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élections - Page 218

  • LE REFERENDUM D’INITIATIVE CITOYENNE BONNE OU MAUVAISE CHOSE ? TOUS LES ARGUMENTS !

  • Gilets Jaunes / Un acte IX regonflé à bloc – Journal du lundi 14 janvier 2019

     

    Gilets Jaunes / Un acte IX regonflé à bloc

    Les Gilets Jaunes défient le temps. Pour le 9ème samedi consécutif, le mouvement s’est encore regonflé. De plus en plus de villes moyennes emboîtent le pas de la mobilisation, au mépris de l’essentiel des commentateurs.

    Société / Grand débat et petites diversions

    Alors qu’Emmanuel Macron a adressé une lettre pour esquisser les contours du grand débat national, une majorité de Français ne souhaite pas y prendre part. En cause : la crainte d’un débat verrouillé et sans solution possible.

    Politique / La machine RN en marche vers Bruxelles

    Dimanche, le Rassemblement National a présenté ses 12 premiers candidats pour les élections européennes. Une échéance cruciale pour le parti en tête des sondages.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-un-acte-ix-regonfle-a-bloc

  • Thierry Mariani : « Nous pouvons remettre l’Europe au service des Nations et de leurs peuples. »

  • En finir avec “eux”? Le bon sens de l’effort

    drapeau-francais-autorise-1024x576.jpg«On arrive»!  Lors de la grande   réunion publique hier à La Mutualité  lançant la campagne du RN pour les élections européennes,  Marine  a pronostiqué d’ores et déjà que La Lettre aux Françaisqu’Emmanuel  Macron diffuse aujourd’hui ne sera pas à même d’apaiser les tensions. Car « à  ce stade de rupture avec le peuple, si Emmanuel Macron n’a pas la sagesse de changer de politique, s’il n’a pas la sagesse de se tourner à nouveau vers le peuple par une dissolution (de l’Assemblée NDLR) pour en appeler au jugement démocratique, alors l’arbitrage politique devra venir des élections européennes. Pour les électeurs l’enjeu sera clair:  il s’agira de battre Macron ! La seule force en mesure de battre Macron c’est notre liste.» «Dans le contexte de la saine révolte populaire des Gilets Jaunes, cette élection européenne du 26 mai 2019 (…) offre l’occasion de dénouer la crise politique née de l’aveuglement, de l’intransigeance, du mépris de classe, de la spoliation fiscale et de la déconnexion humaine d’un président.» «Le moment du grand basculement politique» est venu,  le moment d’en  finir avec l’inique et inefficace  système bruxellois à tuer les peuples pour y substituer « l’Alliance européenne des nations » car «c’est au peuple de décider de l’Europe qu’il souhaite, personne ne nous enlèvera ce droit! » «C’est à nous de décider qui rentre chez nous, qui y reste, et si nécessaire, qui est invité à repartir» a notamment rappelé la présidente du RN.  Et il y a en effet urgence à agir.  Sur son compte twitter, l’essayiste Olivier Marteau  confiait qu’il était « cette semaine à une réunion LREM. Un   ministre en exercice était là et a déclaré très précisément ceci: la France a récupéré 200 000 migrants d’Allemagne depuis 2015. C’est vraiment du second choix. Les Allemands nous ont envoyé tous ceux qu’elle juge incapables de s’intégrer. » Et M. Marteau de relayer  un  article du Monde qui rapporte que «Selon la préfecture d’Ile-de-France, la région a connu  une augmentation de 45 % du nombre de demandeurs d’asile  en 2018, ce qui a  saturé les centres d’hébergement ». Jordan Bardella lui l’a promis hier au nom du RN  lors de son allocution:  «Au pouvoir, nous ne dépenserons pas un seul euro pour les migrants tant que des Français dormiront encore dans la rue !»

    Un peuple Français lui aussi  largement arrivé à saturation des politiques euromondialistes menées depuis des décennies. L’acte IX de la mobilisation  des Gilets Jaunes  en  a apporté une nouvelle démonstration avec un  record de mobilisation  dans de nombreuses villes de province , comme à Bordeaux notamment, aidée en cela par un président de la République qui selon certains continue de jouer, par perversité (?), maladresse (?) ou inconscience (?),  la carte de la provocation verbale. Dernier exemple en date,  vendredi à l’Elysée, lors de la dégustation  de la traditionnelle  Galettes des rois, en présence de jeunes apprentis,  Emmanuel Macron  s’est adressé  sans les  nommer,  aux Gilets Jaunes: « On n’a rien dans la vie s’il n’y a pas (d’) efforts. Beaucoup trop de nos concitoyens pensent qu’on peut obtenir sans que cet effort soit apporté (…)  «Et s’il n’y a pas ce sens de l’effort, le fait que chaque citoyen apporte sa pierre à l’édifice par son engagement au travail, notre pays ne pourra jamais pleinement recouvrer sa force, sa cohésion, ce qui fait son histoire, son présent et son avenir.»

    Cette manière de définir  les GJ  comme des tire-au-flanc ou des assistés professionnels n’a pas manqué d’exacerber les tensions.  Sur le plateau de C dans l’air, le criminologue Alain Bauer a constaté  avec consternation la déconnexion du locataire de l’Elysée avec les Français d’en bas: «Au-delà de l’arrogance du terme, Macron n’a pas compris qui il avait en face de lui. Ceux qu’il a en face de lui sont les gens de l’effort quotidien et pas des glandeurs. Cette erreur d’analyse provoque à chaque fois une recrudescence de colère. »

    Colère dont sont victimes par ricochet certains médias, les chaines d’infos en continu notamment, qui couvrent  les rassemblements de Gilets Jaunes. Médias  (pré)jugés partiaux, menteurs, tricheurs, truqueurs dans  leur couverture des événements, vendus au pouvoir, à la macronie car aux  mains de la poignée de milliardaires qui ont fait campagne pour le candidat Macron en 2017 et qui  possèdent   90 % des quotidiens nationaux,  des télévisions et radios de grande audience.  

    Il est devenu ainsi très compliqué pour des journalistes de se montrer dans les rassemblements  et ils ont été victimes d’agressions physiques et verbales, parfois violentes,  comme ce fut  cette fin de semaine à Rouen. Ces violences  frappant des lampistes ont été dénoncées  comme il se doit par l’ensemble de cette corporation et notamment par Reporters sans frontières (RSF).  Secrétaire général de RSF, Christophe Deloire est pleinement dans son rôle quand il demande sur twitter « aux portes-paroles des Gilets Jaunes de dénoncer les violences croissantes contre les journalistes, qui relèvent clairement d’une logique totalitaire. Tout silence serait une forme de justification du lynchage.» Nous pouvons aussi comprendre qu’il ait été choqué, comme ses confrères,  par cette déclaration de la magistrate et ancien ministre des Affaires Européennes (2002-2004), Noelle Lenoir qui a déclaré  que    « les journalistes de LCI agressés (à Rouen)  par les GJ sont responsables de ce qu’ils subissent, mais aussi de ce qu’ils font subir aux Forces de l’ordre jour après jour. Ils ont donné à longueur d’antenne une tribune à l’édification de la violence, de la provocation au meurtre, de l’insulte et de la bêtise.»

    En avril dernier, M. Deloire  expliquait que « contester aujourd’hui la légitimité du journalisme, c’est jouer avec un feu politique extrêmement dangereux . » Fort bien mais nous précisions aussi  que tronquer sur ordre, par idéologie ou autocensure,  la réalité,  la déformer  voire la passer sous silence quand celle-ci ne va pas dans le sens des puissants ou de l’histoire,  c’est aussi jouer avec un feu politique extrêmement dangereux.  

    Pareillement il est aussi un peu curieux de voir Gilles Clavreul, ex préfet en charge  à l’époque de Manuel Valls de  la DILCRAH (Délégation interministérielle contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT)  se désoler de ce que « la liberté d’expression ( soit) malmenée» après les agressions de cette  fin de semaine: «qui ose se prétendre démocrate en molestant des journalistes ?» Entendons ce cri du coeur mais M. Clavreul fut aussi à la tête de ce ce  grand plan d’action à 100 millions d’euros  contre le racisme lancé en avril 2015, qui,  en synergie avec le ministre Le Roux,  visait à  aggraver  la répression de la police de la pensée, à interdire  toujours plus la liberté de pensée, de parole et de critique.

    Autre exemple de ce double-langage, le journaliste  Claude Askolovitch affirmait sur twitter qu’« Il faut être le dernier des imbéciles pour attaquer au nom du peuple La  Voix du Nord, journal fondamentalement populaire. Il est temps que les représentants des Gilets Jaunes et leurs soutiens, tel le journaliste (et député) Francois Ruffin,  repoussent fascistes, haineux et crétins.» Mais quid M. Askolovitch de l’attitude de La Voix du Nord qui mène ouvertement ,  en le proclamant et en s’en vantant,  des campagnes à charge depuis des années  contre le FN,  Marine Le Pen , le maire d‘Hénin-Beaumont Steeve Briois  Il ne s’agit certainement pas pour nous de légitimer la violence,  d’empêcher la libre expression de la sensibilité politique d’une rédaction,  mais un journal fondamentalement populaire est-il dans son rôle en concentrant toutes  ses attaques haineuses et crétines  sur un mouvement qui recueillie, notamment dans le Nord, une large majorité des suffrages des catégories populaires, du monde ouvrier?

    Bruno Gollnisch avait fait sensation lorsqu’il avait détruit le micro espion d’un journaliste du petit journal de l’inénarrable  Yann Barthès le 1er mai 2015. Mais cette défiance vis-à-vis des journalistes est largement partagée. Selon l’enquête annuelle du Cevipof, 88 % des Français ne font pas confiance aux partis politiques  73% des Français ne  font pas confiance aux médias, ils sont pratiquement autant  à ne pas faire confiance aux banques (70%).  Ce sondage traduit un rejet des mensonges dont les Français sont abreuvés depuis quarante ans. Cette classe politico-médiatico-bancaire est totalement  démonétisée, les Français ne sont plus dupes, toutes les belles lettres et autres  déclarations la main sur le coeur n’y changeront rien.   A fortiori quand ces mêmes médias et politiciens passent sous silence le bilan des consignes répressives  données parChristophe Castaner pour mater  les GJ,  les dissuader  de manifester: des milliers de blessés, des dizaines de femmes et d’hommes mutilés à vie (mains arrachées,  yeux crevés, mâchoires en miettes…) y compris chez des manifestants pacifiques. Cela n’excuse certainement pas qu’un journaliste isolé soit tabassé, mais  permet d’expliquer la fureur  de certains. Encore une fois, cette stratégie de la tension est initiée par ce gouvernement, là où Marine Le Pen et le RN proposent  une sortie de crise par le haut en redonnant VRAIMENT la parole au peuple souverain. 

    https://gollnisch.com/2019/01/14/en-finir-avec-eux-le-bon-sens-de-leffort/

  • Européennes : Marine Le Pen lance sa campagne et étrille Macron

    marine-le-pen-candidate-fn-a-la-presidentielle-le-26-fevrier-2017-a-saint-herblain-pres-de-nantes_5807921.jpgMarine Le Pen a donné le top départ de sa campagne pour les élections européennes, ce dimanche 13 janvier, à la maison de la Mutualité, à Paris, rapporte Le Figaro. 
    La présidente du RN veut faire de cette élection un référendum sur la politique d'Emmanuel Macron, embourbé dans la crise des « gilets jaunes ».
    Un objectif «  battre Macron », a martelé Marine Le Pen. Pour la présidente du RN, le chef de l’Etat est « le principal responsable de la situation (des gilets jaunes), c’est lui. Il n’incarne rien d’autre que la confusion, le tâtonnement et le désordre. Peut-être demain, le chaos ? ».  
    Marine Le Pen a estimé que « dans le contexte de la saine révolte des gilets jaunes », les européennes constitueront « l'occasion de dénouer la crise politique née de l'aveuglement, de l'intransigeance, du mépris de classe, de la spoliation fiscale et de la déconnexion humaine d'un président, dérangeant dans ses attitudes, inquiétant dans ses comportements, incompétent dans ses fonctions. » 
    La présidente du RN a également fustigé l'Europe actuelle, jugeant qu'avec son Rassemblement, « l'Aquarius n'accostera pas sur les côtes européennes ».
    [...]
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  • IL PRÉTEND S'OPPOSER AU SYSTEME : MÉLENCHON N'EST QUE SON CHIEN DE GARDE

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  • Discours de Marine Le Pen pour le lancement de la campagne pour les élections européennes 2019.

  • Emmanuel Macron et son « sens de l’effort » : le fait-il exprès ? La réponse est oui

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    Ce n’est pas possible ! Ce n’est pas possible que tout ce gigantesque bazar ne soit pas voulu ni orchestré de « quelque part », ou alors c’est encore pire… Comment un président de la République réputé brillant et intelligent peut-il proférer de telles paroles à la veille même d’un samedi de manifestations ?

    Les nunuches et les clones de service nous débitent à longueur d’antenne qu’il ne s’adressait qu’à la corporation des boulangers, métier ô combien méritoire par ce qu’il comporte d’efforts et de sacrifices. Mais plus personne n’y croit. Même les journalistes des chaînes de propagande n’y croient plus…

    Une première hypothèse consiste à penser que Macron est un idiot du village qui ne mesure pas la portée de ses paroles ni de ses actes.

    Je ne crois pas un instant à cette hypothèse.

    Je pense, au contraire, que tout cela est délibéré pour parachever l’œuvre de destruction systématique et méthodique de la maison France qu’il a initiée dès le début de son mandat.

    Il est manifeste que « plus rien ne marche » dans ce pays : après la destruction de l’industrie, de l’économie, de l’éducation, de la santé, de l’armée, de la justice, de l’administration, etc., il fallait s’occuper de l’anéantissement de la société. Si les revendications des gilets jaunes sont jugées si disparates, alors qu’elles ne sont que le cri d’un peuple en désarroi, c’est bien la preuve que « le navire France prend l’eau de partout ».

    Quelle belle occasion que celle du mouvement des gilets jaunes ! Il est évident que « plus ça dure et mieux c’est », car le mouvement va bien finir par se fracturer de lui-même, tant il provoquera de mécontentement et de « ras-le-bol ».

    Et c’est exactement ce qui se produit : les Français commencent à se diviser, surtout quand on leur sert la sempiternelle ritournelle des dégâts économiques causés par le mouvement. Et le « tout répressif » permet de vanter et vanter encore les mérites de nos forces de l’ordre face à cette « foule haineuse » et tous ces casseurs finalement bien utiles pour discréditer le mouvement.

    Un mouvement qui, au passage, ferait une grave erreur en présentant une liste aux européennes. En siphonnant un bon nombre de voix au Rassemblement national, alors qu’un boulevard s’ouvre à ce parti, les gilets jaunes feraient finalement le jeu de Macron ! Ce calcul cynique est tout à fait plausible quand on connaît maintenant mieux l’ex-banquier d’affaires et ses sbires !

    Cela expliquerait aussi pourquoi le pouvoir fait durer le mouvement en soufflant sans cesse sur les braises, encore une fois, d’une façon trop grossière pour ne pas être voulue.

    À moins, aussi, qu’il ne s’agisse de quelque chose de beaucoup plus inquiétant pour le monde occidental : sa destruction programmée.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-et-son-sens-de-leffort-le-fait-il-expres-la-reponse-est-oui/

  • RN/LFI : un scénario à l’italienne est-il possible en France ?

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le sondage IFOP Paris-Match en date du 8 janvier dernier donne le Rassemblement national en tête de tous les partis.

    Porté par le mouvement des Gilets jaunes, le parti présidé par Marine Le Pen se positionne ainsi comme le premier parti d’opposition au système Macron. Sur les derniers mois, la progression est spectaculaire : de septembre 2018 à janvier 2019, le RN passe en effet de 22 à 35% de soutien dans l’opinion publique, alors que dans le même temps, la France Insoumise s’effondre de 42 à 30%. Explication : d’un côté, le grand-guignolesque épisode des perquisitions de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions dans les locaux de la France Insoumise ; et de l’autre, le subtil jeu d’intelligence politique de Marine Le Pen lors des diverses « actes » de la crise des Gilets jaunes, à l’opposé des gros sabots mélenchoniens.

    Forte de sa position dominante, Marine Le Pen semble davantage capable de mettre en œuvre une stratégie de convergence que ne pouvait l’être un Jean-Luc Mélenchon

    Ce dernier est de plus en plus fragilisé au sein même de son parti. Fin novembre, le comité électoral de LFI décidait ainsi de renvoyer de la liste des européennes deux « orateurs nationaux» du mouvement : Djordje Kuzmanovic et François Cocq. De son côté, dans Valeurs actuelles de ce mercredi, la présidente du Rassemblement national a souverainement estimé qu’à l’occasion de la crise des Gilets jaunes, « certaines convergences » étaient apparues entre son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon : l’Europe, les traités de libre-échange, l’euro, les retraites, la renationalisation des autoroutes, le protectionnisme, etc. Une ligne rouge rédhibitoire cependant : l’immigration. Pour Marine Le Pen, « Jean-Luc Mélenchon n’a pas le courage d’effectuer la rupture politique qui serait nécessaire […] La tentation de rompre avec cette idéologie immigrationniste ultraradicale lui a traversé l’esprit, mais il est coincé » ironise la présidente du RN, qui brocarde les « gauchistes, communautaristes et indigénistes » qui constituent, selon elle, l’ossature du mélenchonisme en acte. De fait, le 18 novembre dernier, à l’occasion d’un déplacement à Épinay-sur-Seine, Jean-Luc Mélenchon a déclaré, « Je sais quelles sont les populations qui sont là dans ces quartiers. Eh bien moi je veux les nommer. Je n’ai pas peur, je n’ai pas honte de le dire. Ceux que vous voyez là, c’est la nouvelle France ».

    Une profession de foi qui rend illusoire tout scénario à l’italienne, Lega/5*, entre RN et LFI…

    Compte tenu du logiciel profondément cosmopolite de M. Mélenchon, autant promouvoir le mariage de la carpe et du lapin. Mais Mélenchon n’est pas éternel et sa stratégie Terra Nova a montré ses limites : la conscience politique et la capacité d’auto-organisation dont font preuve les Gilets jaunes est sans commune mesure avec celles dont semblent être capables les « quartiers populaires ». La politique de la main tendue de Marine Le Pen avec la gauche semble néanmoins vouée à l’échec. Le RN est condamné à siphonner les Républicains…

    https://fr.novopress.info/213214/rn-lfi-un-scenario-a-litalienne-est-il-possible-en-france/

  • Pour Alain Duhamel, Marine Le Pen est “plus forte que jamais”

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    Dans une interview à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, Marine Le Pen déborde d’optimisme quant à ses perspectives politiques. Cela se voit à travers la séquence des “gilets jaunes” où elle est particulièrement à l’aise. On voit bien que beaucoup des thèmes qui affleurent vont dans son sens et que son électorat est le plus proche des “gilets jaunes”.

    Pour Alain Duhamel, l’optimisme de Marine Le Pen est notamment dû au “mouvement populiste mondial”. Les populistes aujourd’hui sont au pouvoir aux États-Unis et au Brésil et progressent en Europe. Ce qui sont les adversaires de Marine Le Pen, sont aujourd’hui en mauvais état. C’est le cas d’Emmanuel Macron, qui n’a jamais été dans une situation aussi difficile, mais aussi Laurent Wauquiez qui visiblement est un des vaincus de l’affaire.

    Enfin, Marine Le Pen a également changé sa stratégie à propos de l’Europe. Elle se dit en situation de changer des choses de l’intérieur. Elle espère même que les populistes forment le premier groupe au prochain Parlement européen.