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élections - Page 48

  • Présidence du RN : Louis Aliot se lance dans la bataille !

    Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par son actuel président par intérim Jordan Bardella. Si son nom circulait depuis plusieurs semaines, c’est désormais officiel, il affrontera Jordan Bardella à l’automne.

    Âgé de 53 ans, Louis Aliot connaît bien l’appareil du parti auquel il a adhéré en 1988 après s’être engagé en faveur de Jacques Chirac. Élu conseiller régional de Midi-Pyrénées en 1998, il a, depuis, fait toute sa carrière au sein du Front national devenu Rassemblement national. L’ancien compagnon de Marine Le Pen a encore la carrure du rugbyman qu’il était et fait partie des incontournables du parti à la flamme.

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  • États-Unis : 75 % des démocrates souhaitent le départ de Joe Biden en 2024, selon un sondage (CNN)

    Selon un nouveau sondage réalisé par la CNN et publié mardi, 75 % des démocrates et des électeurs de tendance démocrate aux États-Unis souhaitent qu’un autre candidat que l’actuel président Joe Biden représente le parti en 2024. Martelée notamment par sa gestion de l’économie américaine, la cote de popularité de Joe Biden est passée sous la barre des 30 %.

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  • Et soudain, tranquillement, le ministre de la Justice avoue avoir voté NUPES…

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    Quel est le plus gros scandale de ce lundi ? La petite phrase d’Éric Dupond-Moretti ? Ou le fait que cette petite phrase n'ait fait rigoureusement aucun bruit ? L’un des premiers (rares) médias à l’avoir relayée est… le magazine Gala (25 juillet), assorti du titre « Il fait une surprenante révélation ». Pourtant cette « révélation » mérite un peu plus d’attention que la couleur insolite de la dernière robe de Kate Middleton : Invité dans la matinale de RTL, ce 25 juillet, notre garde des Sceaux a avoué avoir voté NUPES. Tout de go, sans vergogne.

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  • Une campagne résolument de droite

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    Le 20 juillet à Londres, on connaissait le résultat de la première phase de désignation, au sein du parti conservateur, du successeur de Boris Johnson. Le Comité 1922, – inventé en… 1923 – présidé par sir Graham Brady, révélait en effet, qu'après les éliminations successives de leurs 6 concurrents du départ, les deux derniers postulants en lice s'appelaient Rishi Sunak et Liz Truss. L'ex chancelier de l'Échiquier arrivait en tête avec 137 suffrages sur 357 députés, suivi de la secrétaire au Foreign Office, pour laquelle ont voté, en ce dernier tour, 113 honorables parlementaires contre 103 à Penny Mordaunt, qui était ministre du Commerce extérieur.

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  • « Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE » !

    Ndlr. Les bien-pensants, la gauche, les gauchistes, etc. ont déjà la trouille au ventre …que les patriotes et les souverainistes réaniment les nations face à l’autoritarisme violent et illégitime de l’UE.

    Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE

    DECRYPTAGE Après la démission du Premier ministre italien, Mario Draghi, l’Assemblée a été dissoute par le président, provoquant des élections législatives anticipées qui laissent présager une accession au pouvoir des partis les plus à droite

    Cécile De Sèze, 20 Minutes.fr

    Publié le 22/07/22 à 19h22

    Le parti postfasciste présidé par Giorgia Meloni, est donné en tête dans les intentions de vote. — Piero Tenagli / IPA/SIPA

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    Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE

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  • Italie : Giorgia Meloni, une anti-islam bientôt présidente du Conseil?

      

    Giorgia Meloni, un nom à retenir

    Depuis la fin de 2020, elle est la personnalité politique préférée des Italiens. 

    Peut-être parce qu’elle est la seule à dénoncer sans détours l’islamisation de l’Europe, et à se prononcer pour la fermeture des ports afin d’empêcher les navires d’ONG financées par Soros et sa clique de débarquer des clandestins. Avec raccompagnement des intrus au large, à la limite des eaux territoriales, par des navires de guerre.

    En août 2019, alors que les autres partis italiens papotaient sur le nombre d’envahisseurs qu’on pourrait laisser passer depuis l’intrusion des navires de l’ONG Proactiva Open, elle a proposé de créer un blocus naval autour des côtes Nord- Africaines qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie.

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  • L’Italie pourrait avoir une majorité politique eurasiatique en septembre, par Eric Verhaeghe

    Hier, Mario Draghi a présenté sa démission au président de la République italienne, après que trois partis de sa coalition se sont abstenus lors d’un vote de confiance. Mécaniquement, Draghi n’a pas été mis en minorité : il aurait pu continuer à gouverner. Toutefois, l’abstention de ces trois partenaires l’a conduit à jouer le tout pour le tout en présentant sa démission au Président de la République Mattarella, qui l’a acceptée et a dissous la Chambre. De nouvelles élections législatives (anticipées d’un an) auront lieu en septembre. 

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  • Face au chaos de l’administration Biden, la Cour Suprême reprend la main – par Jean Goychman

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  • Le deuxième quinquennat de Macron à peine entamé, Le Maire, Darmanin et Philippe préparent déjà 2027

    Président réélu, mais Président non rééligible en 2027, Emmanuel Macron entame à peine son quinquennat que, déjà, s’aiguisent les ambitions autour de lui. Chacun dans leur style, Bruno Le Maire , Gérald Darmanin et Édouard ­Philippe ont fait un pas en avant cette semaine, confirmant qu’il faudrait compter avec eux dans la bataille pour la succession. De quoi irriter les macronistes légitimistes, qui font bloc autour de la Première ministre, Élisabeth Borne . « Chacun essaie de se placer dans la course aux petits chevaux, mais ce n’est pas l’enjeu aujourd’hui », s’agace ainsi un cadre de la majorité.

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  • Eric Zemmour aurait-il pu faire mieux ?

    Eric Zemmour aurait-il pu faire mieux?

    De Roland Hureaux, essayiste, pour le Salon beige:

    Vae victis. Le cycle présidentielles-législatives étant clos, Eric Zemmour apparait comme le grand perdant. Echec mis en relief par le succès de Marine le Pen qui semble avoir trouvé son bâton de maréchal comme chef du principal parti d’opposition.

    Ce n’est pas une raison pour donner au vaincu le coup de pied de l’âne comme beaucoup ne s’en privent pas, au mépris de toute décence.

    C’est cependant le moment de se demander « Aurait-il pu faire mieux ? ».

    Au fond, je ne crois pas.

    Il reste que sa campagne peut être analysée.

    On ne saurait oublier que c’est Zemmour qui lui a imposé son rythme, qu’il a battu   le record de participation aux réunions publiques (à commencer par l’admirable réunion de Villepinte). Partant de rien il a atteint un moment les 19 % d’intentions de vote et a fini à 7 %, plus que la candidate des Républicains, ce qui reste méritoire. Dans un climat de dépolitisation, son parti a recruté plus de 100 000 membres. Nous pensons que rien de tout cela ne sera perdu sans pouvoir dire comment.

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