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élections - Page 159

  • Réunion du Bureau politique du Parti de la France

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    Communiqué du Parti de la France :
    Malgré l'absence de plusieurs de ses membres empêchés de se rendre à Paris par les grèves à la SNCF, le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni samedi 11 janvier autour de son nouveau Président Thomas Joly.
    Ambiance particulièrement studieuse et constructive pour cette séance de travail. A l'ordre du jour, la réorganisation administrative du mouvement, la refonte totale du site internet qui sera effective dans les prochaines semaines, la préparation d'événements ponctuels (réunions, manifestations, meetings, défilé du 1er mai), la rénovation de nos codes couleurs et de notre charte graphique pour le matériel de propagande, l'élaboration d'un document présentant le Parti et ses idées-forces, le développement de l'implantation et le lancement d'une campagne d'adhésions au printemps.
    Une partie importante de cette réunion de l'instance dirigeante du Parti fut consacrée aux élections municipales de mars prochain.
    Le Parti de la France présentera un certain nombre de listes dans des communes où aucune autre candidature du camp national ne sera déposée. Il en soutiendra activement d'autres. L'annonce en sera faite dans les prochaines semaines.
    Le Président du Parti de la France Thomas Joly a insisté sur le nécessaire engagement de chacun, sur la cohésion de l'ensemble, et sur la responsabilité politique qui est la nôtre: consolider et développer une structure rigoureuse et responsable, et nous tenir prêts dans la perspective de l'inéluctable recomposition de la droite nationale.
    Rappel : jeudi prochain, Jean-François Touzé sur Radio Libertés.

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  • Sondages : tous perdants, mais pour Macron, la chute est brutale !

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    Un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, publié il y a une semaine, montrait que tous les acteurs du conflit autour des retraites – gouvernement, Président, syndicats et même l’opposition – se retrouvaient perdants, un mois après le début du mouvement : la CGT récoltait 63 % de mauvaises opinions et Édouard Philippe 67 %. Un « en même temps » révélateur de l’état de l’opinion, qui ne s’est pas trompée sur les jeux de rôle et les arrière-pensées des uns et des autres dans cette affaire. Les Français ont le sentiment d’avoir été pris en otages par tous.

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  • Bilan de 30 mois de macronie : analyse d’un désastre annoncé

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Après de nombreux articles très critiques sur la mandature d’Emmanuel Macron, Michel Geoffroy dresse un bilan sans concession des 30 mois de présidence du roi du « en même temps » et de la répression.
    Polémia

    La super classe mondiale a promu en 2017 Emmanuel Macron pour qu’il conduise les changements qu’elle souhaitait imposer à la France.

    Hélas, sa présidence tourne au mauvais vaudeville. Et les oligarques commencent à se demander s’ils n’ont pas fait le mauvais choix.

    Macron n’est pas Thatcher

    Il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a été élu grâce à un coup d’état médiatique et judiciaire qui a éliminé François Fillon du second tour de l’élection présidentielle.

    Cette manœuvre a réussi mais elle a eu cependant deux lourdes conséquences pour l’avenir politique d’Emmanuel Macron :

    – D’abord, son élection de 2017 ne résulte d’aucun mouvement populaire en sa faveur. Le premier parti de France ce n’est pas LREM – qui n’a pas dépassé 16 % des inscrits en moyenne – mais… les abstentionnistes et le Rassemblement national !

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  • Pas de coup de poing à droite

    Pas de coup de poing à droite

    Lu sur Academia Christiana, suite à la diffusion d’une cartographie de “l’extrême-droite” élaborés par les fascistes de gauche :

    […] Tout le monde a peur d’être diabolisé et d’être traité de fasciste par son ennemi. On est tous le fasciste ou le nazi de quelqu’un d’autre. Au final on cherche tous une forme de respectabilité médiatique et une reconnaissance de la part de notre adversaire. Le moindre faux pas (un mot de trop sur l’immigration ou sur la question homosexuelle), la moindre mauvaise fréquentation (discuter avec un paria des médias), sont immédiatement traqués par les médias.

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  • Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Election municipale à Nancy : vers une union des droites

    Nancy est dirigé par Laurent Hénart, président du Parti Radical, ancien UMP et soutien d’Alain Juppé, qui se représente comme candidat de “droite” face à la gauche de Mathieu Klein.

    Néanmoins, des militants et sympathisants LR ont décidé de lancer une liste de droite, qui comportera des membres des Républicains, de Debout la France, de Sens Commun, des royalistes et du Parti Chrétien Démocrate. Parmi les membres on retrouve Pierre de Saulieu (ex membre de la majorité de Laurent Hénart), Laurent Hennequin (Nancy Ville Humaine qui avait présenté une liste en 2014) et Pierre-Jean L’Huillier (Debout La France).

    Et le Rassemblement national ? Patricia Melet affirme, interrogée par Lorraine Actu :

    Ils sont aussi bienvenus. Ce qui nous intéresse ce n’est pas le parti mais les valeurs.

    Pour l’instant, c’est la seule liste qui a tout mis sur la table. Son programme sur toutes les thématiques (commerce, sécurité, transports, écologie, éducation, culture…) est entièrement publié sur le site internet d’Unis pour Nancy.

    https://www.lesalonbeige.fr/election-municipale-a-nancy-vers-une-union-des-droites/

  • En Allemagne : le parti conservateur CDU prêt à gouverner avec des post-communistes ?

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    La Thuringe, un État situé dans l’est de l’Allemagne, est gouvernée depuis la fin de l’année 2014 par le post-communiste Bodo Ramelow, de Die Linke, qui conduit une coalition regroupant son parti, les sociaux-démocrates du SPD et les écologistes de Die Grünen. Lors des élections pour le Parlement de Thuringe du 27 octobre 2019, cette coalition est devenue minoritaire. Les deux partis de centre droit – la CDU, démocrate-chrétienne, et le FDP, libéral – refusant de gouverner avec les patriotes de l’AfD, la formation d’une nouvelle coalition est mathématiquement impossible.

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  • Municipales : Jean-Marie Bigard candidat, ce n’est pas une blague

    L’humoriste Jean-Marie Bigard, connu pour sa légendaire finesse, sera candidat aux élections municipales de mars 2020.

    Il se présentera dans le VIe arrondissement de Paris en tant que candidat suppléant sur la liste Libérons Paris de Marcel Campion.

    Bigard a démarré sa campagne en critiquant vertement Anne Hidalgo. Un argument qui fait quasiment l’unanimité à Paris !

    https://www.medias-presse.info/municipales-jean-marie-bigard-candidat-ce-nest-pas-une-blague/115317/

  • Alain de Benoist : « Socialement dominé, le bloc populaire est aujourd’hui démocratiquement majoritaire »

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    Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ».

    NICOLAS GAUTHIER. Warren Buffet, le milliardaire américain qu’on sait, a un jour déclaré en substance : « Bien sûr que la lutte des classes existe, la preuve en est que c’est la mienne qui l’a gagnée ! » Cette notion de « lutte des classes » ne saurait évidemment tout expliquer, mais il n’en est pas moins vrai qu’elle a été longtemps évacuée du débat médiatique. Ne serait-il pas opportun de la remettre à l’honneur ?

    ALAIN DE BENOIST : Il ne s’agit pas de la remettre à l’honneur, mais d’en faire le constat. Warren Buffet a au moins le mérite de la franchise, car habituellement, c’est quand la lutte des classes bat son plein qu’on en parle le moins. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus l’on feint de croire à la possibilité de « réconcilier les classes sociales » : c’est la façon ordinaire qu’ont les riches et les puissants de tenter de désarmer ou d’invisibiliser les « classes dangereuses ». Mais chez Buffet, on voit bien aussi que l’arrogance naïve le dispute au mépris de classe. Je réponds donc à votre question : oui, la lutte des classes est sans doute ce qui caractérise le mieux la situation actuelle dans notre pays. Dans son dernier livre (Bloc contre bloc. La dynamisme du macronisme, Cerf), qu’il faut lire en parallèle avec les travaux de Christophe Guilluy, Jérôme Sainte-Marie, excellent observateur de la vie politique française, le souligne avec force : « La cohérence entre le vote de classe aux élections et la condition sociale des électeurs aura rarement été aussi évidente qu’aujourd’hui. »

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  • Quand la droite sacrifie l’intérêt supérieur de la nation sur l’autel électoral

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    « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. » Il est tentant de dire aux dirigeants des Républicains : « Vous voulez éviter la défaite électorale au prix du déshonneur que constitue le sacrifice de la nation française. Vous aurez le déshonneur, dans la défaite électorale à venir, de faire partie des responsables de l’effondrement de notre nation. »

    L’exclusion d’Erik Tegnér est symbolique de l’incohérence de la direction de ce mouvement politique entre les paroles et les actes. Les paroles ? Cet extrait du courriel de Guillaume Peltier, envoyé pour Noël aux militants  : « […] Cette grande fête, qui vient des profondeurs de notre nation, est aussi l’occasion pour moi de vous exprimer, en lien avec Christian Jacob et toute l’équipe dirigeante, notre immense gratitude et notre sincère reconnaissance pour votre engagement sans faille. […] Tout au long de l’année écoulée, nous avons mesuré, ensemble, l’affaiblissement progressif de notre nation. […] »

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  • Destitution : Trump démontre l’imposture des démocrates américains

    Merci à Georges Clément, président du Comité Trump, de nous avoir fait parvenir cette traduction de la lettre de Donald Trump, Président des États-Unis, à Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants, au sujet de l’incroyable processus de destitution engagée par les démocrates contre le Président des États-Unis.

    La Maison Blanche
    Washington

    17 décembre 2019

    À L’honorable Nancy Pelosi
    Speaker de la Chambre des Représentants

    Chère madame le speaker,

    J’écris pour exprimer ma plus forte et puissante protestation contre la croisade partisane de la « Destitution » qui se tient et se poursuit à la Chambre des Représentants. Cette enquête en vue de ma « Destitution » se présente comme un abus de pouvoir sans précédent et anticonstitutionnel de la part des législateurs démocrates.

    Les articles de « Destitution » rédigés par le Comité pour les affaires judiciaires de la Chambre ne sont acceptables selon aucun standard juridique, constitutionnel, interprétatif ou jurisprudentiel. Ils n’incluent aucun crime, aucun méfait ni aucune infraction de quelque sorte. Vous avez banalisé l’importance de cet horrible mot : « Destitution ».

    En mettant en route le processus de votre « Destitution » invalide, vous avez violé votre serment d’entrée en fonction, vous avez brisé votre allégeance à la Constitution, et vous avez déclaré une guerre ouverte à la démocratie américaine. Vous osez invoquer les « pères fondateurs » en entreprenant cette tentative d’annulation d’une élection – déjà votre action malveillante met à jour votre défi débridé au fondement de l’Amérique et votre conduite scandaleuse menace de détruire ce que nos fondateurs firent le serment sur leurs vies de bâtir.

    Pire qu’offenser les pères fondateurs, vous offensez les Américains pieux par vos perpétuelles déclarations selon lesquelles « Vous priez pour le Président », quand vous savez que celles-ci sont fausses, à moins d’être entendu dans un sens négatif. C’est une chose terrible que vous avez entreprise, mais vous devrez vivre avec, pas moi.

    Lire la suite sur Riposte laïque