
Le président ayant invité tous les chefs de partis à diner mercredi, Jordan Bardella, président RN, a prévu de demander à Emmanuel Macron l’organisation d’un référendum sur l’immigration le 9 juin 2024, jour des élections européennes.
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Le président ayant invité tous les chefs de partis à diner mercredi, Jordan Bardella, président RN, a prévu de demander à Emmanuel Macron l’organisation d’un référendum sur l’immigration le 9 juin 2024, jour des élections européennes.
Pays-Bas – La course pour le remplacement du Premier ministre mondialiste sortant Mark Rutte inclura désormais l’un des principaux architectes de l’agenda vert de l’Union européenne au moment où la mise en œuvre d’initiatives climatiques de type Grande Réinitialisation s’intensifie.
Une bataille pour l’avenir de l’agriculture néerlandaise se jouera aux élections en novembre, avec l’eurocrate vétéran Frans Timmermans choisi pour diriger la coalition du parti travailliste et du parti des verts. Timmermans, qui a démissionné de ses postes à Bruxelles où il était vice-président de la Commission européenne pour le Green Deal et commissaire européen à l’action climatique, a été choisi cette semaine comme candidat Premier ministre par les membres des deux partis de gauche, rapporte la chaîne de télévision NOS .
Déjà un premier débat dans le cadre des primaires républicaines aux Etats-Unis.
Mercredi soir, les concurrents de Donald Trump croise le fer mais sans Donald Trump. L’ancien président, largement favoris dans son camp n’a pas souhaité participé à ces échanges, l’attention à largement été focalisée sur lui tout l’été. Ses inculpations lui ont permis de monopoliser l’espace médiatique et il compte aujourd’hui 46 points d’avance sur son principal concurrent Ron DeSantis. Un nouveau venu tentera de se faire une place dans le paysage républicain : un millionnaire d’origine indienne, Vivek Ramaswamy, 38 ans seulement. Ce dernier se rêve dans un scénario à la Trump 2016. Dans une vidéo annonçant sa campagne, il dénonçait en février ce qu’il nomme le « covidisme », le « climatisme » et « l’idéologie du genre ».
Le roi d'Espagne en arbitre du match droite-gauche.
Le Parti Populaire (PP) de M. Feijóo a remporté les élections anticipées en Espagne, mais sans la majorité absolue. Avec le soutien de 172 votes, dont ceux du parti d'extrême droite VOX et d'autres partis de centre droit, il vise la candidature à l'investiture, tout en soulignant son engagement envers le changement, la stabilité et la modération. La Maison royale explique que la proposition du roi en faveur de Feijóo découle de la tradition de choisir le candidat avec le plus de sièges. Des consultations sont en cours pour déterminer s'il obtiendra suffisamment de voix pour devenir le nouveau chef du gouvernement, en concurrence avec le Premier ministre par intérim et dirigeant socialiste, Pedro Sánchez.
Actu en Bref du JT 23/08/2023
Le show télévisuel sans Trump.
Dimanche, l’ancien Président et désormais candidat à la présidentielle a annoncé ne pas participer aux débats des candidats à l’investiture républicaine. Argument avancé : le public le connaît et sait déjà que sa présidence a été une réussite. D’autre part, il affirme ne pas voir l'intérêt de débattre avec des candidats crédités de 1 ou 2%. Il est vrai que Donald Trump est crédité de 62% d’intentions de vote pour les primaires et que même son principal rival, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, est largement distancé avec 46 points derrière.
Actu en Bref du JT 21/08/2023
Répondant à la question d’un journaliste, le premier ministre sortant a confirmé les déclarations de la nouvelle cheffe de sa propre formation VVD qui confiait plus tôt à l’agence de presse néerlandaise ANP ne pas exclure de participer à une coalition avec le parti d’extrême droite PVV de Geert Wilders. «Oui. Je suis complètement d’accord», a laconiquement affirmé Mark Rutte, qui quittera la politique à l’issue de ce scrutin après 13 années en tant que chef du gouvernement. «C’est une «bonne nouvelle», a réagi Geert Wilders sur X (ex-Twitter).
Le billet de Patrick Parment
On a tout lieu de désespérer de l’Allemagne depuis qu’elle est aux mains de sociaux-démocrates, totalement aliénés aux normes du très anglo-saxon libéralisme larmoyant des droits de l’homme. On croyait également que largement lobotomisés par le masochisme freudien américain depuis la défaite de 1945, et dont le symbole fut le chancelier Adenauer, l’Allemagne ne s’en remettrait pas. Il semblerait qu’il n’en est rien avec l’émergence de l’AfD (Alternative für Deutschland), un parti politique né en 2013 qui préconisait la dissolution de la zone euro, avant qu’Angela Merkel ne décide, en 2015, d’accueillir un million de réfugiés. Depuis, l’AfD est la petite bête qui monte de la politique allemande, au point d’effrayer les poids lourds du CDU. Et ce n’est pas un hasard si l’AfD a connu ses premiers succès dans l’ex-RDA, le communisme ayant protégé ses habitants des affres de la société de consommation. En Allemagne de l’est, la culture allemande jouit encore d’une authenticité que ne connaît quasiment plus sa partie ouest. C’est dire si le réveil au réalisme politique est une bonne nouvelle.