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élections - Page 215

  • Algérie : une lourde révolte pour la France – Journal du lundi 11 mars 2019

     

    Algérie : une lourde révolte pour la France

    Des milliers de personnes descendent dans les rues en France contre Abdelaziz Bouteflika ! Alors que le président algérien est revenu à Alger dimanche, la contestation ne faiblit pas des deux côtés de la Méditerranée.

    Gilets Jaunes : un acte XVII qui suit la tendance

    A une semaine de la fin du grand débat national lancé par Emmanuel Macron, les gilets jaunes ont de nouveau battu le pavé, samedi. Malgré une baisse de la mobilisation, les gilets jaunes espérent toujours changer la donne

    Européennes : Le vrai départ approche

    A deux mois et demi du scrutin européen, le départ de la campagne semble poussif. Alors que l’essentiel des têtes de listes est désormais connu, la bataille devrait réserver encore son lot de surprises.

    l’Actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/algerie-une-lourde-revolte-pour-la-france-journal-du-lundi-11-mars-2019

  • Au-delà du vote blanc, de l’abstention et de la nullité des suffrages

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    Georges Feltin-Tracol

    Dans le cadre du fameux « Grand Débat national », vaste fumisterie propice à tous les exercices d’enfumage et bel exemple de jacasseries démocratiques futiles, les Français qui y participent suggèrent à défaut du « référendum d’initiative citoyenne » une meilleure prise en compte du vote blanc. On distingue depuis 2014 les suffrages nuls des votes blancs.

    Au second tour de la dernière présidentielle, tandis que l’abstention atteignait 25,44 %, le nombre de suffrages blancs s’éleva à 8,52 % et les votes nuls à 3 %. Comparés à 2012, ces chiffres en hausse expriment paradoxalement par leur non reconnaissance officielle un refus implicite de choisir entre les deux finalistes. Le système électoral hexagonal ignore la pertinence du vote blanc au nom de la fable de la majorité. Cette fiction s’achève enfin.

    Certains « Gilets jaunes » proposent que la prise en compte du vote blanc dans les suffrages exprimés permette, le cas échéant, d’annuler l’élection si les bulletins blancs dépassent les 50 %. Ne s’agit-il pas d’une confusion regrettable entre le refus d’entériner le choix (biaisée) proposé et le rejet compréhensible des candidats ? Ne faudrait-il pas plutôt instaurer au côté du vote blanc et du suffrage nul le « vote contre tous les candidats » ? Existe à l’Académie Française une procédure similaire. Les « Immortels » peuvent refuser un candidat en marquant leur bulletin d’une croix noire.

    Appliqué en Russie entre 1993 et 2006, réintroduit en 2014 pour les élections locales, ce « vote contre tous » en vigueur aussi en Ukraine témoigne de la détermination d’une partie de l’électorat qui se méfie de tous les candidats. À l’élection présidentielle ukrainienne de 2010, le vote contre tous les candidats au second tour obtenait 4 %. Viktor Ianoukovitch était élu avec 48,95 % face à Ioula Tymochenko (45,47 %).

    Plus que l’abstention qui révèle un réel apolitisme/a-civisme, que le suffrage nul qui marque une certaine désinvolture à l’encontre des institutions et que le vote blanc qui exprime un véritable mécontentement impuissant, le « vote contre tous les candidats » représente une indéniable motion de censure populaire aux conséquences considérables. Dans l’hypothèse où ce vote égalerait ou dépasserait la majorité absolue, non seulement la consultation serait annulée, mais les candidats ainsi défiés ne pourraient plus se représenter à la même fonction pour une durée précise. Introduire le « vote contre tous les candidats » correspond en fait à l’ostracisme de la démocratie antique athénienne.

    La reconnaissance du vote blanc, voire du « vote contre tous les candidats », ne suffira pas à déstabiliser la partitocratie. Deux autres mesures électorales affranchiraient mieux l’électeur des pressions partisanes : généraliser pour tous les scrutins de listes le panachage et le vote préférentiel. N’est-il pas temps en effet de rendre la parole au peuple, une parole depuis trop longtemps confisquée par les politicards, les médiats officiels, les partis, les lobbies et les banksters ?

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°115, mise en ligne sur TV Libertés, le 4 mars 2019.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • "Le mouvement des gilets jaunes va suivre Macron pendant tout son quinquennat"

    Gilets-jaunes.pngLa tête de liste du Rassemblement national pour les Européennes estime sur le plateau de BFMTV que le gouvernement n'a pas apporté de réponses aux manifestants.
    Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement nationale pour les Européennes était invité sur notre plateau samedi soir.
    Il est revenu sur la baisse de la mobilisation des gilets jaunes en estimant néanmoins que le mouvement allait "suivre Emmanuel Macron tout son quinquennat".
    “Ce mouvement des gilets jaunes va suivre Emmanuel Macron pendant tout son quinquennat, du moins sur les revendications qui ont été portées", a-t-il déclaré, avant de poursuivre:

    "La mobilisation faiblit mais elle reste très importante, notamment en province. (...) On a tout fait pour empêcher des Français sincères, qui ont du mal à boucler les fins de mois de descendre dans la rue", a-t-il estimé sur notre antenne.
    [...]
    En savoir plus sur  bfmtv.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/03/mouvement-gilets-jaunes-suivre-macron-quinquennat.html#more

  • Hervé Juvin : “L’Europe va changer de cap”

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    Les élections européennes approchent. Pour le candidat du Rassemblement national Hervé Juvin, pas de doute : les partis dits populistes sont sur le point de conquérir une minorité de blocage à Bruxelles.

    Hervé Juvin est présenté comme le “nouvel intellectuel” du RN. Alors quelles idées apporte-t-il à Marine Le Pen ? Entretien.

  • Fractures en Jaune et Vert

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    Georges Feltin-Tracol

    Le partage du pouvoir entre le Mouvement 5 Étoiles (M5S) et la Ligue n’est pas de tout repos. Malgré l’approbation d’un contrat de gouvernement tant par les « Verts » lighistes que par les « Jaune » grillinistes, de nombreuses crispations autour de sujets souvent cruciaux pour l’avenir de l’Italie parcourent l’équipe ministérielle de Paolo Conte.

    La déflagration aurait pu provenir du Diciotti, ce navire qui ne fit pas débarquer des étrangers clandestins sur l’injonction du ministre de l’Intérieur Matteo Salvini. Le parquet d’Agrigente lança aussitôt une information judiciaire contre le ministre et son chef de cabinet pour « abus de pouvoir et séquestration ». L’enquête requiert la levée de l’immunité parlementaire de Matteo Salvini par le Sénat. La perspective de ce vote plonge les sénateurs du M5S et, plus généralement, les militants dans une grande perplexité. En effet, le M5S combat la corruption politique, dénonce l’emprise de la Mafia et soutient les magistrats. Ses règles sont claires : l’inculpation de tout élu du M5S entraîne sa démission immédiate. Or Matteo Salvini a pris cette décision régalienne en concertation avec le président du Conseil et l’autre vice-président du gouvernement, le chef politique du grillinisme, Luigi Di Maio. Ses membres viennent de trancher par référendum électronique sur la plateforme Rousseau. 59 % rejettent la levée de l’immunité de Salvini. Dans la logique de démocratie impérative propre au M5S, ses sénateurs doivent s’y conformer, sinon ce sera une crise gouvernementale majeure.

    Un autre motif de tension entre partenaires gouvernementaux concerne la ligne à grande vitesse Lyon – Turin (ou TAV) et, plus généralement, la politique de relance de grands travaux d’infrastructures de circulation. Hostile à ces projets propices aux fausses factures et aux rétrocommissions, et au nom d’une vision écologique décroissante, le M5S s’oppose dès l’origine avec l’ultra-gauche à un Lyon – Turin indispensable pour l’essor économique de l’Italie du Nord riche en PME, base électorale de la Lega. Un abandon du TAV mécontenterait l’aile libérale, pro-européenne et régionaliste de la Liguequi n’apprécie guère l’alliance avec les Cinq Étoiles du Sudiste Di Maio. Celui-ci serait-il cependant prêt à renoncer à un point phare de son programme après la transformation du « revenu de citoyenneté » promis en un RSA à la sauce transalpine ?

    Le dernier gros contentieux se rapporte à la diplomatie. Sous la triple attraction de Viktor Orban, de Donald Trump et de Steve Bannon, la Lega a pris des positions eurosceptiques, néo-atlantistes et pro-sionistes. Elle considère le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais comme des formations terroristes, exige le désarmement nucléaire unilatéral de l’Iran et conteste la légitimité du président vénézuélien Nicolas Maduro. Pour le M5S, Nicolas Maduro demeure le président légitime; le Hamaset le Hezbollah sont des mouvements combattants; l’Iran est la victime de l’hégémonie belliqueuse de la Maison Blanche. Cette pondération diplomatique s’explique par l’influence toujours forte de son fondateur, le comique Beppe Grillo, dont la seconde épouse est d’origine iranienne.

    Ces frictions fragilisent l’actuelle coalition. Les récentes élections régionales dans les Abruzzes donnent l’avantage à la Ligue qui récolte maintenant trente années de militantisme sur le terrain tandis que le M5S ne dispose que d’un très faible maillage territorial militant. Il est dorénavant évident que les élections européennes de mai prochain établiront de nouveaux rapports de forces internes. Les grillinistes, élus, militants et sympathisants, seraient-ils prêts à rompre avec la Ligue au risque de déclencher de nouvelles élections législatives et la reconstitution autour de la personne de Salvini d’une union de toutes les droites ? Suivons donc avec attention tout ce qui va se passer dans les prochains mois au-delà des Alpes.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°114, mise en ligne sur TV Libertés, le 25 février 2019.

  • LR : la fuite des gauchistes se poursuit

    LR : la fuite des gauchistes se poursuit

    “C’est l’un des aspects positifs de la nomination de François-Xavier Bellamy comme tête de liste aux européennes. Le maire de Morlaix Agnès Le Brun et l’ex-député de la Moselle Marie-Jo Zimmermann ont annoncé qu’elles quittaient Les Républicainsaffirmant ne plus se reconnaître dans les valeurs et le fonctionnement de ce parti.

    Secrétaire départementale de LR depuis 2011, Agnès Le Brun est maire de Morlaix depuis 2008, conseillère régionale de Bretagne depuis 2015 et vice-présidente et porte-parole de l’Association des Maires de France.

    Marie-Jo Zimmermann, élue municipale de Metz depuis 2008 et député entre 1998 et 2017, explique, dans une lettre de démission, qu’elle a milité au RPR “”dès sa création”” en 1976, et qu’elle est depuis

    “”restée au service de notre parti, bien que les idées défendues aujourd’hui par LR soient parfois fort éloignées de celles du RPR de l’époque“”.

    C’est la désignation de François-Xavier Bellamy comme tête de liste LR aux Européennes qui a, écrit-elle à Laurent Wauquiez, déclenché sa volonté de quitter le parti. Mettant en cause “”les options concernant les femmes”” de Bellamy, elle dit ne pouvoir

    “”en aucun cas cautionner ni les prises de positions publiques hostiles à l’avortement, ce qui remet clairement en cause la loi Veil, ni une vision archaïque de la place de la femme dans la société. Je me suis trop battue, pour donner à la femme une place digne dans la société pour pouvoir accepter ces visions””.

    https://www.lesalonbeige.fr/lr-la-fuite-des-gauchistes-se-poursuit/

  • Faites entendre votre voix aux élections européennes, inscrivez-vous sur les listes électorales !

  • Sondage : la cote d'Emmanuel Macron baisse de nouveau

    3f9c865c5478f9542ba32661d6bd39c14e9f32bc130ba6c001917bfd90246db8.jpgIl perd trois points de popularité, là où son Premier ministre en gagne un.
    L'embellie aura duré deux mois. Après un regain de popularité, Emmanuel est à nouveau en baisse début mars, et celle d'Édouard Philippe gagne un point, selon un sondage auprès de 1 009 personnes, diffusé mardi et réalisé par Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio.
    Avec 31% des Français interrogés qui approuvent son action, le chef de l'État retrouve son niveau de septembre, avant la crise des gilets jaunes. Et 69% (en hausse de trois points) jugent négativement son action. 
    La cote d'Édouard Philippe progresse pour sa part légèrement, d'un point, pour le troisième mois consécutif. Il retrouve également son niveau de septembre avec 35% d'avis favorables.
    [...]
    En savoir plus sur lexpress.fr

  • Campagnes électorales : Emmanuel Macron en toute impunité ? – Journal du jeudi 7 mars 2019

     

    Campagnes électorales : Emmanuel Macron en toute impunité ?

    Mairie de Paris : ca bouge en coulisse

    Mounir Mahjoubi, Rachida Dati… les candidatures à la mairie de Paris s’enchaînent pour ravir le trône d’Anne Hidalgo. A un an du scrutin tout paraît encore possible !

    Sécurité : vers un « patriot act » à l’européenne ?

    Alors que la lutte contre le terrorisme bat son plein, les institutions européennes et les États membres mettent en place une batterie de mesures de surveillance et de fichage. Sous couvert de sécurité, la liberté des citoyens et la vie privée des européen se voit de plus en plus piétinée.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emmanuel-macron-en-toute-impunite-journal-du-jeudi-7-mars-2019

  • Sondages : la remontée d’Emmanuel Macron fait pschitt

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    5 février 2019 : « Macron : la remontée spectaculaire » (Paris Match), « L’incroyable remontée »(Actu Orange).

    5 mars 2019 : un nouveau sondage IFOP-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio enregistre une baisse de trois points de popularité pour le président de la République. Ce « coup d’arrêt », après deux mois d’intense matraquage médiatique, indique que l’effet grand débat a trouvé sa limite.

    L’analyse du détail des chiffres montre qu’il ne s’agit pas seulement d’un simple mouvement de yo-yo. Ainsi, Emmanuel Macron continue de progresser dans son propre électorat : +9 % (à 72 %) chez ses électeurs du premier tour de la présidentielle. Il a remobilisé – en partie seulement – ses partisans. L’idole et ses fans se sont retrouvés en campagne, comme aux beaux jours de 2017, et la magie opère toujours sur ces adeptes. Grand bien leur fasse.

    Mais Emmanuel Macron enregistre des baisses spectaculaires dans des électorats qui avaient assuré sa victoire : les retraités (-13 %) et les électeurs LR (-17 %) ! Des électorats très sensibles aux questions de sécurité. L’attaque du détenu djihadiste de Condé-sur-Sarthe et les révélations sur sa « vie de famille » à la prison tout comme les nuits de violences urbaines à Grenoble ne sont pas de nature à rassurer ces électorats sur la politique du Président en la matière.

    Emmanuel Macron subit une autre chute dans un domaine essentiel où l’on aurait pu croire que son image n’était pas atteinte par les questions soulevées par la crise des gilets jaunes : 46 % des Français (-8 %) estiment qu’il ne défend pas bien les intérêts de la France à l’étranger. Est-ce la question du retour des djihadistes ? Le silence sur la crise en Algérie ? Les inquiétudes sur l’avenir de la PAC ? La fermeture de l’usine Ford de Blanquefort et le plan social pour ses 850 salariés ? Un ensemble, certainement.

    Logiquement, ce même sondage montre que le Président est encore en recul sur le thème de la « proximité avec les préoccupations des Français » : -4 %, à 22 % seulement. Et, pour 67 % des Français, le mouvement des gilets jaunes constitue une véritable préoccupation. Un autre sondage ViaVoice publié, lundi, par Libération indique que, pour 65 % des Français, Emmanuel Macron « ne semble toujours pas comprendre la gravité de la crise politique et sociale » des gilets jaunes et que seuls 38 % pensent que le grand débat était « la bonne réponse ».

    Com’ Macron, ou réalité des problèmes : on ne saurait mieux dire l’ampleur du clivage, et peut-être du choix, pour les prochaines élections. On assiste à une sorte ce cristallisation en fonction de ces deux paramètres : la personnalité du Président et la prise en compte de la réalité. La question pour l’électorat, et notamment pour cet électorat de droite et âgé qui a assuré sa victoire il y a deux ans, est désormais : Emmanuel Macron traite-t-il les vrais problèmes sur le fond ? Et visiblement, avec le grand débat, pour ces gens-là, la réponse est : « non ».

    Emmanuel Macron, ou la grande déconnexion.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/sondages-la-remontee-demmanuel-macron-fait-pschitt/