qui se tient et se poursuit à la Chambre des Représentants. Cette enquête en vue de ma « Destitution » se présente comme un abus de pouvoir sans précédent et anticonstitutionnel de la part des législateurs démocrates.

    Les articles de « Destitution » rédigés par le Comité pour les affaires judiciaires de la Chambre ne sont acceptables selon aucun standard juridique, constitutionnel, interprétatif ou jurisprudentiel. Ils n’incluent aucun crime, aucun méfait ni aucune infraction de quelque sorte. Vous avez banalisé l’importance de cet horrible mot : « Destitution ».

    En mettant en route le processus de votre « Destitution » invalide, vous avez violé votre serment d’entrée en fonction, vous avez brisé votre allégeance à la Constitution, et vous avez déclaré une guerre ouverte à la démocratie américaine. Vous osez invoquer les « pères fondateurs » en entreprenant cette tentative d’annulation d’une élection – déjà votre action malveillante met à jour votre défi débridé au fondement de l’Amérique et votre conduite scandaleuse menace de détruire ce que nos fondateurs firent le serment sur leurs vies de bâtir.

    Pire qu’offenser les pères fondateurs, vous offensez les Américains pieux par vos perpétuelles déclarations selon lesquelles « Vous priez pour le Président », quand vous savez que celles-ci sont fausses, à moins d’être entendu dans un sens négatif. C’est une chose terrible que vous avez entreprise, mais vous devrez vivre avec, pas moi.

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  • Guillaume Bernard : « On cherche des personnalités de droite pour remplir l’espace politique face à Emmanuel Macron »

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    Pour Boulevard Voltaire, le politologue Guillaume Bernard revient sur les événements qui ont marqué la vie politique en 2019 : victoire du RN aux élections européennes, progression de Marine Le Pen dans les sondages, Marion Maréchal et la Convention de la droite, mais aussi l’effondrement et la division chez les LR.

    Selon lui, les listes d’alliance à droite sur le plan local, hors des partis, en vue des municipales de 2020 constituent un véritable « renouveau de l’offre politique ».

    Pauline de Saint-Rémy, journaliste à RTL, a estimé que 2019 a été une année faste pour Marine Le Pen. France Info, dit que Marion Maréchal était une des personnalités de l’année 2019 et la qualifie de provocante.

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  • La France à la recherche de son grand homme…

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    En Décembre cette fin d’année 2019, un bilan s’impose.
    S’il y a un mouvement qui a dominé l’histoire récente un peu partout dans le monde, ce n’est pas le « progressisme », ni la mondialisation chers au président français, mais au contraire le réveil des Nations, incarné par des hommes forts à la fois conservateurs et populistes, qui placent au premier rang de leurs devoirs la défense de l’identité et de la souveraineté des peuples qui les ont mis à leur tête.
    Ce qui était une option paraît être devenue une nécessité impérieuse.
    On insiste souvent sur le caractère insulaire du Royaume-Uni.
    Il faudrait peut-être s’interroger sur l’insularité idéologique de notre France malgré sa géographie continentale.

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  • Présidentielle en Croatie : l’électorat d’extrême-droite arbitrera le 2nd tour entre la présidente conservatrice et le centre-gauche

    En Croatie, le premier tour de l’élection présidentielle a révélé  la montée en puissance de la droite dure dans un pays qui fait face à la pression de migrants. Le nom du président croate ne sera connu que le 5 janvier prochain. La Croatie doit prendre la présidence de l’Union européenne au prochain semestre.

    Le pays vient de connaître les deux candidats pour le second tour de la présidentielle. L’ ancien Premier ministre social-démocrate Zoran Milanovic, 53 ans, arrive en tête du scrutin. Il affrontera la cheffe de l’État sortante, Kolinda Grabar-Kitarovic au second tour de justesse sous la pression d’un populiste de droite dure, un nouveau venu en politique.

    Il s’appelle Miroslav Skoro. Chanteur très populaire en Croatie, il est arrivé à la troisième place du scrutin avec un peu plus de 24%. (…) Ces derniers ont notamment voté pour déployer l’armée à la frontière pour empêcher les migrants de passer et pour gracier un criminel de guerre.

    (…) RFI

    Arrivée derrière le candidat social-démocrate à la surprise générale, la présidente sortante Kolinda Grabar-Kitarovic, conservatrice, se tourne vers les électeurs du candidat d’extrême droite, qui a réalisé une importante percée.

    (…) Après les résultats du premier tour, sa rivale, la présidente sortante, s’est aussitôt tournée vers les électeurs du candidat d’extrême droite, en appelant à une alliance : “J’avais un bon adversaire, de la même sensibilité politique que moi. Maintenant, nous devons nous rassembler et aller à la victoire”, a-t-elle lancé. L’avantage de Grabar-Kitarovic a fondu au fil de sa campagne, après une série de bourdes et de gaffes.

    Courrier international

    http://www.fdesouche.com/1316021-presidentielle-en-croatie-lelectorat-dextreme-droite-arbitrera-le-2nd-tour-entre-la-presidente-conservatrice-et-le-centre-gauche?

  • Ma bonne semaine de mauvaise foi !

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    Par Patrice Lemaître

    Du Brexit

    Vos médias vous ont tous dit au sujet du Brexit (presque sans aucune exception) :

    • Que les Anglais, dans leur grande majorité, regrettaient leur vote.
    • Que la démocratie imposait que l’on refasse un référendum, pour annuler le « No » sacrilège, vainqueur du 1er référendum.
    • Que des centaines de milliers de chômeurs supplémentaires allaient payer cette folie démocratique : le « No » des Britanniques à l’Europe qui impliquait leur sortie de l’Union Européenne.
      • Que le Parlement britannique essayait de rattraper cette immense erreur historique, en empêchant, depuis deux ans, les conservateurs, favorables à la sortie (Brexit) de mener à bien cette décision voulue par une légère majorité du peuple anglais, etc.
      Vous vous attendiez donc logiquement à une déroute électorale du premier ministre Boris Johnson aux élections législatives de la semaine dernière. Et bien non, ce fut au contraire un score historique pour lui et son parti conservateur, partisans du Brexit, un score jamais atteint depuis… Margaret Thatcher ! Ce qui montre bien que cette Europe qui nous dirige, cette Europe de la finance et des technocrates asservis a de moins en moins la cote auprès des peuples. Mais cela, aucun média ne vous le dira.

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