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élections - Page 328

  • Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan : Pour alliance patriote et républicaine | Marine 2017

  • Le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen provoque un tollé

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    Le candidat de Debout la France, qui est arrivé sixième avec 4,7 % des voix au premier tour de la présidentielle, a affirmé avoir passé un “accord de gouvernement” avec Marine Le Pen. Ce nouveau soutien provoque un tollé.

    Je soutiendrai Marine Le Pen, je ferai campagne même avec elle sur un projet de gouvernement élargi.
    J’aurais pu faire comme beaucoup de personnalités politiques, me laver les mains au second tour, l’intérêt personnel, c’est de faire ça, l’intérêt de mon parti aussi, qui n’a jamais donné de consigne de vote. Mais je pense que la France est à la croisée des chemins. Notre pays […] a vécu cinq ans terribles avec François Hollande, et je pense que Macron est un François Hollande puissance dix, fabriqué par des intérêts financiers, médiatiques.

    Ce soutien apporté à Marine Le Pen a provoqué un tollé. Dominique Jamet, vice-président de Debout la France, a annoncé qu’il quittait le mouvement, tout comme Éric Anceau.
    François Bayrou, qui n’a pas honte d’avoir soutenu Hollande, a déclaré : “Dupont-Aignan : qu’on ose se dire gaulliste en faisant un tel choix, immense honte !

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  • Présidentielle : la profession de foi de Marine Le Pen pour le second tour

    Profession-de-foi-Marine-Le-Pen-1-500x685.jpgElle n’a pas encore distribuée aux électeurs : voici la profession de Marine Le Pen pour le second tour de l’élection présidentielle. Elle comprend notamment ce texte de Marine Le Pen :

    « Nous ne pouvons pas continuer à mener la même politique que celle du quinquennat Hollande où la France s’est effondrée dans tous les domaines.C’est pourtant ce que veut mon adversaire, soutenu par toutes les anciennes figures du système dont François Hollande, et déterminé à aller plus loin dans le saccage de la France, de notre protection sociale et de notre identité nationale.

    Je vous propose à l’inverse de choisir la France.

    Choisir la France, c’est retrouver notre indépendance, c’est protéger notre mode de vie, préserver notre pays de l’immigration massive et du communautarisme. C’est permettre le respect d’une laïcité ferme, protéger les droits des femmes. C’est aussi mener une lutte implacable contre le terrorisme islamiste et l’insécurité chronique qui empoisonnent la vie de millions d’entre vous.

    Choisir la France, c’est faire en sorte que les emplois soient créés sur notre territoire, au bénéfice des Français, c’est lutter contre la concurrence internationale déloyale et renforcer le pouvoir d’achat de nos compatriotes, c’est rendre à la France la possibilité de faire du patriotisme économique et de se protéger dans la mondialisation sauvage.

    Ne renoncez pas, soyez fiers d’être Français. Vous n’avez que la France pour vous défendre, la France n’a que vous pour la défendre. » 

    Profession de foi Marine Le Pen 2

    Profession de foi Marine Le Pen 3

    Profession de foi Marine Le Pen 4

    https://fr.novopress.info/

  • On voit au travers des ralliements à Macron, se reformer le front parlementaire utilisé par Sarkozy pour contourner le résultat du référendum

    Le G21 est un cercle de réflexion qui regroupe d’anciens hauts fonctionnaires, entrepreneurs et économistes, ayant exercé des responsabilités autant dans le secteur public que privé. Jean-Pierre Gérard, président (photo), Jean Hernandez vice-président, Henri Conze vice-président, Christian Després trésorier, Jacques Aurin secrétaire général, publient cette note :

    6a00d83451619c69e201b7c8f236b4970b-800wi.jpg"La plupart des commentaires sur le premier tour de l’élection présidentielle font référence à une opposition droite gauche. Il apparaît à l’évidence que le véritable enjeu organisé pour le deuxième tour correspond à la partition du corps électoral entre les eurolâtres, qui ne vivent que pour la suppression de la souveraineté française dissoute dans une Europe fédérale et antidémocratique, et les patriotes qui souhaitent que l’Europe soit construite sur des critères respectant mieux la volonté des peuples. Ce débat depuis le refus de la constitution européenne au référendum de 2005, est toujours sous-jacent dans toutes les consultations électorales. Aujourd’hui encore, on voit au travers des ralliements à E. Macron, se reformer le front parlementaire utilisé par Nicolas Sarkozy pour contourner le résultat du référendum.

    Dans ces conditions, et vu le peu de clarté des propositions du candidat Emmanuel Macron, on ne peut s’en tenir qu’aux seules déclarations réelles et fermes qu’il ait faites. C’est-à-dire, sa vision de la France et ses souhaits pour l’Europe.

    Emmanuel Macron souhaite représenter son pays. La première chose qu’il devrait faire serait d’en être fier, et d’assumer toute l’histoire de notre pays avec les bons et les mauvais côtés. Malheureusement, fidèle à son maître François Hollande, il continue sur la repentance qui ne mène à rien et qui nous rend méprisables.

    Nous ne pouvons souhaiter voter pour un homme qui en Algérie a déclaré que la France avait commis avec la colonisation, un crime contre l’humanité. En premier lieu, les crimes contre l’humanité ont une définition bien précise, qui ne correspond pas à ce que la France a fait en Algérie depuis 1830. En deuxième lieu, s’il y avait eu crime contre l’humanité la population de l’Algérie depuis 1830 jusqu’à aujourd’hui ne serait pas passée de 1 million à 11,7 millions en 1962. Et enfin, une telle attitude irresponsable rend encore plus difficile l’intégration des populations algériennes et maghrébines et les rend toujours plus exigeantes.

    Nous ne pouvons pas voter pour quelqu’un qui n’est pas fier du pays qu’il souhaite représenter.

    Emmanuel Macron sur l’Europe, a dit clairement qu’il voulait une Europe supranationale. C’est exactement ce qui a été refusé par référendum en 2005. Il est quand même effrayant de penser que des personnalités qui se disent démocrates, imposent depuis maintenant 12 ans une construction qui a été refusée par référendum, et dont on voit aujourd’hui encore plus la nocivité. La construction européenne doit être autre chose, et faire le plus grand cas de la volonté des peuples.

    Sur tous les autres sujets, économiques, sociaux, culturels, Monsieur Macron, est d’accord avec tout le monde, c’est-à-dire avec personne. Monsieur Macron a eu pendant pratiquement quatre ans d’importantes responsabilités économiques, auprès de Monsieur Hollande, pendant lesquelles les Français se sont dramatiquement appauvris.

    Nous ne pouvons pas voter pour un homme dont toute l’action est antidémocratique et contraire aux souhaits de la population.

    Enfin on nous vante la jeunesse du candidat. Ce qui est vrai sur l’État civil, mais faux dans la réalité. Emmanuel Macron est un vieux jeune, ses soutiens sont dans la vie politique depuis 40 ans et ce sont les mêmes qui n’ont comme ambition que de détruire la France.

    Le G21 est fier de notre pays. Nous refusons de le voir sombrer. Le score du premier tour a été obtenu par des manœuvres plus sordides les unes que les autres, que jamais Monsieur Macron n’a dénoncées. Nous avons une autre idée de la responsabilité politique, et nous refusons de cautionner de telles méthodes.

    Le seul conseil que donne le G21, est de ne pas voter Emmanuel Macron."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I-Média #149 : Soirée électorale, le sacre de Macron

  • Macron : la civilisation en marche arrière - Journal du vendredi 28 avril 2017

  • Pourquoi les fillonistes doivent voter Marine Le Pen au second tour de la présidentielle

    L’urgence, le problème absolu, c’est l’immigration !

    Pourquoi les fillonistes doivent-ils voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle, même s’ils ne sont pas d’accord sur son programme économique ?

    Parce que le Système nous demande de jouer honorablement le jeu de la pensée unique, du pseudo-front républicain, pendant que lui utilise les pires magouilles et moyens répugnants pour lancer, en quelques mois, un produit de lessive mondialiste et immigrationniste, et faire tomber Fillon avec des manœuvres médiatiques et judiciaires…

    Parce que 72 % des Français sont favorables à l’euro et que, le voudrait-elle, Marine Le Pen ne pourrait pas faire sortir la France de l’euro. Quant à son programme socialiste économique catastrophique, comme Mitterrand après 1981, la candidate du Front national serait très vite obligée de mettre de l’eau dans son vin.

    Mais surtout parce que l’invasion migratoire ne peut pas encore attendre cinq ans avant de cesser ! Entre deux maux, il faut choisir le moindre.

    Selon Michèle Tribalat, le nombre d’admis au séjour a augmenté de près d’un tiers ! Avec le quinquennat Hollande, l’immigration s’est accélérée ; l’invasion migratoire continue et continuera de plus belle avec la catastrophe Macron. On avait 172.000 entrées légales en 2007, on en a eu 193.000 en 2012 et 228.000 en 2016.

    Compte tenu des clandestins que nous renvoie actuellement l’Allemagne, la France subit tous les ans un flux migratoire de 300.000 personnes par an, qui vont ensuite se multiplier grâce à un taux moyen de fécondité de 3,4 enfants par femme contre 1,6 enfant par femme d’origine française ou européenne…

    C’est très bien, de vouloir l’Europe et garder l’euro, mais l’urgence, le problème absolu, c’est l’immigration ! Mourir en ayant raison pour l’euro et notre destin européen n’est pas la solution face aux gangsters socialistes du style Hollande et Macron. Christine Boutin et Robert Ménard, qui recommandent de voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle malgré leurs désaccords, ont 100 % raison !

    http://www.bvoltaire.fr/fillonistes-doivent-voter-marine-pen-second-tour-de-presidentielle/

  • Choisis ton camp camarade !

    A quelques jours du grand rassemblement de Villepinte pour le 1er mai, Marine était hier soir à Nice, ville à l’étymologie de bon augure!, pour une réunion publique qui a rassemblé les foules,  dans un palais Nikaïa chauffé à blanc.  Une nouvelle occasion  de marteler le caractère diamétralement opposé des deux projets  portés pas les candidats de ce second tour. Celui d’un côté de la renaissance patriotique, d’un peuple protégé de la violence de la mondialisation, d’une nation qui fait de ses racines, de sa richesse humaine une force. De l’autre l’enterrement de première classe de 15 siècles d’identité française, le règne  du libéralisme sans frein ni conscience, celui de la liberté du renard dans la poulailler, du déclin  mondialiste, d’un monde gris,  désincarné et sans âme,  celui des salles de marché. La candidate national a beaucoup insisté, et c’est heureux, contre la marchandisation du monde,  le règne de l’argent roi comme unique horizon  qui est celui du poulain de MM. Minc et Attali. Un thème capable de fédérer autour de la candidature de Marine aussi bien un électorat de droite qui n’a pas oublié les enseignements  véhiculés par les valeurs helléno-chrétiennes qui structurent  notre civilisation, qu’un électorat de gauche qui refuse la dictature des banques, l’ordo-libéralisme. Selon un sondage Odoxa pour France info diffusé ce matin,  après  le passage des deux candidats à l’usine Whirlpool,  Marine Le Pen est jugée plus sincère par 49% des sondés contre 45% qui jugent que c’est le candidat de l’UOIF, de la Commission européenne et des fonds de pension anglo-saxons.

    Car la peur du grand méchant loup Le Pen que les privilégiés du Système  essayent  de réactiver pour sauver leurs fesses, ne fonctionne  plus avec la même efficacité qu’avant, même dans les quartiers a priori les plus hostiles. Dans Le Monde, Yves Dormagen, professeur à science-po Marseille, constate le regard différent porté sur le FN  à quinze ans d’intervalle, par les habitants de la  cité des Cosmonautes, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : .« En y retournant j’ai été très surpris. Il n’y a plus la peur du FN qu’il y avait (en 2002) où il faisait l’objet d’un rejet radical. La méfiance persiste, d’autant qu’il y a beaucoup d’électeurs d’origine étrangère, mais il y a beaucoup de passivité vis-à-vis du FN. Les gens se disent “est-ce que ce serait vraiment pire ? ». « Macron leur fait peur. Beaucoup de ménages sont à 100 euros près. La suppression de l’APL [aide au logement] ou d’autres aides sociales les ferait basculer dans la pauvreté. Or, Macron est perçu comme le candidat des riches – de ce point de vue, son dîner à La Rotonde est une catastrophe. Dans la cité,  les gens sont peu politisés, mais ils craignent le Macron banquier et libéral, poursuit le chercheur. Une aide-soignante l’appelle “Macron les grandes dents”. Alors que vis-à-vis de Le Pen c’est paradoxal : il y a à la fois une méfiance, et une sympathie parce qu’elle s’affiche comme celle qui défend les petits. »

    Bien sûr, et comment pourrait-il en être autrement, une quarantaine « d’associations et syndicats de la culture » vivant de prébendes diverses et variées,  dans l’orbite de la gauche socialo-communiste ou socialo-trotskyste  (CFDT Culture, CFTC, CGT Culture, etc.) ont appelé  avec le même élan pavlovien, à  « participer au scrutin du 7 mai, à voter pour faire barrage au FN » et à « ses idées antidémocratiques de rejet de l’autre et de repli sur soi ». Elles organiseront avec une  Ligue des droits de l’homme et une  Ligue de l’enseignement du même mauvais métal une manifestation le 2 mai. Pour autant, preuve de la pression de la base sur les dirigeants syndicaux,  les organisations syndicales (moins de 6% des salariés en France…), ont été incapables de parler d’une seule voix sur les consignes de vote et d’organiser une manifestation unitaire le 1er mai…

    Dans cette mauvaise farce, les rôles sont bien distribués, le très suffisant mélenchoniste, toujours en retard d’une guerre, Gérard Miller, votera Macron, bégayant sur les plateaux son vieux couplet sur la lutte prioritaire contre le fascisme, suivant en cela le comédien-homme-de-gauche Philippe Torreton qui , après avoir fait les yeux doux au candidat de la France Insoumise,  le conspue aujourd’hui. « Dimanche soir, a-t-il déclaré, j’ai vu Benoît (Hamon) appeler à faire barrage au Front National sans ambiguïté, mais nous avons été des millions à constater que La France insoumise est mauvaise perdante : elle boude et fait la gueule et se retrouve incapable d’appeler à voter Macron, comme son leader délégué général avait appelé du temps où il était cadre sup au PS à voter Chirac ». « Pourtant, en termes de probité et de batterie de cuisine aux fesses, entre Chirac et Macron, il y a un monde. Jean-Luc, ça fait quoi de voir ses électeurs dragués par l’extrême droite ? ». Comme quoi,  être un (bon) acteur ne donne pas les clés pour comprendre le théâtre politique…

    Il n’est pourtant pas dur de comprendre que  les amis de Jean-Luc Mélenchon, l’aile gauche du PS incarnée par  Benoit Hamon et Martine  Aubry,  exposent au grand jour, chacun à leur manière, toute la duplicité qui est la leur. Ils apparaissent déchirés entre leur idéologie immigrationniste – elle  sous-tend leur  haine assez pathologique de l’Opposition nationale, populaire et sociale –  qui les conduisent à affirmer que pas une voix ne doit se porter sur Marine le 7 mai,  et leur volonté de ne pas apparaître dans la perspective des législatives et de la recomposition à gauche pour ce qu’ils sont vraiment. A  savoir les éternels idiots utiles d’un mondialisme qui matraque les classe moyennes et populaires.

    Ce qui explique le choix d’un Mélenchon,  de ne pas appeler explicitement au vote Macron, comme l’ont annoncé sans barguigner Gattaz, Raffarin, Valls, El Khomry ou Estrosi, tout en exigeant de  faire barrage à la candidate désignée comme l’ennemi à abattre par une oligarchie qu’il a conspué tout au long de sa campagne. Pas sûr que tous les électeurs de Mélenchon, du moins les plus conscients,  ceux qui entendent vraiment renverser la table, suivent les consignes des  révolutionnaires d’opérette et autres alliés de revers du Medef qui forment l’Etat-major de la France insoumise que sont un Manuel Bompard,  un Eric Coquerel, un Alexis Corbière, une  Danielle Simonnet

    Il n’est pas étonnant de la même façon, souligne Bruno Gollnisch,  qu’une trentaine  de sociétés de journalistes,  par ailleurs  employés des  médias aux mains des sept milliardaires soutiens d’Emmanuel Macron et/ou travaillant pour le service public – BFMTV,  Les Échos, Le Figaro, France 2, France 3, France 24, France Culture, France Info, France Inter, L’Humanité, Libération,  M6, Mediapart, Le Monde, L’Obs, RFI, RMC, RTL, Télérama, TF1… -,  les élus du SNJ-CGT et de la CFDT de  La Voix du Nord,  aient attaqué le FN qui mettrait en danger la liberté de la presse. Il fallait oser !  Ils osent d’ailleurs tout, mais quel crédit possède encore cette caste journalistique dont le tropisme de gauche, le grégarisme intellectuel et l’hostilité militante aux idées nationales (à d’heureuses exceptions près) n’échappent pas aux Français ? Le vote du 7 mai sera aussi une occasion de le mesurer.

    https://gollnisch.com/2017/04/28/choisis-ton-camp-camarade/