
Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :
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Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Dimanche 12 janvier, la loi condamnant l’homophobie a été adoptée par référendum avec 62% des électeurs suisses qui avaient fait le déplacement. Mais, paradoxe et pas des moindres, ce sont les partis conservateurs qui l’avaient provoqué, - et qui espéraient, bien sûr, un tout autre résultat -, qui en ont été pour leurs frais.
En effet, il s’agissait d’un référendum d’initiative populaire au résultat ayant abouti à l’inverse de celui qu’espéraient ses promoteurs. Il y avait un petit parti chrétien, l’UDF emmené par Marc Frueh allié pour la circonstance à l’UDC, Union démocratique du Centre, premier parti de Suisse, - on pourrait dire qu’il est de nos amis en dépit de son appellation centriste -, comme initiateurs de cette consultation électorale. La question était d’approuver oui ou non, la réforme du code pénal suisse interdisant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et, surtout, désormais, la pénalisant. Il s’est trouvé une majorité d’Helvètes, - rappelons le pourcentage : 62% -, pour l’approuver. La nouvelle loi ainsi sanctifiée, élargit un dispositif déjà copieux, comme en France, qui sanctionne les appels à la haine raciale.
Le président Macron en campagne municipale ne renonce devant rien et tente de se faire passer pour un champion de la défense de la nature… et ce n’est pas gagné.
Une visite de la Mer de Glace pour se faire passer pour un écolo. Le président Emmanuel Macron était en déplacement jeudi du côté de Chamonix en Haute Savoie pour distiller quelques annonces superficielles en matière de protection de l’environnement.
Après s’être attelé brièvement à la question du handicap, le chef d’Etat en campagne, amateur des plans com’ et autres algorithmes s’attaque donc à ce qu’il perçoit comme un autre segment de marché électoral : l’écologie.
D’abord un petit rappel utile : l’Alternative pour l’Allemagne (Alternative für Deutschland, AfD) est le premier parti d’opposition au Bundestag, la chambre basse du parlement fédéral allemand, face à la grande coalition gouvernementale réunissant la CDU-CSU (la fausse droite libérale-libertaire héritière de la démocratie chrétienne) et le SPD (la fausse gauche libérale-libertaire héritière de la démocratie sociale). Créé en 2013, le parti modérément conservateur et modérément souverainiste AfD est aujourd’hui représenté au parlement de chacun des seize Länder. En ex-Allemagne de l’Est, il a été le parti recueillant le plus de votes en 2019, année où il y a eu trois élections régionales : en Saxe, au Brandebourg et en Thuringe. Officiellement, la CDU dirigée par Angela Merkel et, depuis décembre 2018, par Annegret Kramp-Karrenbauer, l’actuelle ministre de la Défense, a toujours refusé toute alliance avec l’AfD, un parti qui subit en Allemagne l’équivalent du très mal nommé « front républicain » visant le RN en France.
6 Français sur 10 pensent que la prochaine présidentielle sera un duel Macron-Le Pen. Toutefois, 80% des personnes interrogées par l’institut Elabe pour BFMTV ne sont pas satisfait de ce duel annoncé. Ils sont, par ailleurs, 72% à se dire insatisfait de l’offre politique actuelle. (BFMTV)
Le premier candidat élu est Donnchadh Ó Laoghaire, le premier d’un important groupe de députés du Sinn Fein, le parti nationaliste irlandais, qui siégeront au parlement irlandais le Dail où se concentre le pouvoir législatif.
C’est la forte surprise des élections de samedi dernier qui ont eu lieu en République d’Irlande, le succès sans précédent de celui qui, fondé en 1905 et engagé pour l’indépendance de l’île et la réunification des deux Irlande, fut le bras politique de l’IRA (Irish Republican Army).
Le Sinn Fein arrive en tête avec 24,5 %, contre 22,2% pour le Fianna Fáil et 20,9% pour le Fine Gael, ce qui, en soi, représente une première historique. Le taux de participation s’est élevé à 62,9%. Cette élection renverse ainsi le quasi-monopole qu’exercent sur le pouvoir, depuis un siècle, les partis centriste Fine Gael et Fianna Fail, eux-mêmes héritiers des protagonistes de la guerre civile des années 1920. Le Sinn Fein est crédité selon les estimations entre 36 et 40 parlementaires, soit à peu près le maximum de ce qu’il peut obtenir, n’ayant présenté que quarante-deux candidats aux élections (contre 84 pour le FF et 82 pour le FG), ce qui limitera mécaniquement sa capacité à peser au Dail, qui compte cent soixante sièges.
Bien que défendant une politique sociale et sociétale très à gauche, le parti nationaliste reste le « diable » pour les deux partis du système, le Fine Gael et Fianna Fail, qui feront tout pour l’évincer de la constitution du futur gouvernement.
Cependant la montée du seul parti présent au Nord et au Sud de l’Irlande et ardent défenseur de la réunification, lance un signal fort à Londres. Qui peut craindre des pressions pour la tenue d’un référendum pour l’unification de l’île…
Francesca de Villasmundo
Entrepreneur, forain depuis l’âge de 7 ans, Marcel Campion est candidat à la mairie de Paris en mars prochain. Lorsqu’un maire, Anne Hidalgo, et ses équipes, tous élus de terrain, finissent par devenir des élus hors-sol, il y a forcément un jour quelqu’un qui se dévoue pour les faire atterrir d’urgence. C’est le projet de Marcel Campion, qui, avec un livre-programme, veut s’éloigner du livre d’Anne Hidalgo (Respirer), verbiage panégyrique et exercice d’autocongratulation digne des meilleurs discours du maréchal Tito ! Aidé de l’humoriste, « le plus antisystème de France », Bigard, Marcel Campion avance sa candidature : une « candidature d’utilité publique ».
Visiter le site de Marcel Campion
Revoir le Zoom avec Serge Federbusch : « L’union des droites va peser à Paris ! »
https://www.tvlibertes.com/zoom-marcel-campion-avec-bigard-pour-un-paris-du-bon-sens
Extrait de Terre de Missions n°160 - TV Libertés
L'émission en intégralité: ICI
C’est ce que l’on pourrait penser de ce sondage concernant les primaires démocrates :
Outre son manque de notoriété, le vote Buttigieg fait l’objet d’un réel problème vis-à-vis des électeurs noirs : le fait qu’il soit homosexuel. Un sondage Washington Post / Ipsos montre que 21% des adultes noirs seraient « très mal à l’aise » de soutenir un candidat homosexuel, 20% émettant des « réserves »
Yves Daoudal estime sur son blog que cela ne concernera probablement pas que l’électorat noir :
Peter Buttigieg a le vent en poupe. Inconnu il y a quelques mois, il vient d’obtenir le plus de délégués au caucus démocrate de l’Iowa, au coude à coude avec le vieux gauchiste Sanders.
Une électrice de Buttigieg a appris après le scrutin que le fringant candidat à qui elle avait apporté son suffrage est un inverti notoire. Elle a demandé à changer son vote.
On ne peut qu’espérer que Buttigieg devienne le candidat démocrate. Il est évident que l’Amérique profonde libérale ou de gauche ne votera pas comme un seul homme pour un homme qui vit ouvertement avec un homme (sur la photo c’est celui qui est à droite).
https://www.lesalonbeige.fr/les-electeurs-noirs-americains-seraient-ils-dhorribles-homophobes/
Un grand rassemblement est programmé, le 22 février prochain, devant la centrale de Fessenheim, entre 15 et 18 heures, organisé par l’association Fessenheim notre énergie, par les Écologistes pour le nucléaire (AEPN), par l’association Voix du nucléaire, par WONUC (World Council of Nuclear Workers) et par un collectif de vétérans du programme industriel historique auquel les Français doivent l’actuel parc de production.
Ce jour ô combien sinistre de la chute réputée définitive des barres de Fessenheim 1, il sera symboliquement important que ce dernier collectif clame haut et fort la réprobation qu’inspire à de nombreux compatriotes la deuxième forfaiture d’État ayant consisté à attenter, par contrat électoral, à l’intégrité de l’inestimable outil industriel dont ces vétérans dotèrent, non sans mal, le pays et dont ils demeurent très fiers.