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ITALIE - SALVINI : Résultats des élections régionales du 26 Janvier 2020
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Ambiance de fin de règne à LREM
3 députés LREM viennent de quitter le groupe (Frédérique Lardet, Paula Forteza et Valerie Petit) et 2 autres sont exclus (Sabine Thillaye et Cédric Villani). Sabine Thillaye était en conflit avec sa famille politique parce qu’elle refusait de céder sa place à la tête de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée. Dans un communiqué, Sabine Thillaye dénonce son exclusion du groupe LaREM.
« Une décision dictée par une logique d’appareil (qui) tourne le dos aux idéaux du mouvement et aux respects des institutions. »
De son côté Paula Forteza explique :
Depuis la rentrée 2019, nous sommes nombreux, au sein de la majorité, à attendre l’Acte II. Je suis de celles et de ceux qui espéraient un tournant social et écologique. Malheureusement, nous assistons à la politisation de sujets qui attisent les divisions — je pense notamment aux débats sur l’immigration –, alors que les priorités des français sont toutes autres, en ce qui concerne l’environnement, la démocratie, et la lutte contre les inégalités.
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Élections régionales en Italie, c’est avant tout la victoire du parti identitaire, Fratelli d’Italia
Ce dimanche, c’était jour d’élections régionales dans certaines régions d’Italie.
Les médias mainstream font leurs choux gras en annonçant la défaite de La Ligue de Matteo Salvini dans le bastion rouge qu’est l’Emilie-Romagne depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale et oublient de noter la victoire écrasante de la coalition de droite en Calabre : avec 55%,4% des voix la coalition de Salvini gagne 21% depuis 2014 et écrase une gauche à 30% et qui en faisait 61% en 2014, preuve de sa dégringolade .
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Municipales: Cédric Villani exclu de La République En Marche
Le bureau exécutif de La République en marche a annoncé mercredi soir l’exclusion du candidat dissident Cédric Villani à la mairie de Paris. Cette annonce intervient trois jours après l’entrevue entre le mathématicien et le président Emmanuel Macron à l’Elysée. Une rencontre qui n’a pas empêché Cédric Villani de maintenir sa candidature à la mairie de la capitale face au candidat officiel de LREM, Benjamin Griveaux.
LREM a souligné dans un commniqué « les propos sans ambiguïté » de Cédric Villani, qui avait expliqué qu’« entre l’appartenance à un appareil politique et l’engagement pour la ville qui m’a fait, je choisis de rester fidèle aux Parisiennes et aux Parisiens en maintenant ma candidature librement » et en ont « tiré les conséquences ».
https://www.tvlibertes.com/actus/municipales-cedric-villani-exclu-de-la-republique-en-marche
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Jacques Bompard, maire d’Orange. « Nous avons donné pour mission principale à la police municipale de veiller à la sécurité des Orangeois et de leurs biens »
Source Breiz-info cliquez ici
Alors que l’insécurité est devenu un problème majeur dans les métropoles bretonnes – en particulier à Nantes – la question de la police municipale s’est imposée dans la campagne électorale pour les prochaines municipales. Sur ce sujet – et sur d’autres – nous avons recueilli l’avis de Jacques Bompard, maire d’Orange.
Depuis 25 ans, Jacques Bompard, fondateur de la Ligue du Sud et ancien du Front national, est réélu à chaque élection maire d’Orange.
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Serge Federbusch : “A Paris, il nous faut retrouver une ville où il fasse bon vivre !”
Le candidat à la Mairie de Paris Serge Federbusch, soutenu par le RN, a officialisé le soutien du PCD qui conduira une liste dans le 17e arrondissement, lors d’une conférence de presse aux côtés du président du PCD Jean-Frédéric Poisson. Il fait en exclusivité pour Boulevard Voltaire le tour des grands dossiers de la campagne des municipales : sécurité, propreté, circulation, logement, camp de migrants.
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Des municipales qui s’annoncent paradoxales, comme cet étrange sondage…
Il est toujours difficile de s’exercer à l’art de la prédiction – raisonnée – du résultat d’une élection. A fortiori pour des élections municipales, qui ne sont pas une seule élection mais 35.000 élections locales. A fortiori, encore, pour cette cuvée 2020, les premières élections locales depuis l’élection d’Emmanuel Macron qui a mis fin à des décennies de domination et d’alternance bien huilée entre PS et LR et fait entrer la vie politique française dans une nouvelle ère.
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Municipales : LREM est tellement mauvais qu’ils pensent que même sans candidat, le RN peut les battre.
Grotesque tentative de manipulation de l’opinion :
La majorité présidentielle, qui peine à présenter des listes partout pour les municipales, pronostique 137 victoires pour le Rassemblement national en mars 2020. Problème : dans son décompte, il y a des communes où le parti de Marine Le Pen n’a aucune chance de l’emporter, ou ne présente même pas de candidats.
Devant la déconfiture qui s’annonce pour elle aux municipales, LREM agite depuis peu l’épouvantail Le Pen pour tenter de justifier qu’elle ne va délivrer ni investiture ni soutien dans près de 300 villes de plus de 9 000 habitants : «là où la menace RN sera la plus forte», paraît-il. Des élus macronistes ont parlé de 137 villes prenables par le RN. «11 de 50 000 habitants, dont neuf dans le sud de la France», pouvait-on ainsi lire dans le JDD, dimanche, qui ne cite à l’appui de son étude que des «sources» au sein de la majorité. Lesquelles évoquent «Grasse, Cannes, Antibes, Avignon», des villes où le RN – qui lui n’affiche aucun objectif chiffré au niveau national – n’a en réalité que très peu d’ambitions, à moins de triangulaires ou de… miracle.
À Cannes, le parti lepéniste ne présente même pas de candidat. Ce qui fait dire à ce cadre RN : «A LREM, ils sont tellement mauvais qu’ils pensent que même si on n’a pas de candidat, on peut les battre.» Un autre : « À chaque fois qu’ils n’ont plus rien à dire, ils ressortent le truc de “attention l’extrême droite arrive”, ils pensent qu’ils vont nous affaiblir comme ça. Ce n’est qu’une manœuvre, pour dire à la fin: “Regardez, ils devaient gagner 137 mairies, mais ils en ont eu moins, c’est un échec, et c’est grâce à nous“».
Ceci dit, l’absence de candidats RN dans certaines villes montrent une certaine désaffection militante…
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Entretien avec Agnès Marion – « Pour l’amour de Lyon »
Tête d’une liste de rassemblement historique de candidats issus du RN, du PCD et de LR pour les élections municipales de Lyon, Agnès Marion est une jeune femme née en 1977, devenue chef d’entreprise après des études de lettres en classes préparatoires, mère de six enfants, élue RN du 7e arrondissement de Lyon et conseillère régionale.
— En quoi la liste « Pour l’amour de Lyon » que vous conduisez est-elle historique ?
— C’est notre rassemblement qui est historique : la liste que je conduis réunit, dans chaque arrondissement, des candidats du Rassemblement national et du Parti chrétien démocrate mais aussi des membres des Républicains qui ne veulent pas de la ligne LR d’Etienne Blanc. Parce que nous aimons Lyon, nous rassemblons des personnalités comme Olivier Pirra, élu sortant LR du 5e arrondissement, les candidats du PCD, dont il est le délégué départemental, les candidats du RN et de LR. Une de nos têtes de liste est membre de La Droite populaire de Thierry Mariani. Une des nombreuses raisons de ces ralliements tient à l’annulation par pur électoralisme des subventions de SOS Chrétiens d’Orient par le conseil régional dirigé par Wauquiez, une association dont quatre membres sont portés disparus à Bagdad depuis le 20 janvier.
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VINCENT VAUCLIN : « CONSTRUIRE UN FRONT DE RÉSISTANCE AU MONDIALISME »
Le site Paris-Vox publie un entretien avec Vincent Vauclin, président de la Dissidence française cliquez ici
APRÈS UNE ANNÉE 2019 TRÈS ACTIVE POUR VOTRE MOUVEMENT, ET NOTAMMENT UNE PARTICIPATION REMARQUÉE AUX ÉLECTIONS EUROPÉENNES, COMMENT LA DISSIDENCE FRANÇAISE ABORDE-T-ELLE L’ANNÉE 2020 ?
Nous poursuivons la dynamique que nous avons engagé. La campagne des élections européennes fut une formidable mobilisation qui a permis de médiatiser notre discours et notre mouvement comme jamais auparavant, et de recevoir des soutiens de toute la France. L’enjeu désormais, c’est de préparer les échéances à venir (sénatoriales, départementales et régionales) et de rassembler tous ces Français qui ne se reconnaissent plus dans les partis du Système. Nous préparons donc de nouvelles campagnes militantes de grande ampleur, nous poursuivons notre travail d’implantation locale partout en France, nous travaillons avec nos alliés de l’APF pour construire un front de résistance au mondialisme au niveau européen, et nous avons lancé un grand chantier de rénovation idéologique : huit commissions thématiques, qui réunissent les adhérents et sympathisants volontaires de notre mouvement, travaillent désormais à l’actualisation et à l’enrichissement du programme de la DF. L’objectif : inventer des solutions nouvelles et concrètes pour répondre aux défis de notre temps, développer et enrichir des propositions déjà existantes, et susciter un véritable effort de critique positive de la part des militants. Ce n’est pas un enjeu anodin : depuis trop longtemps, notre famille politique néglige le débat d’idées et se contente de répéter les mêmes slogans depuis quarante ans, puisqu’elle a intégré une forme d’esprit de défaite qui l’enferme dans une posture d’agitation stérile et de dissipation militante, aux marges du paysage politique. C’est précisément contre ces tendances sclérosantes que s’inscrit la Dissidence Française, puisque nous assumons l’ambition de conquérir et d’exercer le pouvoir. Nous refusons de nous contenter de faire de la figuration alors que de si grands périls menacent notre pays.