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élections - Page 163

  • Brexit. Rien n’oppose la démocratie directe et l’Etat de droit. Bien au contraire ! par Christian Vanneste (2/2)

    L’Europe, l’Europe technocratique de Bruxelles aura donc réussi cet exploit de mettre en difficulté l’une des plus anciennes et solides démocraties du monde, qui a instauré le vote universel pour les deux sexes depuis 1928, et qui est, sans doute depuis la Grande Charte (1215), le modèle des Etats de droit ! L’Union Européenne, dont on chercherait avec peine les succès depuis sa création, a multiplié les obstacles au départ du Royaume-Uni, pourtant légitimé par un référendum. Or le débat actuel conduit à accuser Boris Johnson de pratiquer une sorte de coup d’Etat en ayant demandé constitutionnellement à la Reine d’ajourner le Parlement durant cinq semaines, le temps de mener à bien le Brexit, c’est-à-dire d’accomplir la volonté du peuple britannique, et de présenter un programme « audacieux et ambitieux ».

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  • L'Europe d'après le Brexit

    6a00d8341c715453ef0240a4d2c9b6200d-320wi.jpgLa victoire assez remarquable du parti conservateur ce 12 décembre permet d'entrevoir la solution du problème posé, depuis 3 ans par le vote des Anglais en faveur du Brexit.

    La très large majorité dont disposera le gouvernement de Boris Johnson aux Communes lui permettra de négocier rapidement, et sans doute intelligemment, avec une Union européenne elle-même attentive à maintenir des liens nécessaires. Tout cela on peut l'espérer raisonnablement désormais.

    Remarquons que la solidité des institutions britanniques, et notamment le mode de scrutin de la Chambre des Communes l'ont permis.

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  • Le défi de « Bojo » : réussir le Brexit ! par Christian Vanneste (1/2)

    L’arrivée de Boris Johnson au 10 Downing Street laisse espérer la fin du tunnel… celui du Brexit. Le personnage est qualifié d’extravagant, d’excentrique, de tonitruant, d’imprévisible, certains diront donc de typiquement britannique. Pourtant, si ce souci d’afficher son originalité est une spécialité répandue chez les Anglais, on ne peut pas dire qu’elle ait été l’apanage de leurs hommes politiques, à l’exception imposante de Winston Churchill. Au travers de cette ressemblance superficielle, c’est le volontarisme du premier qu’on souhaite retrouver chez le second. Or, le choix du Brexit a été sans doute pour Johnson davantage une décision de stratégie personnelle que l’expression d’une conviction profonde. Engagé dans cette voie qui lui vaut d’avoir été élu par la majorité des adhérents du Parti Conservateur pour succéder à Thérésa May, il se trouve comme elle confronté à de multiples difficultés. Il lui faudra plus que son énergie ou son humour pour les surmonter

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  • Le sens de l’Histoire humilié par les Britanniques

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    Les conservateurs l’ont emporté au Royaume-Uni : le Brexit aura lieu. C’est une bonne nouvelle car le  apporte un démenti au pseudo-sens de l’Histoire. De cette Histoire qui, comme l’affirment les partisans d’une intégration toujours plus poussée, va devenir européenne. Car, paraît-il, l’Histoire a un sens. Elle se développerait même selon un rythme d’accumulation et de progrès. Au sein de ce processus, l’Europe succéderait aux nations comme les mammifères succédèrent aux reptiles et les reptiles aux amphibiens. Un mouvement que l’on ne soupçonnait pas nous conduit progressivement mais immanquablement vers l’astre père : l’Union européenne.

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  • Le Brexit ouvre la voie au Frexit

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    Ainsi, les britanniques ont enfin réussi à se débarrasser de l’Union Européenne, malgré toutes les manœuvres dilatoires des traîtres qui les gouvernaient

    Ainsi, les britanniques ne seront plus assujettis à aucun des caprices des commissaires de Bruxelles, qui prennent depuis l’origine leurs ordres auprès des multinationales (et du gouvernement US).

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  • Algérie : dialogue aujourd'hui, répression demain, nouvelle vague migratoire bientôt.

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    Un communiqué du Parti de la France :
    La victoire dès le premier tour - malgré une abstention majeure et les manifestations persistantes dans la capitale - d'Abdelmajid Tebboune qui devient ainsi le nouveau Président de l'Algérie concrétise la volonté du Système militaro-industriel qui dirige le pays depuis des lustres avec la complicité du FLN, de ne rien abandonner ni de ses prérogatives ni de ses privilèges ni de son pouvoir.
    Proche du Chef d'Etat major Ahmed Gaïd Salah, Tebboune était le candidat de l'armée dont il sera le faux nez.
    A noter que le candidat islamiste arrive en seconde position. Systèmo-compatible, il sera un allié choyé par le nouveau pouvoir. 
    Lorsque bientôt viendra le temps de siffler la fin de la récréation et celui de la reprise en main, la répression qui se substituera au "dialogue" n'aura rien de printanière. Le choc qui s'en suivra se traduira alors inévitablement par des dizaines, voire des centaines de milliers, de nouveaux "demandeurs d'asile" qui traverseront la Méditerranée vers la France.
    Le Parti de la France lance dès aujourd'hui un signal d'alerte que les pouvoirs publics seraient pour une fois avisés d'entendre.
  • Brexit : faut-il attendre un mea culpa de nos journalistes-militants ?

    Brexit : faut-il attendre un mea culpa de nos journalistes-militants ?

    Voici quelques tweets passés, montrant dans nos spécialistes de la désinformation en plein déni de réalité. Amusant après le vote d’hier :

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  • Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    De Bernard Antony :

    Comme cela était prévisible, « l’élection présidentielle » ce dernier jeudi en Algérie, n’a pas été du goût de l’immense majorité du peuple algérien. Une « mascarade », comme l’ont hurlé, le lendemain, des centaines de milliers d’Algériens, à Alger et dans toutes les grandes villes du pays.

    L’« heureux élu », si l’on peut dire, s’appelle Abdelmajid Tebboune. Âgé de 74 ans, il a toujours été un des personnages de la nomenklatura fellagha, ancien Premier Ministre  de Bouteflika.

    Il est intéressant, et même émouvant, de noter que sur les centaines de pancartes brandies à Alger par les manifestants, presque toutes les inscriptions étaient en français. Sur l’une, on pouvait lire : « Tous les pays ont une mafia, en Algérie, c’est la mafia qui a un pays ».

    Bien sûr, toutes les forces du régime avaient été mobilisées pour pousser les électeurs dans les bureaux de vote. Mais, malgré cela, la participation n’a pas atteint le 40 %. Il y avait 5 candidats, interchangeables, tous sortis du même moule fellagha. Tebboune, sans doute le préféré de l’armée, a obtenu… 58 % de ces 40 %, soit à peine un peu plus de 23 % des inscrits.

    Quoi qu’il en soit, ce sont 60 % des Algériens que le régime n’a pu faire voter. L’avenir de l’Algérie est dans cette réalité.

    A voir, ces électeurs qui glissent leur bulletin dans la poubelle !

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  • Brexit : une victoire sans appel – Journal du vendredi 13 décembre 2019

     

    Brexit : une victoire sans appel

    Jeudi, le premier ministre britannique, Boris Johnson, a remporté une majorité absolue lors des élections législatives. Une victoire par K-O qui ouvre la voie au Brexit, après plus de 3 ans d’incertitude.

    Grève : le calme avant la tempête ?

    Après une semaine d’agitation autour du mouvement social avec deux manifestations d’ampleur, l’intervention d’Edouard Philippe et le ralliement de la CFDT. Les principaux acteurs se jaugent avant la mobilisation du 17 décembre.

    Dopage dans le sport : des sanctions à deux vitesses

    Alors que la Russie a été exclue de toutes compétitions sportives internationales pendant quatre ans, d’autres pays semblent plutôt épargnés par l’agence mondiale antidopage. C’est notamment le cas de la France où de grosses affaires ont encore éclaté cette année.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/brexit-une-victoire-sans-appel-journal-du-vendredi-13-decembre-2019

  • Brexit : Les conservateurs britanniques obtiennent la plus forte majorité depuis Tatcher

    Brexit : Les conservateurs britanniques obtiennent la plus forte majorité depuis Tatcher

    Le pays est embourbé dans le processus du Brexit depuis le référendum de 2016, remporté à 52%. C’est pour sortir de l’impasse que le Premier ministre conservateur a voulu ces législatives, les troisièmes en quatre ans. Il espérait ainsi obtenir la majorité absolue qui lui a fait défaut pour faire adopter par le Parlement l’accord de divorce qu’il a négocié avec Bruxelles. En cas de victoire, il a promis de “réaliser le Brexit” le 31 janvier 2020.

    Avec 368 sièges pour le parti de Boris Johnson sur 650, c’est une victoire historique que remportent les conservateurs. Si certains avaient des doutes sur la volonté des Britanniques après le référendum de 2016, voilà qui devrait les calmer… Le parti conservateur a obtenur la majorité absolue aux législatives de jeudi. Avec cette victoire par K.O., le Premier ministre britannique devrait être en mesure de mettre en oeuvre le Brexit d’ici le 31 janvier 2020. Boris Johnson s’est félicité d’avoir reçu « un nouveau mandat fort pour réaliser le Brexit ». Le parti conservateur devrait dépasser le seuil des 360 sièges (majorité absolue à 326), gagnant près de 50 sièges par rapport à 2017. C’est leur plus large majorité depuis Margaret Thatcher dans les années 1980 (397 sièges en 1983 puis 376 en 1987).

    Les électeurs britanniques ont eu l’impression que leur choix du Brexit en 2016 a été entravé par une partie du Parlement, et les élites londoniennes, et ils ont voulu envoyer un message clair dans les urnes. La large défaite des travaillistes est intéressante car Corbyn était beaucoup plus à gauche que les derniers premiers ministres travaillistes Blair et Brown. Symbole de la déroute du Labour, la circonscription de Blyth Valley, au nord de Newcastle, qui avait toujours voté travailliste depuis sa création en 1950, a élu un conservateur. Ceux qui défendent l’idée que le meilleur moyen de battre un populisme de droite, c’est un populisme de gauche, doivent regarder les résultats britanniques en grimaçant.

    La stratégie de Niger Farage, qui avait décidé que son parti pro-Brexit ne présenterait pas de candidat dans les circonscriptions détenues par un conservateur, a été payante. Il avait décidé de « placer le pays avant le parti », afin d’éviter un parlement minoritaire, et un second référendum.

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-les-conservateurs-britanniques-obtiennent-la-plus-forte-majorite-depuis-tatcher/