élections - Page 329
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Les enjeux du Grand Débat - Journal du mercredi 3 avril 2017
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« Le Vrai Macron #03 » : L'as de l'économie
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Marion MARECHAL-LE PEN (01/05) interviewée après le meeting de M. LE PEN à VILLEPINTE
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Stoppons Macron ! #42 - extrait de Cap sur l'Élysée
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LR a décidé de perdre les législatives
Alors que LR a désigné François Baroin, qui se proposait comme Premier ministre d'Emmanuel Macron, pour conduire le parti aux législatives, une centaine de "petites mains" LR tirent le signal d'alarme contre la fin de ce parti moribond :
"Nous comprenons les hommes et femmes de droite qui ont appelé les électeurs à voter pour Emmanuel Macron [sic]. Nous comprenons les hommes et femmes de droite qui ont appelé à ne pas voter pour Marine Le Pen. Nous comprenons enfin ceux qui, déboussolés, ont préféré garder le silence. Mais ce que nous ne comprenons et n’acceptons pas, ce sont ces vains anathèmes et demandes d’exclusion proférés à l’encontre de ceux qui auraient le mauvais goût de ne pas utiliser les mots d'autres dans leur opposition au danger Le Pen. Ce sont ces calculs politiciens indignes de la situation politique et de l’état de la France. C’est ce pari sur la défaite à venir, en plus de celle subie. C’est ce refus de livrer franchement, et sans compromission, la bataille des législatives. Pendant toute la campagne présidentielle, nous, jeunes sympathisants et militants, avons tracté soirs et matins sur les marchés, devant les sorties de gare et les supermarchés ; nous avons passé nos nuits à coller les affiches de campagne, nous avons organisé partout en France des cafés politiques et des réunions publiques, souvent avec le soutien généreux de nos élus locaux, parfois abandonnés par des ténors trop timorés. Nous serons encore là demain, prêts à militer et à convaincre. Mais pas à n’importe quel prix, pas sur n’importe quelle ligne.
[...] Notre famille politique est pleine de talents, de François Baroin à Bruno Retailleau ; de Laurent Wauquiez à Bruno le Maire ; de Xavier Bertrand à Eric Ciotti ; de Valérie Pécresse à Nathalie Kosciusko-Morizet. Nous les appelons aujourd’hui à mettre de côté leur égo et leur sensibilité idéologique ; de cesser cette politique du pire et à unir leurs talents pour l’échéance à venir. [...]"
Au contraire, LR a besoin d'une clarification idéologique et politique : quelles idées et quelles alliances ? Pour le moment, il a choisi la gauche. CQFD.
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La France macronisée
Bernard Plouvier
Le candidat Macron, peut-être dopé par le muguet, à moins que ce ne soit par les sondages, joue de plus en plus à l’hercule de foire. Dans sa dernière pitrerie, il voudrait faire de Marine Le Pen la candidate de l’Anti-France !
C’en devient risible et ce n’est pas sans évoquer une supercherie historique : la bataille de Valmy, qui fut selon les doctes historiens militaires une « bataille à fronts renversés ». Effectivement, les Prussiens, venus de l’Est, se retrouvaient à l’Ouest du terrain, et les Français étaient séparés de la direction de Paris par l’armée ennemie. Cela n’avait guère d’importance, puisque les généraux savaient qu’ils ne livreraient qu’un semblant de bataille.
Tout se réduisit, en effet, à une canonnade, qui fit néanmoins quelques centaines de morts des deux côtés. C’était le prix, acquitté par les malheureux figurants, pour créer une légende nationale française et laisser repartir chez eux des généraux d’Outre-Rhin, enrichis par quelques bijoux de la couronne, volés au Garde-Meubles par le sieur Georges Danton (ministre de la Justice !) et ses monte-en-l’air… les mœurs de voyous de nos honorables excellences de la Ve tirent leur origine des « Grands Ancêtres ».
La galéjade macronesque de cette fin de campagne ressemble fort à la comédie burlesque de septembre 1792 et, comme ce fut le cas il y a 230 ans (ou presque), ce sont des Français qui vont faire les frais des macroneries, comme ils devinrent de la chair à canons durant les vingt années qui suivirent la « Victoire de Valmy ».
Prenons le Macron-rigolo au mot : Marine = Anti-France. Cela revient à dire que :
1 – L’immigration-invasion d’extra-européens, singulièrement de terroristes mahométans, d’imams et d’ulémas gueulant leurs appels au djihâd le vendredi soir dans les mosquées (qui servent parfois de salles d’entraînement aux sports de combat), des violeurs en tournantes, des voleurs & nobles racketteurs, des trafiquants de haschisch (cette belle plante, indispensable à la balance commerciale du Maroc), des vandales & casseurs, des petits dictateurs des 2000 cités de non-droit, en un mot : nos exotiques, « c’est la France », selon saint-Macron.
2 – Les financiers et négociants cosmopolites, les spéculateurs à l’argent tellement volatil qu’à la fin d’une journée de boursicotages, il a fait trois fois le tour (fictif) de la planète : « c’est la France » de Macron, le politicien issu du monde merveilleux du capitalisme de spéculation.
3 – La désertification industrielle de la France, liée aux délocalisations d’entreprises (nettement plus nombreuses en France qu’en Allemagne) : « c’est la France » de Macron, l’homme-lige de l’économie globale.
4 – que l’intégration programmée de l’agriculture française au sein d’énormes groupes multinationaux : « c’est la France », chère à Macron-mondialisation.
5 – Que l’insécurité dans les quartiers non-chics (donc non ou à peine surveillés par la police), les forces de l’ordre perpétuellement défiées & ridiculisées par les voyous gauchistes et les délinquants d’origine extra-européenne : « c’est la France » de Mignon-Macron.
L’étude des promesses de Papa Noël-Macron démontre à l’évidence que la seule Anti-France, c’est celle que nous concoctent, nous préparent, nous fignolent ceux qui agitent les ficelles de Macron-Pantin.
Dès le 8 mai (quel symbole !), les Français vont apprendre à souffrir plus encore qu’actuellement. Ils en viendront même à regretter Bouffon Ier !
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Vers l'alliance des patriotes? - Meta TV 3/3
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On ne peut pas expliquer aux électeurs que, pendant des mois, on est pour Fillon, puis, le lendemain on est pour Macron
Soutien de Nicolas Sarkozy au premier tour de la primaire de la droite, puis de François Fillon pour lequel il a fait campagne jusqu’au 23 avril, le Centre national des indépendants et paysans (CNIP), plus ancien parti de la droite française, « appelle à s’opposer au candidat qui représente le plus les forces de gauche et du centre ». Son président, Bruno North, explique dans Minute :
"Je ne vois pas comment, après avoir voté contre quelqu’un qui veut dissoudre la France dans un magma mondialiste, je pourrais appeler à voter pour lui. Ni dimanche soir, ni le lundi, ni le mardi, ni après ! Macron représente tout ce que nous exécrons en politique. Si lui ne fait pas partie du système, je ne sais pas qui en fait partie. Si nous avons participé à cette primaire de la droite, où nous avons soutenu Nicolas Sarkozy puis François Fillon après le premier tour, c’est sur la base de nos convictions, qui sont patriotiques et libéral-conservatrices. En réalité, la grande majorité de ceux qui appellent à voter pour Macron n’attendaient que cela, pour ne pas dire qu’ils l’espéraient. Les Raffarin, les Juppé – et je ne parle même pas des centristes – attendaient juste que la bête meure pour se débarrasser du programme qu’il portait. Parce que c’était ça leur problème : à leurs yeux, Fillon était trop à droite. Trop réac ! Trop libéral ! Et les voilà maintenant qui font campagne pour Macron comme ils n’ont jamais fait campagne pour Fillon ! Pour ma part, j’ai fait une quinzaine de déplacements, j’ai tenu des discours droitiers et j’ai été loyal jusqu’au bout. Au nom du CNIP, je tiens à le dire : moi, je suis fier d’avoir soutenu et fait campagne pour François Fillon. Je suis désolé mais on ne peut pas expliquer aux électeurs que, pendant des mois, on est pour Fillon, que, le lendemain de sa défaite, on est pour Macron, et, que, le surlendemain, on sera dans l’opposition pour empêcher Macron d’avoir une majorité à l’Assemblée ! C’est Ubu roi cette affaire !
Il faut se rappeler ce qu’on est et d’où l’on vient. Le CNIP s’est constitué en 1949 pour faire face aux forces de gauche et du centre. Ce combat contre la gauche et le centre, quelle que soit l’apparence que prennent ceux qui se réclament du « progressisme », est dans notre ADN – et, subsidiairement, dans nos statuts. Et aujourd’hui, on soutien- drait quelqu’un qui représenterait la gauche et le centre ? C’est impensable. [...]"
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Vers l'alliance des patriotes? - Meta TV 2/2
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Vers l'alliance des patriotes? - Meta TV 1/2