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élections - Page 603

  • Pour sauver la République : aux urnes, citoyens !

    Quand les citoyens ne portent plus aucun intérêt aux politiques qui les gouvernent, la République est en danger ; pourquoi iraient-ils voter ? Pour élire un président qui ne respectera pas ses engagements dès qu’il sera élu ? Pour élire un parlementaire qui, dès qu’il sera à l’Assemblée, appliquera les consignes de son parti et non plus celles de ses électeurs ? Mais le candidat à l’élection sait que, pour être réélu, il lui faut surtout ne pas mettre en œuvre les réformes pour lesquelles il a obtenu leurs suffrages.

    Les citoyens ne veulent plus voter pour un président qui gouvernera le pays avec pour objectif unique sa réélection cinq ans plus tard. Les citoyens ne veulent plus voter pour un parlementaire qui ne s’intéressera plus à leurs opinions et votera des lois en négligeant totalement leur avis.

    Et cela explique ceci :

    – 72,85 % d’abstentions au second tour de l’élection partielle de l’Aube ;

    – 46 % d’abstentions aux législatives ;

    – 36 % d’abstentions aux municipales ;

    – 19,50 % d’abstentions à la présidentielle.

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  • Le suicide de François et des autres

    Les Français rejettent massivement l’idée de donner le droit de vote aux étrangers ? Banzaï ! François Hollande relance l’idée avec gourmandise.

    Lorsque l’on regarde la quinzaine qui vient de s’écouler, on peut se demander si les puissants de papier buvard de ce pays dont la haute prétention est de gouverner nos actes, nos paroles, nos mœurs et nos idées, ne sont pas tentés par une sorte d’esthétique du suicide, esthétique du reste très contestable tout comme la caricature d’art dont ils se font très souvent les promoteurs.

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  • Alain Juppé, le candidat des journalistes de gauche

    Lu dans Figaro Vox :

    "la «Juppémania» en dit long surtout sur les milieux journalistiques de gauche qui décident de mettre cette idée paradoxale en avant. J'ai d'ailleurs vu passer sur twitter des appels à témoignage en ce sens. Cela traduit le fait que, pour ceux qui réfléchissent un minimum à l'avenir électoral de la gauche, l'horizon est totalement bouché. Logiquement, les défaites électorales du PS et de ses alliés de 2012 vont se poursuivre avec une belle constance: départementales et régionales en 2015, pour finir par la présidentielle de 2017 avec élimination probable de la gauche du second tour. Dans ce cadre-là, certains bons samaritains cherchent un moyen de «réduction des risques» en rêvant d'un homme de droite élu en 2017 qui ne ferait pas une politique trop à droite."

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sondage L'Express: le Front national serait en tête aux élections départementales

    Le dernier sondage réalisé par Odoxa pour L'Express, France Inter, Orange et la Presse régionale rapporte que le Front national se placerait en tête des élections départementales avec un score de 28% si le vote se tenait aujourd'hui.

    L'analyse de Céline Bracq, présidente générale de l'institut Odoxa (video)

    L'Express :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAEuypZZNBuhFWUK.shtml

  • Ancienne secrétaire nationale de l’UMP, Fatima Allaoui rejoint le FN

    La vice-présidente déléguée de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait exclu Fatima Allaoui pour crime de Lepénisme : elle avait osé adhérer au SIEL, micro parti souverainiste fondé par Paul Marie Coûteaux.

    Qu’à cela ne tienne, dès le lendemain, le Front-National ouvrait ses portes à l’exclue : « si la proposition de Florian Philippot est sérieuse, je l’étudierai » avait-elle répondu.

    « Le parti se félicite de l’arrivée dans le groupe FN de la région Languedoc-Roussillon, présidé par France Jamet, de Mme Allaoui sur des positions patriotes et républicaines », a annoncé le parti de Marine le Pen dans un communiqué signé de Louis Aliot.

    Fatima Allaoui est une belle prise de guerre médiatique pour le FN, reste à savoir si cette leçon lui servira, elle qui le 27 mars 2014 était venue manifester contre la candidature de Robert Ménard à Béziers.

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/ancienne-secretaire-nationale-de-lump-fatima-allaoui-rejoint-le-fn/20824

  • Vague bleue marine en perspective aux départementales : le FN en tête

    D’après un sondage Odoxa-Orange/Presse régionale/France inter/L’Express publié mardi 16 décembre, les français placeraient en-tête du premier tour des élections départementales prévues dans quelques semaines le Front National, loin devant les autres formations politiques.

    Le FN serait à 28%, l’UMP à 25% et le PS s’effondrerait à 17% ! Voilà de quoi réjouir le FN, contenter l’UMP et faire trembler le PS qui va goûter un peu de ce qui l’attend en 2017…

    En effet, il y aura principalement deux configurations : les duos FN/UMP avec un PS éliminé dès le premier tour qui seront plus difficiles à gagner pour le parti de Marine Le Pen, et les triangulaires où le FN aura toutes ses chances.

    Le FN un parti comme les autres : c’est aussi la réponse positive qu’apporte ce sondage ; comme les autres, certes, à quel prix ?

    http://www.medias-presse.info/vague-bleue-marine-en-perspective-aux-departementales-le-fn-en-tete/20722

  • Les choix de nos élus – par Vincent Revel

    Sous la Vème République, les mandats présidentiels se suivent et se ressemblent. Depuis 40 ans, la médiocrité et l’échec de nos dirigeants s’affichent au grand jour. Entre 2008 et 2019, suite à de nombreuses réformes, l’armée française aura perdu 82.000 postes ! Avec une telle volonté, à l’évidence, la France est prête à renoncer à pouvoir se défendre en cas de difficultés. Est-ce pour cette raison que Nicolas Sarkozy a de nouveau validé le rattachement de la France à l’Otan ? La question mériterait d’être posée clairement tellement les effectifs et les moyens de nos armées fondent comme neige au soleil. Avec cette politique d’abandon, notre nation envoie un signal fort au monde en signifiant que la France ne se veut plus souveraine.

    L’UMP et le PS, responsables de ces « réformes », préfèrent creuser le déficit de notre budget en continuant leur politique ultralibérale (délocalisations industrielles, fermeture des petites exploitations agricoles, aucune politique familiale viable, préférence pour une immigration de masse et de peuplement, absence complète de protections fiscales et douanières à nos frontières nationales et européennes…) et de ce fait sacrifier notre Armée plutôt que d’être des dirigeants responsables. Dans le même temps, à titre de comparaison, la Russie tant décriée de Poutine, ayant dû gérer les graves conséquences de la chute de l’Union soviétique et de l’ère Eltsine, a pu, malgré ces difficultés, augmenté par 5 son budget militaire tout comme l’ont fait les Etats-Unis et la Chine ! Cet abandon provient donc d’un vrai choix politique de la part de nos élus. Même le très poli Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, tire désormais la sonnette d’alarme en soulignant avec logique que moins de crédits et moins d’effectifs ne pourraient plus permettre à « la Grande Muette » de continuer à remplir efficacement les opérations extérieures, paradoxalement de plus en plus nombreuses.

    Cette triste réalité colle à un autre problème tout aussi significatif de l’état de santé de notre pays : « L’exil des forces vives hors de France ». A l’heure où notre élite nie la notion du grand remplacement de la population française, nos jeunes diplômés préfèrent souvent chercher fortune et réussite à l’extérieur de nos frontières nationales. Sur ces dix dernières années, les « départs augmentent régulièrement de 2% à 4% par an. »

    Pour un système qui ne cesse de vanter son modèle sociétal au monde entier, il est surprenant de constater qu’il est juste incapable de garder près de lui ceux qui pourraient demain incarner des modèles de réussite. A l’époque où la France s’épuise à trouver des idées et de l’argent pour accueillir plus de 200 000 migrants par an, pour la grande majorité non-diplômée, inutile et néfaste à la stabilité de notre pays tout en nous imposant une politique d’assistanat et une remise en cause de nos acquis sociaux, nous assistons impuissants au manque de volonté de nos dirigeants d’instaurer en France un climat de confiance permettant à ses enfants de se projeter sereinement dans leurs projets professionnels.

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    http://fr.novopress.info/

  • Le Front National va-t-il siphonner la droite et le centre ?

    Un coup à droite, un coup au centre. Le Front national recrute. Julien Odoul, 28 ans, ancien secrétaire général du groupe UDI au Conseil général de Seine-Saint-Denis a rejoint les rangs frontistes. La semaine dernière, c’est Sébastien Chenu, ex-secrétaire national de l’UMP, qui annonçait son ralliement au Rassemblement Bleu Marine (RBM).


    Des prises de guerre qui ont suscité «l’étonnement, voire la stupéfaction» de certains cadres frontistes lors du dernier bureau politique, vendredi. «Je n’ai pas été le seul à faire des objections», reconnaît Bruno Gollnisch, visant sans les citer Marion Maréchal-Le Pen et Aymeric Chauprade. L’eurodéputé s’interroge sur le «degré de sincérité» de ces ralliements.

    Une «déferlante» à venir ?


    «S’ils ne sont mus que par intérêt, ces personnalités nous laisseront tomber dès les premières difficultés. On en a fait l’expérience en 1986 en faisant élire des gens qui ne nous sont pas restées fidèles deux ans plus tard», développe Bruno Gollnisch. «Les ralliements les plus sincères sont ceux qui sont désintéressés…» Au Front, on martèle que le «rassemblement des patriotes» est en marche. «Si on voulait construire un FN avec ceux qui ont adhéré au parti il y a 25 ans, on n’aurait plus grand monde», répond Steeve Briois, le maire d’Hénin-Beaumont.

    «Il y a eu un peu plus de 1.500 élus frontistes lors des dernières municipales. Avec les régionales et les départementales à venir, le FN offre la possibilité d’obtenir un poste dans un parti moins structuré que ne l’est l’UMP ou l’UDI», analyse Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite. Les transferts pourraient-ils se multiplier en 2015? «Si j’en crois les messages que je reçois, il va y avoir une déferlante d’adhérents, de militants et de cadres de l’UMP vers Marine Le Pen», s’enthousiasme Sébastien Chenu. «Ça va swinguer. L’UMP va s’émietter». Des propos qui font sourire à droite. 

    «Le FN manque cruellement de cadres»

    «Il n’y a rien d’inquiétant», tempère Bernard Debré. Le député UMP de Paris ironise sur le parcours politique de Julien Odoul. «Il a d’abord été au PS, puis à l’UDI, puis au FN. Voilà des gens aux convictions aléatoires, plus intéressés par la distribution de postes que par l’épanouissement de leurs idées». «Il ne s'agit que des transferts individuels de gens qui, pour récupérer une place, sont prêts à s’asseoir sur leurs convictions», ajoute Sébastien Huyghe, porte-parole de l’UMP. «Ces débauchages montrent surtout que le Front National manque cruellement de cadres».

    Lancé en 2012 par la présidente frontiste pour réunir les «patriotes de droite et les patriotes de gauche» au-delà du FN, le RBM reste aujourd'hui limité. «Quand on compte le nombre d’élus locaux dont disposent la droite et le centre, la moisson a été faible», estime Jean-Yves Camus. «Marine Le Pen n’a pas réussi à attirer de pointures. Même son père, avec son Rassemblement national aux législatives de 1986, avait su attirer des politiques plus importants, qui avaient un nom ou un passé, comme Olivier d’Ormesson».

    Malgré sa stratégie de dédiabolisation, rallier le FN laisse une trace indélébile. Le sort de Fatima Allaoui en est un exemple frappant. Nommée secrétaire nationale par l’UMP, la conseillère régionale a finalement été démise de ses fonctions pour avoir adhéré au Siel, un parti d’extrême droite allié au FN. Finalement, elle pourrait rejoindre le FN.

    Thibaut Le Gal 20 minutes :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuElAkZAFFtZmAKAFU.shtml

  • Contre le communautarisme militant

    Une excellente tribune libre de Marion Maréchal-Le Pen dans Valeurs Actuelles...

    Députée FN de Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen conteste la nomination de Sébastien Chenu, fondateur de GayLib, au sein du Rassemblement bleu marine.

    On entend souvent dans la bouche de nos détracteurs que “le nationalisme, c’est la guerre”. Ce slogan réducteur et faux tend à criminaliser le concept de nation. La nation n’empêche pas la guerre mais elle permet d’éviter la pire de toutes : la guerre civile. Celle, larvée, qui menace aujourd’hui la cohésion nationale est idéologique : celle des droits individuels contre l’intérêt général, des communautés contre la communauté nationale.

    Cette cohésion nationale est attaquée de toutes parts. De l’extérieur par l’Union européenne à travers le droit et la jurisprudence, le fédéralisme et l’immigration de masse. De l’intérieur par le développement dans la société d’un tissu d’associations et de personnalités censées défendre les nouveaux damnés de ce monde.

    La gauche, structurée doctrinalement par la lutte des classes, transpose ce modèle de conflit à toutes les strates de la société : les femmes contre le patriarcat, l’homosexualité contre l’“hétéronormativité”, le droit à la différence des minorités ethniques contre l’assimilation à la française. Tout est bon pour détruire l’identité culturelle, juridique, historique de la France, cette nation “conservatrice”, “réactionnaire”, “rétrograde”, voire franchement “obscurantiste”. Ces nouvelles insultes marquent du sceau de l’infamie politique quiconque en est frappé. [...]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Contre-le-communautarisme-militant

  • Droit de vote des Etrangers : la problématique

    Ainsi donc François Hollande a jugé utile ce jour de se prononcer sur l'immigration, approuvant au passage le droit de vote à accorder aux étrangers lors des élections françaises. Quelques réflexions me sont donc venus par conséquence à l'esprit. En voici quelques unes.

    1/ Quant on est aussi impopulaire dans son propre pays, puisque tel est le cas de François Hollande, c'est à dire que la majorité des Français le juge lui-même en partie, étranger, notamment aux préoccupations des Français, la bienséance consisterait justement à ne pas aborder ce genre de sujet.

    2/ Les études effectuées sur le terrain montrent que les immigrés – électeurs potentiels donc dans les années à venir – sont très majoritairement indifférents à l'octroi de ce nouveau droit : ils ont bien d'autres préoccupations, bien plus terre à terre.

    3/ Il existe depuis quelques années un basculement psychologique en France, puisque désormais très nettement, les Français sont maintenant nettement opposés à cette mesure.

    4/ On m'accordera bien volontiers que cette mesure, certes issues d'une promesse, bien antérieure à François Hollande d'ailleurs – on songe à François Mitterrand mais aussi à bien des cadres dirigeants de l'Ump, l'Udi et le Modem – ne peut être qu'importante ou pas. Dans le second cas, et sachant les problèmes majeurs qui touchent la France et les Français aujourd'hui, ce n'est guère le moment de s'y atteler. Si d'aventure, le droit des vote des étrangers est essentiel, ce que semble sous-entendre la gauche – mais aussi la droite qui malhonnêtement conteste pour la forme -, c'est alors la procédure référendaire qui s'impose : seulement voilà, dans le cadre d'un referendum, la proposition serait repoussée parce que nettement balayée. Encore une fois, on veut transformer la France, contre l'avis motivé des Français.

    5/ Le droit de vote des étrangers – François Mitterrand avait, non sans perversion politique, déclaré durant les années 80 que les immigrés étaient « ici, chez eux » est très lourd de sens. Ce que de plus en plus, les progressistes – encore une fois de la plupart des bords (la « droite » n'est pas en reste) appelle désormais l'appartenance nationale, ce n'est plus autre que seulement une façon post-moderne de qualifier le lieu où l'on habite et simplement cela.

    6/ Très attaché à ma Patrie, de façon quasi charnelle, je ne suis pas de ceux qui considèrent qu'être Français, cela « s'hérite ou se mérite » : être français, bien loin d'une simple lecture essentialiste ne peut que se mériter. Autrement exprimé, seul un comportement exemplaire, fidèle à l'esprit de la « Vieille France », ne peut que définir un Français digne de ce nom. C'est ainsi qu'à mes yeux, quand bien même un Français est de souche, même longue, qu'il peut ne pas être dans les faits français. Après tout, il fut un temps où certains Français, au motif d'un détestable comportement furent déchus de leur nationalité française, privé donc du droit de vote. Il y a aujourd'hui tellement d'exemples de vilénie chez nombre d'hommes politiques (Thévenoud n'est qu'un exemple parmi tant d'autres) qu'il y aurait là matière à agir et donc à sanctionner.

    7/ Cette idée consistant dans les faits à affirmer qu'on vote là où l'on vit, ce indépendamment des rapports charnels et historiques, n'est que la montée en puissance chez les « élites », du fait mondialiste, transformant la France en petite région sise au sein du monde, et donc de moindre importance.

    8/ Cette proposition n'est nullement, contrairement à ce que l'on pourrait croire de prime abord, conséquence d'un idéalisme bienveillant, au sens trivial du terme. Elle a un intérêt des plus pratiques : apporter aux partis qui s'opposent au Front National, de nouveaux bataillons, justement afin de conter la montée en puissance du grand mouvement patriotique.

    Childéric Fonteney (Voxnr)

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EuEllZZypujVrwHAYX.shtml