Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 167

  • Convention de la droite : un rendez-vous transpartisan indispensable, mais qui devra proposer une alternative viable

    Convention de la droite : un rendez-vous transpartisan indispensable, mais qui devra proposer une alternative viable

    Un fidèle du lecteur du Salon beige, présent samedi à la Convention de la droite (voir ici et ), nous dresse en quelques points une analyse intéressante de cette journée :

    1. Le public de droite a répondu présent. Les inscriptions, ouvertes le 3 septembre, moins d’un moins avant l’événement, étaient closes le 10 septembre, la capacité de 2000 places étant déjà atteinte. L’intérêt à droite pour un rendez-vous transpartisan est indéniable.

    2. Ce public, même s’il était moins jeune que celui du CPAC américain dont la convention s’était inspirée, n’était pas constitué des vieilles troupes de “l’extrême-droite”. Dominaient des professionnels CSP+, aux priorités disparates (économiques, identitaires, sociétales…), mais aspirant à une alternative commune à Macron.

    3. Les organisateurs ont à juste titre cherché à remplacer les formats souvent bavard des colloques et conférences droitistes par des “pitchs” courts, de type “TED talks”. Une convention n’est pas un colloque universitaire, et assumer une part de “show”, fait de messages délivrés de manière efficace et percutante, était la bonne option.

    4. Comme on pouvait le craindre, la majorité des intervenants n’ont toutefois pas joué le jeu. Les exceptions étaient notamment les témoignages rafraîchissants et concis d’extérieurs au sérail tels que l’entrepreneur Fabrice Haccoun ou l’élu de Seine-Saint-Denis Vijay Mohany. Puissent-ils être plus nombreux à l’avenir.

    5. Cet élan recherché par les organisateurs était cohérent avec l’appel de Robert Ménard à ce que la droite “fasse envie”, notamment en incarnant davantage “l’optimisme”.

    6. Cet optimisme a toutefois été vite étouffé par la tonalité particulièrement sombre des interventions d’Eric Zemmour et de Robert Ménard lui-même, ainsi que par l’interminable torrent d’insultes dispensées par Raphaël Enthoven, endurées par la majorité de la salle avec une patience héroïque. L’ambiance générale ne s’en est pas remise.

    7. Le discours d’ouverture d’Eric Zemmour était, comme l’a noté la presse, d’une tonalité sombre et radicale, peut-être à un point inédit pour lui. Malgré l’admiration qu’on lui porte et la part de vérité que l’on reconnaît à son constat, proposer une alternative viable au progressisme requerra de se détacher de cette tonalité. Question de registre.

    8. Nous sommes à 6 mois des élections municipales. Pourquoi, dans un tel forum, n’y a-t-il pas eu de place pour évoquer les enjeux d’un des scrutins les plus favorables à des alliances à droite ? Parler de perspectives de victoires, locales, certes, mais concrètes, aurait été une piste pour sortir du sentiment d’impuissance qui planait sur la convention.

    9. Il est très souhaitable que cette convention tienne sa promesse de devenir un rendez-vous annuel, comme l’y encourage l’afflux d’inscriptions. Sa performance est d’être passée, au moins pour une journée, d’un paradigme de « droite hors-les-murs », cherchant une insaisissable troisième voie à droite entre LR et RN, à un positionnement embrassant l’ensemble de l’espace à la droite du bloc macronien.

    https://www.lesalonbeige.fr/convention-de-la-droite-un-rendez-vous-transpartisan-indispensable-mais-qui-devra-proposer-une-alternative-viable/

  • 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration

    Les changements au sein du parti socialiste bruxellois peuvent avoir de lourdes conséquences. Il est préférable que les partis flamands suivent cette métamorphose de près.

    (…) Et les chiffres ne mentent pas. Sur la base des noms de famille, 108 des 166 conseillers municipaux du PS à Bruxelles sont issus de l’immigration. Sur les 202 771 suffrages exprimés lors des dernières élections au PS, 140 423 ont été attribués à des candidats d’origine immigrée. Ce qui représente au moins 71,29% des voix, a calculé Hermanus. Et cela rend les anciens combattants du PS très mal à l’aise. Ils parlent, ouvertement ou non, d’une prise de pouvoir par les électeurs immigrants qui ont maintenu le PS de Bruxelles à flot avec leurs votes en bloc.

    tijd.be

    http://www.fdesouche.com/1269487-108-des-166-conseillers-municipaux-du-ps-a-bruxelles-sont-issus-de-limmigration

  • Marion Maréchal : N’attendons pas l’homme providentiel. L’homme et la femme providentiels, c’est chacun, chacune d’entre vous

    Marion Maréchal : N’attendons pas l’homme providentiel. L’homme et la femme providentiels, c’est chacun, chacune d’entre vous

    Marion Maréchal est intervenue en fin d’après-midi à la Convention de la droite. Extraits de son discours :

    La première étape du combat se joue ici, c’est de rompre définitivement avec la droite des experts-comptables ! Celle de ceux qui veulent être modernes… Être dans le vent, ou l’ambition des feuilles mortes que sont certains politiques aujourd’hui. Cela fait 30 ans que la droite ne réfléchit plus et n’a plus rien à proposer. L’écologie est conservatrice, c’est un combat identitaire. Nous sommes légitimes pour porter ce combat. Nos gouvernements ont renoncés à porter une politique économique plus traditionnelle : agriculture, industrie, artisanat. Nous devons être du côté du réalisme contre l’idéologie. Nous avons le droit d’opposer notre culture française à des revendications politco-religieuses. Pour s’assimiler, il faut s’assimiler à quelqu’un et à quelque chose. Le camp des réalistes que nous sommes a le devoir de se fixer sur 5 grands défis. Le grand remplacement, le grand déclassement, l’épuisement écologique, le basculement anthropologique, et le grand affrontement des puissances. Face aux droits des minorités, nous devons affirmer le droit à la continuité historique. Cela passe par la mise en place d’une politique nataliste ! Et tant pis si j’ai dit un gros mot. J’admets que je souhaite pour ma fille une société ou l’enfant ne soit pas un produit à consommer. Je souhaite en tant que femme ne pas être un produit. Le progressisme devient un anti humanisme : tout se vend, de l’utérus à l’enfant.

    Je ne crois pas du tout que tout soit écrit par avance. La France a connu des chutes. Mais elle a aussi et surtout connu d’incroyables résurrections. Je ne comprends pas du tout que l’on puisse perdre espoir ! Je crois que le grand basculement politique s’opérera par ce type d’initiatives. N’attendons pas l’homme providentiel. L’homme et la femme providentiels, c’est chacun, chacune d’entre vous, là où vous êtes, pour agir dans le sens de vos convictions et des intérêts du pays. N’attendons pas que l’Etat nous sauve, actuellement il est phagocyté par une idéologie et des intérêts contraires à l’intérêt national. Je suis convaincue que le basculement politique s’opérera par ce type d’initiative et par la multiplication des ilots de résistance au sein de la société civile. Comme nous le faisons mon équipe et moi-même, avec l’ISSEP, en contribuant à former une nouvelle génération de dirigeants au service de leur pays. La France c’est nous, elle vit en nous, elle existe par nous et elle existera demain par ce que nous aurons su recevoir et transmettre. La France peut rayonner aujourd’hui dans le grand combat pour la dignité humaine !

    Je ne suis pas de celles qui défendent bec et ongle l’UE, dont je pense qu’elle a été mal pensée et qu’elle est en de nombreux points délétère. Mais en politique, c’est le terrain qui commande. Et le terrain, aujourd’hui, est européen. Je suis très optimiste car nous avons la clé du destin européen. Nous n’avons quasiment jamais été mis en minorité. Notre servilité actuelle est volontaire. Renversons ce système.

    Nous devons bâtir sur le roc, pas sur des coups médiatiques ! Par les idées, par les loyautés, les réseaux, des élus locaux, des soutiens financiers, culturels, intellectuels, par la confiance des entreprises. Pour y parvenir, il y a urgence à rompre avec la droite des expert comptables, ce champs de ruine idéologique qui n’a comme seul obsession que d’apparaître “moderne”. Ici, nous portons de plus grandes ambitions. Et ce ne sont pas seulement des ambitions de droite. Ce sont des ambitions françaises. Il n’est pas simple de faire preuve de bon sens, face à une actualité devenue un véritable Gorafi géant. Face aux délires du camp progressiste, le camp des réalistes que nous sommes a le devoir de se concentrer sur les grands défis du siècle. Pour moi, le plus grand obstacle est celui du désespoir. Où serions nous si nous avions perdu espoir après la défaite de 1870 ? De 1940 ? Nous sommes condamnés à l’espoir, alors agissons ! Et alors demain, j’en suis convaincue, nous serons au pouvoir.

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-nattendons-pas-lhomme-providentiel-lhomme-et-la-femme-providentiels-cest-chacun-chacune-dentre-vous/

  • Après la mort de Jacques Chirac, la vraie droite s’affiche en Convention

    Après la mort de Jacques Chirac, la vraie droite s’affiche en Convention

    Eric Zemmour a ouvert la série des interventions en critiquant le progressisme :

    Le progrès c’est la grande religion de notre temps. Une femme peut être un père, merci Agnes Buzyn, comment ne pas être emporté par le niveau de cette analyse… ? Le progressisme est un matérialisme divinisé. Comment ne pas être ébloui par les tenues de Sibeth Ndiaye, sommet de l’élégance française ? Le progressisme fait de l’individu des êtres entièrement construits comme des légos, et qui peuvent ainsi être facilement déconstruits. L’ennemi à abattre, chez les progressistes, c’est l’homme blanc hétérosexuel et catholique, lui qui est coupable de tous les maux. Le seul ennemi des féministes hystériques est l’homme blanc. Si les femmes ne soutiennent pas les causes des LGBTIQ…XYZ, elles ne sont plus que de sales bourgeoises. L’Extrême-gauche a rangé son registre marxiste et la lutte des classes pour la défense des minorités.

    L’universalisme droit de l’hommiste nous empêche de nous défendre contre l’islam radical qui conquiert inexorablement le terrain. Ceux qui ont voulu nous sortir de la guerre des nations nous ont amenés dans la guerre des races et des religions. Faisons une comparaisons avec les années 30, ils aiment tellement ça. Aujourd’hui nous vivons sous un nouveau pacte Germano-Soviétique. L’avenir est régit par une contrainte démographique, et ça, nos élites ne l’ont pas compris. Nous assistons à une colonisation inversée. L’Islam est prêt à nous vaincre avec son drapeau et sa charia. Tous les problèmes en Europe sont aggravés par l’immigration, non pas créés, mais aggravés. Les racailles et l’Islam se comportent en conquérants, l’alliance de la djelaba et la kalach.

    Nous devons restaurer mes amis, restaurer la France, en étant fidèle à notre identité. Les jeunes français, seront-ils majoritaires sur la terre de leurs ancêtres. Cette question est capitale aujourd’hui, pensez-y.

    Puis Robert Ménard a appelé à ne pas avoir peur des Torquemada du 20h :

    Face aux biens-pensants, il faut attaquer, ne pas se laisser faire. J’ai besoin d’avoir des alliés autours de moi, j’ai besoin de vous pour m’aider.

    Je veux quelqu’un, un chef, qui défende la vie des petites gens, face aux racailles qui détruisent tout, partout. L’immigration, chez nous ce n’est pas un concept. Les deux tiers des élèves sont des immigrés, dont une large partie de musulmans. Un maire comme moi dans une ville comme ça, dans 20 ans il y en aura plus. Alors je ne veux plus de cette droite qui a peur de tout ! Je veux une droite optimiste, le vrai clivage il est là. Sarkozy, Macron, Chirac, ils ont incarnés l’optimisme. Soyons une droite optimiste, mais qu’attendons nous, mettez les mains dans le cambouis, avec les vrais gens. On veut être le porte parole des petites gens. Je vous donne rendez vous dans 3 ans à l’Élysée, pas ici. 

    Après Gilles-Willam Goldnadel, c’est le député LR Xavier Breton, en pointe contre la loi de bioéthique, qui est intervenu :

    La gauche est là pour émanciper, il faut s’émanciper des déterminisme, nous nous croyons dans l’enracinement, à partir de là on fait vivre. La personne humaine est fondée sur 3 piliers. La réalité physique, celle de l’éducation, et enfin celle de la reconnaissance sociale. L’enfant n’est pas que le produit de la volonté des adultes.

    Je dîne avec qui je veux, je conventionne avec qui je veux.

    Il avait été critiqué par son camp après un dîner avec Marion Maréchal et d’autres élus, en juin.

    Vient ensuite Jean-Frédéric Poisson, critiquant l’islamisation :

    Il existe un projet qui souhaite créer une République compatible avec l’islam. Ce mouvement, religieux et culturel, est financé par des états musulmans. Ils souhaitent installer le communautarisme. Petit à petit, se profile une fracture culturelle et cultuelle au sein de la société française. La conquête de l’islam est en cours ! C’est une décision qui a été prise par les Etats musulmans il y a 20 ans. Ils veulent fracturer la France et l’Occident ! Face à l’absence de projet commun, l’Islam en propose et réunit ses troupes. C’est l’absence de projet qui nous affaiblit.

    C’est trop tard, c’est perdu … j’entends trop souvent cela. Nous seront en capacité de présenter aux Français un projet qui répondra à toutes ces inquiétudes, à toutes ces menaces. Il faut prendre conscience de ce que nous savons faire, débattre, défendre un projet, partager des convictions fortes … Est-ce que nous disposons d’un agenda commun? Il nous faut une organisation commune, un agenda politique commun, si nous ne le faisons pas, nous avons perdu. Mais je suis sur que nous avons la capacité de le faire. Nous allons entendre des choses passionnantes dans la journée à venir. Mais pour gagner les prochaines élections, il nous faut un agenda politique commun, un projet commun.

    Guillaume Bigot a ensuite fustigé le politiquement correct :

    La dictature de la pensée n’a jamais existé, il existe en revanche une dictature de l’idéologie. Vous pensez en dehors du cadre, vous êtes un salaud. La classe dirigeante est grégaire, elle à des préjugés de classe dirigeante. Les élites croient que la menace c’est l’islam terroriste alors que la vraie menace c’est l’islam culturel.

    Gibert Collard a critiqué le laxisme de la justice.

    Je comparaitrai devant la justice pour une photo prouvant l’horreur de l’état Islamique. J’ai reçu un papier, d’un psychiatre, spécialisé dans le traitement des transsexuels … La justice en est là. Plus sérieusement. Au fondement de toute société il y a l’idée de justice. C’est fondamental.

    Paul-Marie Coûteaux s’est voulu optimiste :

    Le vieux socle progressiste que l’on croyait impérissable, est en train de partir en fumée.

    Dans un débat avec le Dr Alexandre, Olivier Babeau et Ivan Rioufol, Fabrice Hadjaj a fustigé :

    La République en Marche c’est la république de la fuite en avant. On aborde beaucoup la question de la puissance. Que puis-je faire ? Que suis-je capable de faire ? Mais cette puissance manque trop souvent de finalité. La civilisation du poisson rouge c’est des techno-leaders incapables d’attention plus de 30 secondes. Voulons-nous chercher l’immortalité? Ou bien acceptons-nous la mort? Le système techno-capitaliste à très bien compris et utilisé ce questionnement anthropologique.

    https://www.lesalonbeige.fr/apres-la-mort-de-jacques-chirac-la-vraie-droite-saffiche-en-convention/

  • Selon L’Express, un fiché S pour islamisme se présenterait comme tête de liste à Goussainville

    hamida.png

    L’Express rapporte qu’Abdelaziz Hamida, conseiller municipal sortant de Goussainville, commune du Val-d’Oise, élu en 2014 sur une liste de gauche avant de passer dans l’opposition, va briguer la mairie. Né dans cette ville, âgé de 43 ans, il est titulaire d’un master en droit et s’affiche comme un entrepreneur et un cadre associatif (il a présidé le football club de Goussainville). Un bon profil pour une élection municipale. Mais il y aurait un hic.

    Cet homme affirme « agir en homme libre, en élu de terrain en phase avec les réalités du territoire et avec [s]es convictions chevillées au corps ». Il se présente, d’ailleurs, comme tête d’une liste sans étiquette, avec le slogan « L’Audace du renouveau ». Sans étiquette, mais fiché S, selon les informations de L’Express. Il serait proche du mouvement fondamentaliste Tabligh, dont le nom a été cité dans le dossier judiciaire de la filière djihadiste de Lunel. Il serait surveillé en raison de ses activités prosélytes et de ses accointances avec d’autres personnes soupçonnées de radicalisme.

    Et alors ? direz-vous. Comme le note le rapport d’information du Sénat du 19 décembre 2018, « les fiches S ne constituent pas, contrairement à de nombreuses idées reçues, un indicateur de la dangerosité d’une personne ». Au demeurant, il s’est déjà présenté aux législatives de 2017, dans la 9e circonscription du Val-d’Oise. S’il n’a obtenu que 5,76 % des suffrages, il est arrivé en tête à Goussainville, avec près de 22 % des suffrages exprimés. Il précise, sur son site, être « un candidat qui n’appartient à aucun parti, à aucun mouvement ». Il jouit donc, dans cette ville, d’une certaine popularité et il serait contraire à la démocratie de faire obstacle à sa candidature.

    Dans un communiqué du mercredi 26 septembre, l’intéressé annonce que « face aux accusations mensongères, aux calomnies et à la diffamation, [il a] décidé de poursuivre ce soir l’hebdomadaire L’Express ». Il a saisi la Justice, ainsi que le ministre de l’Intérieur, afin que « toute la lumière soit faite sur cette sombre affaire et que les prétendues preuves [qu’il est] fiché S soient livrées ». Il conclut en s’adressant aux Goussainvillois : « Ne vous laissez pas voler l’élection municipale de mars 2020 ! »

    Laissons donc la Justice suivre son cours et L’Express apporter, s’il le souhaite, des explications. Quoi qu’il en soit, force est de constater que de plus en plus d’activistes islamiques prétendent s’inscrire dans le jeu démocratique en se présentant aux élections ou en ostracisant les candidats qui ne leur plaisent pas. Ainsi, l’Union des musulmans démocrates de France s’est déjà essayée aux élections européennes, n’obtenant, certes, que 0,13 % des votes, mais atteignant des scores non négligeables dans certains quartiers. Ce qui ne peut qu’encourager les islamiques à tenter leur chance aux municipales, manifestant ainsi un communautarisme politique.

    De toutes façons, qu’on le regrette ou non, légalement, rien n’empêche un fiché S de se présenter à une élection. Il n’est pas besoin d’avoir un casier judiciaire vierge pour se présenter à une élection ; alors, une fiche S ! Il serait effectivement souhaitable que le gouvernement fît toute la lumière sur cette affaire : les habitants de Goussainville doivent pouvoir faire le choix de leur maire en toute connaissance de cause.

    https://www.bvoltaire.fr/selon-lexpress-un-fiche-s-pour-islamisme-se-presenterait-comme-tete-de-liste-a-goussainville/

  • Convention de la Droite. Marion Maréchal et Eric Zemmour : identité et conservatisme

    convention-droite-marion-marechal-eric-zemmour-identite-conservatisme.jpg

    Tout les différencie. L’âge, le sexe, les origines, le métier, le parcours et même le style… La plume de fer du polémiste contre le gant de velours de l’ancienne députée, devenue directrice d’un institut de formation. Le nom de l’un claque, le prénom de l’autre évoque la douceur. Tout les différencie ? Mais peu les oppose ! Et leur présence à la même tribune, samedi 28 septembre, pour la Convention de la Droite, est explosive !

    Elle affole les réseaux sociaux, polarise les médias et fera remplir la salle, indépendamment des zakouskis qui accompagneront l’événement. Pourquoi ? Parce que l’un comme l’autre incarnent un double rejet et une promesse. Découvrez cette tribune de Jean-Yves Le Gallou.

    Eric Zemmour et Marion Maréchal : un même rejet de Macron

    Ils incarnent d’abord le rejet absolu du régime Macron : c’est à dire la mise en œuvre – par la répression policière et judiciaire, la propagande et la censure – d’une entreprise de déconstruction et de rupture.

    Rupture avec les lois de la vie avec la PMA et la GPA. Rupture avec les lois de l’histoire avec la destruction des frontières, l’immigration de masse, la soumission à l’islamisation et la délocalisation.
    Rupture avec les libertés avec l’adoption de lois et de pratiques de plus en plus liberticides.
    Rupture avec le réel avec les délires subventionnés qu’ils soient néo féministes, « antiracistes », antispécistes, « indigénistes », pédagogistes ou transsexualistes.

    Ce qui est en cours, c’est ce que l’écrivain Renaud Camus appelle le Grand Remplacement ou plutôt le remplacisme global. Le remplacement du peuple : « Souriez, vous êtes remplacés ! » Mais c’est aussi la destruction de la culture à l’heure de la « décivilisation ».

    Eric Zemmour et Marion Maréchal, piliers de la refondation ?

    En face de cela, ce qui est nécessaire, ce n’est pas une déclaration, c’est une refondation. Pas un replâtrage, non, une refondation radicale.

    Et c’est là que Zemmour et Marion sont attendus. Non pas pour un énième programme technocratique et/ou démagogique sans intérêt, ni de fades éléments de langage comme en produisent tous les partis politiques. Mais pour une refondation par une double affirmation à la fois d’identité et de conservatisme.

    Identité du peuple dans la fidélité à ses origines, à sa langue, à sa culture à sa civilisation. À son histoire, source de fierté et non de déploration ou de culpabilisation. Désormais la question qui se pose aux jeunes Français d’origine européenne est la suivante : comment allez-vous éviter de devenir minoritaires sur la terre de vos ancêtres ?
    C’est à cette question qu’il faut apporter une réponse. Par la réaffirmation du droit du peuple à sa souveraineté, son identité et sa continuité historique. Fût-ce en rompant avec l’idéologie mortifère des droits de l’homme, instrumentalisée par des bonimenteurs, venus souvent des pays les plus troubles de la planète. Et leurs complices.

    Identité, oui. Mais aussi conservatisme, par l’attachement à une société holiste qui soit plus que la simple juxtaposition d’individus mus par l’intérêt immédiat. Conservatisme par le fait de rechercher le bien commun. Et de trouver le renouvellement de son inspiration dans les traditions. De puiser dans le passé les racines de futur. Conservatisme par l’attachement à la transmission des grandes œuvres du passé, des règles de courtoisie et des manières aimables. Par le respect du patrimoine culturel et historique comme des paysages, façonnés par le lent travail de nos ascendants.

    Le conservatisme et l’identité ne s’opposent pas, ils se complètent. A ceux qui posent la question faussement naïve : « Conserver, oui, mais quoi ? », la réponse est simple : conserver l’identité ! L’identité d’origine, l’identité civilisationnelle du peuple. L’identité anthropologique de l’homme et des familles.
    On rejoint ici la politique démographique de Viktor Orbán : à l’extérieur, fermeture des frontières à l’immigration et, à l’intérieur, politique nataliste.
    Les nôtres avant les autres ! C’est ainsi, et seulement ainsi, que nos enfants et les enfants de nos enfants resteront majoritaires dans leur patrie.

    Tribune reprise de Polémia

    https://fr.novopress.info/215597/convention-de-la-droite-marion-marechal-et-eric-zemmour-identite-et-conservatisme/

  • L'illusion démocratique de la Vè république

    illusion-democratique-99989.jpg

    Pour qui faut-il voter ? Tout simplement pour personne ! Ce n’est pas d’un vote dit « utile » dont nous avons besoin, mais d’un réel changement de régime politique. Mais ce changement ne se fera que tardivement si tous les contestataires cherchent encore vainement à mettre de l’essence pour alimenter le moteur d’une voiture qui n’a plus de roues… L’abstention c’est faire le jeu du système disent certains, car ça permet aux candidats traditionnels de perdurer. Certes, mais entre nous, si c’est seulement 2 millions de personnes qui votent pour un candidat accédant au pouvoir, sur une population de 65 millions d’habitants, il est clair que sa légitimité disparaîtra totalement, car on ne pourra plus parler de « loi de la majorité ». Et il suffira que le gouvernement de ce candidat-président fasse passer une mauvaise loi pour que cela tourne au vinaigre… Les démocraties ne sont donc pas faites pour servir les peuples, mais pour les asservir. D’ailleurs pour s’en convaincre, il suffit de constater que la logique de ce système veut qu’à l’âge de 18 ans nous ayons le droit d’aller voter, mais sans se soucier de savoir si oui ou non nous avons une réelle conscience politique ou si les enjeux mêmes nous sont connus. Nous entendons par conscience politique : « la présence chez un individu d’une culture, d’une expérience et d’une maturité politiques, autorisant, notamment en matière électorale, des choix réfléchis. » Ce qui est une bonne définition issue de l’encyclopédie universelle. Combien ne savent pas pour qui voter arrivé à 18 ans et souvent bien au-delà ? Avoir une conscience politique ou une culture politique n’apparaît pas du jour au lendemain.

    2019 13 JNI 2.jpg

  • L'étrange victoire de la gauche travailliste

    6a00d8341c715453ef0240a487ef7c200c-320wi.jpgComparée à celle de la Grande Bretagne, la vie politique de Florence des XVe ou XVIe siècle peut paraître aujourd'hui d'une simplicité exemplaire. Essayons quand même d'y voir plus clair.

    Pour les rares médias qui s'entrouvrent à ce qui se passe en dehors des frontières de l'Hexagone, la faillite de Thomas Cook et l'exclamation grotesque de Greta Thunberg à l'ONU ont sans doute éclipsé les méandres du Brexit. Reconnaissons à vrai dire que le brouillard de ce débat inextricable a, par ailleurs, de quoi lasser l'opinion, tel un assommant feuilleton télévisé.

    Voici 3 ans, déjà, que les partisans du Brexit l'ont emporté par référendum. On éprouve depuis le sentiment d'un piétinement d'opéra. On entendrait "marchons, marchons" mais on ne verrait rien : impression fausse car beaucoup de travail a été effectué à Bruxelles et le sablier nous rapproche de l'échéance.

    Dans le même temps, c'est toute la vie politique européenne dont on peut déplorer qu'elle demeure, sourdement mais largement, déterminée par l'incertitude britannique. On nous parle, presque tous les jours depuis 2016 de cette catastrophe annoncée, et aucune décision sérieuse ne semble pouvoir être prise, même urgente, en matière de défense ou même d'immigration, tant que l'abcès n'a pas été crevé.

    C'est dans ce contexte que l'on doit apprécier la conférence annuelle du parti travailliste qui vient de se conclure à Brighton, ce 23 septembre, par un vote – en partie trafiqué - en faveur du duo gauchiste Corbyn-Mc Donnell ce que nous pressentions dans notre chronique du 22 septembre[1] et dont nous dénoncions le danger.

    À la surprise des observateurs "rationnels", en effet, les deux compères, dont les analyses sur le Brexit ne diffèrent qu'en apparence, ont réussi à surmonter la fronde des survivants du New Labour. Ils s'appuient sur le vote des petits groupes de militants gauchistes qui ont pris en otage le parti en 2015. Les notables travaillistes, à commencer par le maire de Londres, Sadiq Khan, mais aussi probablement la masse des parlementaires, devront se plier à la règle de l'unité, à des votes en grande partie frelatés et à des décisions prises en tout petit comité.

    La résilience du régime bi partisan britannique reste pourtant assez fascinante, comme incompréhensible pour un regard parisien gaullo-bonapartiste. Le recul d'audience des deux forces institutionnelles dominantes, aussi bien à droite qu'à gauche, a beau se mesurer dans les sondages mais aussi dans les pourcentages effectifs des suffrages. Le suffrage uninominal à un tour n'empêche pas non plus un certain émiettement au sein de la Chambre des communes avec l'élection de nationalistes écossais et gallois, ou d'unionistes nord-irlandais, ou de libéraux-démocrates.

    Mais la logique qui l'emporte reste ce dualisme entre conservateurs et travaillistes, lequel s'est emparé du débat, au fil des années, sur l'appartenance à l'Union européenne.

    Dans le camp conservateur, en 2015, le premier ministre conservateur était hostile au Brexit. Le camp du "Leave" était mené par un parti rival, le UKIP, que David Cameron voulait maintenir en dehors du parlement : pour cela il avait accepté une procédure référendaire… tout en se prononçant "personnellement" en faveur du "Remain", position qui, rappelons-le aussi, avait été assumée par sa ministre Theresa May. La victoire largement imprévue du "Leave" en juin 2016 allait certes chasser Cameron du pouvoir. Elle propulsa Theresa May, qui lui succéda, en gestionnaire d'un Brexit qu'elle n'avait pas voulu. Puis, à partir de 2017, elle se retrouva alliée des unionistes d'Irlande du nord. Et, enfin, la loi de la pesanteur imposa, à la tête du parti, plébiscité par ses troupes, Boris Johnson la figure de proue du Brexit.

    En face, dans le camp travailliste, Corbyn, affreux crabe marxiste, ne commet pas les mêmes erreurs. Il semble godiller entre des positions contradictoires. Défenseur très mou de l'appartenance à l'Europe, il est tenu pour un complice sournois du Brexit par les partisans du "Remain". Mais sa préoccupation fondamentale est de s'annexer toutes les voix d'opposition en vue d'une alternance, si Boris Johnson échoue.

    La perspective promise se révèle alors de plus en plus marxiste. On la mesure plombée d'idéologie étatiste et de noyautages d'extrême gauche. Si j'étais Anglais je n'en voudrais pas et je n'aurais d'autre choix sérieux que de soutenir les conservateurs. Il est vrai que je ne suis pas Anglais et que, peut-être je n'y comprends rien.

    JG Malliarakis  

    Un livre à redécouvrir :
    L'Histoire du communisme avant Marx

    Apostilles :

    [1] cf. L'Insolent du 22 septembre "Si la gauche marxiste revient"

    https://www.insolent.fr/

  • LES ESPAGNOLS CONDAMNES A LA REPETITION ELECTORALE

    20190426-vox-abascal1.jpg

    Robert Nebois

    Lassés de l’alternance régulièrement décevante entre le Parti Populaire et le Parti Socialiste, écœurés de ne se voir proposer que blanc bonnet et bonnet blanc, les Espagnols en étaient venus à introduire dans le jeu politique national trois nouveaux partis : Podemos en 2014, Ciudadanos en 2015 et Vox en 2018. Le premier mettait en cause l’hégémonie du Parti socialiste, et les deux autres celle du Parti Populaire. Les grands partis ne pouvaient accepter cette remise en cause de leur prépondérance et leur objectifs premier devint la reprise du terrain perdu.

    Le parti socialiste vient de commencer la manœuvre en provoquant la répétition des élections législatives après n’avoir pas vraiment cherché à obtenir l’investiture du parlement. Les Espagnols sont donc condamnés à de nouvelles législatives le 10 novembre prochain par leur politicien en chef et chef du gouvernement, Pedro Sanchez. Ce dernier, apprenti profanateur de tombe, faussaire de thèse doctorale, menteur, et parfait opportuniste, s’il ne se soucie guère de résoudre les problèmes de l’Espagne, se révèle par contre combattif et plein d’imagination lorsqu’il s’agit de rester au pouvoir.

    Devenu chef du gouvernement le 1erjuin 2018 au travers une motion de censure avec l’appui des gauchistes de Podemos, et des nationalistes catalans et basques, il n’a pas tardé a remercié ces derniers en leur faisant un maximum de concessions. Par exemple en faisant pression sur les juges du procès des indépendantistes catalans pour changer la qualification du délit, en niant, contre toute évidence, qu’il y ait eu des violences contre la police nationale lors du ‘référundum’ qu’il organisèrent le 1eroctobre 2018. Les nationalistes catalans ne faisant aucune concession, et Sanchez ne pouvait aller jusqu’à admettre un droit à l’indépendance par la voix d’un referendum qui ne concernerait que les Catalans, exclu par la constitution, le divorce est finalement intervenu. Ils votèrent alors contre son projet de budget de l’État et il fut contraint de convoquer les élections générales du 28 avril 2018 par ceux-là même qui l’avaient mis au pouvoir lors de la motion de censure.

    Ce fut la troisième élection législative, après celle de 2015 et 2016, où le bipartisme traditionnel PP – PS ayant disparu, les seules alternatives étaient soit des gouvernements de coalition (majoritaire), soit des gouvernements minoritaires, soit un mixte des deux.

    Il y a déjà eu des gouvernements minoritaires où le PP ou bien le PS étaient obligés de s’appuyer sur les petits partis régionalistes catalans et basques, mais l’on restait dans le cadre du bipartisme. L’apparition de trois nouveaux partis nationaux a complexifié le jeu politique avec une concurrence plus forte entre les partis.

    II n’est pas sûr de Pedro Sanchez ait bien fait de provoquer ces nouvelles élections.

    Certes il est probable qu’il progressera grâce au recul des gauchistes de Podemos et des girouettes de Ciudadanos dont le dirigeant est une sorte de Bayrou en plus jeune. Il a attaqué sur sa gauche en humiliant Podemos par son refus obstiné de ses exigences, et en particulier en excluant la présence de son chef dans le gouvernement. Il espère que ce parti continuera un recul déjà commencé lors du scandale de l’achat d’une luxueuse villa par son dirigeant Pablo Iglesias dans une banlieue huppée de Madrid, et confirmé lors des dernières élections.  Pour compléter cette offensive il soutient en sous-main une scission de Podemos mené par l’ex numero deux du partie Inigo Errejon. Il attaque aussi sur la droite en prétendant, au mépris de l’évidence, qu’il défendrait l’unité de l’Espagne. Le parti socialiste devrait gagner quelques sièges mais le risque d’une démobilisation de l’électorat de gauche ne peut être exclus. Avec cette réserve que cette prévision pourrait être démenti si jamais il y avait des désordres en Catalogne lors de la décision de justice dans le procès des sécessionnistes catalans qui devrait être prononcée durant la deuxième quinzaine de mois d’octobre. Dans ce cas Sanchez n’hésiterait pas à appliquer à nouveau un article 155 (suspendant les Communautés Autonomes tombées dans l’illégalité) purement électoraliste, et alors il pourrait bien berner la majorité de la population et obtenir alors une majorité confortable.

    Pour ce qu’il est convenu d’appeler la droite ou le centre droite, le schéma se complique avec la présence de trois partis. Ciudadanos a pu faire illusion au début, il était né au centre gauche pour s’opposer aux nationalismes régionaux en proposant le choix d’un fade constitutionalisme et de la dilution à terme dans l’Europe. Son dirigeant l’opportuniste Albert Ribera, qui avait il y a peu flirté avec les socialistes, s’est brouillé avec Sanchez et poursuit le rêve illusoire de devenir le principal parti d’opposition. Le Parti Populaire qui avait atteint le fond lors des dernière législatives a évité la disparition et est remonté lors des régionales grâce à la politique du Karcher à la Sarkozy que mène son nouveau chef Pedro Casado : feindre un virage à droite pour mieux récupérer les électeurs de droite qui l’avaient quitté.

    Vox est apparu lors des législatives d’avril a10 % des voix, 24 députés, un groupe parlementaire, et cela alors qu’il avait été exclu des débats télévisés. Lors des élections régionales qui suivirent il est devenu un parti charnière, et si la mairie de Madrid et d’autres ont pu être enlevé à la gauche c’est grâce à ses voix. Le Parti Populaire n’a pas toujours respecté les accords programmatiques conclus. Mais il est vrai qui Vox, comme tous les partis minoritaires, se trouvait dans une situation très délicate : soit il ne faisait aucune concession, refusant toute alliance et alors il était accusé de faire passer la gauche, soit il faisait trop de concessions, et alors il n’avait plus de raison d’être et était peu à peu phagocyté par la fausse droite du Parti Populaire. Ses dirigeants semblent avoir compris la menace et ils ont refusés de tomber dans le piège d’un mouvement unitaire pour les élections dont le maitre d’œuvre était le Parti Populaire. Il parait exclu que Pedro Casado puisse venir à bout de Vox car il a du mal à tenir son parti où les partisans de la ligne de centre gauche voudraient le mener à une opposition frontale avec Vox. Il leur a déjà cédé à plusieurs reprises et s’est ainsi démasqué. Le redressement national espagnole a commencé mais la lutte sera longue car la domination de la gauche dans les media est écrasante, cela fait plus de quarante ans qu’elle conditionne quotidiennement la population sur presque toutes les chaines de télévision et dans la majorité de la presse.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/23/les-espagnols-condamnes-a-la-repetition-electorale-6177922.html

  • Emmanuel Macron : agent de paix aux Nations Unies ? – Journal du lundi 23 septembre 2019

     

    Emmanuel Macron : agent de paix au Nations Unis ?

    Après les espoirs nés du sommet du G7 à Biarritz, Emmanuel Macron se verrait bien en agent de paix entre Téhéran et Washington à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Un pari aussi complexe que risqué pour le président français qui souhaite à tout prix donner une dimension internationale à son quinquennat.

    Stéphane Ravier rassemble ses troupes marseillaises

    Élu maire du 7e secteur de Marseille en 2014, le RN Stéphane Ravier se lance dans une nouvelle campagne pour les prochaines municipales. Un défi lourd à relever dans une ville qui souffre des maux du pays.

    Mediator : un procès hors norme

    Neuf ans après la révélation de l’affaire, le procès du Mediator s’est ouvert ce lundi à Paris. Jusqu’au 30 avril 2020, le laboratoire Servier et l’Agence nationale de sécurité du médicament vont devoir se justifier de ce scandale sanitaire ayant fait plusieurs milliers de victimes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emmanuel-macron-agent-de-paix-aux-nations-unies-journal-du-lundi-23-septembre-2019