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élections - Page 159

  • Municipales 2020 – Le mandataire financier

    Civitas veut encourager les catholiques et patriotes à déposer des listes d’intérêt municipal (sans étiquette de parti politique) lors des élections municipales de mars 2020.
    Pour cela, Civitas a entamé la publication d’une série de fiches pratiques. N’hésitez pas à contacter le réseau d’élus de Civitas pour des informations complémentaires, notamment pour vous aider à vous présenter dans l’une des milliers de communes où personne ne semble à ce jour désireux de se présenter et où l’élection est donc assurée.

    La stratégie de reconquête par le local est la meilleure façon de servir le bien commun, de défendre nos traditions, nos terroirs et nos clochers, et de nous opposer au globalisme que l’on veut nous imposer.

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  • « Espoirs pour l’Europe » avec Salvini à Anvers !

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    Matteo Salvini était l’invité d’honneur du groupe politique européen « Identité et Démocratie » début décembre à Anvers. Le meeting était organisé par le Vlamms Belang, parti nationaliste flamand pour débattre des « espoirs pour l’Europe ». Le leader italien a été très attendu par ses admirateurs ainsi que par ses homologues européens qui le voient comme un héros en politique.

    Pas moins de 1 400 personnes s'étaient données rendez-vous le 2 décembre au soir sous la coupole de la « Handelsbeurs », la bourse du commerce d’Anvers. Ce lieu emblématique accueillait le meeting « Espoir pour l’Europe » organisé par le groupe politique européen ID (Identité et Démocratie) dont fait partie le Vlamms Belang (VB), dirigé par Tom Van Grieken. Nombre d’entre eux sont là uniquement pour rencontrer « l’homme qui donnera le ton dans les années à venir dans la politique italienne ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/12/16/espoirs-pour-l-europe-avec-salvini-a-anvers-6198569.html

  • Brexit. Rien n’oppose la démocratie directe et l’Etat de droit. Bien au contraire ! par Christian Vanneste (2/2)

    L’Europe, l’Europe technocratique de Bruxelles aura donc réussi cet exploit de mettre en difficulté l’une des plus anciennes et solides démocraties du monde, qui a instauré le vote universel pour les deux sexes depuis 1928, et qui est, sans doute depuis la Grande Charte (1215), le modèle des Etats de droit ! L’Union Européenne, dont on chercherait avec peine les succès depuis sa création, a multiplié les obstacles au départ du Royaume-Uni, pourtant légitimé par un référendum. Or le débat actuel conduit à accuser Boris Johnson de pratiquer une sorte de coup d’Etat en ayant demandé constitutionnellement à la Reine d’ajourner le Parlement durant cinq semaines, le temps de mener à bien le Brexit, c’est-à-dire d’accomplir la volonté du peuple britannique, et de présenter un programme « audacieux et ambitieux ».

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  • L'Europe d'après le Brexit

    6a00d8341c715453ef0240a4d2c9b6200d-320wi.jpgLa victoire assez remarquable du parti conservateur ce 12 décembre permet d'entrevoir la solution du problème posé, depuis 3 ans par le vote des Anglais en faveur du Brexit.

    La très large majorité dont disposera le gouvernement de Boris Johnson aux Communes lui permettra de négocier rapidement, et sans doute intelligemment, avec une Union européenne elle-même attentive à maintenir des liens nécessaires. Tout cela on peut l'espérer raisonnablement désormais.

    Remarquons que la solidité des institutions britanniques, et notamment le mode de scrutin de la Chambre des Communes l'ont permis.

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  • Le défi de « Bojo » : réussir le Brexit ! par Christian Vanneste (1/2)

    L’arrivée de Boris Johnson au 10 Downing Street laisse espérer la fin du tunnel… celui du Brexit. Le personnage est qualifié d’extravagant, d’excentrique, de tonitruant, d’imprévisible, certains diront donc de typiquement britannique. Pourtant, si ce souci d’afficher son originalité est une spécialité répandue chez les Anglais, on ne peut pas dire qu’elle ait été l’apanage de leurs hommes politiques, à l’exception imposante de Winston Churchill. Au travers de cette ressemblance superficielle, c’est le volontarisme du premier qu’on souhaite retrouver chez le second. Or, le choix du Brexit a été sans doute pour Johnson davantage une décision de stratégie personnelle que l’expression d’une conviction profonde. Engagé dans cette voie qui lui vaut d’avoir été élu par la majorité des adhérents du Parti Conservateur pour succéder à Thérésa May, il se trouve comme elle confronté à de multiples difficultés. Il lui faudra plus que son énergie ou son humour pour les surmonter

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  • Le sens de l’Histoire humilié par les Britanniques

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    Les conservateurs l’ont emporté au Royaume-Uni : le Brexit aura lieu. C’est une bonne nouvelle car le  apporte un démenti au pseudo-sens de l’Histoire. De cette Histoire qui, comme l’affirment les partisans d’une intégration toujours plus poussée, va devenir européenne. Car, paraît-il, l’Histoire a un sens. Elle se développerait même selon un rythme d’accumulation et de progrès. Au sein de ce processus, l’Europe succéderait aux nations comme les mammifères succédèrent aux reptiles et les reptiles aux amphibiens. Un mouvement que l’on ne soupçonnait pas nous conduit progressivement mais immanquablement vers l’astre père : l’Union européenne.

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  • Le Brexit ouvre la voie au Frexit

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    Ainsi, les britanniques ont enfin réussi à se débarrasser de l’Union Européenne, malgré toutes les manœuvres dilatoires des traîtres qui les gouvernaient

    Ainsi, les britanniques ne seront plus assujettis à aucun des caprices des commissaires de Bruxelles, qui prennent depuis l’origine leurs ordres auprès des multinationales (et du gouvernement US).

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  • Algérie : dialogue aujourd'hui, répression demain, nouvelle vague migratoire bientôt.

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    Un communiqué du Parti de la France :
    La victoire dès le premier tour - malgré une abstention majeure et les manifestations persistantes dans la capitale - d'Abdelmajid Tebboune qui devient ainsi le nouveau Président de l'Algérie concrétise la volonté du Système militaro-industriel qui dirige le pays depuis des lustres avec la complicité du FLN, de ne rien abandonner ni de ses prérogatives ni de ses privilèges ni de son pouvoir.
    Proche du Chef d'Etat major Ahmed Gaïd Salah, Tebboune était le candidat de l'armée dont il sera le faux nez.
    A noter que le candidat islamiste arrive en seconde position. Systèmo-compatible, il sera un allié choyé par le nouveau pouvoir. 
    Lorsque bientôt viendra le temps de siffler la fin de la récréation et celui de la reprise en main, la répression qui se substituera au "dialogue" n'aura rien de printanière. Le choc qui s'en suivra se traduira alors inévitablement par des dizaines, voire des centaines de milliers, de nouveaux "demandeurs d'asile" qui traverseront la Méditerranée vers la France.
    Le Parti de la France lance dès aujourd'hui un signal d'alerte que les pouvoirs publics seraient pour une fois avisés d'entendre.
  • Brexit : faut-il attendre un mea culpa de nos journalistes-militants ?

    Brexit : faut-il attendre un mea culpa de nos journalistes-militants ?

    Voici quelques tweets passés, montrant dans nos spécialistes de la désinformation en plein déni de réalité. Amusant après le vote d’hier :

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  • Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    De Bernard Antony :

    Comme cela était prévisible, « l’élection présidentielle » ce dernier jeudi en Algérie, n’a pas été du goût de l’immense majorité du peuple algérien. Une « mascarade », comme l’ont hurlé, le lendemain, des centaines de milliers d’Algériens, à Alger et dans toutes les grandes villes du pays.

    L’« heureux élu », si l’on peut dire, s’appelle Abdelmajid Tebboune. Âgé de 74 ans, il a toujours été un des personnages de la nomenklatura fellagha, ancien Premier Ministre  de Bouteflika.

    Il est intéressant, et même émouvant, de noter que sur les centaines de pancartes brandies à Alger par les manifestants, presque toutes les inscriptions étaient en français. Sur l’une, on pouvait lire : « Tous les pays ont une mafia, en Algérie, c’est la mafia qui a un pays ».

    Bien sûr, toutes les forces du régime avaient été mobilisées pour pousser les électeurs dans les bureaux de vote. Mais, malgré cela, la participation n’a pas atteint le 40 %. Il y avait 5 candidats, interchangeables, tous sortis du même moule fellagha. Tebboune, sans doute le préféré de l’armée, a obtenu… 58 % de ces 40 %, soit à peine un peu plus de 23 % des inscrits.

    Quoi qu’il en soit, ce sont 60 % des Algériens que le régime n’a pu faire voter. L’avenir de l’Algérie est dans cette réalité.

    A voir, ces électeurs qui glissent leur bulletin dans la poubelle !

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