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élections - Page 155

  • Isabelle Surply réagit aux menaces de mort : « Le vrai visage de la haine est apparu »

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    Isabelle Surply, candidate Rassemblement national aux élections municipales à Saint-Chamond (Loire), a reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux (voir copie du tweet ci-dessous). Explications au micro de Boulevard Voltaire.

    Vous êtes candidate aux élections municipales à Saint-Chamond dans la Loire.
    Vous avez été menacée de mort sur les réseaux sociaux suite à la diffusion d’une photo impliquant des femmes voilées.
    Vous avez déposé plainte. Que s’est-il passé exactement ?

    Avec la magie d’internet, des dossiers ressortent parfois. Lors de la venue de Virginie Joron, euro député du groupe ID au parlement, nous avons fait un selfie. En arrière-plan, nous avons découvert qu’il y avait une femme intégralement voilée avec un masque de chirurgien ne laissant dépasser que les yeux. J’ai publié cette photo le 21 septembre 2019. Elle est ressortie puisque j’ai fait du porte-à-porte et que je me suis notamment attaquée à la mosquée milli-Gorus, mouvance liée aux Frères musulmans. À Saint-Chamond, une mosquée liée aux Frères musulmans est implantée. Tout à coup tout est ressorti et le vrai visage de la haine est apparu.

    Est-ce la première fois que vous êtes menacée ainsi ?

    Dans la vraie vie, cela n’arrive jamais. En revanche, les réseaux sociaux ont créé une telle bulle que les gens se sentent tout puissants derrière un écran. Je suis habituée, mais cela revient de manière fréquente. Je suis extrêmement inquiète de voir que des soutiens se manifestent, alors que le voile intégral est encore interdit à l’heure actuelle sur notre territoire français. Ce que je dénonce est illégal et scandaleux. Normalement, tous les Français qui aiment la France devraient être d’accord avec moi. Je m’inquiète du silence de la municipalité sortante que j’ai interpellée à plusieurs reprises.
    Dans les prochains jours, je vais leur faire un courrier pour demander leur soutien.

    Généralement, lorsqu’un élu se fait attaquer et menacer de mort, on a une levée de boucliers générale de la part de tous les autres élus.
    En va-t-il de même pour le Rassemblement national ?

    À partir du moment où le maire LR de Saint-Chamond pose la première pierre d’une mosquée liée aux Frères musulmans, ne souhaite pas joyeux noël publiquement, mais plutôt « bonnes fêtes » et qu’on ne peut rien faire contre une femme intégralement voilée, je me pose des questions sur la partialité des réactions publiques et politiques.

  • Retrait de l’âge-pivot : la fin de la grève ? – Journal du lundi 13 janvier 2020

     

    Retrait de l’âge-pivot : la fin de la grève ?

    Le gouvernement recule sur l’âge pivot et fait revenir la CFDT au bercail. L’intersyndicale contestataire et l’ensemble des partis de gauche maintiennent leur volonté d’un retrait intégral du projet de loi. La bataille des retraites semble enfin arriver à son épilogue.

    Le Rassemblement National en route vers les municipales

    Dimanche, à l’occasion de la convention du Rassemblement National, le parti de Marine le Pen a dévoilé ses ambitions pour les prochaines élections municipales. Une étape cruciale pour le RN dans sa quête de l’Elysée.

    L’Iran tiraillée entre deux feux

    10 jours après l’assassinat ciblé de Qassem Soleimani par un drone américain, les ripostes se poursuivent . Une situation particulièrement compliquée depuis que Téhéran a avoué être à l’origine du crash du Boeing 737 ukrainien ayant entraîné la mort de 176 personnes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/retrait-de-lage-pivot-la-fin-de-la-greve-journal-du-lundi-13-janvier-2020

  • Réunion du Bureau politique du Parti de la France

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    Communiqué du Parti de la France :
    Malgré l'absence de plusieurs de ses membres empêchés de se rendre à Paris par les grèves à la SNCF, le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni samedi 11 janvier autour de son nouveau Président Thomas Joly.
    Ambiance particulièrement studieuse et constructive pour cette séance de travail. A l'ordre du jour, la réorganisation administrative du mouvement, la refonte totale du site internet qui sera effective dans les prochaines semaines, la préparation d'événements ponctuels (réunions, manifestations, meetings, défilé du 1er mai), la rénovation de nos codes couleurs et de notre charte graphique pour le matériel de propagande, l'élaboration d'un document présentant le Parti et ses idées-forces, le développement de l'implantation et le lancement d'une campagne d'adhésions au printemps.
    Une partie importante de cette réunion de l'instance dirigeante du Parti fut consacrée aux élections municipales de mars prochain.
    Le Parti de la France présentera un certain nombre de listes dans des communes où aucune autre candidature du camp national ne sera déposée. Il en soutiendra activement d'autres. L'annonce en sera faite dans les prochaines semaines.
    Le Président du Parti de la France Thomas Joly a insisté sur le nécessaire engagement de chacun, sur la cohésion de l'ensemble, et sur la responsabilité politique qui est la nôtre: consolider et développer une structure rigoureuse et responsable, et nous tenir prêts dans la perspective de l'inéluctable recomposition de la droite nationale.
    Rappel : jeudi prochain, Jean-François Touzé sur Radio Libertés.

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  • Sondages : tous perdants, mais pour Macron, la chute est brutale !

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    Un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, publié il y a une semaine, montrait que tous les acteurs du conflit autour des retraites – gouvernement, Président, syndicats et même l’opposition – se retrouvaient perdants, un mois après le début du mouvement : la CGT récoltait 63 % de mauvaises opinions et Édouard Philippe 67 %. Un « en même temps » révélateur de l’état de l’opinion, qui ne s’est pas trompée sur les jeux de rôle et les arrière-pensées des uns et des autres dans cette affaire. Les Français ont le sentiment d’avoir été pris en otages par tous.

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  • Bilan de 30 mois de macronie : analyse d’un désastre annoncé

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Après de nombreux articles très critiques sur la mandature d’Emmanuel Macron, Michel Geoffroy dresse un bilan sans concession des 30 mois de présidence du roi du « en même temps » et de la répression.
    Polémia

    La super classe mondiale a promu en 2017 Emmanuel Macron pour qu’il conduise les changements qu’elle souhaitait imposer à la France.

    Hélas, sa présidence tourne au mauvais vaudeville. Et les oligarques commencent à se demander s’ils n’ont pas fait le mauvais choix.

    Macron n’est pas Thatcher

    Il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a été élu grâce à un coup d’état médiatique et judiciaire qui a éliminé François Fillon du second tour de l’élection présidentielle.

    Cette manœuvre a réussi mais elle a eu cependant deux lourdes conséquences pour l’avenir politique d’Emmanuel Macron :

    – D’abord, son élection de 2017 ne résulte d’aucun mouvement populaire en sa faveur. Le premier parti de France ce n’est pas LREM – qui n’a pas dépassé 16 % des inscrits en moyenne – mais… les abstentionnistes et le Rassemblement national !

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  • Pas de coup de poing à droite

    Pas de coup de poing à droite

    Lu sur Academia Christiana, suite à la diffusion d’une cartographie de “l’extrême-droite” élaborés par les fascistes de gauche :

    […] Tout le monde a peur d’être diabolisé et d’être traité de fasciste par son ennemi. On est tous le fasciste ou le nazi de quelqu’un d’autre. Au final on cherche tous une forme de respectabilité médiatique et une reconnaissance de la part de notre adversaire. Le moindre faux pas (un mot de trop sur l’immigration ou sur la question homosexuelle), la moindre mauvaise fréquentation (discuter avec un paria des médias), sont immédiatement traqués par les médias.

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  • Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Nancy est dirigé par Laurent Hénart, président du Parti Radical, ancien UMP et soutien d’Alain Juppé, qui se représente comme candidat de “droite” face à la gauche de Mathieu Klein.

    Néanmoins, des militants et sympathisants LR ont décidé de lancer une liste de droite, qui comportera des membres des Républicains, de Debout la France, de Sens Commun, des royalistes et du Parti Chrétien Démocrate. Parmi les membres on retrouve Pierre de Saulieu (ex membre de la majorité de Laurent Hénart), Laurent Hennequin (Nancy Ville Humaine qui avait présenté une liste en 2014) et Pierre-Jean L’Huillier (Debout La France).

    Et le Rassemblement national ? Patricia Melet affirme, interrogée par Lorraine Actu :

    Ils sont aussi bienvenus. Ce qui nous intéresse ce n’est pas le parti mais les valeurs.

    Pour l’instant, c’est la seule liste qui a tout mis sur la table. Son programme sur toutes les thématiques (commerce, sécurité, transports, écologie, éducation, culture…) est entièrement publié sur le site internet d’Unis pour Nancy.

    https://www.lesalonbeige.fr/election-municipale-a-nancy-vers-une-union-des-droites/

  • En Allemagne : le parti conservateur CDU prêt à gouverner avec des post-communistes ?

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    La Thuringe, un État situé dans l’est de l’Allemagne, est gouvernée depuis la fin de l’année 2014 par le post-communiste Bodo Ramelow, de Die Linke, qui conduit une coalition regroupant son parti, les sociaux-démocrates du SPD et les écologistes de Die Grünen. Lors des élections pour le Parlement de Thuringe du 27 octobre 2019, cette coalition est devenue minoritaire. Les deux partis de centre droit – la CDU, démocrate-chrétienne, et le FDP, libéral – refusant de gouverner avec les patriotes de l’AfD, la formation d’une nouvelle coalition est mathématiquement impossible.

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  • Municipales : Jean-Marie Bigard candidat, ce n’est pas une blague

    L’humoriste Jean-Marie Bigard, connu pour sa légendaire finesse, sera candidat aux élections municipales de mars 2020.

    Il se présentera dans le VIe arrondissement de Paris en tant que candidat suppléant sur la liste Libérons Paris de Marcel Campion.

    Bigard a démarré sa campagne en critiquant vertement Anne Hidalgo. Un argument qui fait quasiment l’unanimité à Paris !

    https://www.medias-presse.info/municipales-jean-marie-bigard-candidat-ce-nest-pas-une-blague/115317/

  • Alain de Benoist : « Socialement dominé, le bloc populaire est aujourd’hui démocratiquement majoritaire »

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    Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ».

    NICOLAS GAUTHIER. Warren Buffet, le milliardaire américain qu’on sait, a un jour déclaré en substance : « Bien sûr que la lutte des classes existe, la preuve en est que c’est la mienne qui l’a gagnée ! » Cette notion de « lutte des classes » ne saurait évidemment tout expliquer, mais il n’en est pas moins vrai qu’elle a été longtemps évacuée du débat médiatique. Ne serait-il pas opportun de la remettre à l’honneur ?

    ALAIN DE BENOIST : Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ». Mais chez Buffet, on voit bien aussi que l’arrogance naïve le dispute au mépris de classe. Je réponds donc à votre question : oui, la lutte des classes est sans doute ce qui caractérise le mieux la situation actuelle dans notre pays. Dans son dernier livre (Bloc contre bloc. La dynamisme du macronisme, Cerf), qu’il faut lire en parallèle avec les travaux de Christophe Guilluy, Jérôme Sainte-Marie, excellent observateur de la vie politique française, le souligne avec force : « La cohérence entre le vote de classe aux élections et la condition sociale des électeurs aura rarement été aussi évidente qu’aujourd’hui. »

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