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élections - Page 604

  • Quand Rachida Dati défend Marine Le Pen…

    Nicolas Sarkozy commence les petites mutations politiques, dont certains de ses anciens lieutenants (et ministres) font déjà les frais.

     

    Après chaque parti(e) politique, les cartes sont redistribuées. De retour à la tête de l’UMP (sans le triomphe espéré), Nicolas Sarkozy commence les petites mutations politiques, dont certains de ses anciens lieutenants (et ministres) font déjà les frais. Des voix discordantes se font de plus en plus entendre.

    Après la ridicule polémique sur l’utilisation de la torture, Rachida Dati, ex-lieutenant de Nicolas Sarkozy, a défendu Marine le Pen : « Il y a des responsables pour lesquels on accepte les précisions ou même les rectifications, et puis il y en a d’autres pour lesquels on ne l’accepte pas. Et Marine le Pen, souvent, c’est un peu facile de pouvoir polémiquer avec elle. »

    Le jeu des petites phrases ressemble plus, à défaut d’une vraie stratégie politique (donc sur le long terme), à des tactiques (court-termistes) que l’on voit se mettre en place. En juin 2014, sur le plateau d’« On n’est pas couché », avec Jean-François Kahn pour son livre « Marine le Pen vous dit merci », l’équipe s’est engueulée sur la manière de combattre le Front national.

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  • L'UMP en voie de NKM-isation

    Un point de vue de Vivien Hoch, dans les 4 Vérités :

    "[...] NKM contrôle à ce point Sarkozy quelle semble faire la pluie et le beau temps dans le parti. [...] Nicolas Sarkozy a dû notamment arracher la nomination de Guillaume Peltier à un poste minime, malgré la pression de NKM, qui le considère tout bonnement comme un « facho ». Ce facho qui, pendant la semi-absence de Sarkozy, était à la tête de toutes les actions prônant absolument son retour. Faut-il le rappeler ? D’ailleurs, sur quelles bases peut-elle critiquer celui qui était, encore récemment, le chef du principal courant de l’UMP, élu par les militants ? [...]

    Celui qu’on appelle, à l’UMP, le « Buisson junior », Laurent Wauquiez, n’est pas non plus en odeur de sainteté dans les couloirs du parti « républicain », et fait même les frais d’un calcul politique à la limite du placement de pion. « Évidemment, il sera parfait [en secrétaire général, place du soit-disant n°3]. Un secrétaire général de parti n’est pas fait pour être aimé, et comme tout le monde le hait, il ne pourra pas durablement comploter contre moi. », aurait affirmé Sarkozy, selon le Canard Enchainé. Et qui entretient, en coulisse, cette haine de Wauquiez : encore et toujours NKM…

    Elle s’offusque récemment de la nomination – qu’elle avait voulu elle-même – d’une ancienne militante du SIEL, parti d’ « extrême droite » pour Le Monde et Libé. Refus absolu, donc, d’accepter toute « ouverture à droite » de l’UMP. [...]

    D’où vient donc cette omniprésence de la gauchière NKM dans un parti dit de droite ? Parce qu’au fond, Sarkozy n’est obnubilé par qu’une seule chose : le second tour de la présidentielle 2017. [...] Il faut, à ce dernier, des gages médiatiques et politiques pour récolter les voix du Centre et de la gauche, face à une probable présence du FN face à lui. Au risque de trahir la grande majorité de ses militants. Pas grave : un militant à l’UMP, c’est comme un « soldat » (discours de Sarkozy devant les cadres de l’UMP, 13 décembre 2014) : il n’a qu’à obéir, sans discuter…"

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 2ème tour de la législative partielle dans l'Aube : Le Front National amplifie sa progression

    Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

    Alors que l’alliance électorale de l’UMPS s’étalait au grand jour, les résultats du deuxième tour de l’élection législative partielle dans la troisième circonscription de l’Aube témoignent d’une poussée supplémentaire du Front National, alors même que les possibilités de progression semblaient limitées dans la mesure où cette circonscription constitue un bastion de l’UMP et n’est donc pas parfaitement représentative.

    En effet, avec plus de 36% des voix, le candidat du Front National progresse de 10 points par rapport au premier tour sur l’ensemble de la circonscription. Cette amplification du vote patriote est remarquable dans la ville de Troyes, où Bruno Subtil obtient 30,44% (22,3% des suffrages au premier tour).

    Si cette forte dynamique démontre la caducité de l’effet balancier entre l’UMP et le PS, elle signe aussi une recomposition concrète du paysage politique français. Face à un système coalisé UMPS qui s’assume ouvertement, s’organise et se développe la seule et réelle alternative qu’attendent les Français, représentée par le Front National.

    L’excellente performance de Bruno Subtil et de sa suppléante Marie-Pierre Amilhau ne fait que renforcer la détermination du Front National à poursuivre son combat pour le redressement de la France et la défense du peuple. Plus que jamais, notre mouvement est rassemblé et mobilisé dans la perspective, notamment, des élections départementales de mars 2015 et régionales de décembre 2015.

    http://nicolasbay.fr/

     

  • Le FN est-il devenu une auberge espagnole ?

    A chaque jour une révélation ou une prise de guerre au FN. Après Sébastien Chenu (ex-UMP) ce week-end et aujourd'hui le controversé Fabien Odoul (ex-UDI), Florian Philippot propose désormais à Fatima Allaoui, de rejoindre le FN :

    "Bah écoutez, elle a qu'à venir au Front national à ce moment-là. Pourquoi pas, elle peut venir au Front national. Si elle est patriote, sincèrement patriote, je pense qu'elle l'est d'après ce qu'on m'a dit, alors elle a sa place au Front national"

    Fatima Allaoui était à l'UMP qu'elle a quitté à la suite de divergences de fond puis a adhéré au SIEL avant de revenir à l'UMP... Autant dire que son engagement politique a l'air solide et fortement ancré dans des convictions stables...

    Le FN de Florian Philippot va-t-il donc proposer également aux patriotes sincères que sont Jacques Bompard, Carl Lang, Martial Bild, Bernard Antony ou encore Bruno Mégret de rejoindre le FN, Bruno Mégret étant probablement le dernier mégrétiste non réintégré ?  

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Elections professionnelles : la FPIP en tête au commissariat du Mans

    Parmi les élections professionnelles qui ont lieu début décembre, il est un résultat détonnant pourtant non mis en avant par les médias. Au commissariat du Mans (Sarthe), c’est la FPIP qui est arrivée en tête. Or la FPIP est réputée proche de l’extrême droite. Il faut dire que la préfecture de la Sarthe cumule depuis un certain temps tous les travers qui font du Mans une quasi zone de non-droit.

    France Bleu Maine revient sur ce résultat :

    Déjà, entre 2001 et 2003, la FPIP avait été majoritaire au Mans. A l’époque, son secrétaire national s’appelait Claude Choplin. C’est désormais lui qui gère le syndicat au niveau national.

    Onze ans plus tard, rebelote puisque les policiers manceaux ont voté à 45 % pour cette organisation réputée proche de l’extrême droite. A la tête de la section départementale cette fois, Jean-François Duchene. Un policier très à l’écoute de ses collègues, et qui reconnaît lui même que cette élection est aussi une question de personne.

    La FPIP occupera donc trois des six sièges alloués aux policiers au sein du comité technique de proximité, qui s’occupe des conditions de travail et du fonctionnement du commissariat au quotidien. C’est un cas unique en France puisqu’au niveau national, le score de la FPIP reste faible et stable : environ 5 %. Au niveau régional, la FPIP rafle également deux sièges (15 %) dans l’instance qui suit l’avancement des Majors.

    >> Pour lire l’intégralité de l’article.

    http://fr.novopress.info/179928/elections-professionnelles-fpip-en-tete-au-commissariat-du-mans/

  • Conversion

    Sur le site des Echos le 10 décembre, le journaliste répondant au pseudo de  Favilla se livrait à quelques commentaires sur le congrès FN de  Lyon. Si  ses  éditoriaux n’ont jamais brillé par la profondeur ou l’intelligence de leurs analyses, il recyclait ici un vieux papier de L’Humanité en affirmant que la « première composante historique du FN » se trouve  dans l’antirépublicanisme» et «est également teintée d’antisémitisme ». Pour faire bonne mesure,  il indiquait aussi que la « vieille garde » du FN « constituée autour de (Jean-Marie Le Pen)  et de Bruno Gollnisch, s’efface et est remplacée par des jeunes qui n’ont plus le look rasé des anciens de l’Algérie française » (sic). Certes, c’est ce  même Favilla qui en novembre 2010, en plein roman noir,  s’amusait à (se) faire peur en  décrivant, tel un sous Didier Daeninckx, un Bruno Gollnisch «entouré de burgraves intégristes, antisémites, négationnistes, anciens d’Indochine, d’Algérie ou nostalgiques de Pétain », et qui «serait prêt à quelque indulgence pour les Arabes, comme jadis le grand mufti de Jérusalem, Husseini, en avait pour les nazis ». Ou qui évoquait en janvier 2011, après la victoire de Marine aux congrès de Tours, un « FN » en marche « vers un national-socialisme».

     A sa décharge, Favilla à quelques lecteurs « à droite » qui le prennent au sérieux ou partagent sa vision du monde , si l’on en juge par les propos tenus par Nicolas Sarkozy ce samedi  13 décembre lors d’une réunion des cadres UMP. « Nous n’avons pas les mêmes valeurs que le  FN», « je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national» a tonné le président de l’UMP, car «la Shoah n’est pas un détail et la torture n’est jamais justifiable. On ne combat pas le terrorisme avec les méthodes des terroristes ».

     La débilité (dans toute l’acception du terme) de cette « argumentation » sarkozyste ne mérite guère de commentaires particuliers. Elle ne trompe plus guère les électeurs  qui,  dans la troisième circonscription de l‘Aube, fief de l’UMP, ont certes élu  hier l’homme lige de François Baroin, Gérard Menuel, mais ont aussi voté plus nombreux qu’au premier tour pour notre camarade Bruno Subtil. Au terme d’une belle campagne de terrain, il a gagné près de neuf points  entre les deux tours totalisant  ce dimanche 36,15% des suffrages. La forte abstention (72,85% , 75,37% au premier tour)   ne pouvait guère nous permettre d’espérer mieux.

      Capitalisant sur l’opportunisme et l’absence de convictions réelles, l’UMP s’est félicitée  ces dernières heures du «retour au bercail» de Fatima Allaoui, qui avait rejoint le SIEL de notre ami Karim Ouchikh. La jeune femme vivant à Béziers avait quitté l’UMP il y a quelques mois pour protester contre le refus de son parti de l’investir aux futures élections départementales dans un canton gagnable. Elle vient d’être nommée avec l’aval de Sarkozy et surtout le soutien de Nathalie Kosciusko-Morizet, nouvelle secrétaire nationale de l’UMP à la formation professionnelle.  Elle a finalement expliqué qu’elle avait rallié l’opposition  nationale «par désespoir de cause et pour augmenter (ses) chances d’être élue».  

     Faut-il voir dans cette nomination  une   réponse   de NKM au ralliement au  Rassemblement Bleu Marine (RBM) de Sébastien Chenu, qui milita à ses côtés lors des dernières élections municipales à Paris ? Une arrivée qui n’est pas passée inaperçue !

     M. Chenu, 41 ans, ex adhérent de Démocratie libérale, très opposé en 1998, lors  des cantonales et des régionales en Picardie, à l’accord passé dans l’Oise entre Jean-François Mancel (RPR) et le FN, ex-chef de cabinet de Christine Lagarde (2005-2007), fondateur du mouvement communautariste Gaylib, le mouvement Lesbien Gay Bisexuel et Transexuel (LGBT) de l’UMP (qu’il a quitté en 2012),  organisateur  de l’Europride à Marseille en 2013, ex adjoint au maire de Beauvais (Oise) qu’il quitta pour faire campagne avec NKM, ex-secrétaire national de l’UMP, cofondateur de  Nouvelle Donne, un microparti associé à l’UMP défendant une ligne très libérale, ex soutien de Bruno Le Maire pour la présidence de l’UMP, était encore il y a peu un adversaire résolu du FN. Lors  de la campagne présidentielle de 2012 il définissait ainsi dans Paris-Match les relations UMP-FN:  « Pas d’alliance, ni de près, ni de loin, ni de discours, ni d’approche. On est capables de se définir autrement ».

     Aujourd’hui, Sébastien Chenu qui sera  nommé en janvier à la tête d’un  futur Collectif culture ,  aux côtés du  secrétaire général du RBM, le député Gilbert Collard, affirme qu’il «  partage l’ensemble des propositions de Marine Le Pen, sauf sur le mariage pour tous ». « Ce sera ma petite originalité précise-t-il,  il faut bien que j’ai une », soulignant que Marine  tient un discours en phase avec les premières positions de GayLib sur le  « Pacs amélioré ».

    M. Chenu, qui dit de pas être « choqué » par le principe de la préférence nationale et devrait être candidat aux régionales dans la grande région fusionnée Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a également confié aux médias que son ralliement s’explique par son « refus de continuer à alimenter l’ambiguïté ».  «L’Europe qu’on nous a vendu et qui consiste à nous faire rentrer à coup de triques dans un système en échec, ce n’est plus possible. Les ambiguïtés de Sarkozy qui tape sur Schengen mais qui rampe à Bruxelles quand il est au pouvoir non plus ». « Quand j’étais au cabinet de Christine Lagarde au Commerce extérieur, j’ai bien vu que l’euro pesait sur nos exportations. Il faut retrouver notre souveraineté monétaire ».

    « L’UMP est devenu le parti de tous les conservatismes qui ne parle plus de la France»,  « je ne rejoins pas le Front National qui n’est pas mon histoire mais Marine Le Pen qui est aujourd’hui la seule à proposer une offre politique alternative aux Français ». Interrogé sur sa capacité d’adaptation il rétorque :  « J’ai au moins autant d’atome crochu avec Bruno Gollnisch qu’avec Edouard Balladur (sic). Vous savez, j’ai supporté pendant des années Christine Boutin et Christian Vanneste à l’UMP. Moi, je ne viens que pour Marine ».

     « Son ralliement est la preuve de l’ouverture du RBM et que de plus en plus d’anciens adhérents UMP nous rejoignent »,  a expliqué Gilbert Collard, tandis que  Florian Philippot et Steeve Briois ont également salué cette arrivée de Sébastien Chenu.

     GayLib a officiellement  exprimé «sa profonde consternation » de voir l’un de ses fondateurs rejoindre le RBM dénonçant un « opportunisme à visée électorale » et une « pure politique de casting destinée à donner le sentiment que le Front National a changé ».

     Autre son de cloche, celui  de Didier Lestrade, fondateur du groupuscule extrémiste Act up, figure du lobby homosexualiste qui sur slate.fr, le site de MM. Colombani et Attali,  estime comme il l’a développé  dans un ouvrage récent que la « communauté gay » suit une évolution à la néerlandaise qui traduit un bouleversement sociologique plus profond.«  Le FN écrit-il,  capitalise sur les griefs de la communauté LGBT envers les partis de droite et de gauche. Il encourage un mouvement continu depuis plusieurs années de droitisation du milieu LGBT sur fond de crise économique et de racisme anti-noirs ou anti-arabes ».

     «  Ce qui est intéressant en France affirme encore M. Lestrade,  c’est que ce glissement de droite à l’extrême droite commence précisément par des gays comme Sébastien Chenu. Les gays sont toujours des trend setters –en jargon marketing du Marais, les trend setters sont des personnes qui par leur personnalité, leur position sociale ou professionnelle peuvent avoir une influence  sur l’adoption de nouvelles technologies,  l’évolution de la mode, et qui sont donc « surveillés » pour détecter de nouvelles tendances,  NDLR-  –surtout quand il s’agit de trouver un job au Rassemblement Bleu Marine. Leur point commun? Ils sont blancs ».

    Cette lecture racialo-ethnico-communautariste très peu républicaine  est battue en brèche par la journaliste Béatrice Bouchard qui sur le site de  L’opinion, le 12 décembre, affirmait a contrario  que selon   «un   membre de la direction du Front National » qu’elle cite sans le nommer , on aurait assisté avec la nomination de M. Chenu à « une victoire par KO du marinisme  et de la ligne républicaine sur les obscurantismes et les rétrogrades ». Est-ce vraiment un frontiste qui utilise ce vocabulaire  digne d’un humaniste de  la LDH ou du PS  pour parler d’autres frontistes ? Il nous est permis d’en douter !

     Il faut le dire, des personnalités du FN comme Marion Maréchal-Le Pen ou Aymeric Chauprade, Karim Ouchikh pour le SIEL,  ont été en effet  plus réservés et ont fait part de leur « étonnement » lors du Bureau Politique qui s’est tenu vendredi. Bruno Gollnisch ne s’est pas répandu  dans la presse réservant à Marine et au Bureau Politique ses réflexions. Tout juste a-t-il relevé que  M. Chenu  incarne a priori «tout ce que nous avons combattu. Il se déclarait européiste, militait contre le rapprochement de la droite avec le FN… Il incarne tout ce que nous avons combattu depuis des années. Je sais bien que saint Paul est subitement devenu un apôtre du christianisme sur le chemin de Damas… mais de là à lui confier un secteur (la culture, NDLR)  aussi essentiel ! ». Une rencontre entre les deux hommes serait  prévue  prochainement.

     Lors de la  conférence de presse qui s’est tenue vendredi,  Marine Le Pen a souligné qu’il y avait eu « un certain nombre d’interrogations » sur le cas Chenu au Bureau Politique, et des « inquiétudes» relatives à son  passé avec Gay Lib. Pour autant, « s’il rejoint le RBM, c’est qu’il admet cette partie du projet que je porte »  a précisé la présidente du FN.

    http://gollnisch.com/2014/12/15/conversion/

  • Les partis politiques : une plaie pour la France ?

    La France a traversé plusieurs régimes politiques. Qu’en sera-t-il de celui-ci et de ses partis ?

    Un (trop) grand pan de la politique actuelle est de se soucier de l’intérêt du parti, de l’appareil, bien plus que de l’intérêt de ses militants et – pis !- de la France.

    Les élections départementales de mars 2015 se rapprochent petit à petit et déjà voit-on pointer (comme l’iceberg) le bout des tractations politiciennes pour sauver ou engrosser les différents partis.

    Entre chaque élection, les luttes internes se mettent en place, les transfuges se montrent, chacun parti compte ses troupes, ses élus et ses électeurs comme on compte sa monnaie. Cet imbroglio est terrible quand il se fait devant la chute des derniers pans de la société française.

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  • La majorité des Français rejettent désormais le droit de vote des étrangers

    La gauche veut remplacer l’électorat qu’elle a perdu à force de mensonges… Mauvaise nouvelle pour elle : les Français tiennent encore à leur pays !

    Il y a quelques années, Coluche faisait rire en déclarant que  » si voter changeait quelque chose, il y a bien longtemps que ce serait interdit ». Ce trait d’humour est devenu, peu à peu, une certitude pour bon nombre de Français qui ne se déplacent même plus pour aller voter, à cause de décennies entières de mensonges politiciens.

    Les autres ont récemment poussé sur le devant de la scène le parti de Marine Le Pen. Le Front national est devenu le repère (contesté ou plébiscité) du jeu politique, la question identitaire étant sans conteste la motivation majeure de ses électeurs…

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  • Front National : confier la culture à un militant homosexualiste, c’est rééditer les années Jack Lang

    Une excellente tribune de Jacques de Guillebon sur Nouvelles de France

    Marine Le Pen vient de commettre une grave erreur stratégique, si la nomination de Sébastien Chenu comme président du Collectif Culture du Rassemblement Bleu Marine est confirmée. Le pedigree du transfuge de l’UMP plaide en effet en faveur de la thèse maintenant courante d’une filière gay au sein du Front national et de ses partis affiliés.

    Cofondateur de Gaylib, Chenu s’est illustré par la publication d’une tribune favorable au mariage pour les couples homosexuels lorsqu’il était encore membre du parti de Nicolas Sarkozy et a été présenté par L’Express comme celui « qui gère les réseaux homos » de NKM durant la campagne municipale pour Paris. Que la politique française actuelle soit influencée par de puissantes coteries d’homosexuels, militants ou non d’ailleurs, qui ont tendance à se coopter les uns les autres comme le fait toute communauté, ou ce qui se considère comme telle, c’est un secret de Polichinelle. Secret seulement pour cette raison que personne n’ose le dire, apeurés que nous sommes par l’accusation d’homophobie, cette maladie introuvable. On attend encore l’enfant qui osera dire que le roi est nu. Le Front national n’échappe pas à cette règle, et l’on pourrait même dire qu’il est devenu l’avant-garde de cette mode. Il y a peu, l’on pouvait encore se moquer comme de sa première chemise que l’on dise d’untel qu’il en est. Cela ne revêtait nulle importance dans la conduite des affaires publiques. Mais la démocratie représentative a toujours été le jouet des groupes de pression, l’essentiel, ou le moindre mal, étant qu’elles parviennent à s’équilibrer et que l’Auvergnat ne domine le Corse, ni le protestant la féministe. […]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Front-National-confier-la-culture

  • Sarkozy : je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national

    « Je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national », car « la Shoah n’est pas un détail et la torture n’est jamais justifiable. On ne combat pas le terrorisme avec les méthodes des terroristes » aurait affirmé Nicolas Sarkozy le 13 décembre 2014 lors d’une réunion des cadres UMP.

    Ramener le FN à des propos tenus par Jean-Marie Le Pen il y a 30 ans montre le peu d’arguments qu’il reste à Nicolas Sarkozy pour ne pas répondre au souhait d’une écrasante majorité d’électeurs de l’UMP qui souhaitent des alliances avec le FN, mais il est vrai que le PS sera tellement bas en 2017 que l’UMP n’aura besoin d’alliance avec personne. Quand aux supposées méthodes terroristes de Marine Le Pen, on aimerait connaitre la décision de M. Sarkozy détenant un terroriste ayant caché une bombe prête à exploser dans un lieu fréquenté. Et puis, monsieur Sarkozy est plutôt mal placé en la matière, s’étant fait financer sa campagne électorale par un certain Kadhafi et le remerciant en faisant le nécessaire pour qu’il soit éliminé…

    D’un autre côté, Nicolas Sarkozy sait aussi qu’il ne pourra refaire le coût de 2007 en siphonnant les voix du FN, la présence de Marine Le Pen au second tour étant acquise. Il ne reste à Sarkozy qu’à vouloir ramasser les électeurs du centre et de gauche, coupant la route à Alain Juppé, et ralliant les déçus par millions du quinquennat Hollande.

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