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élections - Page 167

  • L’immigration au coeur des élections municipales de 2020

     
     
     

    Déjà omniprésent lors des élections européennes, l’immigration est à nouveau cœur des débats politiques. A 6 mois des municipales, chaque parti tente de tirer son épingle du jeu faisant du sujet migratoire l’une des préoccupations principales du prochain scrutin.

    L’immigration toujours dans le débat public

    Alors que le sujet avait déjà animé les élections européennes du mois de mai dernier, la question est plus que jamais sur le devant de la scène à six mois du prochain scrutin local.  Depuis plusieurs semaines, c’est une véritable course qui s’est engagée à tous les niveaux de la vie politique française. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Emmanuel Macron a voulu engager un débat sur l’immigration à l’Assemblée Nationale. Ce dernier a multiplié les coups de com’ affichant une apparente fermeté afin d’imposer sa patte et couper l’herbe sous le pied de ses adversaires.  

    La sécurité, première préoccupation des Français

    Une façon d’occuper le terrain alors que la sécurité demeure la première préoccupation des Français. En effet, selon le baromètre Odoxa/Fiducial, les chiffres sont sans appel, la majorité des administrés considèrent que les personnalités politiques locales ne parlent en effet pas assez de sécurité dans leurs discours ou dans les débats. Un enjeu encore plus important pour les 65 ans et plus, les habitants de l’agglomération parisienne et donc pour les sympathisants de la La République En Marche (LREM), des Républicains (LR) et du Rassemblement National (RN). 

    Les candidats aux élections municipales s’emparent donc naturellement de la question… Et pour cause… gérer la sécurité n’est pas vraiment une problématique étrangère à la question migratoire comme en témoigne la multiplication des agressions aux abords des camps, légaux ou non, de clandestins.

    C’est dans ce contexte que certains candidats et maires sortants se sont trouvés une soudaine passion pour le sujet avec des projections bien distinctes. Lundi, treize maires, dont les socialistes Anne Hidalgo pour Paris, Martine Aubry pour Lille et Johanna Rolland pour Nantes, ont dénoncé une situation qui « ne cesse de se dégrader » pour les migrants. De quoi rejeter la faute sur le parti présidentiel alors que toutes les trois devront faire face à des candidats de la majorité présidentielle en mars prochain. Si ces trois maires sortants, largement favorables à l’accueil de clandestins, jouent la partition d’un meilleur accueil pour ceux-ci afin de contenter un électorat favorable aux étrangers, d’autres durcissent le ton à l’image du candidat du Rassemblement Nationale à Marseille, Stéphane Ravier.


    Vous l’aurez compris la question migratoire sera un enjeu important des élections municipales… mais une fois de plus, difficile de savoir dans quelle mesure cela profitera au parti présidentiel même si l’éventualité d’une opposition entre RN et LREM devrait tourner largement à l’avantage de la formation d’Emmanuel Macron.

    https://www.tvlibertes.com/actus/limmigration-au-coeur-des-elections-municipales-de-2020

  • Une cinquantaine de listes exclusivement musulmanes aux municipales ?

    Une cinquantaine de listes exclusivement musulmanes aux municipales ?

    Cela inquièterait enfin les autorités :

    Et à ce sujet, un phénomène inquiète une partie de la classe politique : que des listes qualifiées de “communautaires” émergent pendant les municipales de mars prochain.

    Le premier à avoir mis le sujet sur la table c’est Gérald Darmanin, au lendemain des européennes. Le ministre s’inquiète des résultats de la liste de l’Union des démocrates musulmans français (UDMF). Certes, avec 0,13%, le score est microscopique au niveau national, mais il y a eu des pics dans certaines villes : dans un bureau de vote de sa région, à Maubeuge, sur 170 votants, 70 ont voté pour cette liste. Par ailleurs, le parti a obtenu plus de 10% dans 50 bureaux de vote du pays, et plus de 15% dans 20 bureaux.

    Et l’UDMF ne compte pas s’arrêter là. Pour les municipales, la toute jeune formation politique est en train de monter des listes dans une cinquantaine de villes : Paris, Marseille, Nice, quelques villes du nord, comme Maubeuge, ou encore en Touraine, à Joué-Lès-Tours. Ses dirigeants essayent aussi de s’organiser dans des villes de région parisienne – telles Gennevilliers, Mantes-la-Jolie, Les Mureaux – ou en banlieue lyonnaise, à Vénissieux et à Vaulx-en-Velin, où sera officiellement lancée la campagne de l’UDMF le 2 novembre.

    https://www.lesalonbeige.fr/une-cinquantaines-de-listes-exclusivement-musulmanes-aux-municipales/

  • Immigration : les camps du nord de Paris au cœur de la campagne des municipales

    Alors que le nombre de migrants à Paris s’envole depuis février, les candidats commencent à avancer des propositions sur ce thème ultrasensible.

    Des centaines de tentes installées à la va-vite sous une bretelle d’autoroute, des camps de fortune qui resurgissent sitôt démantelés, des milliers d’étrangers vivant ou survivant aux franges de la ville, entre la porte de La Chapelle et celle d’Aubervilliers… A Paris, la question des migrants ne relève pas de la théorie. A cinq petits kilomètres de l’Assemblée nationale où les députés ont discuté, lundi 7 octobre, de la politique de la France en la matière, se trouve l’une des plus importantes concentrations de migrants du pays. Un sujet devenu un des dossiers-clés de la campagne des municipales.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/immigration-les-camps-du-nord-de-paris-au-coeur-de-la-campagne-des-municipales

  • Salvini et l'Italie : destins liés ?

    Profitant de la chaleur de l’été, Mateo Salvini a décidé de sonner le glas de la coalition pour le moins disparate que son parti, la Ligue, formait depuis quinze mois avec le M5S. Le système est entré en résistance.

    Trop d'oppositions de fond avait fini par rendre improbable cette volonté de politique commune. Et puis les sondages étaient là qui lui promettaient une majorité bien plus confortable. Pour l'heure, le système entend cependant résister à la pression populaire.

    Le président italien n aura guère eu le choix ! Sous les coups de boutoir que Matteo Salvini, le bouillant ministre de l'Intérieur, a donné à la coalition à laquelle il avait décidé de participer, Sergio Mattarella n’a pu qu’accepter la démission du chef du gouvernement, Giuseppe Conte, actant une fois de plus le fait que, en Italie, la majorité serait véritablement introuvable. En Toscane, où j’ai laissé, quelques jours, traîner une oreille intéressée, Certains interlocuteurs n'hésitent pas en faire monter la cause à la délicate question de 'l'unité italienne.

    Quoi qu'il en soit, et pour laisser de côté une réflexion qui nécessiterait d'importants et profonds développements, il est manifeste que Matteo Salvini a su créer la perspective d’une telle majorité. Même dans certaines villes réputées de gauche, il a aujourd'hui des défenseurs qui ne sont pas quelques éléments épars, mais des noyaux constitués.

    Cette ouverture à la stabilité devrait rassurer une classe politique qui, pour avoir le sang chaud, semble pourtant se lasser d'une inconstance du pouvoir dans laquelle s’épuisent les forces vives du pays. Bien au contraire ! Sans même s'arrêter sur la mesquine question des prébendes que d'aucuns devraient abandonner, l'intelligentsia italienne s'inquiète surtout de voir l'homme fort de la Ligue pointer vigoureusement du doigt l'Union européenne pour lui préférer ses compatriotes.

    Il faut dire que Matteo Salvini a - même pour un Italien - son franc-parler. « Je ne veux pas que l'Italie soit l'esclave de qui que ce soit, je ne veux pas que l'Italie soit enchaînée comme un petit chien », lance-t-il pour expliquer une vision politique qui, s'il pouvait un jour l’appliquer, irait à rebours des souhaits bruxellois. On a beaucoup évoqué, au Quirinal et dans les principales officines politiques romaines, la vision budgétaire de la Ligue - et sans doute plus murmuré encore sur la perspective d'un retour à la lire.

    La peur du pouvoir

    Mais l'Italie - l'Italie politique du moins -n’est pas prête. Il lui faudra sans doute être rattrapée par les électeurs pour comprendre qu'il est difficile à la péninsule de prétendre trouver à Bruxelles l'unité qu’elle peine à se forger elle-même.

    En attendant, elle refuse donc de sortir des sentiers battus. En démissionnant de la présidence du conseil (avant de la retrouver), Giuseppe Conte avait reproché à Matteo Salvini de vouloir être l'homme fort de l'Italie, avec les « pleins pouvoirs ». Comme si Brutus avait fait davantage pour Rome que César.

    On assiste donc à une nouvelle coalition, un nouvel attelage aussi mal assorti que le précédent. Certes, il est manifeste qu'il y a, entre le M5S et le Parti démocrate, une accointance idéologique, et que l'Italie reprend le virage à gauche, qui ne lui a guère réussi jusqu'ici.

    De la même façon, on nous dit que le nouveau gouvernement est pro-européen. Sans sourciller alors que le précédent était dénoncé comme populiste. Le M5S étant la cheville ouvrière de ces deux alliances successives, cela signifie-t-il qu'il entend tourner sa veste ? Ou qu'il a masqué son jeu afin d'obtenir cette alliance « tout sauf Salvini » ?

    Dans les deux cas, ses électeurs devraient s'en ressouvenir lors des prochaines élections, quelle que soit la date à laquelle elles doivent intervenir, eux dont une partie de l'Europe a dénoncé le « populisme ».

    Il n’est jamais mauvais d'être dans l’opposition. Encore moins si la façon dont on y est projeté peut apparaître d'une criante injustice. Certes, Salvini a sans doute eu tort de croire trop tôt que sa bonne étoile était arrivée. Pour autant, ses adversaires prennent un grand risque en moquant sa popularité, et en annonçant sa mort politique.

    De fait, Salvini annonce réunions et manifestations. Il est donc clair que les Italiens n’ont pas fini d'entendre parler de lui. Car les règles politiciennes n'ont pas de sens pour lui. Il est, avant tout, un indiscipliné comme le souligne Marie d’Armagnac dans l’essai - Matteo Salvini, l'indiscipliné éd. L’Artilleur) - qu elle vient de lui consacrer.

    Avis à ceux qui, emportés par le tourbillon du jeu politicien, l’ont un peu vite enterré. Il leur rétorque d ailleurs dans un tweet « Fabrizio De André mon poète préféré a répondu à la question de savoir quelle était sa meilleure chanson "Celle que je dois encore écrire " Pour l'appliquer à la politique tôt ou tard, il faudra aller au vote J'étais et je reste un homme libre »

    Hugues Dalric monde&vie  12 septembre 2019

  • Élections allemandes : jusqu'où ira l'AfD ?

    Aux deux scrutins régionaux - Saxe et Brandebourg - qui se tenaient le1er septembre dernier en Allemagne, l’Alternative fur Deutschland (AfD) a connu une nouvelle progression que d’aucun qualifient d’historique.

    Dans ces deux Lander de l'Est, l'AfD, six ans après sa création, arrive en seconde position - et ce, alors même que la participation au scrutin était en hausse. Au Brandebourg, l’AfD est passé de 12,2 % à 23,5 % deuxième derrière le SPD. En Saxe, de 9,7 % à 27,8 %, deuxième derrière la CDU La progression, on le voit, est d'autant plus importante, que les partis habituels connaissent un tassement de voix plus de sept points de moins pour la CDU aux alentours de cinq pour le SPD.

    Aussi, malgré toutes les protections oratoires avec lesquelles, tant chez nous qu'en Allemagne, les média arrivent à évoquer une défaite de l'AfD, les politiques s'inquiètent. Car l'AfD, c'est le parti anti-immigration, anti-islam, antiBruxelles. Bref, c'est le parti qui s’oppose à la politique européiste, et qui exprime, de plus en plus nettement, la volonté de nos voisins allemands de ne pas subir les oukases des apparatchiks européistes.

    Face au verbiage crispé de ses adversaires, l'AfD exulte. « Ça peut difficilement aller mieux », a commenté, de façon laconique mais très claire, Jôrg Meuthen, co-président du tout jeune parti qui s'attend à un résultat similaire en Thuringe où des élections se tiendront le 27 octobre.

    En face, l'inquiétude croît, multipliant les points d'interrogation. Les habituels partis n'ont - semble-t-il - pas encore compris que, trente ans après la chute du Mur, les Allemands de l'Est ont toujours la désagréable impression de n'être que des citoyens de seconde zone. Et, lorsque, en outre, on ouvre les frontières à des millions d'étrangers, le déclassement est total !

    Cela dit, il va bien falloir, en attendant d'écrire la suite de l'histoire, gouverner en Saxe et au Brandebourg. Inconcevable de le faire avec l'AfD, impossible désormais de le faire à deux. Il va falloir réaliser des coalitions à trois, entre partis que tout (ou presque) oppose, et que seule leur horreur de « l'extrémisme » rassemble. C'est peu de dire qu'un tel assemblage sera hétéroclite, et qu'il aura, ici et là, bien du mal à gouverner. Mais, au-delà de la situation de ces deux Lander, le résultat de ces élections pose la question du devenir de la « grande coalition » - la « GroKo » - d’Angela Merkel. De justesse, conservateurs et sociaux-démocrates ont évité le pire, qui aurait été de disparaître derrière l'AfD. Mais, tant à la CDU et plus encore au SPD, les tenants de l'orthodoxie idéologique, déjà mal à l'aise avec l'actuelle coalition, ruent plus encore qu'à l'accoutumée dans les brancards. Et, de part et d'autre, les « centristes » voient leur équilibre s'amenuiser comme peau de chagrin.

    Sujets délicats pour frères ennemis

    Les prochaines semaines seront d'autant plus délicates que deux textes - sur le climat et sur le projet de retraite minimum - doivent être débattus qui opposent déjà les partenaires de la coalition. Le climat électoral devrait pesamment rajouter à l'électricité, déjà tangible, des débats.

    De son côté, l'AfD peut être sereine. Si les partis classiques vont trouver, malgré tout ce qui les oppose, moyen de s'entendre au Brandebourg et en Saxe, l'avenir s'annonce sous de beaux auspices. Déjà présente au sein de la Chambre des députés, et des assemblées des seize États qui composent le pays, l'AfD pourra certes protester contre le traitement réservé à ses électeurs. Mais, à terme, son succès ne fait guère de doute.

    Comme le souligne en effet Die Welt, les deux principales formations politique du pays - à savoir la CDU et le SPD - n'ont dû d'éviter une totale défaite dans les deux Lander de l'Est ( 12 % du corps électoral allemand tout de même) qu'au « vote de la vieille génération ». Selon les études, en effet, les plus jeunes électeurs se sont très majoritairement détournés du rapport habituel entre droite et gauche pour donner leur vote à l'AfD. Et exprimer ainsi ce qu'ils veulent que soit leur pays, l'Allemagne.

    L'Allemagne avant tout ! Et surtout avant une politique européenne de plus en plus perçue comme indigeste.   

    Par Hugues Dalric monde&vie  12 septembre 2019

  • Elections municipales et monnaies locales

    Le groupe des Gilets Jaunes Constituants s’intéresse aux élections municipales de mars 2020. Cette vidéo est une réflexion sur les monnaies locales.

  • Benalla, futur Sarkozy de Saint-Denis ?

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    Et maintenant les municipales ?

    Le feuilleton Benalla reprend de plus belle. Là où on ne l’attendait pas forcément : sur le terrain des prochaines élections municipales. Le Mondial d’athlétisme à Doha en plein cagnard, ce n’était pas possible, question de délais de préparation. Et puis Alexandre, c’est plutôt la boxe, son sport à lui. Présider les funérailles religieuses de Chirac, pareil, pas possible, vu que c’est Macron qui s’y est collé. Donc, les municipales. L’un des événements dont il faudra être dans les prochains mois. Pour Macron, c’est trop tard, il a sauté l’épreuve en surdoué qu’il est, comme chacun sait, mais pour Benalla, à 28 ans, l’âge où Nicolas Sarkozy devint maire de Neuilly, tout est possible. Mis en examen n’empêche pas de se présenter à une élection, que l’on sache. Amusant, d’ailleurs, l’évocation de Sarkozy : finalement, ce dernier termine sa carrière publique là où Benalla l’a commencée, aux marches du palais… de justice.

    Donc, Alexandre Benalla pourrait se lancer dans la bataille des municipales. C’est L’Opinion qui l’affirme. Où ? Pas à Issy-les-Moulineaux, où il résidait au plus fort de l’affaire qui porte son nom. Mais à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), nécropole des rois de France et l’un des derniers bastions communistes, et non l’inverse. Alexandre Benalla, donc, y réfléchit, nous dit L’Opinion. Il faudra quand même qu’il ne réfléchisse pas trop longtemps. Cela ne se monte pas comme ça, une liste de cinquante-cinq personnes qui tiennent à peu près la route avec, en plus, la règle du chabadabada. Une belle gueule et une jolie cravate ne font pas un programme. Et puis, il faudra qu’il s’affole pour trouver un logement à Saint-Denis. Pas seulement une boîte aux lettres. Cela dit, à Saint-Denis, il semblerait qu’il n’y ait pas de difficultés pour trouver un logeur.

    Mais d’où est partie cette rumeur que l’ancien chargé de mission au cabinet du Président pourrait se lancer à l’assaut de la grande ville du neuf cube ? C’est le JSD (le Journal de Saint-Denis) qui a, le premier, levé le lièvre, dans un article du 18 septembre intitulé « Benalla, l’invité surprise à Saint-Denis », avec une photo de l’élégant devant la basilique. « Que vient faire réellement dans la ville des rois de France celui qui en 2018 habitait encore Issy-les-Moulineaux ? », interrogeait le journal. « Le mystère reste entier », concluait-il comme dans les meilleurs feuilletons d’antan. Le 27 septembre, nouvel article du JSD, qui titre, cette fois, « Sur les traces de Benalla à Saint-Denis », article dans lequel on raconte que Benalla a posé un lapin au JSD. Alors, question : « Mais que vient-il faire ici ? » Réponse d’un employé municipal, qui passait par là, comme par hasard : « Cela m’a choqué qu’il se montre à Saint-Denis… Après Jawad BendaoudTariq Ramadan, voilà Alexandre Benalla. On a la dream team à Saint-Denis. » Ce qui n’a pas plu du tout à Benalla, selon le JSD. Et peut-être pas aux deux autres aussi, mais le journal ne le dit pas. Au mois d’août, toujours selon le JSD, Benalla aurait même été vu dans un bar à chicha. L’homme est donc mûr pour partir en campagne électorale.

    Le dernier épisode du feuilleton Benalla dans le JSD est tout chaud du 1er octobre : « Alexandre Benalla sort du bois. » L’article du 27 septembre l’a rendu « furieux » et il menace, désormais, de poursuivre le journal. Réaction immédiate, sur Twitter, de Benalla : « Utiliser le journal de la ville, avec des gens (militants) payés par le contribuable dyonisien, à des fins électorales, ça s’appelle comment ? LE COMMUNISME !!! » Il va y avoir du sport.

    On a hâte de lire la suite…

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/benalla-futur-sarkozy-de-saint-denis/

  • Union des droites : 57% des sympathisants LR et 66% du RN favorables à des alliances LR-RN

    Les appareils politiques LR et RN ont beau avoir ignoré la convention de la droite, les faits sont têtus :

    Une majorité des sympathisants Les Républicains (57%) est favorable à des alliances avec le Rassemblement national, selon un sondage Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et Le Figaro publié mardi 1er octobre. C’est également le cas des deux tiers (66%) des sympathisants RN (…)

    Toujours d’après cette enquête, un quart des Français (24%) se disent “de droite”, Ils sont plus nombreux que ceux qui se disent “de gauche” (17%) ou “du centre” (13%). En revanche, près de la moitié des Français (45%) ne se positionne pas sur cet axe droite-gauche. (…)

    Alors que le pouvoir d’achat est en tête des préoccupations des Français en général, c’est l’immigration qui arrive en premier chez les sympathisants de droite (58%).

    https://www.lesalonbeige.fr/union-des-droites-57-des-sympathisants-lr-et-66-du-rn-favorables-a-des-alliances-lr-rn/

  • Marine Le Pen appelle à la mobilisation pour les Municipales 2020 !

  • Alexandre Devecchio : « Mécaniquement, l’alternance sera plutôt souverainiste, protectionniste, populiste »

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    Le journaliste du Figaro Alexandre Devecchio vient de publier Recomposition, le nouveau monde populiste. Allons-nous vers une recomposition populiste ? Réponse au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/alexandre-devecchio-mecaniquement-lalternance-sera-plutot-souverainiste-protectionniste-populiste/